POUR VOS COMMENTAIRES!!!

DEDE a écrit:

HUM HUM

J'ai compris,Nanou le masque noir a encore frappé!!!

HE OUI , NI VU NI CONNU

tu dégaine plus vite que ton ombre!!!

TOUT COMME TOI , MA CHERE DEDE

c'est vrai,je l'avoue!!!

DEDE a écrit:

L'embarras et la joie d'
andré en voyant arriver grand Mère;elle vient aux nouvelles mais elle a "planqué" sa louche sous le paquet.

agnes a écrit:

DEDE a écrit:

L'embarras et la joie d'
andré en voyant arriver grand Mère;elle vient aux nouvelles mais elle a "planqué" sa louche sous le paquet.

fais attention à toi André!!

J'ai pris beaucoup de retard dans mes commentaires sur tes créations, Dédé. J'avais soigneusement noté la page où je m'étais arrêtée. Le hic étant d'avoir la patience de remonter jusqu'à elle : je suis étonnée de ta production sur quelques jours !

J'aime toujours autant cette série et la manière dont tu travailles les scènes en écho, du point de vue des différents protagonistes. D'autant que ce passage de l'animé est particulièrement émouvant.
Quelle femme n'aimerait voir se pencher sur elle, quand elle est dans l'affliction, un visage d'homme aussi doux et attentif ?

L'innocence d'Oscar face à la rouerie d'une femme rompue à toutes les compromissions.
La Rose noire commet une sérieuse erreur en croyant tous les courtisans corruptibles ; elle va vite l'apprendre.
Mais, Dieu, qu'elle est belle !

Ah, les yeux verts d'André... :sszazq:

Détermination chez Oscar, surprise puis colère chez Girodelle...
Oscar a eu de la chance qu'il l'aime assez pour passer outre ses ordres et faire demi-tour.
Et les députés ont eu de la chance qu'Oscar s'interpose : les troupes de Girodelle auraient tiré et la face de l'Histoire en eût été changée. Comment ?

J'adore cette scène et les mimiques d'Alain.
Dans la version originale, il découvre soudain que son camarade aime leur colonelle.
Dans la version française... Eh eh ! Quel style de suppositions peut bien faire Alain ?

Encore un passage de l'animé très émouvant, qui souligne combien André est toujours attentif aux sentiments d'Oscar, prêt à la soutenir si besoin ou, comme ici, à lui changer les idées pour la sortir un peu de sa mélancolie.

Maïlys a écrit:

Ah, les yeux verts d'André... :sszazq:

Oh oui!!!!à tomber à la renverse!!! :sszazq: :mmlkjh:



et pour tes commentaires que je prends plaisir à lire à chaque fois!!

Ces derniers temps, j'ai pris pas mal de retard sur tes créations très abondantes. Je viens de les admirer et franchement je te tire mon chapeau !

DEDE a écrit:

le souvenir de l'horreur de la guerre!

Arlène pour tes commentaires!!

krapagnou a écrit:

DEDE a écrit:

le souvenir de l'horreur de la guerre!

Krapo pour ton comms!!

DEDE a écrit:

:ccbg22:

krapagnou a écrit:

le souvenir de l'horreur de la guerre!

Euh... Ce ne peut pas être un souvenir, pas celui d'Axel de Fersen en tout cas, puisque ce n'est qu'ensuite qu'il décide de partir aux Amériques.

Maïlys a écrit:

krapagnou a écrit:

le souvenir de l'horreur de la guerre!

Euh... Ce ne peut pas être un souvenir, pas celui d'Axel de Fersen en tout cas, puisque ce n'est qu'ensuite qu'il décide de partir aux Amériques.

En effet,c'est à l'annonce de la mort d'un de ses amis lors de la guerre aux Amériques qu'il décide de partir.

Sombre composition pour une scène de violence et de passion.

Entre parenthèses, j'ai toujours l'attitude d'Oscar bien passive.

Je trouve que la composition fragmentée de cette création souligne la vision d'André qui se morcelle autant que les doutes qui assaillent Oscar.