:mmlkjh: :khyuyaaq:

Oh, comme c'est intriguant, j'ai hate de voir la suite !
Alain et Fersen sont des personnages avec beaucoup d'étoffe, qui sont bien rendus dans cette fic. On ne les vois que rarement ensemble, ce qui rend celle ci plus savoureuse encore.

La suite donc !

Comte suédois et soldat de petite noblesse, rencontre improbable, et pourtant.

Fersen et Alain obligés de cohabiter dans une cellule... Et avec la plus grande joie

Ca promet des instants mémorables

Fersen et Alain, aux antipodes l'un de l'autre point de vue caractère mais unis par un mm sens de la camaraderie. Rencontre et aventure détonante en vue!

Quel beau prétexte que ce vol de tableau pour réunir Fersen et Alain ! Noble et roturier enfermés ensemble, ça promet

Je n'ai pu m'empêcher de rire en lisant certaines expressions:

Citation :

Mais par tous les trolls de l’univers scandinave c’était vraiment trop ridicule à la fin !

ou encore celle-ci:

Citation :

« Oh pardon votre Excellence, j’ignorais qu’il fallait continuer à vous donner du « Vous » même quand nous sommes au beau milieu du trou du cul des Enfers !

L'échange (si on peut appeler ça "échange" lorsque l'on discute à coups de poing sur la gueule) est décidément épicé...et très agréable à lire

J'ai une prédilection pour les dialogues entre ces deux là.

Quant au passe temps d'Alain, il faut bien s'occuper l'esprit voir plus

Chapitre II Deux fauves en cage

Ce duo me fait décidément bien rire:

Citation :

[...] le Comte remarqua une fois de plus les manières désastreuses de ce soldat antipathique : sans souci de bienséance il rota bruyamment.

Les réparties lancées du tac-au-tac sont SA-VOU-REU-SES !!!

Et je me suis esclaffée lorsque j'ai compris ce que trafiquait Alain dans son coin Pauvre Fersen ! Il a de quoi être secoué !

Un chapitre que j'ai littéralement A-DO-RÉ ! C'est drôle, humain, cocasse et tellement bien écrit.

merci à toutes pour ces commentaires.

Cela fait tant d'années qu'on a écrit ces lignes avec Rozam que je ne sais plus qui avait écrit quoi précisément : on s'était réparti les passages selon nos inspirations et idées... qui étaient plus ou moins bonnes je l'avoue

voyons ce que vont advenir ces deux pauvres crabes dans leur panier

Chapitre III Jouons à qui perd gagne

Mais ça n'arrête pas !!!

Citation :

- « Oui, enfin qui aiguisera votre appétit, qui vous chatouillera le joujou… je ne sais pas moi, vous dites comment ? »
- « Non mais dites donc, arrêtez vos familiarités ! Ce que je dis ne vous regarde pas ! »

Effectivement, Alain dépasse les bornes en gestes (le chapitre précédent était assez éloquent là-dessus), en paroles...Bref, je comprends pourquoi sa simple présence exaspère un homme de la cour comme Fersen, lui qui est habituellement régi par l'étiquette et les bonnes manières. Vous ne pouviez pas trouver un couple plus dépareillé, ce qui accentue sûrement le comique de la situation.

Citation :

« Oui, oui brusque, n’ayons pas peur des mots ! Je suis brut de décoffrage de temps en temps, j’en suis conscient. Vous voyez, je sais reconnaître mes torts. Allons, serrons-nous la main. Je vous présente mes excuses. »

Oh, oh que ça sent le guet-apens ! Alain qui s'excuse et qui reconnaît ses torts à ce prétentieux de Fersen ? Pfft ! Mon œil !

Ma foi, je ne suis pas la seule à trouver cela suspect:

Citation :

« Je [Fersen] vous préviens, autant vous le dire tout net : je n’ai aucune confiance en vous. »

Alain prend vraiment beaucoup de plaisir (et moi aussi à vous lire) à provoquer Fersen..et bingo ! Enfin, une réaction du comte suédois.

Mais qu'a vu Alain de si intéressant à la fin du chapitre ? Avec la teneur des propos que tenaient Alain, j'espère que ce n'est pas ce que je pense...

Aussi perspicace l'un que l'autre, Fersen doutant d'Alain et vice versa.

Alain la langue bien pendue, votre joujou , il y a de quoi vexer son homme.


Qu'est ce qui attire dont tant Alain ????

C'est bien ce à quoi j'avais pensé, ainsi Fersen a des soucis disons physiques pour le plus grand plaisir d'Alain...
ha, ces hommes, des vrais, des tatoués, des durs de durs hummmmmmmmmmmm



Là, le coup est dur, Fersen battu presque à mort... Alain en infirmier.
Alain le soigne avec tendresse, le début d'une amitié entre ces deux là.

J'adore cette fic, les dialogues sont un délice, sucré, amer et drôles

L'infirmière Alain manie l'art et la manière de détendre ses patients...

La promiscuité, les échanges verbaux ont fait place à un autre sentiment, l'admiration envers un noble ce qu'Alain n'aurait pas admis avant, à part cette chère colonelle.

Que leur réserves dont la suite des aventures ???????

Des moments succulents...

C'est une fic à dévorer pour la qualité de l'écriture.
Je ne me souvenais plus que tu l'avais écrite avec Rozam. Votre style se marie très bien.

La Lionne a écrit:

Je ne me souvenais plus que tu l'avais écrite avec Rozam. Votre style se marie très bien.

merci pour tes commentaires
on l'avait publiée sous un autre pseudo :bhtyrd:

La relation devient ambigue entre les deux prisonniers.
La promiscuité provoque des réactions que ni l'un ni l'autre n'aurait surement jamais imaginés.

Chapitre IV La vérité comme un coup de poing

Citation :

« Et bien Monsieur de Fersen ? C’est vous qui parliez de mœurs bestiales tout à l’heure non ? Qui critiquiez le pauvre bougre que je suis en le traitant de porc ! Vous avez eu l’air pourtant de bien apprécier les qualités du Colonel de Jarjayes à l’instant…ou plutôt votre royal pantalon devrais-je dire ! »

Et bien si !!!! C'était bien ce que je croyais ! Et moi qui pensais que j'avais l'esprit mal tourné pour oser penser à cela

Citation :

Il était sincère, il n’avait aucune honte à avouer désirer Oscar. Tout comme cet entêté, il en était sûr…

C'est qu'on en apprend des p'tits secrets lorsque l'on est enfermé avec quelqu'un et que l'on a rien de mieux à faire (eh bien, c'est plus Alain qui farfouille, mais ce huit-clos s'avère tout à fait truculent ).

Ça y est: Fersen perd son calme olympien (enfin !). Mais nos deux lascars feront preuve d'un bel esprit de coopération lorsqu'un des brigands ouvrira leur geôle...

Quel sort sera réservé à Fersen ?

Chapitre V Souffrances…

Citation :

- « Allons Fersen, ne vous laissez pas aller. Imaginez… si vous mourrez ici, je serais obligé de dire à tout le monde que les suédois sont pires que des femmelettes, qu’ils n’ont aucune résistance. »

Décidément, même dans les pires situations, Alain ne se départit pas dans son sens de l'humour...mais c'est probablement pour camoufler son inquiétude car Fersen semble être mal en point.

J'aime bien l'évolution que vous avez faite subir à Alain: après cette incarcération forcée avec Fersen, il a appris à le respecter, alors que ce n'était pas du tout le cas au début de l'histoire.

Citation :

Nul n’aurait pu dire combien de temps il resta ainsi, les gestes lents, avec une patience dont il ne se serait jamais cru capable, il soignait celui pour lequel il avait à présent le plus grand respect.

Un huit-clos qui semble maintenant déboucher sur autre chose d'autrement plus intime...

Citation :

- « Cette histoire est en train de nous faire perdre la raison ma parole ! » protesta Alain à haute voix.

Ça, c'est le moins qu'on puisse dire

Citation :

L’espoir de sortir de cette geôle était-elle si dérisoire qu’il était prêt à faire ce que jamais son cœur d’homme n’avait ne serait-ce qu’une seconde envisagé.

Il n'est pas le seul à être surpris du déroulement de cette captivité. Je ne m'y attendais pas du tout, ah ça non ! Chapeau pour l'effet de surprise !

Chapitre VI Amis

Je suis encore troublée de la lecture du chapitre précédent... Dénouement quelque peu inattendu, disons-le franchement...

Citation :

Pourquoi éprouvait-il au contraire la plus sincère des reconnaissances envers cet homme ?

C'est bizarre, mais je me serai attendu à une réaction plus...virulente de la part de Fersen. Lui qui s'égosillait pour un rot plus tôt, le voilà étrangement métamorphosé.

Mais il est vrai que le geste d'Alain était tout à fait désintéressé et qu'il n'a fait cela que pour "soulager" Fersen...

Petite phrase qui résume très bien l'absurdité de la situation:

Citation :

Même aux prix de gestes intensément…absurdes. Révoltants sans doute pour d’autres esprits ne comprenant pas à la fois le désespoir et l’étrange solidarité que faisait naître leur dramatique situation.

Citation :

« Vous n’êtes pas un sale aristo Fersen, vous êtes un homme de valeur et je casserai désormais la gueule à qui osera prétendre le contraire devant moi ! Il est vrai que nous n’avons pas grand-chose en commun mais par certains côtés nous nous ressemblons beaucoup plus qu’il n’y parait. Je ne suis pas très fort pour les discours, mais si vous accordez un peu d’importance à mon amitié sachez que vous l’avez sans réserve !

Les épreuves les auront ainsi fait amis...mais un trouble persiste entre eux deux...

Citation :

L’espoir de sortir de cette geôle était-elle si dérisoire qu’il était prêt à faire ce que jamais son cœur d’homme n’avait ne serait-ce qu’une seconde envisagé.

Il n'est pas le seul à être surpris du déroulement de cette captivité. Je ne m'y attendais pas du tout, ah ça non ! Chapeau pour l'effet de surprise ![/quote]

Salut
merci pour tous vos commentaires
C'était notre intention dès le départ de "maltraiter" ces deux crabes dans leur panier (d'où le warning au début de la fic)
on était dans une optique que les deux hommes restaient suffisamment de temps enfermés, et que leurs corps et esprits subissaient l'usure de la maltraitance. Chacun se rattache à ce qu'il peut (sans mauvais jeu de mot^^) Fersen à son honneur, Alain à ce qui fait de lui un homme ^^

Épilogue

Enfin, une lumière au bout du tunnel...euh...de la grotte: André et Girodelle (dis...rassure-moi: il ne s'agit pas de nouveaux partenaires, mais de sauveurs, n'est-ce pas ? Je n'en suis plus si sûre avec vous ).

Oh que j'ai ri lorsque Alain confond Claudine avec...Grand-mère !!!

Et quelle fin ! Un baiser et une réaction bien masculine: ça rassure notre homme

Bref...

Une fic très bien écrite avec des dialogues savoureux. Une fic qui m'a surprise et même...troublée de par ses passages assez particuliers entre les deux hommes. Néanmoins, ce fut une fic que j'ai beaucoup aimée

Voilà une fic qui, comment dire ... sort des sentiers battus !
Scndaleusement prenante et qui met en évidence toute l'étrangeté de comportement qu'on ne s'imaginerait avoir en temps ordinaire. C'est troublant de réalisme parfois.

liberta a écrit:

Voilà une fic qui, comment dire ... sort des sentiers battus !
Scndaleusement prenante et qui met en évidence toute l'étrangeté de comportement qu'on ne s'imaginerait avoir en temps ordinaire. C'est troublant de réalisme parfois.

Je suis Ok avec liberta.
Fersen avec Girodelle j'avais déjà lu, mais jamais avec Alain
Tout les deux à fantasmer sur Oscar, s'il savait, il passerait, je pense un sal quart d'heure

Et il sorte enfin.
Alain qui confond Claudine et G-M fallait la trouver celle-là
Mais la fin me laisse un peu perplexe avec Oscar qui embrasse Alain, même si c'est rien du tout ...

salut
merci à toutes d'avoir eu le "courage" de lire jusqu'au bout
Le dernier chapitre avait pour but d'insister sur le caractère impossible et exceptionnel de ce qui s'est passé pendant les longs jours de captivité des deux crabes... au point que leur absence (et leur retour) marque profondément Oscar. Il est évident qu'en temps "normal" jamais cela ne se serait passé.
Fersounet toujours amoureu transi de Marie Antoinette
Alain... mâle à part entière, impatient de retrouver une certaine Claudine mais pas mécontent de retrouver sa colonelle :alainaaa:

Dédé... courbaturé d'avoir porté le foulard rouge

Gigi ... toujours serviable d'avoir aidé le Fersounet

Grand mère... qui a mérité sa fessée

Oscar... émueeeee aux larmes de retrouver tous ses hommes

Cette fic est profondément troublante et oh combien prenante !!
Je l'ai lue quasiment d'une traite en fait, et j'ai aimé la plongée progressive dans le trouble qui les anime tous les deux.

Ce que j'ai le plus apprécié, et je ne sais comment vous avez réussi à le retranscrire, c'est que ces deux hommes restent profondément hétéro. Ils assouvissent un besoin, une envie, une certaine tendresse les lie. Mais ils ne sont pas amoureux, ne le seront jamais, et s'ils n'ont pas honte de ce qu'ils ont fait (et pourquoi donc ?) on sait du début jusqu'à la fin qu'ils restent totalement attirés par le beau sexe (et la belle colonelle )

Voila, chapeau bas pour être parvenu à rendre cela, avec tant de justesse.

Le rapport de forçe s'est inversé, il n'y a plus de nobles, ni roturier, juste deux hommes dont les désirs les poussent au délà de ce que même aurait imaginé.

Ce besoin primaire les humanise, au fil de cet emprisonnement, une amitié prend naissance.