DEDE a écrit:

Une bulle de bonheur pour les petits diables

Ils sont vraiment mignons!

DEDE a écrit:

Ils sont vraiment mignons!

Ho, oui, et encore merçi DEDE, j'ai suivi tes conseils.

cath a écrit:

DEDE a écrit:

Ils sont vraiment mignons!

Ho, oui, et encore merçi DEDE, j'ai suivi tes conseils.

De rien Cath!!

Je ne sais pas à quoi ils jouent mais ils ont l'air d'en profiter !

Maïlys a écrit:

Je ne sais pas à quoi ils jouent mais ils ont l'air d'en profiter !

Moi non plus!!

Sudena a écrit:

Maïlys a écrit:

Mais est-il réellement nécessaire de comprendre pour aimer ?

Je pense, oui... Tout du moins pour aimer vraiment et en tant qu'être différent, sinon ce n'est selon moi que de la possession, de la passion, voire du désir, mais pas de l'amour dans le sens pur du terme. Je m'explique: quand "amour" rime avec "passion" mais pas avec "raison" (dans le sens intellectuel du terme), il est la porte ouverte à la haine (où finit par sombrer le général); quand il n'est que "raison" on ne parle plus d'amour mais d'amitié (qui peut être aussi profonde et aussi belle que l'amour [cf: André et Alain]). La pureté se trouve entre les deux: c'est l'âme qui la porte, mais dans le sens altruiste... On peut admirer, on peut désirer, son pire ennemi tout en croyant l'aimer: mais on ne le comprend pas avec nos tripes (attention! "comprendre" n'est pas forcément "être d'accord" [cf: de Gaulle]): dans l'amour pur et total, on n'a pas besoin de mots (que parfois nous sommes en peine de prononcer...). Enfin... c'est mon opinion et rien de plus...

Et elle très joliment exprimée !

Je pensais, de façon très particulière, à l'amour d'un parent pour son enfant.
L'amant (e), l'ami(e), on les choisit. Pas l'enfant, ni le parent d'ailleurs.
J'ai trois fils et l'un d'entre eux est vraiment très différent de moi : nous ne ressentons pas, nous ne réfléchissons pas de la même manière. Ce sont deux visions du monde très éloignées l'une de l'autre. Quelque part, il m'est très étranger ; et la réciproque est visible. Cela ne m'empêche pas de l'aimer autant que les autres et de vouloir son bonheur. J'espère être assez forte pour accepter le bonheur qu'il choisira, et qui risque d'être différent de celui que j'aurais pu imaginer pour lui.

Heureusement, les gestes de la tendresse et de l'amour sont un langage universel en soi et se passent d'explications.

DEDE a écrit:

voila une femme comme je les aime;elle a préparé le petit déjeuner et en plus elle m'a attendu pour le partager Oscar je t'adore.

DEDE a écrit:

JE VOIS QUE TU AS ENCORE UNE FOIS ÉTÉ TRÈS PRODUCTIVE .

JE TE PIQUE CETTE CRÉATION POUR EN FAIRE UN FOND D’ÉCRAN .

MERCI ET BRAVO DEDE

BISOUS

agnes a écrit:

DEDE a écrit:

voila une femme comme je les aime;elle a préparé le petit déjeuner et en plus elle m'a attendu pour le partager Oscar je t'adore.

MERCI LES FILLES!

Mailys,ce que tu dis est très beau,et c'est vrai que l'amour est universel.

Agnes,comme toujours j'adore ton humour!

merci à toi,Nanou,de choisir une fois de plus une de mes créas!

nanou a écrit:

cath a écrit:

DEDE a écrit:

Je deviens accro de ces Oscar, André en miniature

tout à fait d'accord avec toi Cath , ils sont trop mignon lol

Moi aussi !

DEDE a écrit:

Bah alors Lolotte, on joue les voyeuses !

Maïlys a écrit:

Une belle déclaration d'amour du père à sa fille...
...mais qui m'a toujours paru en complète contradiction avec sa réaction de colère quand la lettre d'Oscar lui apprend le choix qu'elle a fait.

Je crois qu'il est ambivalent vis-à-vis d'Oscar : il veut à la fois un bonheur qu'elle puisse choisir et qu'elle reste dans ce qu'il lui a appris. C'est comme un jeu de balancier, un coup d'un côté, un coup de l'autre. Il varie :en fonction des circonstances, c'est un pôle ou un autre qui devient prépondérant.

Maïlys a écrit:

Sudena a écrit:

Maïlys a écrit:

Mais est-il réellement nécessaire de comprendre pour aimer ?

Je pense, oui... Tout du moins pour aimer vraiment et en tant qu'être différent, sinon ce n'est selon moi que de la possession, de la passion, voire du désir, mais pas de l'amour dans le sens pur du terme. Je m'explique: quand "amour" rime avec "passion" mais pas avec "raison" (dans le sens intellectuel du terme), il est la porte ouverte à la haine (où finit par sombrer le général); quand il n'est que "raison" on ne parle plus d'amour mais d'amitié (qui peut être aussi profonde et aussi belle que l'amour [cf: André et Alain]). La pureté se trouve entre les deux: c'est l'âme qui la porte, mais dans le sens altruiste... On peut admirer, on peut désirer, son pire ennemi tout en croyant l'aimer: mais on ne le comprend pas avec nos tripes (attention! "comprendre" n'est pas forcément "être d'accord" [cf: de Gaulle]): dans l'amour pur et total, on n'a pas besoin de mots (que parfois nous sommes en peine de prononcer...). Enfin... c'est mon opinion et rien de plus...

Et elle très joliment exprimée !

Je pensais, de façon très particulière, à l'amour d'un parent pour son enfant.
L'amant (e), l'ami(e), on les choisit. Pas l'enfant, ni le parent d'ailleurs.
J'ai trois fils et l'un d'entre eux est vraiment très différent de moi : nous ne ressentons pas, nous ne réfléchissons pas de la même manière. Ce sont deux visions du monde très éloignées l'une de l'autre. Quelque part, il m'est très étranger ; et la réciproque est visible. Cela ne m'empêche pas de l'aimer autant que les autres et de vouloir son bonheur. J'espère être assez forte pour accepter le bonheur qu'il choisira, et qui risque d'être différent de celui que j'aurais pu imaginer pour lui.

Heureusement, les gestes de la tendresse et de l'amour sont un langage universel en soi et se passent d'explications.

Je ne connais rien à la vie de parent et à-forciori de celle de mère mais tu m'as beaucoup ému en écrivant cela... C'est drôle: j'ai eu comme l'impression d'entendre "Puisque tu pars" de Goldman...

pour vos commentaires!

Je ne peux m'empêcher d'évoquer les vers d'Aragon : "Son ombre est celle d'une croix".

Enfin un geste d'Oscar vers André...
Nous ne sommes plus très loin de l'aveu d'amour.

Mailys pour tes commentaires!