Une lettre que j'ai écrit à Heero alors qu'il était en guerre pour aider les colonies spatiales





Heero, si tu savais comme tu me manques. Pourquoi t’es embarqué dans cette maudite guerre sans fin ? Tu es si loin de moi, ta voix me manques comme tes bras si chaleureux. Et moi, je suis là, seule à t’attendre, regardant l’horizon infini. Heero, les rares jours où tu étais à la maison me reviennent en mémoires et je pleure même si tu n’aimes pas le fait que je sois malheureuse. Mais je ne suis pas forte comme toi. Je ne veux pas te perdre !

Ce fameux jour où tu t’es autodétruit en Sibérie me hante quand tu n’es pas là. J’ai cru alors que tu étais mort. Je ne remercierai assez Trowa qui t’as soigné et sauvé de la mort malgré le fait qu’il m’assure que selon lui c’était normal. Je prie pour toi et tes valeureux compagnons tous les jours en espérant que tu me reviennes sauf. Un jour si tu le veux, tes amis pourront venir à la maison manger et dormir. Transmets leur toute mon affection s’il te plaît. Invite aussi celle qui est chère à ton cœur si tu y tiens. J’ai déjà eu l’occasion de lui parler et elle est véritablement charmante. Reviens vite ! Je sais que je me répète mais j’ai si peur aussi pardonne-moi cet ennui. Comprends-moi, je n’ai plus que toi. Mais sache que je te fais confiance. Je sais que tu ne l’as pas oublié, c’est impossible. je ne peux m’empêcher de sombrer dans la mélancolie,je m’accorde cette faiblesse. Je te promets d’essayer d’être forte comme tu l’es pour que tu sois fier de moi. Car pour le moment, je suis une sœur sans frère.

Je te quitte du bout de ma plume (cela fait plus classe !) tout en te souhaitant bonne chance et bon courage.

Ta sœur qui t’aime : Marina Aglaé Antonia Grandier-Yuy de Jarjayes peut- être bientôt Elric

La tristesse de cette lettre me brise le coeur malgré moi,je m'en veux de te laisser seule.Toi aussi,mon petit moelleux au chocolat tu me manques.
Les jours où j'étais à la maison me parraissent loin,ils étaient pour moi une bouffée d'oxygène.
Surtout Marina,petite crevette,ne sois pas honteuse de la mélancolie qui t'habite.C'est moi qui devrait avoir honte de te laisser ainsi.Je sais que tu es courageuse,tu tiens cela de nos parents.
Je suis déjà fier de toi,ma chère jumelle,si fier de toi....
J'avais peur pour toi quand je suis parti,j'avais tort,tu t'en es bien sortie.

Je n'ai qu'un souhait,petite jumelle de mon coeur,vis.
Sors,amuse-toi,tombe amoureuse si ce n'est déjà fait ( suivez mon regard vers un blond Amestris qui s'appelle Edward)

Je ferai tout pour revenir vite à la maison avec mes amis,oui mes amis,ils sont bien plus que des compagnons d'armes pour moi et avec Relena.

Je dois te laisser maintenant,je t'embrasse sur les deux joues et avec amour.

Ton frère qui t'aime et qui es fier de sa jumelle chérie

Heero Alphonse Auguste Grandier-Yuy de Jarjayes