Bon début.
Bernard qui emmene Oscar et André, voir Rosalie, enfin une qui est heureuse.
Une chance de bonheur pour elle, sous entend qu'Oscar peut espèrer le connaître aussi.
Après l'attaque des faubours, les états génnéraux, l'avenir s'annonçe plus sombre que prévu.
Oscar prend enfin conscience que l'on se moque du peuple.
La Révolution est inévitable, le peuple va se battre, il ne peut plus accepter cette situation.
La révolution avait désormais un visage, le sien.
Oscar révéle à elle même ses sentiments, elle est prête à les vivre.
La révolution est dans tout les coeurs, de façon différente pour chacun, s'acceptant telle qu'elle est.
Une femme amoureuse pour le colonel.
Girodelle a depuis longtemps deviné son penchant.
Quant au peuple, advienne que pourra.