Une fiction centrée sur Louise de Jarjayes, voici qui est original. Elle est souvent oubliée (sauf dans certaine fiction de La Lionne que je ne nommerai pas ).
Une fiction qui démarre avant la naissance d'Oscar, voici qui est rare aussi. De plus, cette Louise si triste est apparemment tourmentée par un lourd passé au sujet duquel je m'interroge comme de juste.

Voici un début court mais fort prometteur et alléchant !
Vivement la suite, Triste Fée... sans oublier Le Choix de l'épée, comme de juste.

Que nous cache donc cette chère Louise?

Comme dans la fic concernant l'enfance du général, la comtesse aurait-elle également subi un quelconque traumatisme provoquant de tels tourments?

suite attendue avec intérêt!

J'attent la suite avec impatience^^

On attend la suite pour connaître le SECRET.

A mon avis, cela concerne ces enfants, puisque les souvenirs reviennent à chaque grossesse.

Un enfant caché peut être ?


Ou je me trompe tout simplement.

Bien joué ! Maintenant, je me demande ce que la d'habitude si discrète Louise nous cache

Oh ! La comtesse pourrait avoir des secrets ?
Pourtant elle est si effacée...
Quelle imagination Triste Fée !

Pauvre Louise. Je pense que maintenant, on connait le secret de son sacrifice.

Le duc va payer pour cet outrage ?????????????

Citation :

il était si charmant malgré ses airs un peu trop rigides. Cela en était troublant plus que tout autre. Chaque geste tendre mais donné un peu timidement revêtait aux yeux de Louise une valeur plus importante

Le côté intime du général, version Triste fée.
De quoi tomber amoureuse, n'est-ce pas Louise ? D'autant que, toutes les épouses n'avaient pas la chance de tomber sur un homme aussi timidement empressé.

Citation :

Reynier changeait

Ca se gâte !...
Ca ne s'arrange pas en découvrant les raisons ( ou du moins une des raisons ) de son changement : son amitié avec le duc de Broglie. Apparemment, ce dernier n'a pas du tout les faveurs de Louise. Va-t-il y avoir une rivalité entre l'amitié et l'amour du général ?

Citation :

Sa mère l’avait rappelé ses devoirs

Eh oui ! La vie n'est pas tendre à cette époque, pour les femmes. Leur vie est faite de devoirs, sans qu'elles aient la moindre reconnaissance. La femme DOIT se tenir aux côtés de son époux, et à sa disposition si je puis dire...

Citation :

- Pour nous deux, ajouta-t-il.

Alors là, c'est clair, net, précis.
Louise peut avoir peur, mais je crois que rien n'arrêtera le duc de Broglie. Ni même le général de Jarjayes...
D'ailleurs, sera-t-il au courant de la démarche du duc ? Dans ce cas, ses relations avec Louise ne vont guère s'améliorer.

Dans quelle situation mets-tu la comtesse de Jarjayes ?

Ça y est : les pilules noires ont encore frappé !

Après un début tout tendre où, comme La Lionne, j'ai apprécié l'attitude du jeune général, voici que les choses se gâtent : Raynier change, et pas en bien apparemment, Louise devient triste...

... et le Duc de Broglie se met à jouer un drôle de jeu. Débarquer sans vergogne chez une jeune femme sans chaperon est déjà très sans gêne, s'imposer dénote un manque de courtoisie certain, et voici que la fin de ton chapitre nous dévoile de sinistres perspectives !
J'ai l'impression qu'une bien tragique soirée se prépare pour la comtesse.

A moins qu'un sauveur n'arrive à point nommé ?

Ne nous fais pas trop languir, Triste Fée, sinon je vais me faire des cheveux blancs !

Ce qui devait arriver arriva... :silent:

Le pire c'est que la position du duc de Bloglie est telle que, même si le général venait à l'apprendre ( ou à comprendre ), sa marge de manoeuvre serait très étroite.

Louise de Jarjayes est la victime des rapports très hiérarchisés de la noblesse de Cour, dont les codes nous sont obscurs ( et difficilement supportables ).

Quand a en demander encore, que va-t-il faire ? Car je doute qu'elle retourne vers lui sans y être contrainte d'une manière ou d'une autre.

On avait bien deviné la suite. Le duc est heureux de son pouvoir. Quand à croire que Louise puisse en redemander. Comme on dit "Dans tes rêves".

Il a raison en disant q'elle ne dira rien à Jarjayes. La carrière de son époux est en jeu.
Et lui, qui a changé depuis ces derniers temps.

Serait'il au courant des idées du duc ?

Le voilà ce fameux traumatisme dont je parlais. :1^$ùmp:

Bien qu'ayant deviné un peu ce qui allait se passer, j'ai lu ce chapitre avec la chair de poule; c'est très plausible et tout à fait possible que bien des dames de l'époque aient eu malheureusement à subir ce genre d'outrage "arrangé" , pour que leurs maris puissent bénéficier de faveurs . Mais je ne crois pas une seule seconde que le général eut été au courant de tels agissements de la part du duc.
Je pense que malgré tout le respect qu'il lui devait , le comte n'aurait jamais accepté une telle compromission, ni pour lui et encore moins pour la comtesse.

Comment vas-tu dénouer ce noeud chère Triste Fée?

Mais c'est une horreur, ce Duc de Broglie !
Et content de lui avec ça, s'excitant à la fois de la détresse de Louise et de la pensée, fallacieuse, qu'elle aime cette violence et en redemandera. Le violeur type, quoi !

"Je suis votre ami. Je suis même le meilleur ami de votre époux." Des amis pareils, on s'en passe ! :hyhrhrt:

En tout cas, je suis bien persuadée que le Comte de Jarjayes n'est pas au courant et j'ose espérer qu'il provoquerait en duel ce triste personnage s'il venait à apprendre ce qui s'est passé, quitte à y laisser ses galons et à risquer la Bastille.

Si Louise revit cette scène à chacune de ses grossesses, est-ce parce qu'elle craint d'avoir été enceinte de ce salopard Monsieur ?
Est-ce pour cette raison qu'elle va accepter que son mari élève Oscar comme un garçon ?
Vivrait-elle comme une "punition" pour sa "faute" de n'avoir que des filles ? Ce serait assez dans l'air du temps !

Vivement la suite, Triste Fée !

Je viens de lire les chpaitres deux et trois d'un coup. Pauvre Louise... A-t-elle été enceinte de son violeur ? Aurait-elle tenté de faire passer l'enfant ? Est-ce pour cette raison qu'elle vit ses grossesses et le fait de n'avoir que des filles comme un calvaire et une punition ? Beaucoup de questions sous mon petit crâne...
En tout cas, le suspens est parfait !

AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAARGHHHHHHHHHHHHHHHHHH !!!

Quelle ignominie, De Broglie !! Il me dégoûte, je le hais, je le hais, je le hais !!!
Je veux sa mort ! (s'il s'en sort, dans cette fic, je crois que je... que je... :hyhrhrt:)

Enfin....

J'aime bien le fait que cette fic soit centrée sur Louise.... c'est vrai qu'elle est souvent oubliée, et si les fics du forum m'ont souvent fait la détester (la Lionne et Maria peuvent en témoigner), je crois que je regrette tout ce que j'ai pu dire de mal sur elle.

Elle me fait de la peine, c'est terrible ! La pauvre... Mal à l'âme...

J'espère qu'Oscar va vite grandir pour embrocher comme il se doit ce porc de duc gras et sauvage !!


Sinon, j'aime beaucoup cette fic, elle me secoue !!!

horreur et putréfaction!
Le viol est un sujet très délicat à aborder; la réaction de Louise est malheureusement le résultat d'un tel drame; repli sur soi, agoraphobie, honte, culpabilité... tu abordes ce passage avec pudeur et sensibilité, et ce n'est pas évident. :1^$ùmp:

Dans ce chapitre, on ressent la souffrance de Louise.

Cette pauvre comtesse, obligeait de supporter en silence son sacrifice.

A cette époque, les femmes devaient garder ce secret, surement plus que maintenant.

Qui les aurait cru ?

Et ce p... mérite la guillotine.

cath a écrit:

Cette pauvre comtesse, obligeait de supporter en silence son sacrifice.

A cette époque, les femmes devaient garder ce secret, surement plus que maintenant.

Qui les aurait cru ?

Et ce p... mérite la guillotine.

A l'heure actuelle, il y a encore des jeunes femmes, jeunes filles qui sont violées chaque année et qui se taisent. Pour plusieurs raisons, je pense :
- la peur, la crainte du bourreau
- comme tu le dis si bien, qui les croirait ?
- à qui la faute ?
- et surtout, on se sent sâle, dégradée, humiliée, assassinée de l'intérieur : et c'est la honte intérieure.
Il y a sans doute d'autres raisons à ce silence (le parent qui exige le silence par crainte d'être marqué du doigt alors que la victime est marquée au fer rouge pour le restant de sa vie).

Oui, c'est un sujet délicat et douloureux. D'ailleurs, je n'ai fait que suivre le conseil de Marina. Seulement, j'attendais le déclic. Il m'est toujours difficile de lire une histoire avec ce genre de scène mais dans ce cas présent, j'en ai ressenti le besoin, ce qui explique que j'ai mis de côté (temporairement, car le reste est en écriture) "le choix de l'épée".
Les chapitres sont courts car ils sont venus ainsi, par vague. La difficulté a été pour moi, de mettre par écrit le ressenti. Je trouve que mettre des mots exacts sur des sentiments et des émotions vécues est très difficile même si la langue française est très riche.
Cependant, j'avoue que cela me fait du bien de m'exprimer enfin sur un sujet que j'évite.

En tout cas, merci pour vos coms.

Le sujet est délicat et douloureux.

Tu a su si bien l'amener, sans tomber dans l'excés.


Qui peut croire louise ?

C'est déjà une chose si diffiçile à admettre pour la victime.

J'attends la suite, tout en ayant peur de la découvrir.

Si ce p... décidait de recommençer son sinistre projet.

de nous montrer une nouvelle façette de la timide Louise.

cath a écrit:

A cette époque, les femmes devaient garder ce secret, surement plus que maintenant.

Je n'en suis pas si sure...
A l'époque où les femmes étaient des objets, le viol n'était pas considéré de la même façon.

Ceci dit, ton chapitre est très intense. D'autant plus qu'il est court, donc il condense toutes les émotions.
On comprend la souffrance de Louise.
On a également une esquisse de ce qui pourra pousser la comtesse à faire d'Oscar l'héritier de son mari. Son enfant n'aura pas à souffrir d'être une femme, une femme à la merci des hommes. Comme en pu l'être également ses autres filles...

A moins que je ne me trompe...

C'est un chapitre très émouvant qui retranscrit la souffrance de Louise sans virer dans un pathos surabondant. Les mots sont simples et très bien choisi. On vit sa douleur avec elle

C'est un chapitre très intense qui donne au personnage de Louise un beau relief que tu ne manqueras pas d'exploiter dans la suite de ton texte.

Merci pour vos coms.

Un chapitre court mais particulièrement intense et émouvant.
Cette litanie dans laquelle tu roules et enfonces Louise, cette spirale infernale qui l'entraîne et l'aspire...
Avec des mots très simples, comme le souligne Arlène, des répétitions qui nous ramènent en boucle à sa souffrance, tu nous fais toucher du doigt l'enfer que vit la jeune femme. Tu nous amènes à comprendre la folie qui l'envahit.

Je me demande comment elle va parvenir à sortir de cet abîme.
Et je trouve la remarque de la Lionne très pertinente. La Comtesse de Jarjayes pourrait bien accepter que son mari élève leur fille comme un soldat pour lui donner la force qu'elle-même n'a pas eue face à son bourreau.

Louise qui tente de se confier à sa mère. A qui pouvait'elle le dire ?

Une mère n'est'elle pas une confidente. Elle devait penser qu'elle pouvait la comprendre, l'aider
à soulager sa peine. Sa mère refusa de lui tendre la main.
Certains sujets restent tabous, louise l'apprend à ses dépens.

Elle ne pouvait pas en parler à Reynier, sans crainte de répresailles.

On comprend la colère d'un homme, qui ressent le rejet de sa femme.
Sans explications, il ne peut que lui en vouloir.

La naissance de ses filles, quelle joie pour une mère, qui l'aide le temps d'un instant à oublier
cet horreur.

A sa première grossesse, on peut se poser la question de savoir qui est le père.

Quand à son refus de se trouver en présence de ce monstre, qui peut la blâmer ?

La vengeance, soit'en sûre et certain, qu'un jour ce moment, va arriver.

ce dernier chapitre est très émouvant. On vit, à nouveau, la douleur de Louise en même temps qu'elle : la tentative (avortée) de se confier à sa mère, de trouver du réconfort auprès d'elle, le malaise avec son mari, sa souffrance lors de ses grossesses, ses filles qui lui insufflent la vie qui lui fait défaut, la douleur qui revient par intermittence, le désir de vengeance.
Tout est très condensé et très parlant

Je trouve impressionnant la manière dont, en quelques lignes, tu fais défiler les années et les états d'âme. On sent très bien que le souvenir de ce viol est toujours là, latent, remontant à la surface à la moindre occasion. Que Louise vivra, "survivra", comme tu l'écris toi-même, toujours avec lui. Qu'il empoisonne tout, de sa relation à sa mère à sa relation conjugale.
Seuls, surnagent ses sentiments pour ses filles, qui ont l'air épargnés par ce souvenir poisseux.
Je me demande si tu vas redonner un peu d'espoir à cette Louise si meurtrie ou si tu la laisseras plongée jusqu'au bout dans ce souvenir délétère.

Quelles perspectives ?

Tous ces corps emmeles.

On imagine très bien l'horreur que Louise ressent. Reynier un libertin, c'est le comble.
Je continue toujours à me poser la question.
Tout cela était'il prémédité ?
Supporter le Duc pour ensuite entrer dans ces soirées.

Le Général nous montre un côté bien sournois.


Le sacrifice de Louise n'est pas fini. Elle qui portait une tenue pour plaire à son époux.

Il ne l'a pas forçé, attendant, mais par la suite.
Une femme doit obéissance à son mari.

Ta fic devient sombre, nous promettant d'autres rebondissements.

Eh ben ! Voilà Louise dans une soirée libertine !
Et après, on va dire que c'est moi qui suis dure avec elle...

Alors, va-t-elle finir par se laisser tenter par amour pour Reynier ?
On fait quelquefois de ces choses par amour.

Alors là, je n'aurais jamais imaginé le rigide Général de Jarjayes dans une soirée coquine !
Et encore moins, y amenant sa femme !

" Mon désir est de voir que les autres hommes vous désirent comme je vous désire. " : je ne le voyais pas si "partageur".

J'avoue que je m'interroge un peu sur son attitude, d'autant qu'il fait visiblement preuve d'une grande patience et de gentillesse (un moment j'ai eu peur de quelque chose de beaucoup plus violent ). Je me demande s'il ne se doute pas de ce qu'a vécu Louise et si c'est sa version d'une thérapie ? Ou, peut-être, trouve-t-il simplement son épouse un peu coincée ?

Je me demande vraiment où tu nous emmènes, Triste Fée ?

Il faut toujours se méfier de l'eau qui dort. Parfois on peut être fort surpris.

De plus, je trouvais que le général était un peu trop lisse pour être vrai. Qui n'a pas de défauts ? De vices cachés ? Après tout, il côtoie De Broglie et celui-ci a des allures de satyre, alors...

Je vous rassure, le général n'est toujours pas au courant de l'expérience de Louise avec De Broglie. Le saura-t-il un jour ? Sinon, l'aurait-il emmené dans ce genre de soirée ??

Oui, La Lionne, l'amour est un sentiment bien difficile à comprendre. Certaines personnes en oublient leur propre existence, et donnent tout. Parfois, la lucidité ralentit et fait prendre conscience. Dans le cas de Louise, et étant donné son passé, il est difficile de prévoir la manière dont elle va répondre à Reynier. Elle seule le sait.

Je viens de lire le chapitre sur la soirée libertine. Je n'ai pas pu m'empêcher de sourire en imaginant le sérieux général dans ce genre de soirée et de penser "ouh le coquin, il cache bien son jeu celui-là !" ^^

Sinon, on imagine sans trop de difficulté combien ce type de choses peut faire horreur à Louise à cause de son éducation et à cause de ce qu'elle a vécu. Le sacrifice de Louise ira-t-il jusqu'à accepter finalement ?

Je me demande si Reynier serait aussi "partageur" s'il apprenait pour Broglie ...

Oui, Arlène, on est parfois bien surpris de certaines personnes.
Quant à Louise, tout dépendra de son degré d'amour à l'égard de Reynier. L'aime-t-elle suffisamment pour passer au-dessus de ses "fantômes" ? a-t-elle une issue de secours ? Peut-elle reprendre sa vie comme avant en sachant cela ?