J'ai commencé une nouvelle fic _bien différente de la précédente_: si vous voulez me donner vos impressions, vous y êtes les bienvenus...

le début me plait bien

Le prologue met en place la scene on attend avec curiosité ton développement... je sens que je vais apprendre des choses forts intéressantes sur la révolution.

La suite

le prologue promet de mêler toute une foule de personnage différent ,je suis curieuse de découvrir ce que tu vas en faire

Une découverte des sentiments de chacun, un prologue qui attend une suite prometteuse.

Suis je la seule à penser que la fin de ce premier chapitre me met un doute quant aux sentiments d'Alain envers André ?
Rassures moi,Sudena,tu ne t'es pas trompé de rubrique ?

Une suite du 30 juin, c'est intéressant.

On peut y lire les impressions des divers protagonistes après la libération des soldats.
Et Robespierre, tu parles d'un regard vert et de sentiments; que faut-il comprendre Sudena ? Peux-tu m'éclairer sur ce point ; merci

Dans "Dracula", Bram Stocker fait dire à un de ses personnages que l'amitié c'est pareil que l'amour moins la jalousie... Pas de soucis: je ne me suis pas trompé de rubrique .

Pour te répondre Liberta, qu'est-ce qui est vert, vivant, et toujours derrière Oscar?.. Allons, ce n'est pas si difficile...

Merde! J'avais jamais remarqué que les extra terrestre suivaient oscar si soigneusement! lol

les yeux d'André (oui je sais je fais une fixette sur le regard du beau Dédé )

Sudena a écrit:

l'amitié c'est pareil que l'amour moins la jalousie...

ET MOINS LA LIBIDO!!!

enfin sauf dans quelques cas particulier bien entendu!

nanou a écrit:

les yeux d'André (oui je sais je fais une fixette sur le regard du beau Dédé )

Tu fais peut-être une fixette... n'empêche que c'est ça!..

Bon début où tu campes de façon efficace tes personnages...tout en nous laissant une drôle d'impression quant aux sentiments d'André vis-à-vis Alain...

Citation :

Sudena a écrit:

Plusieurs fois il croisa le regard d'Alain. Alain! Le premier sentiment qu'il avait pu avouer sans tabou: qu'il était merveilleux qu'il fut là en ce moment!..

Ok...ok, tu parles d'amitié, mais la formulation est quand même ambiguë...

Même chose pour les sentiments de Robespierre envers "ces yeux verts":

Citation :

Sudena a écrit:

[...]mais surtoût une âme qui, malgré lui, lui faisait battre le coeur et réveillait en lui d'étranges sentiments qu'il s'efforçait de dominer, car la cause qu'il défendait valait à ses yeux de perdre son âme... tout comme sa vie.

Tout comme Lona, je me suis posée quelques questions...

Sinon, tu débutes encore cette fic par une vision bien originale. Voyons pour la suite !

Sudena a écrit:

Dans "Dracula", Bram Stocker fait dire à un de ses personnages que l'amitié c'est pareil que l'amour moins la jalousie... Pas de soucis: je ne me suis pas trompé de rubrique .

Pour te répondre Liberta, qu'est-ce qui est vert, vivant, et toujours derrière Oscar?.. Allons, ce n'est pas si difficile...

Hiinnn...moi,j'avais pensé à Krapo !

Zalzal à écrit :
Tout comme Lona, je me suis posée quelques questions...




Ahhh !! Tu me rassure Zalzal !

J'avoue que dans l'écriture ce n'est pas totalement innocent de ma part de mettre l'accent sur les sentiments... mais je ne vous en dit pas plus pour l'instant ...

Tu cultives l'ambigüité et ce n'est pas pour me déplaire.
Car il ne s'agit que du prologue. Tu poses les personnages, les situations et...

Et j'attends la suite car il se pourrait que tu sortes encore des sentiers battus. :bounce:
En effet, pourquoi Saint Just se sent si bien après son "duel" avec Oscar ?
Pourquoi Oscar se sent-elle si heureuse ?
Bernard se rend compte de son "pouvoir". Et les responsabilités qui en découlent ? Va-t-il céder à l'ambition ?
On se pose des questions sur l'amitié entre Alain et André, mais on peut aussi relever le "cher" Bernard.
Robespierre est très lucide, concernant la foule et concernant ses propres sentiments. Et voilà que ses pensées dérivent vers Oscar et... André.

On peut dire qu'à la suite de ce prologue, André a déjà fait couler beaucoup d'encre.
Mais, est-ce un écran de fumée ou non ?

j'aime bien ce démarrage, de la bagarre de l'amitié et même l'Incorruptible qui ressent quelque chose envers André,où nous emmenes tu ,? en tout cas je te suis.

J'aime bien ce début.
Notamment dans le fait que tu exprimes ce que chacun ressent ce jour-là, indifféremment.
L'action de cette journée a eu des effets différents sur eux : ils ssentent le changement inévitable qui s'opère et la fragilité du pouvoir en place.
Je me demande où tu nous emmènes ainsi... mais je suis curieuse de le savoir...

Un autre chap disponible!

Tu aimes décidément nous faire patauger dans le brouillard et les suppositions

J'aime cette division de ton chapitre en "actes", chacun d'entre eux mettant en scène un protagoniste. Tu nous donnes les détails au compte-gouttes, donnant parcimonieusement des indices sur l'intrigue, mais nous sommes quand même dans le noir le plus complet !

Citation :

Il s'appelle André Grandier et j'ai pour lui qui n'a d'égal que celui que je vous porte...

Ne manquerait-il point un petit quelque chose ?

Puisqu'elle a refusé d'être une femme, Oscar n'a plus qu'à être le digne héritier espéré par son père. Il semble figé dans ses positions, comme cette "vieille noblesse" qui défend ses privilèges becs et ongles.

Par contre, Oscar effectue un revirement total, tombant de l'amour à la haine en ce qui concerne la reine. Il est vrai qu'elle ne pouvait avoir envers Marie-Antoinette de sentiments en demi-teinte, habituée qu'elle était à la servir, à passer ses caprices.
Oscar se pose en modèle d'une "noblesse éclairée". Noblesse tout de même...

La réaction d'André est un peu plus nébuleuse à mes yeux.
Il a peur, mais de quoi ? J'attends le deuxième chapitre...
Je me demande si André n'est pas aussi totalement attaché à Oscar parce qu'il est replié sur lui-même, du fait de sa position particulière ( un homme au service d'une femme, un roturier qui accompagne un noble jusque dans les appartements de la reine, etc ). Du coup, pour échapper à la perspicacité d'Alain, au lieu de se replier sur lui-même, il s'ouvre aux autres... C'est tordu comme hypothèse, non ?

Décidément, le regard d'André n'a pas laissé Robespierre de marbre !
Et que dire de "l'étrange douceur" dans le regard de Saint-Just ?! Cette douceur serait-elle apparue après son attaque sur Oscar de Jarjayes ?

Encore bien des mystères, mais je pense que tu ne lèveras le voile que petit à petit.

La Lionne a écrit:

Citation :

Il s'appelle André Grandier et j'ai pour lui qui n'a d'égal que celui que je vous porte...

Ne manquerait-il point un petit quelque chose ?

Si !.. Il manque "un respect" (comme quoi il faut toujours se relire...).

Sinon pour répondre à vos coms, je m'efforce de ne pas "inventer" les personnages (dans leur caractère profond s'entend), surtoût pas Oscar: je les interprète comme je les vois mais j'essaie de ne pas les "trahir" (une forme de trahison serait de faire un général progressiste ou un Alain pervers)...

Et un conseil: ne vous laissez pas abuser par mes leures et mes fausses pistes: j'aime particulièrement jouer avec vous de cette manière ...

Rassure-toi Sudena ( ou plutôt inquiète-toi ! ), j'aime bien que tu joues ainsi avec tes lecteurs.

Pour le général, je pense que tu as bien fait ressortir sa dualité : il est monarchiste dans l'âme ( un Jarjayes fait son devoir sans réfléchir, et son devoir est d'obéir au roi ), mais il aime son enfant malgré tout. Tu insistes plus sur le côté monarchiste, c'est tout.

Un autre chapitre disponible (eh oui: avant le "crunch" je passe une nuit blanche ...) !

ON A VRAIMENT L'IMPRESSION QUE TOUS CES PROTAGONISTES SONT ENTRAINES PAR UN FLEUVE PAS ENCORE ECARLATE MAIS TE CONNAISSANT ,CELA NE VA PAS TARDER

Et au milieu de ce fleuve écarlate, on a l'amour d'Oscar pour André !
Bien sûr...
Par contre, croire que cet amour pourrait vaincre sa maladie est un peu utopique...

Le personnage de Robespierre est très bien rendu. On a gardé de lui l'image de la Terreur, en oubliant ses idéaux originaux.

Que manigance donc Alain ?

La Lionne a écrit:

Et au milieu de ce fleuve écarlate, on a l'amour d'Oscar pour André !
Bien sûr...
Par contre, croire que cet amour pourrait vaincre sa maladie est un peu utopique...

Mais... qui te dit que ce n'est pas un leurre?..

Un autre chapitre disponible: le début de l'action et de véritable développement...

En effet, ce chapitre est moins nébuleux...Tout doucement, le rideau se lève et on commence davantage à voir où tu nous mènes.

J'aime ce passage qui marque les différences entre André et Oscar. Très bien rendu.

Citation :

Et de leurs différences ils avaient fait union: brun et blonde, impulsive et intellectuel, vert et bleu, noble et roturier, lame et calice...

Une autre phrase que tu as écrite démontre toute la grandeur de l'amour d'André pour son amie:

Citation :

ce qu'il ressentait pour Oscar allait bien au-delà de lui-même, et il l'aimait pour ce qu'elle était, pas pour ce que quiconque voulait qu'elle soit.

Tu as bien saisi l'essence même de ses sentiments, l'amour inconditionnel qu'il éprouvait pour Oscar. Il l'a toujours acceptée comme elle était, bien que je crois, à ce tournant de l'histoire, Oscar aurait accepté de le suivre (dans le DA, elle se présente à sa compagnie, leur avoue son amour pour André et confie finalement sa destinée entre les mains de ce dernier. Mais André, monstre de générosité, acceptera de "donner" sa femme pour la cause révolutionnaire).

Malgré la révolution qui s'enclenche et la terreur qui en découlera, Oscar se sent finalement elle-même, accomplie, en paix avec elle-même et ses choix.

Je suis curieuse de voir si tu continueras en suivant le fil du dessin animé ou si tu nous réserves quelques surprises (quoique la façon dont tu abordes ce pan de l'histoire est assez originale en soi ).

Bon travail, Sudena !

un fleuve qui se déchaine emportant avec lui un homme et une femme unis dans leur amour et dans leur besoin de justice et laissant sur le bord un père furieux et pleins de rancoeurs
les événements s'accélèrent
j'attends la suite

Excusez-moi, je sais que je floode un peu mais une récurrence dans les commentaires me gêne quelque peu idéologiquement et historiquement parlant: je suis personnellement extrèmement fier de la période de la Terreur... Cette période a sauvé la France, menacée de tous côtés (au sens propre); il n'y eut jamais autant de lois sociales; le peuple avait vraiment le pouvoir; et les mesures extrèmes étaient VRAIMENT imposées par les circonstances... Entre cette période et celle qui a suivi (le Directoire), mon choix est tout de suite fait ...

Excusez-moi si je vous ai choqués: vous être autorisés à me dire "ta gueule!" ...

La Terreur était sans doute inévitable. Trop de digues ont lâché d'un coup pour ne pas entraîner des dérapages.
Malheureusement, l'image héritée de la Terreur n'est pas celle des lois sociales promulguées. On a gardé plus facilement celle du sang versé ( de préférence injustement ).
Mais ceci est un autre sujet...


Revenons à nos moutons ( car l'orage approche ) !

Ce chapitre est basé essentiellement sur Oscar et André, avec une petite bifurcation du côté du général.
Chapitre très intimiste donc, et pourtant ouvert sur les grands événements à venir. Notamment avec les interrogations d'André.

Un autre chap disponible ! Je n'ai qu'un seul conseil à donner aux éventuele lecteurs: soyez attentifs...