vivi jen ai gobé tout pleins de ^_^
Le chapitre 7 de ma fic avance bien là jen suis à la moitié c'est mieux que rien

Pour le reste merci beaucoup Je ne sais pas si c,est de la '''maturité d'écriture''' mais j'Admet que cela fait plusieurs années que je transpose mes propres ressentis par écrit, et c'est peut-être le fait que justement je m'en suis sortie qui fait que j'arrive mieux à l'écrire de façon ''détaché'' ou alors le fait de faire de l'empathie et non de la sympathie... En effet, je crois qu'on peut se sortir de tous dans la vie avec du temps, de l'aide, mais aussi de l'Espoir... Il faut se battre pour avancer et c'est ce que j'ai toujours fait... La seule chose que je peux rajouter c'est peut-être que malgré toute l'Acceptation, je crois qu'on ne parviens jamais totalement à pardonner et c'est ce qui reste toujours... Au sens où j'arrive à regarder mon agresseur dans les yeux si je dois le croiser (C'est un membre de ma famille), mais même si on accepte, une partie de nous n'Arrive pas à pardonner entièrement.... Par contre je pense qu'il faut vivre dans l'acceptation de cette incapacité de pardon... (dure à expliquer par écrit lollll)

Mais tu as raison, cette tendance de faire de la victime quelqu'un qui ne pourra jamais s'en sortir, je ne suis pas d'accord (sans quoi je ne serais pas là à blablater lollllll ) Alors heureuse de ne pas être tombéd ans ce piège (même si je l'Avoue c'est ce que j'ai fait dans la fic ) Vous me pardonnez ma méchanceté avec Oscar dites

Aller je lache les noir et je prends une couples de bleus

Je te réponds sur le pardon. Je ne pense pas qu'il faille tout pardonner, parce que pour moi il y a des choses qui sont impardonnables. Je ne vois pas pourquoi il faudrait tout pardonner. Non, je ne pense pas que pardonner la violence aide à mieux gérer ce qu'on a vécu. Personnellement, il y a des choses que je n'ai pas pardonnées et que je ne pardonnerai jamais, parce que pour moi elles sont de l'ordre de l'inadmissible et quelque part pour moi les pardonner c'est admettre que de telles choses puissent avoir lieu, alors qu'elles ne devraient pas.
En revanche, je suis d'accord avec toi sur le fait d'arriver à accepter de ne pas pardonner. Le fait de dire ''voilà, à ce stade-là, j'arrête, je ne pardonne pas, parce que je réprouve l'acte et le réprouverai toujours'' permet d'avancer.

Sinon, pour ta fic, disons que le cas d'Oscar est très délicat à traiter. Et tu t'en sors bien. Bien plus important que le contenu même de ta fic, c'est le fait d'être parvenu à l'écrire et à parler de ce que tu avais vécu, en gros à montrer que tu en étais libérée et que tu savais avancer avec le viol que tu as subi. Mine de rien, c'est un véritable acte militant que tu nous as fait

Pour ma part, je suis contente que ce soit André qui ait délivré Oscar de cette vie qui était devenue pire qu'un fardeau. Quelle plus belle preuve d'amour pouvait-il lui donner ?
Même si c'est triste...

C'est une fic qu'il faut "digérer", avec des émotions à fleur de plume.

Bravo pour cette fic !

"des émotions à fleur de plume'' ... quelle belle expression !

Vraiment une belle expression la lionne wha jsuis en admiration là
Merci pour ton commentaire ^^

En effet Arlène je suis d'accord avec toi sur le pardon
et je te remercie encore pour ton commentaire ^^
Mais un acte militant je sais pas lollllll je vais recevoir le pot bientôt à force de me faire envoyer de si belle chose ^^

Merci à toutes de m,avoir suivis dans cette fic ^^

Normal, tes fics sont super

Ah le pardon est une chose difficile. Je suis également d'accord avec Arlène sur cette question. Certains pensent que le pardon est une qualité qui nous permet d'atteindre la Sagesse mais comme Arlène, je pense que certains crimes ne peuvent être pardonnés.
C'est sans doute pour cette raison que j'ai apprécié ta fic, même si je suis une fan d'André, son geste ne pardonne pas et la fin que tu as écrite est nécessaire même si je n'y aurais pas pensé .

Tu parlais de regarder ton "bourreau" dans les yeux, et tu as raison, c'est une revanche à laquelle il ne s'attend sans doute pas. Je n'approuve pas la domination d'un être sur un autre surtoutpar la force. Et tu montres que la femme, dite "sexe faible" est bien plus forte que les hommes, qui s'abaissent à dominer d'une manière "faible".

Maintenant, j'attends la fin des autres fics... ben oui, on reste sur sa faim quand c'est bon, non ?

Merci triste fée ^^

en effet ici la finale me paraissait venir d'elle-même en un sens... En vérité au départ ce n'était totalement ça, mais à force d'écrire c'est ce qui mest venu et ma sembler le plus logique ^^

Et pour les autres fics, tu peux toujours aller voir du côtés de Victoria, je poste la suite là lolllll

et ton courage,tu as bien exprimé ce qu'on peut ressentir,quand on a été victime de violences,je suis aussi contente de savoir que d'autres que moi sont incapables de pardon,je craignais d'être une mauvaise personne puisque je n'arrive pas à pardonner ,m^me si ce ne sont pas des violences physiques,mais des paroles très blessantes.

Merci agnes ^^

et nonc omme tu le vois, nous sommes tous des humains, et comme le dit Arlène, le fait de pardonner signifie que l'on tolère ce genre de comprotement donc le non-pardon existe aussi

Une fin très noire et très forte pour une fiction forte.
Tu as réussi, jusqu’au bout, à maintenir la tragédie, la double tragédie puisque, même si, cette nuit-là, André a été l’agresseur, il est en fin de compte aussi victime de son propre déchaînement de violence qu’Oscar.

« Masque de force, masque de guerre, masque de froid, masque de glace… » (…)
« Masque de chair, masque de sang? Masque de peur, masque de haine?… »
J’ai beaucoup apprécié cette litanie qui montre tous les faux-semblants derrière lesquels s’est cachée Oscar, tout ce qui finalement, à l’occasion de cette rencontre brutale avec la réalité de sa féminité, lui a explosé entre les mains. Elle ne peut plus se cacher nulle part, trop consciente désormais de la vérité. Mais ne l’acceptant pas, ne pouvant pas l’accepter car à mille lieues de ce qu’on lui a enseigné depuis sa naissante

La manière dont tu décris sa peur quand Oscar pénètre dans sa chambre est poignante. Elle qu’on n’a jamais laissé être enfant, elle rejoint dans ses gestes l’enfant qui a peur d’une bête sous son lit dans le noir.

« La marier et la renvoyer une fois de plus à cette femme qu’elle tentait par tous les moyens d’oublier… »
Evidemment, dans ce contexte, le mariage avec Girodelle est encore plus inenvisageable et ne la fait pas rire du tout. Elle se méprise tant, comment pourrait-elle comprendre et admettre qu’un autre puisse l’aimer ? A ses yeux, elle n’est désormais plus « aimable ».
Couper ses cheveux revient à couper le symbole de sa féminité. Un symbole peut-être un peu moderne d’ailleurs (et encore !) car, historiquement, les hommes portaient les cheveux longs autant que les femmes. De toute façon, et là nous sommes en plein dans les erreurs historiques véhiculées par Riyoko Ikeda, à la Cour des Rois de France, il était impensable qu’homme ou femme se présentent autrement qu’en perruque. Mais bon, ce sont des détails. Le symbole évoqué n’en reste pas moins fort.

« - Je ne suis pas une femme… Je suis un homme… Je ne suis pas belle… Je ne suis rien… Rien de rien… »
Ah, là, la féministe en moi va hurler ! Je me bas depuis toujours pour bousculer ce genre d’idée, que, hors la beauté, il n’est point se salut pour les femmes. Or, sous l’influence des médias, cette idée est de plus en plus prégnante. Je dirais même qu’elle gagne la gent masculine. Il devient de plus en plus impératif pour ces messieurs aussi d’être beaux (suivant les canons de la mode du jour, bien sûr !). Je leur en souhaite bien du plaisir ! Comme si la valeur d’un être se mesurait à l’aune de son enveloppe extérieure.
Mais je suis à contretemps ici ! Si Oscar se veut moins belle, c’est plutôt pour se protéger du regard et des convoitises des hommes. C’est aussi, je pense, car elle se sent réellement moins belle à l’intérieur d’elle-même.

« Les hommes ne sont pas faibles comme toi. »
C’est à des petites phrases comme celles-ci que l’on mesure combien Oscar, si elle connaît peu les femmes, connaît aussi mal les hommes. Finalement, elle se connaît, elle connaît son propre cas, mais il est si différent qu’elle ne peut guère en tirer des extrapolations sur l’un ou l’autre des genres. Faiblesse et force sont inhérentes à l’être humain. Ce qu’on en laisse paraître à l’extérieur est souvent affaire d’éducation, de mœurs du temps, de normes sociales…

« Ce matin là son monde avait totalement cessé de bouger… »
« La vie semblait la fuir, son cœur semblait faiblir… »
La dépression d’Oscar est d’autant plus marquante qu’elle va à l’encontre de tout ce que nous connaissons de celle-ci, la battante, qui encaisse et se relève après chaque coup dur. Mais, là, elle a été touchée au cœur, touchée dans sa force de vie. Dans cette féminité, peut-être d’autant plus précieuse qu’elle était secrète et cachée. Et par l’homme qui lui était le plus proche et le plus cher.
Pouvait-elle se remettre de cette épreuve ? Surtout en y faisant face seule, dans le silence et le repliement sur soi. L’issue ne pouvait guère faire de doute.
Et André comprend si bien cette descente aux enfers qu’il a la force de l’abréger. Comme le lui dit si bien Oscar, quelque part, il l’a déjà tuée. Il ne fait qu’achever ce qu’il a commencé cette nuit-là. Son suicide était alors inéluctable.

Au total, je le redis, une fiction très forte, qui sort du lot. J’ai l’impression que tu l’as beaucoup plus travaillée que d’autres : un beau style, des images puissantes et parlantes, une profondeur psychologique indéniable. C’est un texte difficile à lire (pour être franche, je ne sais pas si je le relirai jamais) mais très beau qui laisse une impression d’accompli. Il me rappelle la fatalité des grandes tragédies grecques.
Toutes mes félicitations, Marina.

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Que j’explique la ligne d’astérisques au-dessus.
Je lis une première fois le texte, en surlignant certaines phrases ou certains passages et en commençant à jeter quelques notes pour le commentaire. Puis je le relis en rédigeant réellement le commentaire, histoire d’avoir à la fois une impression au fur et à mesure et une vue d’ensemble.
Après, je vais le plus souvent lire les commentaires déjà écrits. Je renchéris éventuellement sur l’un d’eux ou je supprime un morceau du mien, histoire de ne pas encombrer avec des redites.

J’ai donc écrit le commentaire ci-dessus (et je n’en change pas une ligne) et j’ai ensuite découvert tout ce qui s’était dit dans les commentaires de la fic et, surtout, tes aveux si douloureux, Marina.
J’en ai été à la fois bouleversée et pas vraiment étonnée. Bouleversée, en pensant à ce que tu as pu vivre de souffrances. Pas étonnée car les mots et les idées sonnaient si justes et si vrais dans ton texte que j’avais déjà imaginé que ce type d’agression te touchait de près. J’espérais, pas de si près…

Il n’y a pas grand-chose à dire, à ajouter à ce qui a déjà été dit, sinon que j’admire ton courage. Ton courage pour parler, pour vivre à nouveau « malgré », pour témoigner et permettre, comme tu le racontes, à d’autres de parler à leur tour et de commencer leur cheminement vers une renaissance, qui n’est pas oubli mais dépassement.
Cette puissance de vie en toi est une qualité que j’admire beaucoup et que l’ère moderne a doté du joli nom de résilience. Je suis persuadée que tu es une excellente infirmière, Marina, car, au-delà des soins, tu apportes à tes patients ce dynamisme, cette force qu’ils doivent sentir confusément et qui leur, communique, j’en suis sûre, l’indispensable volonté de guérir.

Merci mailys ^^

Je suis contente que ce texte t'ai plus malgré tout
J'ai en effet beaucoup travaillé sur cette litanie de masque, cherchant les mots justes pour décrire, comme tu le dis si bien, ce qui a été détruit en Oscar, en fait, ce qu'elle était aux yeux du monde auparavant.

Pour la peur, je n'avais pas pensé à l'Exemple d'un enfant qui a peur, mais c'est très juste ^^ (Il m'arrive de faire des choses sans réfléchir lolll)

Pour le passage des cheveux, je sais qu'à l'époque les hommes aussi portaient les cheveux long (Prenons simplement Girodelle...) Mais ce passage était plus pour signifier qu'Oscar tendait tout de même de détruire sa beauté... Par un moyen rapide.

POur la faiblesse qu'elle attribue aux femmes et la force qu'elle attribue aux hommes, je me suis juste remis en contexte qu'à cette époque, les hommes étient vu ainsi, les hommes n'éprouvaient pas ces sentiments qui les rendait faible, c'est cette image que j'ai recherché

En effet, la fin change de l'Oscar que nous connaissons, mais j'ai tenter d'analyser les réactions humaines tout en jouant sur sa propre vie à elle... JE crois q'en fait dans cette fic, c'est plus le fait d'avoir perdu une grande partie de son identité qui l'a troublé... Et c'est la seule finale que j'imaginais.

En effet, même si cette fic est beaucoup plus courte que mes autres, je l'ai travaillé beaucoup plus afin de la rendre plus réelle, et de bien exprimé les choses... Et elle m'A demandé beaucoup de relecture et de réfléction... Mais j'ai beaucoup aimé travailler un sujet qui me touche beaucoup dans le contexte Lady Oscar

Pour le reste comme je le disais, avec le temps et l'acceptation on arrive à utiliser ce qu'on a vécu pour transmettre des messages parfois... Et de mon côté cela a toujours passé par l'écriture Si je suis une bonne infirmière? Je ne sais pas si sa joue, mais j,essais d'apporter un peu de soleil dans la journée de mes patients. Surtout en ce moment, je suis en soins de longue durée, donc mes patients ne vont pas vers la guérisons; ils sont là pour y rester jusqu'à ce que le chemin ne s'arrête, mais j'essais tout de même de les aider à avancer sur ce chemin dans la dignité, le calme, le bien-être... Et ce sont les familles qui ont plutôt besoin d'avoir la volonté de continuer d'avancer suite à un décès... C'est avec eux que je tente de ramener la lumière en fait (C'est tout un monde la longue durée ) Mais merci sa me touche ton commentaire ^^

Ce que tu appelles "soins de longue durée" correspond-il aux "soins palliatifs" français ? Si oui, chapeau ! J'ai un ami médecin dans un service de soins palliatifs et je sais que c'est le genre de travail que je n'aurais jamais pu accomplir. Il y faut une force de tous les instants, une sérénité, non seulement auprès des patients, mais aussi, comme tu le rappelles, auprès des familles qui ont autant besoin de soutien que les malades.
Et Dieu sait si c'est important. Je me souviens de l'équipe qui a entouré mon arrière-grand-père à la fin de sa vie. Je crois que je ne pourrai jamais oublié aucun d'entre eux.

Pas tout à fait Mailys Les soins de longues durés, à la base, offre un logis en un sens pour les personnes âgés qui ne peuvent plus s'occuper d'elle-même... Pas exemple dans les cas de démences, ou tout simplement dû au vieillissement, des incapacités fonctionnels grâve aussi... Ils peuvent y ''habité 2-3... 5 voir même 10 ans... Mais invariablement, cela reste leur dernière demeure...

Puis vient un temps où la santé des gens de qui ont S'occupe diminue et se dégrade totalement... Le médecin en vient à prescrire: Soins palliatifs... Donc nous en avons également par moment sur les étages de longues durées, mais ce n'est pas exclusivement des soins palliatifs...

Vu ! Cela correspondrait chez nous aux services de gériatrie et aux maisons de retraite médicalisées. Le travail ne doit pas y être beaucoup plus facile qu'en soins palliatifs. Même si la mort est moins immédiatement proche, elle n'est tout de même pas très loin. De plus, tout les pathologies qui touchent à la personnalité et au cognitif, comme les démences, me font une peur du diable ! Plus que les pertes des capacités purement physiques, c'est ce genre d'atteintes qui me fait très peur dans la vieillesse.

oui en effet on appele cela aussi: gériatrie ^^

en effet, les pathologies psychologiques sont les plus effrayantes, je trouve aussi, et il y a tant à faire pour les gens qui en sont atteints et qui ne sont pas compris...