Que lis-je ? "Chocolat", "gâteau" ... hum... il va falloir que je pense à investir également dans la confiserie

Alors que vous dire ? Allez, juste une petite chose : je ne suis pas une spécialiste de la dark fic vraie de vraie, donc il y aura une petite lueur d'espoir, mais je ne vous dis pas laquelle Sinon, ce serait un texte proprement épouvantable que je serais en train d'écrire, quand on sait que le dauphin va être malade et qu'il va mourir, quand même la fic "arlénienne" est écrite par un monstre sans coeur, mais quand même

Ah ces personnages et leurs mauvaises raisons Avouez, ils sont quand même bien utiles pour construire l'intrigue


Dans la suite, il y aura une éclaircie dans le ciel de cette sombre histoire d'échange d'enfants Bon, je ne vous parle pas d'un temps radieux non plus .... Je pense à mes bénéfices dans les mouchoirs, le chocolat et les pâtisseries ^^

J'essaie de vous écrire une suite demain

que lis-je une suite demain? coooooooool ^^

En atendant passons à ce chapitre si...

Oscar réalise la douleur que cela lui apporte finalement toute cette histoire sordide au fait
Et elle en ''profite'' pour bien tourne rle fer dans la plaie d'André... ha la la la vilaine...
Sincèrement je sais qu'elle ne le fait pas exprès, mais quand même...

alor slueur d'espoir? J'ai hâte de voir sa ^^

Merci Marina C'est en cours d'écriture. Avec un peu de chance, je vais finir pour poster avant ce soir^^

Bon bravo... chap 5 toujours tenant les promesses des 4 autres chapitre... humm! ça promet!

Quelle idée ? Des jumeaux, au moins, ils pouvaient garder l'un des deux.

Oscar est tiraillée entre son devoir de mère, et l'honneur de son père.
Elle a fait son choix, être son "père", mais André, peut'il accepter ?

Il verrait l'enfant, mais ne pourrait l'aimer comme il voudrait.

Quel imbroglio

C'est triste !!!

Tant qu'à faire ,si j'étais Dédé (et heureusement pour Oscar je ne le suis pas )j'approuverais sa décision car au moins là ,il pourra voir sa fille grandir (pour le coup ,je me suis mise à penser que la petite serait Loulou ,mais une fois de plus tu m'as bien eu !) :khkg:

Arlène, tu as trouvé la solution pour nous satisfaire ainsi qu'Oscar.
Cependant, elle se retrouve devant un autre dilenme... Même s'il paraît à cette époque, relativement important, je trouve qu'élever sa fille même au prix d'écart de conduite est déjà mieux que de l'abandonner et de ne jamais la connaître tout en ayant ce poids sur la conscience.

Et comment André va-t-il réagir ??

Vivement la suite.

Des jumeaux, et un nouveau cas de conscience. Après avoir dû se résigner à laisser le garçon, il lui fallait maintenant prendre la décision de savoir quel titre donner à sa fille; une bâtarde roturière ou sa fille illégitime. Dans le premier cas, il faudrait faire fléchir le rigide général pour qu'il accepte l'enfant d'André et feindre l'indifférence, dans l'autre cas décevoir son père en mentant sur une liaison imaginaire et taire la paternité d'André. Dans les 2 cas, ils ne pourraient jouer pleinement leur rôle de parent au vu et au su de tous. C'est évidemment moins pire que de devoir l'abandonner elle aussi. Dilemme déchirant

Wow! Quelle jolie petite fin vraiment.
Le général a fini par plier, c'est bien; mais quel déchirement pour Oscar et André quand même de ne pouvoir tout lui avouer à cette petite tornade, portrait de sa mère.

Et on reconnait bien grand-mère dans ces recommandations à la petite lolll.

Cette fin me satisfait lollll ^^ Pas trop triste, avec une perspective d'avenir quand même. J'Adore tes textes Arlène comme toujours ^^

C'est une très belle fic, Arlène sur les choix difficiles que l'on doit faire parfois. Cela m'a fait penser au "choix de Sophie" beaucoup plus dramatique, mais pour une mère faire un choix au sujet de ses enfants, ca coute surtout si l'un d'eux doit vivre loin de nous.

En ce qui concerne Silvène, Oscar a la chance de la voir grandir à ses côtés mais de façon officieuse et taire ses élans. La preuve en est pour l'escrime. Ne jamais lui dire qu'elle est sa mère surtout quand l'enfant croit que sa mère est un homme... pas facile.

Je trouve,cependant, Silvène, dure mais réaliste quant à son rang et ses responsabilités. Elle semble plus réaliste que ses parents, finalement, malgré son jeune âge, ce qui marque fortement Oscar.

Arlène

c'est une fin moins triste que ce que j'avais imaginé... moi qui croyait que t'allais encore en remettre une couche histoire d'avoir plus de profit avec ta marque de mouchoir...
genre un truc les deux enfants sont malade... bref... moins pire que ce que a quoi je m'attendais... merci! pour mon pauvre petit coeur fragile!

Ah j'aurais pu faire durer l'histoire encore un bon moment en développant en parallèle l'histoire des deux enfants, et bien tirailler les parents. Mais, vous m'aviez demandé d'épargner un peu les personnages, donc j'ai essayé de faire une fin qui ne soit pas trop tragique. ça c'est une de mes raisons. J'en ai une autre : l'obligation de faire court (à partir de lundi, je sais que je ne pourrais plus écrire comme je l'ai fait cette semaine, et je préfère écrire une fic d'un coup que de laisser traîner les chapitres : après j'oublie des éléments de l'intrigue, je fais des changements parfois incongrus ect...). Et troisième raison : même pour le monstre sans coeur que je suis, il y a des choses qui sont moins évidentes que d'autres à écrire. Et je dois dire que tirailler Oscar et André entre leurs deux enfants me semblait assez vache. D'où le choix de cette fin, tant pis pour mes bénéfices question mouchoirs en papier, chocolat, pâtisseries et autres confiseries^^
Et, ça laisse la possibilité d'écrire une suite si je le souhaite un jour (mais pas tout de suite ).

Je suis contente que la fic vous ait plu et que vous l'ayez suivi et commenté aussi régulièrement. Merci beaucoup

Chapitre 4

Oscar est rattrapée par tout ce qu’elle n’a pas voulu voir en acceptant la proposition de la reine. Cet enfant, qui n’est même pas encore né, a déjà une vie propre différente de celle du premier qu’elle a porté. Elle l’aime pour lui-même et sait que le donner à Marie-Antoinette sera un déchirement.
Elle se rend aussi enfin compte de ce qu’elle fait subir à André. André qui ne dit mot et qui accepte tout avec « une soumission de serviteur ». Je serais elle, je me poserais la question de savoir si, au-delà de la soumission à l’ordre royal, il n’y a pas aussi soumission aux Jarjayes. Comment pourrait-elle être sûre qu’il agit par amour pour elle plus que par obéissance ?

Quant à Marie-Antoinette, elle me devient de plus en plus détestable dans cette fiction. Sans aucun scrupule, elle dispose de la vie de chacun, assurée du dévouement d’Oscar. Osez lui dire que, si c’est une fille, elle sera échangée contre un garçon et abandonnée dans un orphelinat ! Je veux bien qu’Oscar ait le sens du devoir, mais à ce point-là ! Donner un héritier au royaume est une chose, consentir à ce que son enfant soit condamnée à une vie solitaire et amère en est une autre.

« Dans sa volonté d’oublier une douleur du passé, elle en avait crée une nouvelle, et surtout elle l’avait oublié, lui. »
Oscar est enfin lucide mais n’est-il pas un peu tard ? En fin de compte, n’a-t-elle pas agi avec André comme Marie-Antoinette avec elle, sûre qu’elle était de son amour et de son dévouement ?

« Oscar, cet enfant, c’est un espoir. (...) L’espoir de le voir régner autrement. »
André pense-t-il réellement ce qu’il est en train de dire ? Car cet enfant aura peut-être son sang de roturier dans les veines mais il sera élevé comme est élevé un dauphin, dans l’idée qu’il deviendra le maître de tout, qu’il aura, de par la divine volonté, droit de vie et de mort sur tout ce qui se trouve dans son royaume. Comment, dès lors, pourrait-il régner "autrement" ?
Ou bien a-t-il encore la force, alors qu’on peut imaginer sa souffrance, de soutenir celle qui l’aime, de la rassurer et de lui apporter le bonheur qu’il peut ? Oscar qui, pourtant, le renie jusqu’au bout, jusque dans son rôle de géniteur : « Ainsi, tu préfères ne pas dire que je suis le père. »
Bien sûr, un père roturier serait inacceptable pour une Marie-Antoinette imbue de sa naissance et de son sang bleu, Oscar a raison et je dois rêver un peu, mais j’aurais aimé une autre attitude... Et je me demande bien, Arlène, comment tu vas dépêtrer tes personnages de l’imbroglio dans lequel tu les as jeté.


Chapitre 5

Des jumeaux ! Evidemment, tu ne pouvais que nous surprendre, Arlène. Ceci dit, je me demande si la gémellarité résout tous les problèmes. La reine aura son fils et le Royaume son héritier, mais la petite fille, que va-t-elle devenir ? J’espère qu’Oscar ne va pas l’abandonner dans un couvent ou, qu’au moins, André ne la laissera pas faire si elle en a l’intention.

« Ils hésitaient quant à la conduite à tenir. » Je suis sur des charbons ardents !

Ah, tout de même, ils se décident à taire l’existence de cette enfant du miracle et à s’en occuper. Ce ne sera sans doute pas facile mais ils vont bien trouver une solution. Est-ce que, en fin de compte, de toute cette histoire un peu sordide, de toute cette tromperie, sortira un peu de bonheur durable ?

Marie-Antoinette refuse « d’accoucher publiquement comme l’exigeait l’Etiquette. » Et on la laisse faire ! Or si l’accouchement était public; c’était bien pour empêcher toute substitution d’enfant et tout soupçon sur la filiation du futur roi. Mais fiction oblige, passons ce caprice à l’Autrichienne... et cette fantaisie à Arlène et à Isaure.

« L’un de leurs enfants serait la lumière du royaume et choyé comme telle, l’autre grandirait dans l’ombre anonyme de la domesticité. »
Oscar et André ont trouvé une solution mais toute solution, dans cette situation impossible, ne pouvait qu’être boiteuse. J’ai l’impression qu’Oscar n’a pas fini de souffrir. Paradoxalement, c’est peut-être André qui s’en tire le mieux, devenant officiellement le père de leur fille, la gardant près de lui et ayant acquis le droit de s’occuper d’elle et de la chérir. Oscar devra toujours faire attention à ne pas montrer une tendresse trop évidente pour cette petite fille.

Apparemment, cette première décision arrêtée ne convient plus à Oscar. Elle veut élever Silvène comme sa fille illégitime. N’essaie-t-elle pas une fois de plus de soulager sa conscience sans trop penser à la suite ? La vie de cette petite fille sera-t-elle si enviable ? Comment sera-t-elle accueillie au château de Jarjayes ? Et, plus grave, André ? Dépossèdera-t-elle André de sa paternité ? Comment réagira-t-il ? S’inclinera-t-il, cette fois-ci encore, devant la volonté de la femme qu’il adore? Rien de moins sûr.

« Mais avait-elle le droit de priver à nouveau André de sa paternité ? »
Ah, tout de même ! Je me suis un instant demandé si elle se poserait seulement la question. Et tu nous laisses en suspens sur cette interrogation. Vivement la suite !

PS : Je viens de voir que la suite (et fin) est déjà en ligne. Je n'aurais pas longtemps à attendre. C'est l'avantage d'être une retardataire du commentaire !

Chapitre 6

« C’est toi ce qui peut arriver de mieux à cet enfant, André. »
Je suis ravie qu’Oscar s’en tienne à cette décision. André a en effet de l’amour à revendre et la tendresse nuancée de fermeté qu’il faut pour élever un enfant et le rendre heureux. Il l’aimera de tout son cœur ; d’autant plus, qu’il aimera aussi Oscar à travers Silvène.
Mais quel sacrifice pour Oscar ! Même si sa fille grandit à Jarjayes, ce sera éloignée d’elle. D’une certaine manière, elle donne ses deux enfants.

« Ils ne devaient plus avoir de gestes indiquant leur intimité. »
« Ils ne pourraient pas être parents ensemble. »
Quelle vie se préparent-t-ils tous les deux ? Alors qu’ils ont à peine plus de vingt-cinq ans. Comment tiendront-ils sans s’aigrir, sans sombrer dans le désespoir ? Peut-on vraiment vivre de "devoir" jour après jour ? A notre époque, qui prône l’épanouissement personnel, c’est un peu difficile à concevoir.

J’aime cette évocation d’Oscar galopant avec sa fille comme on la voit galoper avec le Dauphin dans le manga et l’animé. La petite Silvène me paraît aussi douée que sa mère (et que son père, d’ailleurs) pour l’équitation. Et elle s’entraîne à l’escrime : une digne fille de sa mère.
Vu le nombre de fois où Oscar manque se couper et dire "ma" ou "notre" fille, c’est à se demander comment le secret de sa naissance est encore préservé.

Quelle cruauté dans ces paroles d’enfant qui renvoient Oscar, mieux que tous les longs discours ou tous les essais philosophiques, au gouffre qui existe entre l’aristocratie et le peuple. J’ai aussi un peu l’impression que cette petite fille-là ne restera peut-être pas très longtemps proche de sa mère.

La présence et la vie du Dauphin devenant les dernières barrières qui empêchent Oscar de tourner définitivement le dos à sa classe. Ensuite, elle choisit le camp de l’homme qu’elle aime et de leur fille. C’est une belle manière d’expliquer le revirement du Colonel de Jarjayes au 14 juillet.

Au total, pour n’être peut-être pas aussi noire que d’autres, cette fiction reste pour moi très sombre, au mieux douce-amère. Oscar demeurant dans le carcan du devoir, renonçant à l’amour, à la maternité (ce ne sont pas les quelques gestes qu’elle accomplit pour Silvène ou les quelques entrevues qu’elle a avec le Dauphin qui doivent la satisfaire) ; André, sûrement comblé par sa fille mais contraint de mener une vie parallèle à celle qu’il aime ; une petite Silvène au destin plus qu’incertain...
Décidément, je trouve que, même plus feutrée, la désespérance me semble des plus présente dans ton texte, Arlène.

La façon dont Silvène répond à Oscar, correspond tout à fait au caractère de sa mère.
Naturellement, le général ne pouvait que céder, il le cache, mais il adore la vieille femme.

J'ai comme l'intuition que MG se doute qu'Oscar est la mère de Silvène.

La fin est agréable, on comprend façilement la décision d'Oscar de rejoindre le peuple, maintenant que son fils est mort, elle n'est plus tiraillée.

Ce serait sympa une suite Arlène.

Au total, pour n’être peut-être pas aussi noire que d’autres, cette fiction reste pour moi très sombre, au mieux douce-amère. Oscar demeurant dans le carcan du devoir, renonçant à l’amour, à la maternité (ce ne sont pas les quelques gestes qu’elle accomplit pour Silvène ou les quelques entrevues qu’elle a avec le Dauphin qui doivent la satisfaire) ; André, sûrement comblé par sa fille mais contraint de mener une vie parallèle à celle qu’il aime ; une petite Silvène au destin plus qu’incertain...
Décidément, je trouve que, même plus feutrée, la désespérance me semble des plus présente dans ton texte, Arlène

J'avoue, j'ai aussi investi dans l'industrie pharmaceutique, notamment dans les anti-dépresseurs. Donc, là encore, je pousse à la consommation.
Que je suis vilaine et vénale ! Je trouve toujours de nouveaux filons à exploiter


Allez, soyons sérieuse deux secondes. Je ne sais pas s'il existait une façon gaie de traiter le défi : même en enlevant l'idée de départ (MA qui demande à Oscar de servir de mère porteuse), on aboutit quand même à un résultat où Oscar doit donner son enfant.

J'aurais pu faire partir Oscar et André, comme je l'ai fait dans ma toute première fic. Mais, d'une part,j'ai pris la scène évoquée dans le défi comme pouvant être intégrer à la fic, donc difficile de faire dévier Oscar de la vie qu'on lui connaît, et d'autre part, je ne voulais pas écrire qqc de trop proche de ce que j'avais déjà écrit.

Il m'est arrivé d'utiliser l'humour de temps en temps, sur ma première fic. Au final, ce n'était pas du meilleur effet. Donc j'ai arrêté. Sur LO, je n'ai écrit qu'un texte à visée uniquement comique : "Sans contrefaçon". Je me souviens avoir bien ri en l'écrivant.


Cath : une suite ? Si je suis inspirée et quand j'aurais à nouveau du temps pour écrire^^


Merci à toutes les deux pour vos commentaires et votre lecture :mmplmoi: (au cas où vous vous demanderiez pourquoi j'utilise souvent ce smiley, il n'y a qu'une raison : je l'aime bien, c'est tout xD )

Arlène a écrit:

Je ne sais pas s'il existait une façon gaie de traiter le défi : même en enlevant l'idée de départ (MA qui demande à Oscar de servir de mère porteuse), on aboutit quand même à un résultat où Oscar doit donner son enfant.

Il est vrai que le sujet du défi ne portait guère à la gaudriole. Faire s'enfuir Oscar et André ensemble ? Quelque part, c'était trop facile... et, comme tu le soulignes, trop éloigné du sens du devoir d'Oscar.

Je viens de finir de lire ta fic et j'ai adoré!!!!

Oscar a choisi de laisser vivre sa fille et pourtant, elle n'en est pas plus heureuse. Elle ne peut profiter réellement ni de son fils, ni de sa fille... et pas même André pour se consoler !!!!

C'est une histoire super triste

Heureusement que les chocolats de noel sont déjà en vente, je vais aller m'en remplir au moins tout un caddie !!!!!!!!

Merci DEDE

Maria : yes !!! Je vais encore faire des bénéfices !!! et oui, j'ai investi aussi dans le chocolat

Une fic toute en douceur, en originalité et en réflexion...

J'aime bien le dilemme qui torture, et j'aime bien la maturité grave de Silvène. J'aime bien aussi l'intermède de joie qui a été donné aux deux amoureux maudits

J'ai beaucoup apprécié cette fic, que j'ai trouvée pleine d'optimisme malgré tout !

^^ bravo Arlène, j'ai pas été déçue !^^

Merci Petrina :mmplmoi:

Je ne développe pas ma réponse : je fais juste un petit passage éclair sur le forum, et je vais essayer d'aller rattraper mon retard sur la fic-mer de Krapa ^^ Après, j'ai peur de ne pas pouvoir passer de la semaine :1^$ùmp: