Bon début.

Bernard qui emmene Oscar et André, voir Rosalie, enfin une qui est heureuse.
Une chance de bonheur pour elle, sous entend qu'Oscar peut espèrer le connaître aussi.

Après l'attaque des faubours, les états génnéraux, l'avenir s'annonçe plus sombre que prévu.
Oscar prend enfin conscience que l'on se moque du peuple.

La Révolution est inévitable, le peuple va se battre, il ne peut plus accepter cette situation.

La révolution avait désormais un visage, le sien.

Oscar révéle à elle même ses sentiments, elle est prête à les vivre.

La révolution est dans tout les coeurs, de façon différente pour chacun, s'acceptant telle qu'elle est.
Une femme amoureuse pour le colonel.
Girodelle a depuis longtemps deviné son penchant.

Quant au peuple, advienne que pourra.

Une nouvelle un peu étrange avec cette « lutte intérieure » qui se décline en réalité sur deux plans : le plan privé, quand Oscar prend de plus en plus conscience de la place d’André dans sa vie ; le plan public, et politique, quand Oscar ouvre les yeux sur le bien-fondé de la révolte populaire et se range aux côtés des révolutionnaires.

Une histoire qui navigue entre l’Histoire et leur histoire.

Une histoire suspendue, une sorte de parenthèse qui ne nous révèle rien sur le futur et les conséquences des choix d’Oscar suite à cette lutte intérieure.
Une histoire charnière qui nous ouvre tous les possibles...

ça faisait un petit moment que j'avais envie de promener mes clics de souris du côté de cette fic. Elle a un côté surprenant parce qu'on s'attend, vu le titre, à quelque chose de plus tourmenté (du moins un tourment qui s'exprime de façon plus violente). Mais j'ai bien aimé ce côté qui ne vire pas dans le pathos. Et, sur la fin, tu ne nous dis rien de plus, juste que la Révolution a, pour Oscar, le visage d'André. On peut donc imaginer différentes évolutions.
J'ai bien fait de venir me promener par ici

merci pour vos coms les filles, mes vignettes ne sont pas très "aventuresques" comme les autres passionnantes fics du forum; mais mon style(si je puis dire..) est plus intimiste (et condensé ). Les tribulations romanesques, je les laisse aux spécialistes du genre qui me coupe le souffle, et me rende admirative.

Au ca où vous ne l'auriez pas remarqué, j'adore m'attarder, sur un passage, un sentiment, un moment précis; l'ouvrir et vous l'offrir; en espérant qu'il touchera un peu votre coeur. Si j'y arrive, alors c'est gagné pour moi

Gagné alors ! A chacun son style

J'adore, tu arrives toujours a trouver un passage, et à le mettre en valeur.

Tu nous laisses une fin libre.
C'est agréable, de nous laisser le choix.