C'est un passage ou franchement le général

DEDE a écrit:

Ah, splendide ! Tu fais parfaitement ressortir les caractéristiques de deux personnages que je n'aime pas: le général et la comtesse: le premier autoritaire, dûr, embarqué dans sa folie et parfaitement prêt à sacrifier son enfant; la deuxième a-contrario soumise, falotte et totalement dépourvue de personnalité: en un mot la lame et le calice dans leur forme la plus carricaturale (alors que TOUS les autres personnages sont autrement plus nuancés, voire franchement "mixtes" dans cette symbolique particulière)!..

Redoutable Général de jarjayes, comme le souligne Sudena !
Cependant, cette scène me paraît assez irréaliste. Une paire de gifles, c'est une chose. Mais comment le général pourrait-il précipiter dans l'escalier son précieux héritier ? Si Oscar avait été estropiée, adieu, les rêves paternels ! Certes, le génral est en colère. Mais, pour moi, ses colères sont plutôt du genre glacé, et je le conçois mal perdant son sang-froid. Il veut plier Oscar à sa volonté, pas la blesser.

Pour vos commentaires,continuez ainsi,ils me font énormement plaisir.

DEDE a écrit:

j'ai encore changé mon fond d'écran ; merci Dédé

De rien Nanou!!!continue de me laisser des comms!

DEDE a écrit:

à la première je me dis mon pauvre Victor qui attend, un mot, un geste, un regard de sa belle (pas facile tout de même d'épancher son coeur à un mur)

à le deuxième je vois trés bien Oscar se dire "purée pkoi il a décidé de se déclarer!!! qu'est ce que je lui dis moi maintenant???" (c'est jamais facile de trouver les mots devant qqn qui vous dit vous aimer quand ce n'est pas votre cas... mais lolotte l'a fait dans la plus grande lignée de "je n'ai aucun tact et je te fous un rateau mémorable!" lol)

dédé à écrit

De rien Nanou!!!continue de me laisser des comms!




t'inquiètes , le problème c'est que j'ai un peu de mal à suivre en ce moment ,je n'ai pas beaucoup de temps pour laisser des coms

DEDE a écrit:

Trois hommes désirant la même chose. Mais un seul est prêt à tout pour l'avoir, est suffisemment désabusé pour ne pas hésiter sur les moyens à employer: ça peut passer pour de la cruauté gratuite, c'est sûrement cynique, mais au fond d'eux Bernard et Robespierre ne sont pas dupes et sentent que l'heure viendra où la violence devra se faire _même si à ce moment ils espèrent encore éviter un bain de sang, ce qui agace Saint-Just, plus lucide_: de toutes façons, et quoi qu'ils en disent ou veulent en penser à cet instant, ils sont dans le même camp et ne cesseront pas d'y être: la lumière qui brille dans leur yeux est la même et même si un seul agit vraiment tous entendent bien mettre en place cette société nouvelle dont ils rêvent...

pour vos comms,et ne t'inquiète pas Nanou,je comprends si tu n'as pas le temps. C'est l'intention qui compte!

Krapagnou, j'ai adoré ton commentaire et ta manière de combler les blancs dans la scène entre Victor et Oscar !

Et, Sudena, j'apprécie beaucoup la pertinence et la profondeur du tien sur les trois révolutioonaires.

je suis tout a fait d'accord avec toi Mailys.

Oscar se marier avec Girodelle, celui en qui elle a vu, un ami et un subalterne. J'adore cette Oscar, rieuse... Une facette que l'on ne voit pas souvent.

Cath pour tes commntaires!!

cath a écrit:

Oscar se marier avec Girodelle, celui en qui elle a vu, un ami et un subalterne. J'adore cette Oscar, rieuse... Une facette que l'on ne voit pas souvent.

Oui, une facette que l'on voit rarement. Merci DEDE de la souligner par ta créa

Arlene pour ton commentaire!

une série de créas sur Jeanne:

une autre sur Oscar

Tout juste si Oscar reconnaît son père dans cet homme éploré !

J'aime beaucoup ce final à l'abbaye de Saverne, qui nous montre des facettes différentes de Jeanne, son immense lassitude et son abdication en forme de baroud d'honneur.