cath a écrit:

André façe à son désespoir, le réconfort espéré n'est pas dans la bouteille mais dans les paroles de l'accordéoniste...
Malgré tout, il est bon de vivre et de continuer d'espérer

Merci de remontrer ce moment! C'est limite si on ne va pas vers le genre "noir" (que j'apprécie bien) mais je suis d'accord avec toi: l'accordéoniste est un personnage discret mais d'une importance extrème et ses paroles permette au beau regard d'André de ne pas s'éteindre dès ce moment... Le message de ce personnage est semblable mais s'adapte au moment présent...et il n'est finalement pas Cassandre... Ses prévisions et son espoir finissent par aboutir... lui donnant le droit de mourir (voir son cadavre à ce moment [juste après la mort d'André] m'a filé un choc électrique!)...

DEDE a écrit:

J'aime énormément ce contraste entre le monarchie vieillissante et apeurée et la Révolution naissante, jeune et déterminée: pas besoin d'être devin pour savoir qui va l'emporter...

Quelle productivité : je ne sais vraiment plus où donner du commentaire.



La solitude d'Oscar après une scène qui l'a obligée à changer de regard sur André comme sur elle-même. Et pourtant, elle est déjà en route vers un autre destin.

J'aime beaucoup cette trilogie.



Le regard d'Oscar découvrant la violence de la passion d'André, se découvrant femme et vulnérable... et le regard intense d'André à un moment où tout peut encore arriver.



Cet infime instant où André découvre réellement pour la première fois la féminité d'Oscar : ce lambeau de chemise qu'il a arraché, symbole de sa brutalité ; ce regard possédé, presque fou, et pourtant émerveillé. Tout aurait pu basculer dans l'horreur, mais André est trop attentif, depuis toujours, à la femme qu'il aime, pour ne pas percevoir sa peur et sa détresse.



Le désespoir et la fuite dans des oublis artificiels qui ne consolent de rien. Le personnage de l'accordéoniste est l'une des réussite de la version française, avec sa manière de parler très poétique et sa voix superbe. Il est comme le coryphée antique de cette tragédie qu'est Lady Oscar.

Superbe hommage pour un ardent révolutionnaire.

pour vos commentaires!!continuez ainsi de me régaler !

Maïlys a écrit:

J'aime beaucoup cette trilogie.



Le regard d'Oscar découvrant la violence de la passion d'André, se découvrant femme et vulnérable... et le regard intense d'André à un moment où tout peut encore arriver.



Cet infime instant où André découvre réellement pour la première fois la féminité d'Oscar : ce lambeau de chemise qu'il a arraché, symbole de sa brutalité ; ce regard possédé, presque fou, et pourtant émerveillé. Tout aurait pu basculer dans l'horreur, mais André est trop attentif, depuis toujours, à la femme qu'il aime, pour ne pas percevoir sa peur et sa détresse.



Le désespoir et la fuite dans des oublis artificiels qui ne consolent de rien. Le personnage de l'accordéoniste est l'une des réussite de la version française, avec sa manière de parler très poétique et sa voix superbe. Il est comme le coryphée antique de cette tragédie qu'est Lady Oscar.

je suis d'accord avec toi Maylis concernant le geste d'André. je pense qu'il s'est apperçu à temps de son geste,il n'aurait pas pu aller plus loin et salir la pureté d'Oscar car il l'aime beaucoup trop.Il a su s'arrêter quand il a vu la peur et les larmes d'Oscar.

DEDE a écrit:

Le retour de Fersen éclate la pomme qui commence à mûrir entre André et Oscar; la naïveté et l'extrème égocentrisme du suédois dans sa rêverie faisant (re)naître le fol espoir d'Oscar, lequel se brise net sur cette affiche...

Magnifique série Dédé: on peut parfaitement faire le parallèle entre Oscar et André en voyant ces regards et cet espoir brillant dans les yeux de l'amoureux caché. En-revanche Fersen ne remonte pas dans mon estime après cela: il a l'aveuglement d'Oscar mais sans la noblesse d'âme ni la générosité à toute épreuve: il ne pense qu'à sa tronche et à celle de MA sans aucune considération pour autruit. Et on remarquera que quand quelqu'un lui fait part d'une souffrance autre que la Sienne (la majuscule est volontaire), surtoût vers la fin, il la ramène à Lui: toutes ses actions généreuses ne sont en fait que des projections de Lui dans autruit...

Sudena pour tes superbes commentaires!!

DEDE a écrit:

QUE VOIS-JE??? DEDE MAIS TU ES MALADE???? UNE CREA SUR MON PETIT VICTOR!!! (en plus une créa ou il est beau et gentil... ???) QUI ETES VOUS??? QU'AVEZ-VOUS FAIT DE DEDE??? (lol)

Je crois que j'ai pas besoin de te dire que j'ADDOORRREEEE!!!! Il est si rare de voir une petite image de lui!! :mmlkjh: :mmlkjh: :mmlkjh: :mmlkjh: :mmlkjh:

krapagnou a écrit:

DEDE a écrit:

QUE VOIS-JE??? DEDE MAIS TU ES MALADE???? UNE CREA SUR MON PETIT VICTOR!!! (en plus une créa ou il est beau et gentil... ???) QUI ETES VOUS??? QU'AVEZ-VOUS FAIT DE DEDE??? (lol)

Non,non je ne suis pas malade!!!

Ah mais ma chère petite Krapagnou,je n'ai jamais dis que je n'aimais pas Girodelle ,c'est juste que ma préférence va à André c'est tout.

bah je suis contente que tu n'ai rien contre lui! (vois-tu un moment j'en ai douté... a cause d'une fic dont je ne citerai pas le nom lol)...

En tout cas trés jolie créa.. pour une fois qu'il en a droit à une... je me dois de la souligner et d'applaudir
*en mode pompomgirl spécial Gigi*

Merci Dédé!

krapagnou a écrit:

bah je suis contente que tu n'ai rien contre lui! (vois-tu un moment j'en ai douté... a cause d'une fic dont je ne citerai pas le nom lol)...

En tout cas trés jolie créa.. pour une fois qu'il en a droit à une... je me dois de la souligner et d'applaudir
*en mode pompomgirl spécial Gigi*

Merci Dédé!

oui,je sais à quelle fic tu fais allusion,c'est celle où il enlevait Oscar et la laissait presque mourir de faim. Mais il me fallait un Girodelle fou de jalousie pour cette fic,prêt à tout pour avoir Oscar.

En tout cas,je suis contente que cette créa te plaise!!

DEDE a écrit:

Ah ah!.. Enfin une créa sur mon cher Louis Antoine! et comme toujours tu réussis à nous le faire voir de belle façon ... On voit parfaitement ce regard clair et intelligent, cette détermination sans faille, cette ironie un rien cruelle... Et la dernière image donne sa dimension à ce personnage: limite omniscient, froid mais parfaitement droit: comme la Révolution qu'il anticipe et qui suivra implaccablement son cours...finalement pour le meilleur.

pour tes commentaires!!