le texte est interessant... je regrette juste qu'il soit si court car il me laisse un peu sur ma faim.

petit flash plein d'émotion, arret sur image sur un regard sur sa vie...

merci de cette petite lecture

D'abord les Miséables ensuite l'introspection d'un des sept prisonniers de la Bastille qui par ses pensées nous donne un avant-goût de la fin de celle-ci, de la fin d'un monde; on s'y croirait...
Belle entée en matière Sudena !

j'ai bien aimé le deuxième essai... surtout la phrase de conclusion!

trés bon style

J'ai apprécié le deuxième texte, plus encore que le premier.
Cette liberté de ton convient très bien au divin marquis.

J'aime beaucoup ta vision de la prison. Effectivement, ce ne sont pas seulement les murs du cachot, mais aussi "l'entourage" : le manque de communication, le manque de mouvement, les couloirs interminables avec cette impression de labyrinthe...
J'ajouterai que, pour les hommes "libres", la prison est aussi dans leur tête, dans leur morale érigée par une église omniprésente.
C'est percutant !

Par contre, pour faciliter la lecture, tu devrais aérer ton texte. Et ne mettre en italique que les pensées des personnages.
Ce n'est pas seulement un confort de lecture...

As-tu déjà essayé de faire une petite vignette avec un personnage de La Rose de Versailles, qu'il soit réel ou fictif ?
Mais non ce n'est pas une suggestion !

Percutant le deuxième, je n'ai plus eu envie de le lâcher avant la fin.
Le début de la révolution. Un homme parmi tant d'autres qui depuis quelques temps ressentait ce nouveau souffle : La liberté est en marche.

je n'ai pas reconnu Fantine avant que tu ne lâches le nom dans ton premier texte...

j'ai beaucoup aimé le deuxième texte, moi aussi :ytvbcx: ! je l'ai dévoré aussi :lkioujy: !!

ne t'excuse pas d'avoir envie d'écrire... nous on a toujours envie de lire!!!
merci pour ce petit texte qui me donne un autre apercut de ce personnage historique et rempli de ces quelques lignes mon inculturation!

je t'encourage vivement à continuer... ton public n'est jamais trés loin ici!

J'ai beaucoup aimé cette réplique de Saint-Just l'ultime matin. Tu as parfaitement réussi à retrouver le style un peu emphatique de l'époque, cette passion pour la Révolution, cet engagement en politique qui nous manque tant aujourd'hui.
Juste une question : qui est le Philippe dont parle Saint-Just, s'il te plaît ?

Je suis moi aussi une fan de théâtre (côté amateur). Ta pièce sera jouée où et quand, si ce n'est pas indiscret ? Ce petit aperçu me donne envie de la voir.

j'aime beaucoup tes petits textes et je les trouve trop court j'espère que tu me laisseras l'occasion d'en lire d'autres un peu plus long

Encore un petit texte ( ou plutôt un très court extrait ) percutant !
Dont Saint-Just est le héros... Ce qui nous rapproche de L.O. !

C'est un personnage que je ne connais pas en détail je l'avoue. Je connais les "grandes lignes"...
Etait-il réellement si large d'esprit envers les femmes ? Je crois que les révolutionnaires défendaient l'égalité des classes plutôt que celle des sexes...

St Just qui se sent trahi et à juste titre car les amis d'aujourd'hui étaient les traitres de demain; tous ceux qui ont occupé une place importante , à un moment donné, dans cette révolution ont tous cru ,tour à tour , que leurs dires étaient paroles d'évangile et que les autres étaient des anarchistes sans foi ni loi. Ils sont tous passés par la guillotine , les modérés, les extrémistes, les héros ...sans différence, adulés , craints un temps et hués à leur exécution ; pour parfois être réhabilités qq semaines plus tard...

Je réponds aux petites questions que vous vous posez:
Je ne sais pas si cette pièce sera jouée: il faut encore que je la fasse passer à la SACD et que je réussisse à la publier, mais je l'espère vivement quoique ce soit difficile (il a cinq actes et une bonne vingtaine de personnages)
Saint-Just avait écrit presque mot pour mot la phrase que j'ai citée: il était peut-être le seul mais il s'est battu pour l'égalité des sexes (d'ailleurs son apparence presque androgyne m'intéresse beaucoup dans ce sens: étant donné qu'on ne connait que très peu de choses sur sa vie intime)
Philippe, c'est Philippe Le Bas. Député de la Convention, membre du Comité de Salut Public, il était, comme Saint-Just, envoyé dans les armées par la Convention où les deux savaient se montrer justes, impitoyables, et courageux (ils se sont battus comme des soldats à Fleurus). Il avait un an de plus que Saint-Just et ils étaient amis à la vie à la mort. La nuit du 9 thermidor, après que Robespierre se soit fait tirer dessus et que son frère Augustin se soit défenestré, il s'est suicidé d'une balle dans la tête; Saint-Just, lui, s'est laissé arrêter ce qui équivalait peut-être à un suicide: quelques jours avant Saint-Just avait écrit: "Il vaut mieux préférer le statut de héros mort à celui de lâche vivant." Les deux l'ont respecté à la lettre. Par-rapport à ma pièce, leur amitié tragique fait partie des fils conducteurs (il fallait bien prendre un parti de récit étant donné que je tente de respecter scrupuleusement les faits)...

Avec la frilosité des directeurs de théâtre actuels, parvenir à monter une pièce historique (un genre plus vraiment à la mode) avec autant de personnages : je comprends que ce soit une gageure. Mais c'est un superbe défi à relever. Mes voeux t'accompagnent.

Merci pour tes explications sur Philippe Le Bas. Son nom m'est familier mais pas vraiment son rôle dans la Révolution. J'ignorais en outre qu'il avait été aussi intime avec Saint-Just.
Il est vrai que l'on connaît fort peu de chose sur la vie privée de Saint-Just. Autant, il n'a jamais cessé de proclamer ses idées et ses convictions, autant il ne parlait jamais de lui. Ce flou me paraît particulièrement intéressant pour un auteur passionné par lui.

J'avais remarqué ton avatar mais pas la citation que tu as choisie en signature. Je ne savais pas que Saint-Just était aussi ouvert à propos de la condition féminine. Il me paraît se démarquer sérieusement en cela de Robespierre et Bonaparte. As-tu une idée de son opinion sur Olympe de Gouges et ses déclarations ?

Il n'est pas vraiment contemporain d'Olympe de Gouges... Probablement ne l'aimait-il pas étant donné qu'elle était une Girondine hostile à la mort de Capet, et encore... Dans son discours sur les Girondins il mettait en garde de ne pas confondre "opinions différentes" et "trahison" (référence à la trahison de Dumouriez) ce qui a sans-doute indirectement conduit à des acquittements par le Tribunal Réolutionnaire.

Robespierre ne s'intéressait pas à l'égalité des sexes mais il n'était pas hostile aux femmes (les filles Duplay n'ont eu de cesse de louer sa gentillesse, son attention et sa prévenance: il a grandement favorisé le mariage d'Elisabeth avec Philippe Le Bas et il était très lié [probablement amant] à Eléonore [dont la très jolie tombe au père Lachaise est entretenue par une association robespierriste]).
Bonaparte... Il faut le comprendre: après thermidor il n'était plus rien et le pouvoir réel était aux mains des femmes amantes des membres du Directoire (mme Tallien en particulier) qu'il a dû séduire, lui qui était écouté par Augustin Robespierre, lui qui avait vaincu Toulon, lui qui avait prévu un plan génial pour l'armée d'Italie, en être réduit à jouer un rôle de courtisan afin de devenir simplement le "général vendémiaire"!.. Les multiples trahisons de Joséphine (qu'il aimait beaucoup plus que de raison) a achevé de le dégoûter des femmes, avec aussi son acariâtre de mère... Ca n'excuse pas à mes yeux ses lois anti-femmes, mais ça permet je pense de comprendre ce qu'il a ressenti vis à vis de cette catégorie sociale (il avait d'ailleurs sur les hommes en général un jugement perçant et dévalorisant)...

Il faudrait que je relise quelques biographies de Robespierre. A part sa romance avec Eléonore Duplay que je connaissais, je n'ai pas trop d'idées de son opinion et de son attitude envers les femmes.

Quant à Bonaparte, je comprends ton point de vue mais j'ai du mal à lui pardonner le code Napoléon.

A propos de ton nouveau texte, sur Napoléon justement :
« Il avait toujours pu compter sur Bertrand: il n'avait jamais été grisé par la victoire; et il n'avait jamais trahi dans la défaite. »
C’est un bel hommage que tu rends par ces mots au maréchal Bertrand, que l’Histoire a eu, je trouve, un peu trop tendance à effacer.

Quelle connaissance des campagnes de Bonaparte et de celles de Napoléon, ainsi que des rôles qu’y ont joué s les différents maréchaux ! Je suis admirative.

L’envol de l’Aigle, la chute et l’exil, la tristesse de Sainte-Hélène. Si je comprends bien, tu nous retraces les derniers jours de l’empereur.

Si je peux me permettre, je te donnerais le même conseil que La Lionne, celui d’aérer un peu ton texte. Cela en permettrait une lecture plus facile à l’écran.
De toute façon, j’attends la suite.

Ainsi Napoléon continue à faire la guerre aux Anglais jusqu’au bout. Cela fait plaisir de voir le grand homme prendre sa revanche. J’avoue que j’ai hâte de connaître le fin mot de l’histoire et de savoir qui est la "silhouette noire" qui se tient dans la pièce.

Comment Bonaparte,souffre des infidélités de Joséphine,il est gonflé " le petit Caporal",car il ne s'est pas gêné,pour tromper sa femme ,et le fils qu'il a eu avec Marie Walewska,(Marie la Polonaise);c'était une erreur de journaliste où un mensonge de ses ennemis peut être.Sinon bravo pour tes textes.

Ne mélangeons pas les époques: Napoléon n'a connu Marie qu'en 1806, les trahisons de Joséphine dataient de 1796-1799: on peut penser qu'il s'agit d'une revanche.
Que ce soit clair: je ne cherche pas d'excuse aux lois anti-femmes de Napoléon (même si le Code Civil est plus l'oeuvre de Cambacérès): j'essaie simplement de le comprendre.

Il y a néanmoins un autre facteur à prendre en compte sur la remarquable Marie Walewska: le côté politique. Napoléon, en l'ayant pour maîtresse a pu ainsi mieux connaître la Pologne. Ah! que n'a-t-il réussi à vaincre le froid en Russie! La Pologne aurait regagné son indépendance et aurait été une fidèle alliée de la France (Poniatowski était plus fidèle que Bernadotte)!..

« L'Histoire est un mensonge que personne ne conteste. »
Jolie formule ! Heureusement que le temps ouvre tout de même un peu la porte aux contestations et nuance les images d’Epinal.

Je vois que pour toi, il ne fait guère de doutes que l’empereur a été empoisonné. J’avoue que sa mort (comme celle de l’Aiglon) a soulagé tant de monde que la thèse est tentante.

« La mort lui avait simplement rendu les traits d'Austerlitz. »
On ne peut plus vrai. J’ai eu l’occasion de voir le masque mortuaire de Napoléon lors d’une exposition. Sa ressemblance avec le Bonaparte du temps d’Arcole est impressionnante.

Ainsi Cipriani n’était pas mort mais s’est substitué à Napoléon pour mourir à sa place. J’aime cette fin ouverte. Napoléon, rendu à la vie de simple citoyen, se perd dans la brume.
C’est une hypothèse séduisante et très satisfaisante pour l’amour-propre français, mais il est un peu difficile d’imaginer que Napoléon aurait pu ne jamais être reconnu. Je sais bien que les moyens de diffusion de l’information n’étaient pas les mêmes à cette époque mais, tout de même, son portrait avait largement été répandu.

J’ai aimé cette fiction historique. On sent que tu connais parfaitement ton sujet. Tu écris avec aisance et tu manies fort bien l’art du suspense. J'espère avoir le plaisir de te lire à nouveau.

Il existerait un moyen d'avoir le fin mot sur cette histoire (car cette hypothèse est plus répandue que tu ne le pense: cf le merveilleux film d'Antoine de Caunes "Monsieur N"): ce serait de procéder à des tests ADN sur le corps enterré aux Invalides. Mais si la demande a été faite officiellement deux fois, elle n'a jamais été acceptée (sous la pression d'historiens "modernes" qui veulent exclure toute possibilité que le passé puisse être merveilleux).

"L'Histoire est un mensonge que personne ne conteste" est une formule de Napoléon lui-même. Perso j'aurais plutôt tendance à dire que l'Histoire est une transgression de la philosophie...

Merci en tout cas et ne t'inquiète pas: j'écrirai encore (pourquoi pas une fic sur Oscar et André?)!

trés sympa cette petite fic... j'aime bien apprendre un peu distoire entre quelques ligne d'un roman...

Sudena a écrit:

"L'Histoire est un mensonge que personne ne conteste" est une formule de Napoléon lui-même. Perso j'aurais plutôt tendance à dire que l'Histoire est une transgression de la philosophie...

Euh... Là, je ne te suis pas bien.

"l'histoire est un mensonge que personne ne conteste" est une citation de napoléon (pour de vrai!)

Ce que je veux dire c'est que ceux qui écrivent l'Histoire ont souvent _sinon toujours_ des idées desquelles l'Histoire donne matière à discuter. Il y a souvent, sinon toujours, un but à écrire l'histoire en choisissant les faits: rien n'est totalement honnête mais les faits cités sont réels. Au lieu de prendre le temps de réfléchir sur une théorie abstraite, les historiens ou ceux qui écrivent l'Histoire prennent des faits choisis pour défendre _plus ou moins consciemment_ une philosophie: c'est certainement plus beau mais c'est souvent lâche et mensonger (tout du moins pour ceux qui se disent historiens [en particulier François Furet: historien malhonnête par excellence])...

D'où une phrase que j'adore de mon prof de physique (comme quoi parfois j'écoutais en cours)

"Rien à de valeur si on change de repère..."

Oui, ça c'est un classique des profs de physique, notamment quand on étudie la mécanique.... Y a la même variante avec les référentiels

Sudena a écrit:

Ce que je veux dire c'est que ceux qui écrivent l'Histoire ont souvent _sinon toujours_ des idées desquelles l'Histoire donne matière à discuter. Il y a souvent, sinon toujours, un but à écrire l'histoire en choisissant les faits: rien n'est totalement honnête mais les faits cités sont réels. Au lieu de prendre le temps de réfléchir sur une théorie abstraite, les historiens ou ceux qui écrivent l'Histoire prennent des faits choisis pour défendre _plus ou moins consciemment_ une philosophie: c'est certainement plus beau mais c'est souvent lâche et mensonger (tout du moins pour ceux qui se disent historiens [en particulier François Furet: historien malhonnête par excellence])...

Merci pour tes explications, Sudena.
En bref, si je te comprends bien, les historiens ont déjà dans la tête l'image du puzzle qu'ils veulent construire et ne prennent dans l'Histoire que les morceaux qui s'y adaptent. Plus ou moins consciemment, ce qui fait leur degré d'honnêteté. Je suis plutôt d'accord avec toi.

Quant à François Furet, je connais de nom mais je crois n'avoir jamais lu aucun de ses livres... ou alors j'ai oublié.

Pour info: François Furet est un historien reconnu et très écouté; sauf qu'il a avoué être payé par les grandes universités étasuniennes pour écrire une Histoire anti-communiste (à l'inverse par exemple d'un Dominique de Villepin: de droite [je ne vous l'apprend pas] mais qui ne sombre jamais dans le racourci facile et l'amalgame mensonger [sa trilogie sur Napoléon est un modèle du genre, qui plus est remarquabelement écrite]).

J'ai pourtant vaguement dans la tête que François Furet a été communiste lorsqu'il était jeune. Je me trompe ? Donc il a accepté de l'argent pour brûler ce en quoi il avait cru : joli monsieur !

Merci pour les précisions sur la trilogie de Dominique de Villepin. Elle est à la bibliothèque mais je ne l'ai pas lue car je me méfiais du regard de l'auteur. Je vais m'y plonger à la première occasion.

Tout écrivain écrit de manière subjective, et tout lecteur lit de manière tout aussi subjective.
Que l'Histoire puisse paraître "déformée" est normal puisqu'elle est écrite par des hommes, concernant des hommes.

Mais un historien ne doit pas "déformer" l'Histoire de manière délibérée.
Ceci est contraire à l'éthique.

Certes contraire à l'éthique...

Malheureusement, je doute que l'éthique soit une priorité quand il s'agit d'Histoire..

Je suis tout à fait d'accord avec toi Petrina: l'Histoire est toujours écrite pas les vainqueurs et n'a pour but que de les valoriser et de donner une image hideuse du vaincu (d'où le traitement réservé aujourd'hui à Robespierre, à Saint-Just, et à leurs amis et partisans)...

L'Histoire est trop déterminante pour tomber entre de bonnes mains. C'est un instrument de pouvoir non négligeable.

bah, c'est vrai quand on écrit sur des événements tout frais dont on est témoin ou encore contemporain.

Mais un historien qui écrirait aujourd'hui sur, j'en sais rien, La Vénus de Milo, par exemple:
ne chercherait-il pas objectivement pourquoi elle n'a pas de bras ? ou bien serait-il obligé de prouver par A+B que, étant convaincu que l'empereur Néron était fou, c'est lui qui l'aura nécessairement fait découper en morceaux parce qu'elle faisait de l'ombre aux jolies statues du capitole ?

De toute façon, l'Histoire, elle-même, ne nous oblige-t-elle pas à avoir une démarche inductive plutôt que déductive ? Qui peut dire objectivement à quoi servaient les statues de l'île de Pâques quand on a aucun autre moyen de le savoir que de tatonner et de combler les brèches avec nos méninges selon ce qu'on trouve comme fragment de document, de poteries, etc. ?


mais, j'étais venue pour parler de la fic, au fait !!

Je ne m'intéresse pas au personnage de Napoléon mais j'ai suivi ta fic avec un bon intérêt, parce que tu l'as très bien écrite !! C'était très sympa à lire, bravo Sudena !!

Sur l'empoisonnement de Napoléon, j'avais vu un documentaire " les détectives de l'histoire" (il y a 2 ans, maintenant, je pense) dans laquelle la théorie de l'empoisonnement ( sans être niée parce qu'on ne peut réfuter la superbe thèse du FBI, si minutieusement menée) était remise en cause, tout simplement parce que Napoléon ( comme sa famille) aurait été " vacciné" contre l'arsenic : il y aurait toujours eu dans l' organisme des Bonapartes plus d'arsenic que dans celui des gens normaux ( des tests avec des cheveux de la famille et de Napoléon avant Ste Hélène)
C'était très intéressant ! Ils concluaient en disant que l'empoisonnement chronique dont il a été victime en prison l'a sans doute affaibli mais pas nécessairement tué...
le mystère de sa mort est donc encore entier selon cette émission !

J'ai l'impression que tu écris des poèmes à résonances très personnelle. J'aime les mots que tu emploies, les images, les sons (pour moi, un poème se lit à haute voix et doit posséder une musicalité).
J'ai un petit coup de coeur, que j'aurais d'ailleurs du mal à expliquer de façon rationnelle, pour le deuxième.