Cette histoire de clown triste est pour moi une métaphore des gens qui porte un masque. En dehors de leur solitude, ils sont fort, ils soutiennent, ils font rire et cette aide qu'ils apportent aux autres est comme un baume à leur coeur (car ainsi ils ont l'impression de ne pas être complètement inutile)

Le problème de ces clowns c'est que personne en fait ne sait lire leur détresse pour vraiment les soulager. Peuvent-ils l'être déjà?

C'est une histoire touchante... je suis peut-être à côté de la plaque sur ce que tu as voulu vraiment dire, mais moi c'est ce que tes mots font vibrer en moi. la douleur cachée derrière le masque, la doueur à supporter seul et l'image que l'on fait paraitre aux autres

Triste fée, je viens de lire tes poèmes.
Je les trouve très beau, surtout que je ne suis pas une fan de poèsies.
Mais, là, va savoir, ils m'ont touchée.
Celui du Clown, particulièrement.
A un moment ou à un autre, on porte tous un masque.

Tu a bien fait de les poster, pour nous les faire partager.
Si certains, éprouvent le désir de les plagier, c'est qu'ils leur auront plu.
Malgré la peur de "les perdre", j'en serais honorée.

Félicitations.

oui merci de nous les avoir fait partagés... ils sont tous les trois trés beaux!

Porter un masque, faire rire pour ne pas pleurer, espérant ainsi que le chagrin nous oubliera; jolie métaphore
Triste Fée

Merci pour vos coms. Cela me touche beaucoup. D'autant que ce sont quasiment les premiers étant donné que peu de personnes ont lu mes poèmes. 3 personnes ont lu les 3 premières années plus ou moins donc on peut dire que vous êtes vraiment des avis différents et donc plus objectifs.

liberta a écrit:

Porter un masque, faire rire pour ne pas pleurer, espérant ainsi que le chagrin nous oubliera; jolie métaphore
Triste Fée

Oui, Liberta, c'est un peu comme ça que je vois les autres parfois. J'avoue que je suis un peu comme ça aussi. J'ai vu également des personnes qui montraient le contraire de ce qu'ils étaient pour différentes raisons. On se cache, on cache ses sentiments, et résultat : on ne sait plus les exprimer ou même on ne les reconnait plus.

La souffrance n'est pas toujours visible au premier regard et c'est ce qui plus dur.