Lady Oscar - André
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 Le retour de Terry - candy

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TIGRESSE
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TIGRESSE

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Le retour de Terry - candy Empty
MessageSujet: Le retour de Terry - candy   Le retour de Terry - candy EmptyMer 5 Déc 2012 - 16:25

.



.LE RETOUR DE TERRY

CHAPITRE 1 : RETOUR DES ENFERS

Deux ans étaient passés depuis la mort officielle de Terry , comme chaque vingt-deux août Candy se recueillait et déposait des fleurs sur la tombe de son bien aimé.

- C : « Terry, si tu savais à quel point me manques. » murmura-t-elle tristement un bouquet de roses rouges. Absorbée par ses pensées elle ne vit pas la personne derrière elle et sursauta en entendant une voix masculine.

-T : Qui pleurez-vous ainsi Mademoiselle ?
- C : Je pleure mon grand amour. Répondit-elle tristement.
- T : Vous deviez vraiment l’aimer.
- C : Oui, plus que tout au monde.
- T : Il avait beaucoup de chance d’être aimé par une femme telle que vous.
A cet instant elle reconnut ces intonations, non cela ne pouvait pas être lui, l’homme qu’elle aimait, c’était impossible, il était mort depuis deux ans, puis voulant en avoir le cœur net elle se retourna et le vit devant elle.


- T : Bonjour Candy, je suis heureux de savoir que je t’ai manqué. Lui dit-il d’un ton moqueur.
- C : Terry, c’est bien toi ?
- T : C’est bien moi, tu ne rêves pas.
- C : Qu’est ce que cela, signifie ?
- T : Que ma mort était une mise en scène.
- C : C’était une mise en scène ? je t’ai vu tomber de cheval, j’ai vu le médecin annoncer ta mort et tes amis pleurer autour de toi et tu m’annonces « la bouche en cœur » que c’était une mise en scène, mais tu te moques de moques de moi ! lui assena-t-elle en le giflant.
- T : Ça je l’ai bien senti, j’avais oublié que tes réactions pouvaient être vives. La taquina-t-il en se touchant la joue endolorie et marquée de la main de son amie.


- C : Elles le sont quand les gens que j’aime se moquent de moi comme tu l’as fait pendant deux ans.
- T : Laisse-moi t’expliquer !
- C : M’expliquer quoi ? Que j’ai pleuré quelqu’un qui vivait je ne sais où avec je ne sais qui ?
- T : Jalouse ! se moqua-t-il.
- C : Arrête de plaisanter il n’y a rien de drôle à cela.
- T : Laisse-moi parler et tu comprendras ! s’énerva-t-il à son tour .
- C : Vas y je t’écoute !
- T : Si j’ai joué toute cette mascarade c’était pour échapper à un mariage arrangé parce que je t’aime et je ne voulais pas te perdre. Cria-t-il.


Cette déclaration la laissa sans voix, puis il reprit.
- T : Oui c’est pour ça que j’ai agi ainsi et non pour te faire souffrir alors si tu as versé des larmes pardonne-moi, je n’avais pas le choix et sache que tu m’as manqué. A ces mots Elle tomba en pleurs dans ses bras.


- C : Je te pardonne, « ta pièce » était la meilleure de ta carrière et je suis contente qu’elle finisse bien pour nous.
- T : Je savais que tu comprendrais. Conclut-il en l’embrassant tendrement.



CHAPITRE 2 : L’AMOUR AU GRAND JOUR

Quelques jours plus tard Terry et Candy affichèrent leur amour en se tenant par la main et s’embrassant comme des adolescents, rattrapant le temps perdus ils devinrent rapidement amants. La nouvelle du retour de Terrence GRANGESTER se répandit dans toute la ville et la une de tous les journaux. Le secret étant dévoilé Terry dût s’exprimer au sujet de son retour.

- C : Dis-moi Terry, maintenant que tout le monde sait que tu es revenu à qui donneras-tu une interview ?
- T : Pourquoi ?,Tu veux y participer ?
- C : Oui, après tout nous sommes ensembles il est normal que je participe à tous tes déplacements juste histoire de dissuader une femme de t’approcher de trop près.

- T : Je ne te savais pas aussi jalouse.
- C : Toutes femmes qui tiennent à leur fiancé le sont.
- T : J’aime t’entendre parler comme ça . Répliqua-t-il en l’embrassant passionnément.
- C : je n’ai toujours pas ma réponse.
- T : Je vais choisir le « five O’clock » ils sont sérieux.
-
Un mois plus tard, nos deux amoureux se rendirent au fameux journal afin d’y rencontrer deux journalistes et narrer leur histoire, l’entrevue se passa chaleureusement jusqu’à ce que Candy se rende – compte à travers les questions des interlocuteurs qu’ils n’étaient là que pour faire la promotion « du grand Terrence GRANGESTER » et qu’elle n’était là que pour servir de faire valoir.

- J1 : Monsieur GRANGESTER pourquoi vous êtes vous fait passé pour mort pendant deux ans ?
- T : Par amour pour Candy.
- J2 : C’est vrai ?
- C : Oui. Répondit-elle aux anges.
- J2 : Vous avez dût être agréablement surprise de le revoir. Insista-t-il
- C : Surprise surtout ! répondit-elle froidement.
- T : Elle est un nerveuse en ce moment ! la titilla-t-il.
- J1 : Vous lui en avez voulu de vous avoir joué ce tour ? demanda-t-il sur un ton moqueur.
- C : Oui beaucoup et il y a de quoi !
- J2 : En tout cas on peut dire que vous êtes un bon acteur pour avoir joué cette comédie aussi longtemps pour que même votre fiancée ne se soit rendue-compte de rien.

- T : Oui, j’avoue que je suis plutôt satisfait de ma prestation! Rétorqua-t-il avec une certaine fierté sans se préoccuper de ce que ressentait Candy, et à cet instant il redevint l’être arrogant et imbu de lui-même qu’elle avait connu quelques années auparavant. Afin de ne faire de scandale elle garda sa rage et la fit éclater en sortant.

- C : Tu t’es bien amusé, tu es content de toi ?, je t’ai pleuré pendant deux ans, je te retrouve en pensant que tu m’aimais toujours et tu t’es joué de moi, tu es un être ignoble, je n’aurais jamais dû te faire confiance, tu t’es attribué le rôle du phénix renaissant de ses cendres et tu m’as fait passer pour l’idiote ignorant tout de son amant, tu t’es bien mis en valeur, quelle éloquence, tu nous as fait un bon retour sur les planches, profites en bien parce qu’un jour tu te retrouveras seul !

- T : Candy, je comprends que tu sois en colère mais il y a un détail que tu n’as pas entendu, c’est que je l’avais fait par amour pour toi.

- C : Peut-être mais quand ce journaliste m’a attaquée tu m’as pas défendue au contraire tu t’es bien mis en avant et tu as ajouté que tu étais plutôt satisfait de ta prestation, qui est le vrai Terry ? Celui qui a clamé haut et fort qu’il m’aimait ou l’être abject que j’avais devant moi dans les locaux de ce journal ? Dis le moi ! S’énerva-t-elle.

- T : Candy je ne t’ai jamais vu en colère, j’avoue que cela te donne un certain charme.
- C : Imbécile ! S’écria-t-elle.


CHAPITRE 3 : CE QUE TU M’AS FAIT

Un mois après leur dispute Candy et Terry retombèrent dans les bras l’un de l’autre mais cela ne fut que de courte durée, celle-ci avait encore en mémoire l’entrevue avec les journalistes sans compter l’article sorti le lendemain : « Terrence GRANGESTER était vivant depuis deux ans, sa fiancée l’ignorait ». La colère passée elle lui envoya une lettre demandant s’ils pouvaient se revoir à laquelle il répondit par un OUI franc et massif. Le lendemain nos deux amants se promenèrent main dans la main sur une plage.
- T : Mon amour, j’ai eu tellement peur de te perdre, pardonne-moi je n’aurais pas dû dire à ce journaliste ce que je j’ai dit.

- C : N’en parlons plus c’est oublié.
- T : je t’aime et je t’aimerai toujours.
- C : Moi aussi. Lui jura-t-elle en l’embrassant.

Malheureusement quelques mois plus tard Terry rencontra une femme d’une beauté à laquelle aucun homme ne résisterait et malgré ses promesses et sa déclaration il céda à cette déesse. Au début Candy ne soupçonnait rien jusqu’au jour où elle les vit s’embrasser sur la même plage où elle l’avait embrassé. Quelques jours elle le vit et lui fit part de ce qu’elle avait vu sur cette plage, cette discussion fut longue et finit par une rupture.

- T : Laisse-moi t’expliquer.
- C : Non, tu vois, je pourrais tout comprendre, ses caresses, ses mots tendres et ces reflets merveilleux qu’elle a posé sur tes yeux, je pourrais tout entendre que tu ne pourrais pas défendre ni les baisers ni les rêves qu’elle a posé sur tes lèvres. Je sais ce que tu m’as fait, j’essaie, je t’aime mais ce que tu m’as fait, je ne l’oublierai JAMAIS ! C’est finit Terry. Conclut-elle en larmes.
- T : Donne-moi une chance.
- C : Non, parce que même si j’oubliais cette histoire, ce que tu m’as fait : je ne te le pardonnerai jamais !
- T : Adieu Candy, mais sache que je t’ai toujours aimée. Avoua-t-il avant de tourner les talons.


CHAPITRE 4 : HEUREUSEMENT LES AMIS SONT LA

Cela faisait un mois que Candy avait chassé Terry de sa maison mais pas de son cœur, elle errait comme une âme en peine n’étant plus que l’ombre d’elle-même, marchant à droite à gauche sans regarder où elle allait, si bien qu’elle bouscula Alistair, se rendant compte qu’elle avait heurté quelqu’un elle s’excusa.
- C : Pardon Monsieur.
- A : Candy ? Depuis quand tu me vouvoie ? S’étonna-t-il.
- C : Alistair, je suis contente de te revoir. Lui dit-elle en pleurant dans ses bras.
- A : Candy, que t’arrive-t-il ? Je ne t’ai jamais vue dans un tel état Tu es si enjouée habituellement.
- C : C’est Terry, il m’a trompée.
- A : Quel horrible personnage, déjà que je ne l’aime pas beaucoup mais en te faisant ça il fait parti de mes ennemis
- C : Je ne pouvais pas le forcer à m’aimer toute sa vie.
- A : viens à la maison, tu vas voir tout le monde ça te fera du bien.

Son retour fut comme une bouffée d’oxygène pour ses amis, émue Annie se jeta dans ses bras tant son retour lui chauffait le cœur. Anthony et Archibald se joignirent à leur amie et après qu’elle fut partie des ses bras l’enlacèrent chaleureusement, Anthony lui déposa un chaste baiser sur les lèvre, Bien que surprise elle y répondit doucement.
- Archibald : Sacré Alistair, on l’envoie chercher du pain et il nous ramène une amie, Bienvenue à la maison Candy.
-
- C : Merci, cela me touche beaucoup.
- Archibald : Et il y en a un à qui cela fait plaisir, n’est-ce-pas Anthony.
- Anthony : C’est vrai, je l’avoue.
- Archibald : Mais dis-nous Alistair, comment as-tu réussi ce prodige ?
- A : Elle errait seule comme une âme en peine, j’ai eu pitié d’elle et je lui ai proposé de venir à la maison, au début elle a un peu hésité en craignant de tomber sur Archibald et ses expérience mais je l’ai rassurée en lui disant qu’il n’était plus aussi dangereux qu’avant et elle a accepté. Plaisanta-t-il.
- Archibald : C’est ça fais-moi passer pour un danger public je ne te dirai rien.
Sa réaction provoqua l’hilarité générale.

- C : Vous m’avez manqué et je suis contente que nous soyons tous réunis comme au bon vieux temps, rien n’a changé et vous non plus, surtout toi Archibald, tu es toujours aussi drôle.
- Archibald : Merci.
- Alistair : Si tel est le cas, maintenant que nous sommes tous de nouveau réunis, tu es ici chez toi et cette fois, tu ne t’en vas pas.

- C : C’est promis, je reste.


C’est ce qu’elle fit pour le plus grand plaisir de ses amis , cela lui permis de tourner la page et d’oublier l’infidélité de Terry qui fut vite remplacé par Anthony.



Fin
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