L'animé a respecté, quasiment trait pour trait, le dessin d'Ikeda. Ce n'est pas si fréquent.

Un rapproché intéressant avec un double plus fin, qui a l'air plus jeune et plus innocent. Je ne saurais pas que le dessin est de Kodemari, j'aurais tendance à l'attribuer à Ikeda. Elle en copie le style de façon incroyable.

cath a écrit:

DEDE a écrit:

Alors Dédé, t'a toujours pas réussi à éviter la lame d'Oscar.
Un calin vaut tous les coups d'épées :flower:

C'est un coup d'épée,je croyais qu'André avait voulu apprendre à se raser pour se donner un air,"plus grand "paraître plus âgé quoi,ah cet orgueil masculin quand même.

les filles pour vos commentaires!

DEDE a écrit:

On sent le départ moral d'Oscar...

DEDE a écrit:

Un instant empli de remerciement muet : André qui donne son mouchoir à Oscar après l'attaque sur le général alors qu'ils sont en froid, ce qui montre qu'il n'est pas suseptible et qu'elle lui a pardonné

Triste fée pour tes commentaires.

Reconnaissance publique par Oscar de son amour pour André...
et reconnaissance publique de cet amour par leurs frères d'armes.
Un passage très émouvant que tu as parfaitement mis en valeur, Dédé.

Mailys pour tes commentaires que je lis à chaque fois avec plaisir.

coucou dédé tu as bien bossé encore aujourd'hui ; mon préféré c'est celui ci :

DEDE a écrit:

Voilà,je pense que c'était ma dernière créa. J'arrête tout car j'ai l'impression que tout ce que je fais est nul.

DEDE a écrit:

L'amitié comme une évidence heureuse qui vient de rattrapper André et Bernard: ils peuvent enfin se l'avouer en plein jour et ces mains serrées sont d'une frénésie qui évoquent je trouve la passion. L'amitié est-elle moins profonde que l'amour?..

Sudena pour tes commentaires,ça me fait chaud au coeur.

Maïlys a écrit:

Reconnaissance publique par Oscar de son amour pour André...
et reconnaissance publique de cet amour par leurs frères d'armes.
Un passage très émouvant que tu as parfaitement mis en valeur, Dédé.

Entièrement d'accord mais j'irais un peu plus loin: pour moi cela est aussi la reconnaissance totale et absolue par ses soldats de la légitimité d'Oscar: ils savent ce qu'ils lui doivent mais l'autorité réelle était exercée alors par Alain et conséquemment par André (son meilleur ami). En affirmant à la fois son amour pour elle et sa volonté de se battre pour la Révolution avec elle aux commandes, André achève sa plus belle oeuvre, avec la joie à-peine dissimulée d'Alain...