Commentaire sur la fic:iciladyoscar-andre.forumactif.fr/commentaires-des-fics-f46/commentaires-de-la-fic-de-diamondsking-t890.htmOui alors je sais se que vous allez dire, "Bowser mais qui est-ce ?". Pour ceux qui ne connaissent pas Bowser est l'ennemi du fameux plombier en salopette rouge Mario, "mais Mario na rien à voir avec LO" je le sais aussi mais à la base je comptais mettre cette fic (qui n'est toujours pas terminée) sur un autre forum mais comme je me rend compte que le beaucoup d'entre vous ont un style d'écriture exelent je voulais vous demander votre avis et j'ai su d'après ma DiamondsQueen de ma vie que l'on parle d'un autre mangas qui n'est pas LO et à la base "Super Mario" était un mangas donc voilà, j'aimerai que vous commentiez ma fic, bon après si vous voulez la supprimer ou la garder c'est votre choix sa ne me véxera pas Bon et bien bonne lecture:
Un matin, je me réveille tout courbaturé. Déjà, je sent quelque chose de bizarre : je sent que ma peau est dure, que mes cheveux sont anormalement long. J’ouvre les yeux et regarde ébahi le spectacle qui s'ouvre à moi : tous mes objets personnels, mon bureau et mon sac de collège ont disparus, je vois seulement affichées des photos de Peach et une cible à fléchettes avec un Mario dessiné très grossièrement dessus. Les murs sont en pierre, le sol est couvert d'un tapis rouge sang dévoré par les termites.
Je me lève de mon lit de pierre avec difficulté car je sent quelque chose de lourd sur mon dos, puis regarde mes mains. Je découvre qu'elles sont marron-orange et que mes doigts sont devenus d'énormes griffes tranchantes. Mes pieds sont pareils.
Je regarde la porte de ma chambre et remarque que une tête de Bowser est gravée dessus.
J’ arrive à une conclusion :je ne sais pas pourquoi, ni quand, ni comment, mais je me suis transformé en Bowser !
Je soulève mon lit de pierre avec une facilité déconcertante ! Je le repose puis je me demande si je peut cracher du feu.
J’essaye plusieurs manières : souffler, tousser, crier. Aucune ne marche. Après réflexion, j’essaye de cracher comme on crache ses glaires ; je viens de cracher une petite boule de feu qui s'éteint peu après dans le vide.
Malgré cela, je n'arrive pas à cracher du feu en continu ou à cracher une grosse boule de feu.
Tout à coup, les portes s'ouvrent ; c'est Kammie Koopa qui arrive sur son balai qui crache des fumées violettes :
"Maître Bowser ! Maître Bowser ! Vous êtes enfin réveillé ! C'est enfin le jour J !"
Je ne sais pas ce qu'est ce jour J. Cela devait être noté quelque part dans la chambre mais j’ai été trop impatient de tester mes pouvoirs.
"Vous avez l'air perplexe Maître ... Vous ne vous rappelez pas ?"
"Mais si, bien sûr ! Aujourd'hui on va capturer Peach !" répond-je d'un air triomphant.
Kammie Koopa paraît surprise de ma réponse et me répond :
"Vous changez vos plans ? Nous devions capturer la princesse Zelda au Royaume d'Hyrule aujourd'hui !"
Seconde bourde. Je ne sais pas pour quel motif je veux lancer une guerre contre Hyrule car je sais que Bowser aime la princesse Peach, et en plus Kammie commence à avoir des doutes sur mon identité.
"Notre armée est au point sire, nous avons les moyens de combattre l'armée Hylienne. Que décidez-vous au final ?"
"En route vers Hyrule !"
Kammie me regarde à nouveau étrangement mais se laisse emporter par sa stupidité : "Oui, on va tout casser !"
Je sort enfin de la chambre avec Kammie, descend des escaliers, passe par les cuisines manger le ptit dej, descend encore et encore, ce qui me permet de visiter mon château. Je me retrouve dans la gigantesque salle du trône, beaucoup moins insalubre que ma chambre ; des statues de moi sont placées contre les murs de la pièce, chacune adoptant une pose différente (Bowser qui réfléchit, Bowser en colère, Bowser qui rit...), un long tapis rouge sang orné de fils d'or sur les bords va de mon trône jusqu'à la gigantesque porte d'entrée, et des lustres géants pendent au plafond.
Je vais m’asseoir sur le trône. Il est doux et soyeux mais en même temps très grand, plus grand que moi, et je peut gratter mes bras sur les pierres précieuses scintillantes incrustées dans les accoudoirs. Kammie Koopa se pose juste à côté de moi. Elle sort une clochette de sa poche et se met à la faire sonner.
Alors, les portes gigantesques s'ouvrent et des centaines de Koopa Skelet, de Skelerex, de Kamek, de Koopas Troopas en armure et d'autres encore jaillissent dans la salle.
Kammie déclare : "Chers soldats, l'heure est venue pour nous d'envahir une contrée dont l'armée est titanesque : Hyrule ! Je compte donc sur vous pour ne pas décevoir le maître ! Toutes les opérations se feront sous le commandement de notre maître Bowser qui va déterminer par où nous commencerons l'attaque !" Elle se retourne vers moi et me dit : "Maître Bowser c'est à vous !"
Heureusement j’ai de la culture en ce qui concerne Zelda. "Nous commencerons l'attaque dans la forêt Kokiri, où nous mettrons les Kokiris sous notre emprise puis nous brûlerons l'arbre Mojo !!!" déclare-je d'un air machiavélique.
Toute mon armée pousse alors des cris de joie. Kammie réclame le silence puis je fais dans mon garage la découverte de l'engin dans lequel Bowser se trimballe tout le temps (le gros bol rond qui sourit et qui vole grâce à l'hélice sous lui).
Je démarre l'engin avec une extrême simplicité (une pédale pour s'élever, un joystick pour bouger et un bouton pour accélérer), puis je prend la route au dessus de mon armée. "Nous serons arrivés dans 3 ou 4 heures sur la plaine d'Hyrule" me dit Kammie Koopa après une nuit de chemin
Une fois arrivé, je décide de faire une pause dans un coin de la gigantesque plaine, histoire de se mettre au point avant l'attaque.
J’annonce à mon armée ma stratégie :
"On va rentrer dans le tas ! Les plus costauds devant, on défonce la porte, on tue tous les kokiris pendant que les plus faibles détruisent les maisons en quête de trésors. On détruit la porte de l'arbre et je lui met le feu pendant que vous me couvrez !"
L'armée approuve son contentement par cris et hurlements. Les Koopa Skelet se précipitent à l'avant avec des skélerex sur leur dos. Je me place en deuxième ligne avec les Koopas Troopas armés. Les Kameks se placent en hauteur sous les ordres de Kammie Koopa. Je lance l'ordre de marche. Je me sent de mieux en mieux dans la peau du seigneur Koopa mais je ne sais toujours pas cracher de boules de feu.
J’entre dans le couloir d'entrée étroit où des corbeaux s'envolent en criant, sûrement pour donner l'alerte. Toute l'armée semble le comprendre et se stoppe. Je signal qu'il n'y a plus de temps à perdre et je reprend la marche.
Arrivés au bout du couloir, les Koopa Skelet baissent les cornes et réduisent en poussière la porte. Mais quand je rentre dans le village avec mon armée, il n'y a personne. Une demi-heure après, les skelerex et les koopas troopas me font un rapport de ce qu'ils ont trouvé dans les maisons : strictement rien.
J’arrive à la conclusion que les Kokiris se sont enfuis par le bois perdu. Je décide de ne pas mener mon armée dans cette forêt au risque de perdre les 3/4 de l'effectif.
En revanche, l'arbre Mojo n'a pas pu s'enfuir. J’enfonce la porte de sa prairie, où il m’accueille en ricanant : "Mes kokiris sont partis réunir les peuples Goron et Zora pour rejoindre l'armée Hylienne. Vous ne les rattraperez plus maintenant. Quand à moi, j'ai ici un ami précieux qui me protègera de votre barbarie !"
A ce moment là, je n'en crois pas mes yeux : Link vient d'apparaître sur le nez de l'arbre Mojo. Link, en chair et en os.
Il bande son arc, puis me vise. Je décide de grimper sur le koopa skelet devant moi. Des skelerex passent devant moi pour me couvrir des assaut répétés de Link. Malgré ma carapace qui me pénalise, j’arrive à monter rapidement. Les Kameks forment un bouclier magique autour de moi.
Je rassemble alors toute ma salive-feu dans la bouche et crache aveuglément, le plus loin possible. J’entend le râle de l'arbre Mojo. Il brûle car j’ai touché une partie hautement inflammable chez lui : sa moustache.
Les Skelerex et les Koopas Troopas grimpent aveuglément à l'écorce sans faire attention au feu, en ayant l'intention de tuer Link. Kammie Koopa me crie alors : "Maître Bowser ! Encore une autre ! C'est le moment !" J’ai dépensé toute ma salive pour une boule de feu moyenne. C'est pour cela qu'elle croit que j’en ai encore.
"Maître Bowser ! Vous devez faire quelque chose ! Tous vos soldats vont périr dans ce feu !"
Je remarque à ces mots que le feu grandit et qu'effectivement mon armée est en grand danger. Cependant, mes soldats continuent d'attaquer Link sans relâche, tombant de l'arbre sous les explosions de bombe, les coups d'épées et de flèches. Je décide alors de grimper à l'arbre tout en ordonnant à tous mes serviteurs de fuir. Ensuite tuer Link de mes propres mains.
Je me précipite sur l'arbre enflammé puis enfonce mes griffes dans l'écorce. Je me la joue à la Spiderman, et je ne trouve aucune autre manière pour faire partir mes soldats que de les pousser dans leur montée. Rapidement j’ arrive au niveau du nez de l'arbre Mojo, où Link se bat contre un de mes Koopa Troopa les plus puissants. Malgré sa force, la dernière tortue se trouvant sur l'arbre chute en esquivant un coup d'épée du jeune chevalier. Je saute à mon tour sur le nez.
En bas je vois des skelerex qui ramassent leurs os, des koopas troopas étourdis par leurs multiples chutes. Tous se font soigner par les kameks qui fatiguent car ils commencent a manquer d'énergie. Malgré tout, ils sont tous en sécurité car dans peu de temps, Kammie va les faire fuir.
Je me retrouve seul face à Link, entourés par un cercle de feu. Le feu qui sort de la moustache en contrebas rend le nez brûlant. Alors j’engage un combat sans merci. Link s'élance vers moi. Je décide de l'attaquer également de front, avec un pied en avant. Il préfère esquiver ce coup de pied mais j’enchaîne de suite avec un autre coup de pied, ce qui ne lui laisse pas le temps d'attaquer ; il prend le second coup de pied dans le tibia.
Mais il se relève et enchaîne avec des coups d'épée puissant que je prend sur le torse et qui me font reculer dangereusement vers le bord du nez.
Au moment où il semble charger un coup d'épée par le haut qui m’aurait été fatal, je m’enferme dans ma carapace. Le coup d'épée est très puissant et je ressent de la douleur mais si je n'avais pas eu ce réflexe, je serais mort à l'heure qu'il est.
Alors je ressort de ma carapace, attrape Link par les jambes, puis le plaque sur le sol de plus en plus brûlant. En ressentant la chaleur des flammes, Link commence à paniquer. Je lacer à coups de griffes sa cotte de mailles qui lui permet de résister au feu, puis je me relève avec l'armure dans les mains. Apres l'avoir jetée dans le vide, je retourne Link sur le ventre à coups de pieds.
Il pousse un hurlement de douleur sous le coup de la brûlure. Le héros est en train de griller comme un steak. Quand tout à coup un éclair blanc de lumière m’aveugle.
Je tombe moi aussi à terre. Puis j’entend le jeune garçon remercier une fée nommée Navi. Elle dit qu'elle a utilisé toute sa puissance là-dedans et qu'elle ne peut plus l'aider. Tant mieux pour moi.
Je me relève en colère, j’approche du gamin cette fois debout et de sa fée. Il pointe l'épée vers moi, elle se cache derrière lui. Il recule, elle sonne comme une clochette car elle a également peur. Il donne un coup d'épée que j’esquive. Il donne un second coup d'épée qui se plante dans ma main. L'épée est plantée profondément, il ne peut pas la retirer.
Je lui arrache l'épée des mains.
Il est désarmé.
Il recule.
Je prend un peu d'élan et m’élance droit sur lui.
Il est paralysé par la peur. Il ne bouge pas.
Je le vois s'envoler sous ma puissance.
J’ ai gagné !
J’ai rejoint les autres dans la soirée. Kammie Koopa a fait installer le camp dans le village Kokiri. J’ai bandé ma blessure puis fait la fête avec les autres pour fêter le quasi-succès de l'opération.
Le lendemain, Kammie me dit qu'il faut s'allier absolument avec les gerudos et leur seigneur maléfique : Ganondorf.
J’ai fini au moins un Zelda dans ma vie antérieure et je sais que Ganondorf n'est pas digne de confiance, mais c'est une personne extrêmement érudite et puissante. "Il faut que l'on se fasse connaître et qu'il vienne nous voir de lui-même. De cette façon nous aurons le dessus sur lui. Si c'est un seigneur maléfique dans tous les cas il ne s'alliera pas avec les Hyliens" Ce fut les propos que je tint à Kammie ce matin-là.
Après une matinée de repos puis le repas de midi, je décide de provoquer l'armée Hylienne un peu partout pour la désorienter. J’organise un plan. J’ai décidé d'attaquer le lac Zora, soit la partie la plus risquée car l'eau peut faire dissoudre les os des skelerex et des Koopa Skelet ; je devrai donc faire du chemin sans eux. Cependant, il faut que des soldats restent sur ce camp en cas que les kokiris reviennent ; ce seront les koopa skelet et les skelerex.
Après les séparations et les derniers préparatifs, je décide de me mettre en route. Les Kameks ont créés des clones de Koopas Troopas pour leurrer l'adversaire en cas d'attaque. Je me retrouve alors avec 5 rangées de clones . Je me trouve à la troisième rangée avec les vrais Koopas Troopas. Les clones ne peuvent encaisser qu'un coup, après ils disparaissent dans un nuage de fumée : je trouve cette idée résolument géniale.
En chemin, en plein milieu de la plaine d'Hyrule, je trouve la dépouille de Link se faisant manger par des charognards. Seule sa bourse de rubis est intacte du combat d'hier. Je la récupère et me rend compte que être un héros, ça rapporte énormément.
J’ arrive au départ du petit chemin qui mène à la cascade Zora sans encombre (en gros je ne suis pas encore à la cascade, mais j’entre dans le domaine des Zoras). La rivière Zora est à ma droite.
Je m’arrête de crainte qu'il y ait à nouveau un signal d'alarme. Les Kameks récupèrent leur énergie en absorbant les clones. Kammie vient à moi puis me demande ce que je veux faire. "Continuons notre route sans inquiétude. Maintenant que nous avons tué Link, soit ils ont eu peur de nous et ils sont partis se réfugier dans les montagnes, soit ils sont restés dans leur trou et signal d'alarme ou pas, ils ne peuvent pas s'enfuir."
Kammie Koopa me regarde étrangement : "Sire Bowser, excusez-moi de mon insolence, mais je ne vous aurai jamais cru capable d'une telle réflexion !"
Je ne répond pas et je me met en route. Sur le chemin , je tue quelques octoroks pour le repas du soir. Quand j’ arrive face à la cascade, j’envois les kameks la geler avec leur magie.
Des zoras commencent à sortir de derrière la cascade. Mais à ce moment là, j’entend un sekelerex crier. Je me retourne, et je vois une armée de gorons derrière moi ; c'est une embuscade !

Les Zoras se placent partout, arc à la main. Les gorons commencent à s'organisés, leur chef prêt à sonner la charge.
Nous sommes environ 3 fois moins que les gorons et 2 fois moins que les zoras.
Toute mon armée se retourne vers moi et beaucoup demandent : "Chef, qu'est ce qu'on fait ?!?"
Je décide donc de percer les lignes des Gorons, à l'arrière, afin de m’enfuir et de ne pas y laisser ma peau. Je lance donc mon ordre à la foulée :
- "On se replie! Traversez les lignes arrières en vitesse!", beugle-je à l'assemblée générale.
A ces mots, une nuée de flèches s'abat sur toute mon armée, faisant elle-même face à celle des Gorons, bien plus importante en nombre. Les Kameks, oubliant immédiatement leur activité aquatique, s'activent en sorts de protection autour de moi et de mes Koopas. Dominant le champ de bataille de ma masse écailleuse, j’observe la progression de mes troupes qui, bien qu'assez lente, semble très sûre, protégée par les boucliers des Kameks. A cet instant, Kammie, toujours en suspension à mes côtés, décide de se joindre à la bataille afin d'apporter un peu de vitesse au processus à l'aide de boules de feu ou autres formes de magie destructrice, complémentant ainsi les attaques physiques de mes Koopas. Je choisis donc, après mûre réflexion, de me jeter dans la mêlée, mais du côté des Zoras cette fois-ci, qui commencent à infliger de lourds dégâts aux boucliers de mes Kameks.
Concentrant toute ma force dans mes deux pattes arrières, je réussis sans trop de difficulté à exécuter un saut magistral qui me propulse in-extremis en haut de la cascade des Zoras. Ces derniers, abasourdis par mon arrivée, s'écartent instantanément et cessent leur assaut pour la plupart. Il ne m’en faut pas plus pour me mettre à l'œuvre : me remémorant mon combat passé contre Link, je m’attèle à la destruction des Zoras proches, à coups de griffes et autres bousculades de carapace.
De son côté, Kammie Koopa, remarquant mon assaut en solitaire, quitte son poste temporaire pour venir me rejoindre et me porter assistance en sorts de protection. Heureusement pour moi, car une partie de l'armée Zora encore en vie venait de concentrer ses tirs sur moi. Je m’acharne donc de plus belle en saisissant les Zoras les uns après les autres pour les jeter en bas de la cascade ou, tout simplement, en les balayant d'un puissant coup de mes pattes massives et destructrices.
Profitant d'un cours instant de répit, je jette un coup d'œil à l'avancée de mes Koopas, derrière moi : ceux-ci semblent commencer à montrer quelques signes de faiblesse, mais ne se démoralisent pas. Je peut continuer à me battre encore quelques minutes avant de devoir m’ inquiéter pour leur avancée au sein des lignes des Gorons.
Je reprend donc mon activité de balayage des Zoras quand, soudain, en écartant quatre des hommes-poissons me barrant la route d'une bousculade, j’entend Kammie crier, juste derrière moi.
- "Maître Bowser! Regardez! Vite!", dit-elle en pointant quelque chose du doigt.
Je fait volte-face, sûr de ma résistance aux assauts des Zoras encore debout, et je me retrouve alors nez-à-nez avec...
... la Princesse Ruto, en plein saut, une grande épée dirigée dans ma direction à la main. Kammie Koopa s'active en sorts défensifs, mais trop tard : je doit agir moi-même pour parer cette attaque. Je choisis donc, en écoutant mon instinct, de tenter d'arrêter la Princesse Ruto en vol, me procurant ainsi un otage de choix en cas de succès.
Répétant la manœuvre m’ayant permis de sauter sur la cascade, je concentre une partie de mon immense force dans mes pattes arrières et saute sur mon adversaire. Kammie Koopa, à la vue de ce spectacle, hurle alors :
- "Maître Bowser! NON!!!"
Au moment où mes pattes quittent le sol, un petit sourire se dessine sur le visage de la Princesse : elle m’a eu.
Dépassant largement ma lourdeur et ma grossièreté en vol, elle anticipe mon violent coup de griffe, atterrit sur le sol avec grâce et se prépare à m’asséner un coup d'épée fatal au moment même de mon atterrissage. Moment qui ne tarde d'ailleurs pas à arriver. Je retombe lourdement sur le sol, déstabilisé par mon coup porté dans le vide, et ne peut qu'assister à ma propre fin : Ruto s'élève à nouveau dans les airs, son épée pointée vers le sol, et s'abat sur moi à une vitesse dangereusement élevée. Je ferme les yeux et me protège le visage de mes pattes, pas encore totalement conscient des pouvoirs du corps du seigneur Koopa dans lequel j’ai élu domicile. J’attend l'impact. Puis, soudain, ...
... rien. Etonné, j’ouvre les yeux, et assiste à une autre scène des plus inattendues : Kammie Koopa vient de dresser un bouclier d'énergie autour de moi, ce qui a eu pour effet de me sauver la vie, et d'écarter temporairement Ruto, qui vient de se heurter violemment à la barrière.
- "Maître Bowser... Je n'ai plus beaucoup de forces! Tâchez d'en finir vite, je ne pourrai pas vous protéger ainsi plus d'une fois!"
A ces mots, l'esprit du seigneur Koopa semble m’envahir. Je me sent soudain confiant, et assoiffé d'une terrible cruauté vengeresse. D'un geste théâtral, j’écarte Kammie et les quelques Zoras assez fous pour tenter une attaque frontale à mon attention (le reste des troupes zoras ayant vite compris que la meilleure solution consistait à poursuivre les tirs sur mon armée, étant donné ma fougue au combat), puis jette un regard noir à mon adversaire toujours à terre, sonné par le choc avec le bouclier d'énergie. Prenant à nouveau appui sur mes pattes postérieures, j’exécute un saut très bien dosé, qui me propulse en face de la Princesse Ruto. Voyant que leur maîtresse est en danger, certains Zoras tentent de réagir : trop tard. Je suis à portée de la Princesse, toujours à terre, épée en main. Je décide donc, debout devant la Princesse Ruto (toujours assise sur le sol), de la saisir et de m’en servir comme d'un otage afin de faciliter ma fuite.
Je lève donc mon bras vers le ciel, puis l'abat puissamment sur la Princesse. Après l'avoir saisie au niveau du coup et avoir refermé mon étreinte, je la soulève au niveau de ma tête. Elle semble totalement incapable de bouger, tant ma force est supérieure à la résistance de son petit corps. Les Zoras aux alentours, horrifiés, se figent soudain, une expression de désespoir sur le visage. Je concentre alors toute ma force au niveau de ma gorge, et pousse un hurlement gigantesque, attirant ainsi l'attention de tout le champ de bataille sur moi, sans pour autant qu'il arrête de s'agiter. Puis, à peine quelques secondes plus tard, une voix zora se fait entendre, horrifiée :
- "IL A CAPTURE LA PRINCESSE RUTO!!!"
Toute l'assemblée, tant du côté des Zoras que des Gorons, se fige alors, les yeux rivés sur la Princesse Ruto et mon bras droit. Face à trois armées affaiblies, la Princesse de l'une d'entre elles dans la main droite, je décide d'en finir avec elle sous les yeux et l'attention de tous.
J’élève donc mon bras, le plus haut possible, pour le rabattre dans une violence inouïe sur le sol, maintien la Princesse immobile, concentre toute ma salive dans ma bouche et... crache. Une gerbe de flammes s'abat alors sur la Princesse Ruto, impuissante, et carbonise littéralement son corps sous les yeux horrifiés des Gorons et des Zoras, ébahis par ma cruauté.
A l'instant même où la fumée provoquée par le plaquage de la Princesse s'évapore, mon armée semble gagnée d'une frénésie sanguinaire soudaine. Des cris s'élèvent du côté des Koopas, et ceux-ci redoublent d'efforts pour percer les lignes des Gorons choqués par ce spectacle. C'est sans la moindre difficulté que mes Koopas, Skelerexs et Kameks se frayent un chemin parmi leurs adversaires, déjà nettement moins nombreux que lors de leur arrivée. Les Zoras, quant à eux, semblent également atteints du phénomène poussant mon armée à la destruction des Gorons. La majeure partie d'entre eux, excepté certains blessés - par mes coups de griffes -, se dirigent à présent vers moi à une vitesse très élevée, les yeux injectés de sang. Kammie, toujours à mes côtés, se met au travail en matière de sorts de protection, revigorée par mon meurtre de la Princesse Ruto. Seuls les Gorons semblent avoir été touchés par un effet inverse. Protégé par les boucliers d'énergie de Kammie, je décide donc d'appeler une partie de mon armée à la rescousse, et ce afin d'en finir définitivement avec l'armée Zora, amoindrie et blessée. Je pousse donc un grognement sonore, d'instinct, qui semble faire effet. Les Koopas les plus proches de moi se retournent instantanément et se mettent en route vers la cascade, qu'ils escaladent sans aucune difficulté.
C'est désormais entre une centaine de Zoras, une trentaine de Koopas et leur seigneur légitime que la partie se joue. Kammie, à l'arrivée de mes troupes, abaisse les boucliers de protection afin de se concentrer sur l'attaque. A l'instant même où les boucliers s'abaissent, j’hurle :
- "A L'ATTAQUE!!!"
Il n'en faut pas plus à mes Koopas pour se mettre à l'œuvre et à Kammie pour se mettre à léviter dans les airs et à bombarder les Zoras de sorts incendiaires. La petite bataille, bien que dominée en nombre par les Zoras, semble équilibrée : en effet, Kammie inflige de lourds dégâts à mes ennemis, et mes Koopas semblent motivés par une énergie destructrice plus puissante que celle des Zoras. De mon côté, je fonce dans la mêlée et balaye les Zoras par paquets de trois, quatre, voire cinq hommes-poissons. J’en profite pour m’entraîner à cracher du feu, ce qui donne un effet plutôt satisfaisant : mes flammes deviennent de plus en plus grosses et me demandent de moins en moins d'efforts. Il ne faut que quelques minutes pour en terminer avec le reste des Zoras, et ce sans déplorer la moindre perte dans mes rangs, grâce à l'aide de Kameks apparus en court de route et de leurs sorts défensifs et guérisseurs.
Après en avoir définitivement terminé avec la cascade et ses propriétaires déchus, il reste la bataille contre les Gorons à mener. Ceux-ci, bien que démoralisés par mon crime, sont bien plus nombreux, et commencent à prendre le dessus sur mon armée, très vite rejointe par Kammie et le bataillon venu me prêter main forte. Je me retrouve donc seul, au sommet de la cascade. Je décide donc, sans hésitation, de tenter de repérer un Goron plus fort que les autres, qui pourrait être leur chef de guerre.

J’observe donc la bataille, perché en haut de la cascade. Je ne remarque rien d'anormal jusqu'à ce que, au bout de quelques minutes, je repère enfin le meneur de l'armée ennemie : un Goron de plus grande taille que ses congénères, armé de deux maillets de pierre, décimant mon armée petit à petit et hurlant des ordres à tout bout de champ. Une fois repéré, sans hésiter, je saute en bas de la cascade et rejoins la mêlée, malgré les protestations de Kammy qui doit à nouveau s'atteler à ma protection. Il ne me faut qu'une vingtaine de secondes afin de me retrouver en face du chef adverse, tant son hardeur au combat se remarque parmis la foule de Gorons démoralisés. Après m’être frayé un passage dans la mêlée à coups de griffes et de carapace, je me retrouve nez-à-nez avec mon rival. Avant que ce dernier ait pu terminer le geste qu'il venait de débuter (à savoir achever l'un de mes Koopas à terre à l'aide de son maillet droit), je décide d'agir : habitué à répéter ce geste, je concentre une partie de ma salive explosive et recrache le tout sous forme de petite boule de feu, visant la main droite du Goron. Je fait mouche : ce dernier, surpris, relâche son maillet de pierre avant de se tenir la main (relâchant par la même occasion son deuxième maillet) et de jurer dans son langage natal. Je choisis donc d'en finir au plus vite avec les Gorons et leur chef, étant donné que la nuit commence à tomber sur Hyrule.
Le chef de guerre des Gorons, toujours occupé à tenir sa main brûlée, ne fait pas attention à moi. Je saisis l'occasion : en un éclair, me voilà en face de lui suite à un saut spectaculaire, le dominant de ma grande taille. Celui-ci, apeuré, tente de récupérer l'un de ses deux maillets : en vain. J’écrase sa main de ma patte arrière, l'empêchant ainsi de ramasser l'arme à terre. Le Goron, sans plus attendre, pousse un hurlement : c'est la main brûlée que je suis en train d'écraser. Celui-ci s'agenouille, tentant de libérer son membre blessé de mon étreinte. Je saisis l'opportunité et profite de sa position en écrasant lourdement ma deuxième patte sur sa carapace rocheuse, l'immobilisant ainsi totalement. Puis, avant qu'un autre Goron ne constate la position difficile de son chef, je décide d'en terminer une bonne fois pour toute : j’abat ma griffe avant droite avec toute la force dont je dispose sur la tête du Goron, l'achevant ainsi de façon nette et brutale.
Au moment même où j’achève mon geste, tous les Gorons se figent un instant, semblant comme insensible aux coups, le regard vide, dirigé vers le cadavre de leur précédent chef de guerre. Puis, au bout de quelques secondes passées dans cette sorte de transe, tous, sans exception, deviennent comme enragés. Leurs yeux, à l'instar de ceux des Zoras, s'injectent de sang. Ils redoublent leurs efforts, pris d'une frénésie totalement incontrôlable par mon armée soudainement mise en déroute. Kammy Koopa intervient alors :
- "Maître Bowser! Nous ne pouvons pas gagner! Ils déciment votre armée! La retraite est impossible, leur nombre bouche la sortie vers la plaine d'Hyrule! Que devons-nous faire?"

Sûr de mon choix, j’annonce in-extremis à Kammy Koopa :
- "Repli vers le domaine Zora! Kameks, protégez nos arrières!"
Toute mon armée, à l'écoute de cet ordre, se retourne instantanément vers moi, se met en rang à une vitesse très impressionnante et se dirige rapidement vers la cascade menant au domaine Zora. De leur côté, les Kameks, lévitant dans les airs, s'occupent d'établir une barrière d'énergie entre les Gorons et mes Koopas. Les Gorons, toujours enragés, tapent frénétiquement contre le mur énergétique, mais en vain pour l'instant. Arrivé devant la cascade, Kammy, jusqu'à présent inactive, se concentre quelques instants dans un puissant sort de téléportation collective, épargnant ainsi à mon armée quelques précieuses dizaines de secondes d'escalade. Une fois toute mon armée (qui, malgré son amoindrissement récent, compte toujours une centaine d'unités) téléportée, les Kameks, éprouvées par les efforts nécessaires à la création du bouclier géant, abaissent la protection de mon armée poursuivent donc leur route à l'intérieur du domaine, uniquement habité par quelques civils, marchands et autres.... roi?! En effet, je viens d'apercevoir, occupé à se mettre à l'abri en direction de la salle du trône en longeant un petit chemin bleuté, le roi Zora, accompagné de deux gardes d'élite! En résumé, je me retrouve donc, accompagné d'une centaine de Koopas et de Kammy, dans le domaine Zora, habité par quelques civils, un roi et des gardes d'élite, les Gorons aux trousses, occupé à prendre une décision devant cette scène. Je décide donc, après une courte mais lourde hésitation, de prendre les civils Zoras en otage, et ce en espérant influencer le comportement des Gorons et du roi, faisant ainsi d'une pierre deux coups.
Je fait donc part de mes projets à Kammy Koopa, qui s'empresse d'organiser mes unités restantes. Déjà, au bord de la cascade, les premiers Gorons font leur apparition, habitués qu'ils sont à escalader rochers et autres monticules terreux. Heureusement pour moi, les ordres de Kammy sont respectés à la lettre : en un temps record, mes Koopas s'organisent par petits groupes de 5 membres, et s'occupent de se saisir de tous les Zoras, apeurés et sans défenses, à portée de main. Commençant par atteindre les Zoras les plus proches, le mouvement de mes Koopas s'élargit à tout le domaine : tous les Zoras, excepté le roi et sa garde personnelle, se retrouvent entre les mains de mes soldats en l'espace d'une trentaine de seconde, performance qui parvient à m’étonner, moi-même et Kammy Koopa. Sûrement l'enjeu - un échec entraînant une élimination de l'armée - qui aura joué un rôle essentiel dans la motivation de mes Koopas à l'accomplissement de leur tâche. Ainsi, chaque civil est traîné, de gré ou de force, derrière moi, ce qui forme une sorte d'amas de Koopas parsemé de quelques Zoras par-ci par-là. Devant moi, mes Kameks, aux aguets, attendant une réaction hostile des Gorons (maintenant tous arrivés en haut de la cascade, mais néanmoins immobiles devant mes Kameks, touchés par ma prise d'otage) pour s'activer en sorts défensifs. Derrière moi, l'exécution physique de mon plan. A mes côtés, Kammy, en pleine lévitation, prête à une attaque. Je jette un coup d'œil aux alentours : le domaine Zora semble avoir concentré tous ses occupants autour de moi, et ce sans aucune exception. Aucune... si je fait fi du roi Zora, bien entendu. Je me retourne vers lui et le fixe attentivement, geste qui n'échappe pas à ses deux gardes d'élite, croisant leurs lances devant leur souverain en signe d'avertissement. Pour l'instant, la situation est donc calme et stable, je ne risque donc rien et suis plutôt satisfait de mon coup.

Excusez moi j'avais oublié de mettre le lien pour les commentaires

Comme cadeau de Noël je vous offre une très longue suite:


Je regarde Link du haut de ma taille colossale, directement dans les yeux. En un coup d'œil vif, je remarque que le hylien paraît non égratigné de ma dernière bataille contre lui. Sa tunique est blanche, son pantalon bleu encre, et il n'a étrangement pas de bottes. Il est en posture d'attaque, une jambe en fente avant, l'épée pointée vers moi.
Je me redresse et bombe le torse comme je le peux pour me montrer impressionnant, mais sort au maximum mes griffes en cas d'attaque :
"Alors comme ça, tu n'est pas mort sous ma griffe la dernière fois ?" déclare-je d'un ton dédaigneux
Sur mes mots il se jette sur moi, tête baissée. Je concentre le peu de force qui me reste pour placer ma patte gauche devant moi : il transperce ma peau normalement très solide avec une facilité déconcertante. Je vois à présent la pointe de son épée ressortir par l'arrière de ma patte. Il retire son épée dans une giclée de sang.
Je ne sens plus mon bras. Ma patte flotte dans l'air, sans que je ne puisse plus faire un mouvement avec.
Il se dresse, esquisse un sourire. Je tombe à genoux sous la douleur perçante de ma main, puis je le regarde, droit dans les yeux, et tente une dernière fois de l'embobiner :
"Ou est ton honneur, chevalier ? Tu m'attaques par derrière, tu m'affrontes alors que je suis blessé. Quelle satisfaction auras-tu gagné à me tuer ?"
Il ne répond pas. J’observe pour la première fois ses yeux : ils sont blancs et gonflés sur les côtés par multiples petites veines de sang, fantomatiques. Il se rapproche de moi à petits pas.
"Un combat à la loyale, c'est ce que tu aurais voulu n'est ce pas, la première fois ? Je t'offre l'honneur de m'affronter dans quelques heures, au beau centre de la plaine d'Hyrule..." continu-je fébrilement mais le héros continue de s'avancer vers moi comme un soldat.
Il prend appui, puis effectue un saut gigantesque, jusqu'à au moins le haut de mon torse.
A ce moment la, je pars l’attaque.
Ma main me fait atrocement souffrir...
Tout est si flou...
L'épée est pointée vers moi au sol mais Link est lui aussi au sol et ne bouge plus d’un millimètre cela est sûrement dû à ma parade, j’en conclu que mes pouvoirs sont bien plus élevés que je ne le pensais ...
Du sang , plein de sang autour de lui....
Je ferme les yeux...



J’ouvre les yeux.après je ne sais combien de temps.
Je me sens petit, mais je constate avec bonheur que je possède toujours griffes et canines acérées.
Je me redresse. Je peux voir que je suis entouré par un rai de lumière blanche pâle et je ne vois rien d'autre que du blanc.
Ma patte gauche est intacte, mais également rétrécie. J’arrive à l'aberrante conclusion : je suis redevenu un simple Bowser mais curieusement je sens toujours la gigantesque puissance de Giga Bowser en moi ce qui doit signifier qu’il n’a pas disparu. .
Je ne sais pas ou je suis, cette lumière blafarde m’éblouit, et me chauffe énormément.
Un silence impossible. Aucun son n'est audible.
Un petit courant d'air frais me donne des petits frissons. Je me sens mal à l'aise ici; cet endroit m’étouffe.
En plus, je suis seul. Je prend la route.
Je commence a marcher. De temps en temps, m’arrête pour scruter le blanc éblouissant, puis repart de plus belle, sans avoir vu le moindre petit grain de poussière. Car le sol est lui-aussi blanc neige. J’ai l'impression de marcher dans le vide, et surtout de marcher pour rien.
Mais sans perdre espoir, je m’accroche, et je marche.
Après quelques heures de marche, mes pieds ne sont étrangement pas douloureux et je n'ai aucune envie de manger. Je marche maintenant sans but, comme un fantôme. Ce blanc infini me rend fou petit à petit. Il grignote mon esprit au fur et à mesure que j’avance.
Le soupçon d'intelligence qu'il me reste se rend compte de cela. Je stoppe ma marche, m’assois.
J’essaye de comprendre ce qui m’arrive. Je repense au moment où j’ai vu Link voler sous la force de ma parade; j’ai dû me tuer avec une attaque pareille peut-être est-je utilisé trop de ma force, il faut dire qu’après tous ces combats je ne me sentais pas vraiment en forme, j’étais même vraiment épuisé.
J’arrive à cette terrible conclusion : je suis MORT ……non sinon je serais revenu dans mon véritable corps.
Dans ce cas, que fais-je ici ?
Au moment où mon esprit se pose cette question, une personne me dit dans mon dos :
"Alors, Monsieur l'humain, comment ça fait de vivre dans le corps d'une crapule ?"
Je me retourne brusquement. Derrière moi, personne.
"Ne me cherchez pas, je suis partout, ou plutôt...vous faites partie de moi à présent !"
Je ne comprend rien.
"Ne perdons pas plus de temps, celui-ci est limité pour vous."
Il éclate de rire. Cette personne me fait froid dans le dos. Je décide de poser une question "Mon temps est ... limité ?"


Un bref silence, puis il me répond :
"Vous ne cherchez même pas à savoir qui je suis ? Vous ne voulez même pas savoir si vous êtes mort ou vivant...ou peut être les deux ?"
Il s'esclaffe :
"Eh bien, souriez ! Vous verriez votre tête vous auriez la même réaction que moi !"
Il éclate de rire, mais je cède à l'énervement. Je rugis :
"Je me fiche de qui vous êtes ni de ce que je suis à présent, tout ce que j'ai retenu de vos propos c'est que mon temps était limité ! Alors répondez-moi de suite : pourquoi mon temps est limité ?"
Tout à coup, un énorme silence envahit ce monde blanc, comme quand je suis arrivé. Mes paroles résonnent dans l'air comme si je ne parlai plus que dans le vide.
Pourtant, je sens tout à coup une main se poser sur mon épaule.
Mon sang ne fait qu'un tour. Je me retourne brusquement et vois face à moi un personnage plus que troublant.
C'est un petit vieux en slip, complètement anorexique, avec une tête énorme, des longues moustaches toutes pointues qui me regarde de ses longs yeux bridés, se tordant le bout des moustaches en souriant.
"Surpris ? me demande-t-il en découvrant sa bouche édentée. Vous vous attendiez à quoi ? Un monstre plus moche que vous ?"
Il éclate de rire. Je garde mon calme car je sais rien qu'à son audace que c'est un personnage dangereux. Je me contente d'attendre qu'il se calme.
Il me regarde, me sourit, puis me dit :
"En plus de ne plus être vous-même, vous avez perdu votre sens de l'humour. Ce n'est pas très bon cela..."
"Mon temps est limité ? Expliquez moi pourquoi au lieu de perdre le votre !"
Ses yeux bridés me regardent d'un air perçant ; il n'est pas content que je lui ai coupé la parole.
Mais il devient sérieux et recommence à parler :
"C'est tout simple, voire même débile. Il y aura bientôt une semaine, vous avez rêvé si fort de devenir ce monstre que vous êtes passé d'un monde à l'autre. Je m'explique. Vous venez du monde dit "Réel". Vous êtes passé par ici, le monde des Rêves, et vous êtes arrivé dans le monde Smash."
"Le monde Smash ?"
"C'est le monde des personnages que vous, humains, croyez avoir inventé puis regroupé dans un jeu...je ne sais plus...Super Smash Bros Brawl c'est ça ?"
J’acquiesce.
"Et bien vous étiez dans ce monde. Jusqu'au moment où vous avez bien failli passer dans le monde..."
Il baisse la tête.
Je lui demande de finir sa phrase.
"Vous avez bien failli basculer dans le monde Interdit"
Voyant mon incompréhension, il continue :
"Quand vous basculez dans le monde Interdit, il vous est interdit de voyager à nouveau dans d'autres mondes. Vous y êtes bloqué pour l'éternité et vous y êtes réduit en esclavage pour assouvir les désirs du roi. Vous, humains, vous appelez cela mourir. Vous avez donc failli mourir à cause de votre mauvaise maîtrise de votre pouvoir surpuissant. Mais je vous ai sauvé !"
Je lui demande pourquoi.
"Parce que j'ai appris que le roi du monde Interdit souhaite conquérir les autres mondes pour tous les rallier au sien. Si il parvient à faire cela, nous seront tous a ses pieds ! Mais vous êtes la solution."
Il tend ses bras fébriles vers le haut, faisant découvrir se os de la poitrine. Alors apparaissent trois bulles dans lequel je peux apercevoir trois paysages familiers, déchirant le blanc pâle du monde des rêves.
"Trois sous-fifres du roi du monde interdit se sont infiltrés dans une personnalité de chacun de ces pays du monde Smash, vous devrez éradiquer chacune de ces personnalités pour récupérer le pouvoir des sous-fifres."
Je réalise alors quelque chose. Je lui demande :
"Link était donc possédé ?
"Dans ce cas-la, c'était facilement remarquable, oui. Mais je ne vous conseille pas de retourner de suite à Hyrule le combattre car il est d'une puissance phénoménale et malgré le fait que votre évolution soit beaucoup plus puissante vous ne la maîtrisez pas encore totalement."
Il me montre du doigt les trois bulles :
"Plus de temps a perdre, choisissez un pays et sautez dans la bulle correspondante et encore une chose, lorsque la situation vous paraîtra vraiment critique concentrez votre énergie et vous redeviendrez Giga Bowser !"
J’acquiesce et m’avance.

désolé je manque un peu d'inspiration mais vous en faîts pas^^


Juste le temps d'admirer le bijou de vaisseau et je sens une présence s'approcher de moi par la droite a grande vitesse. En me retournant, je vois en effet une tornade fondre sur moi. Mes bras se croisent devant ma tête. Un choc terrible assaille mes pattes avant et ce malgré ma peau dure comme du roc. Une bourrasque dans l'élan me force a fermer mes yeux, qui en se rouvrant découvrent sur ma peau brune terre du sang rouge cerise. Cela tombe bien, la cerise est un fruit que j’apprécie beaucoup. Mon instinct meurtrier remonte ; il m’est en effet très facile de ressentir cette sensation de plaisir a présent.
La chose qui m’attaque retire son épée de mes avant-bras. Je les retire de ma vue. Je n'ai juste le temps de voir qu'une cape planer. Mon adversaire arrive déjà par la gauche. Je me protège avec mon biceps cette fois. Je comprend alors que mon adversaire a la fâcheuse tendance d'attaquer par les côtés. Je décide alors pour le surprendre de me jeter pointes de carapace en avant dans une de ces deux directions. Oui, mais laquelle ?