C'est ici que ça se passe

Merci infiniment pour ton com' (souvent, je me suis posée la question de la réaction de MA face à la mort d'Oscar et ce concours m'a donné l'occasion d'imaginer ce qui aurait pu se passé : elle parle de son amitié pour Oscar). Et, également merci pour la belle affiche que tu m'as faite

Superbe lettre !
Je suis très sensible aux fics qui prennent la forme de lettres, et j'avais adoré l'idée (et la prose ! ) de celle ci.

Vraiment, bravo Arlène

Un grand merci

J'affectionne aussi la forme épistolaire, à lire ou à écrire^^

« - Que dire Arlène quand les mots ne sembleraient que du vent tant il n’y en a aucuns qui assimileraient les émotions assaillies durant cette lecture ? Cette lettre est chargé de sentiments, de ressentit, d’émotions. On ne saura jamais si la Marie-Antoinette de l’animé, ou du manga, l’a écrite, mais dans l’imagination, je me dis que ce serait possible puisque lorsqu’elle reconnaît Rosalie, cette jeune demoiselle qui avait accompagné son amie durant un bal, elle lui demande de tout lui dire sur Oscar. Elle se berce de son souvenir, elle s’en enivre et y puise la force d’affronter les épreuves avec dignité et bravoure, telle que l’aurait attendu le colonel de la Reine. C’est magnifique, que dis-je, sublime d’avoir retranscrit avec autant de brio cette lettre, ultime dévouement d’amitié d’Antonia envers une amie. Merci de nous avoir fait découvrir le pardon accordé par la Reine à Oscar, et bravo à Aurore pour cette superbe affiche qui résume à merveille le contenu de ton texte . »

Wow quel texte ! J'en avais des frissons à la fin quand je lisais cet ultime preuve d'amitié qu'offrait Antonia à Oscar.

J'ai d'ailleurs beaucoup aimé cette distinction que tu as faite entre Antonia, la femme, et Marie-Antoinette, la Reine. Tu montres que la femme meurt elle aussi peu à peu en même temps que ses chers amis disparaissent. La Reine n'en devient alors que plus convaincue, plus déterminée face à son destin.

J'aime la forme que tu as utilisée. La forme épistolaire de même que l'utilisation du "je" sont tout à fait adéquates pour une "confession". Une confession écrite dans le respect malgré la trahison, une confessions empreinte de toute l'amitié qu'elle témoignait à Oscar.

Superbe

Cette confession est tout simplement bouleversante.
Elle présente un visage de la reine que l'on ne voit pas souvent : la personne responsable, intuitive aussi, le capitaine qui garde le cap malgré les tempêtes.
Superbe !
Cette pudeur dans la tendresse montre à quel point l'amitié est une forme d'amour.

Du grand Arlène !

quelle confession bouleversante!
on peut y ressentir tout l'attachement que la reine portait à Oscar.


Arlène!

Bon, je vais suivre le mouvement et dire que c'est une très belle fic.

On a la sensation que "Antonia" vide son sac, laisse s'exprimer toutes les émotions qu'elle ressent pour cette amie si chère, en écrivant une lettre qui ne sera jamais envoyée, ni lue par la destinataire...

Malgrès la trahison, La Reine n'en oublie pas cette amitié qui a duré ...

Soldat Alex Térieur a écrit:

« - Que dire Arlène quand les mots ne sembleraient que du vent tant il n’y en a aucuns qui assimileraient les émotions assaillies durant cette lecture ? Cette lettre est chargé de sentiments, de ressentit, d’émotions. On ne saura jamais si la Marie-Antoinette de l’animé, ou du manga, l’a écrite, mais dans l’imagination, je me dis que ce serait possible puisque lorsqu’elle reconnaît Rosalie, cette jeune demoiselle qui avait accompagné son amie durant un bal, elle lui demande de tout lui dire sur Oscar. Elle se berce de son souvenir, elle s’en enivre et y puise la force d’affronter les épreuves avec dignité et bravoure, telle que l’aurait attendu le colonel de la Reine. C’est magnifique, que dis-je, sublime d’avoir retranscrit avec autant de brio cette lettre, ultime dévouement d’amitié d’Antonia envers une amie. Merci de nous avoir fait découvrir le pardon accordé par la Reine à Oscar, et bravo à Aurore pour cette superbe affiche qui résume à merveille le contenu de ton texte . »

Oui Alex, c’est bien en pensant à MA avec Rosalie à la Conciergerie que j’ai eu l’idée de cette lettre. Je me suis dit que MA ne gardait d’Oscar qu’un souvenir positif, oubliant qu’elle s’était battu aux côtés du peuple. Il ne reste que le souvenir de leur amitié qu’elle a envie de prolonger par les paroles de Rosalie, comme pour mieux se rapprocher d’Oscar.

Zalzal a écrit:

Wow quel texte ! J'en avais des frissons à la fin quand je lisais cet ultime preuve d'amitié qu'offrait Antonia à Oscar.

J'ai d'ailleurs beaucoup aimé cette distinction que tu as faite entre Antonia, la femme, et Marie-Antoinette, la Reine. Tu montres que la femme meurt elle aussi peu à peu en même temps que ses chers amis disparaissent. La Reine n'en devient alors que plus convaincue, plus déterminée face à son destin.

J'aime la forme que tu as utilisée. La forme épistolaire de même que l'utilisation du "je" sont tout à fait adéquates pour une "confession". Une confession écrite dans le respect malgré la trahison, une confessions empreinte de toute l'amitié qu'elle témoignait à Oscar.

Superbe

J’ai fait la distinction entre Antonia et la Reine parce que j’ai le sentiment que la Reine naît vraiment avec la Révolution. Comme si avant elle avait cherché à être elle-même, rien qu’elle-même, à aimer, à choyer et être choyée de ses amis. Et lorsque le peuple commence à se révolter et à montrer qu’il ne l’aime pas, lorsque ses amis désertent peu à peu, elle commence à changer, comme si elle mourrait peu à peu en tant que personne. C’est une façon d’ « expliquer » la radicalisation de la Reine : elle en avait le courage et la dignité, c’est dommage qu’elle n’ait pas utilisé ses qualités autrement, et surtout qu’elles se soient révélées si tard.
Dans ce texte, j’ai voulu gommer le côté radical de la Reine pour montrer Antonia témoignant d’une amitié inconditionnelle envers Oscar, malgré la « trahison » de cette dernière.

La Lionne a écrit:

Cette confession est tout simplement bouleversante.
Elle présente un visage de la reine que l'on ne voit pas souvent : la personne responsable, intuitive aussi, le capitaine qui garde le cap malgré les tempêtes.
Superbe !
Cette pudeur dans la tendresse montre à quel point l'amitié est une forme d'amour.

Du grand Arlène !

Un autre visage de Marie-Antoinette, oui, c’est ce que j’ai voulu. Une MA qui aime d’amitié en dépit de tout. Et une MA plus mesurée, qui se dit qu’après les temps troublés, l’amitié entre elle et Oscar aurait pu à nouveau exister. Une MA, très lucide, qui réfléchit aussi sur le bien-fondé des idées nouvelles et de la monarchie. Une MA qui est à la fois déterminée à défendre ce qu’elle représente et qui s’interroge sur « qui à tort et qui à raison ». Une MA plus adulte en fait.

DEDE a écrit:

quelle confession bouleversante!
on peut y ressentir tout l'attachement que la reine portait à Oscar.


Arlène!

Je pense que cet attachement est important : c’est au nom de leur amitié que MA fait gracier Oscar lors de sa rébellion pendant les Etats-Généraux. Je crois que si Oscar avait vécu, elle aurait été elle aussi tiraillée entre son attachement aux idées nouvelles et son amitié pour MA (notamment lors du procès de cette dernière ou de son exécution). Je ne suis pas certaine que, par amitié, elle n’aurait pas tenté de la sauver.

Sara a écrit:

Bon, je vais suivre le mouvement et dire que c'est une très belle fic.

On a la sensation que "Antonia" vide son sac, laisse s'exprimer toutes les émotions qu'elle ressent pour cette amie si chère, en écrivant une lettre qui ne sera jamais envoyée, ni lue par la destinataire...

Malgrès la trahison, La Reine n'en oublie pas cette amitié qui a duré ...

Oui, Antonia dit à Oscar ce qu’elle ne lui a jamais dit et ce qu’elle aurait aimé lui dire : qu’elle éprouve pour elle une amitié inconditionnelle, tout simplement parce qu’elle était Oscar, peu importe le reste.

Merci pour vos compliments. Je suis très touchée. Ça faisait un moment que je n’avais pas écrit. Et, s’il y a bien un texte sur lequel je ne misais pas pour gagner un concours, c’est bien celui-là. Je l’ai écrit parce que Lona m’avait dit qu’elle n’avait reçu qu’une seule contribution et que donc elle ne pouvait pas organiser un concours de fics. J’ai donc écrit très vite, encore plus que d’habitude, avec comme seul objectif de permettre au concours d’avoir lieu. Finalement, je crois que pour ce type d’écrit, une confession écrite au fil de la plume et sous le flot de l’émotion, écrire de cette façon était probablement une bonne chose.
Pourquoi ais-je pensé à Marie-Antoinette ? Certainement parce que je me suis toujours demandé ce qu’elle avait ressenti lorsqu’elle avait appris la mort d’Oscar et sa participation lors de la prise de la Bastille.
Je suis très surprise d’avoir gagné un concours de fics. Très contente aussi. Comme actuellement, je suis dans une période de transition où beaucoup de choses vont se décider d’ici la fin de l’année, et qu’honnêtement, je suis à la fois très heureuse et un peu anxieuse parce que j’aimerais que tout se passe au mieux, ça m’aidera à penser que rien n’est impossible ! Le bijou de portable qui est le lot de ce concours m’aidera à me le rappeler lorsque je vais inévitablement angoisser dans les mois qui vont venir. En résumé, je vais voir dans ce concours un heureux présage (je vous l’ai dit, je suis superstitieuse lol).

Une lettre superbe, émouvante, triste et digne, pleine d’amitié et de reproches feutrés, pleine de compréhension et d’incompréhension, pleine de souvenirs passés et de résolutions futures.
Une lettre qu’Antonia brûle puisque la reine de France, seule désormais à exister, ne peut l’avoir écrite. Comment aurait-elle pu pardonner à une rebelle ?

Je n’aime pas particulièrement Marie-Antoinette. Je la trouve souvent égocentrique et futile. Mais cette lettre a emporté mon suffrage. J’y ai découvert une femme éprouvant réellement un sentiment d’amitié, au-delà des fonctions du colonel et des services rendus à la couronne ; une amie consciente de la vie de sacrifice et de devoir menée par Oscar et plus attentive que je n’aurais pu l’imaginer. Une amie enfin inconditionnelle, capable de pardonner, et prête à pardonner, les choix qui vont éloigner puis séparer Oscar d’elle. Une amie qui aurait souhaité protéger de tout son pouvoir celle qui a commis des actes pourtant impardonnables aux yeux de la souveraine.

J’aime aussi, dans cette lettre, l’espèce de "déclaration d'intention" de Marie-Antoinette, entrant, avec courage et dignité, pour la première fois je dirais, pleinement dans sa fonction de reine, au-delà des fioritures du mot.

Un grand bravo pour cette fiction qui a bien mérité son prix, Arlène.

Citation :

Je tenais à vous parce que vous étiez-vous.

J’ai choisi cette citation parce que je la trouve assez emblématique, dans sa force et sa simplicité, des sentiments de Marie-Antoinette pour Oscar. Elle m’a bien sûr évoqué Montaigne : « Parce que c’était lui, parce que c’était moi. »

Ton commentaire traduit exactement ce que j'ai voulu faire dans ce texte. Difficile de commenter le commentaire quand il est aussi proche du tour que l'on a tenté de donner à sa fic. Je vais donc me contenter de te dire : un immense merci

Je ne savais plus à qui attribuer "parce que c'était lui, parce que c'était moi", mais c'est bien à cette citation que j'ai pensé en écrivant la phrase que tu cites

c est magnifique Arlène, cette lettre cette confession d amitié est superbe.Je ne trouve pas les mots pour décrire ce que j ai ressenti.
Même si cette lettre est d une infini tristesse on y ressent tout l amour toute l amitié que cette reine pouvait avoir pr Oscar. On ressent sa force sa détermination sa décision de se redresser et de faire face à son destin le regard haut!


la créa est magnifique bravo Aurore!

Merciii

 esta historia me gusto mucho estuvo muy interesante y muchas gracias por escribirla

Merci à toi Lady Susi ! ça me fait plaisir que le texte t'ait plu.

   Gracias por beaucop que éctiture esta carta te felicito

   Gracias por beaucoup que éctiture esta carta te felicito

   je vous cette fic est trés belle je vous félicite

Merci infiniment  

C'est un thème qui est souvent oublié, tu avais raison, j'ai beaucoup aimé le lire.

Merci !! C'est un texte que j'ai écrit juste après le décès d'un proche. Il a donc un sens particulier à mes yeux.

Marie-Antoinette comme je l'aime : authentique, aimante et généreuse dans sa lettre...Merci Lénie

Merci mille fois à toi d'aimer et de commenter ce texte