- Nous avons donc Zalzal qui officie en tant que Maître Capello

- Merci Liberta. Tes compliments me vont droit au coeur

Ta fic a changé de section chère Arlène

Tu as coupé le moment de vérité en deux On a juste le passage où ils sont heureux, ils revivent des moments complices tous les deux, Oscar est de nouveau comme avant, plus souriante, plus taquine.

Ce passage dans cette auberge est intéressant, nos deux compères doivent partager la même chambre et comme le souligne si bien André, Oscar lui a pardonné mais elle n'a pas oublié.

André s'est enfin rappelé Oscar s'est jeté dans ses bras et elle se sentait bien mais pourquoi, il n'arrive pas encore à mettre des mots ce geste. Pas très percutant ce jeune homme mais bon c'est un Apollon alors on lui pardonne.

André préfère réveiller Oscar qui a le sommeil très perturbée, elle parle en dormant et celui-ci a l'impression de violer une partie de son intimité. S'il avait attendu un peu, Oscar aurait peut être avouer inconsciemment qu'elle l'aime. Mais je ne suis pas sûre que l'erreur vienne de notre cher André mais plutôt de l'auteure qui aime jouer avec nos nerfs

J'ai beaucoup aimé ! André aurait peut-être préféré ne rien entendre des murmures d'Oscar mais parcontre là, il sait ce qui déchire Oscar et qu'elle lutte contre elle-même . à bientôt pour la suite!

mel

pauvre Oscar elle est partagée entre sa crainte d'être à nouveau violentée et son "désir " et son devoir de protection envers André donc elle est le Maître.(Ce mot me mets mal à l'aise,André n'est pas un esclave). Elle a besoin de lui car sans lui elle ne se sent pas "complète" et en même temps ,elle veut qu'il s'en aille.au secours papa Freud.'Ce n'est qu'une blague).je ne suis pas suffisamment informée sur la psychologie et la psychiatrie.

Citation :

on ne voit bien qu’avec le cœur. L’essentiel est invisible pour les yeux.

Cette phrase colle bien à notre Oscar.

- Jarjayes : Je sais, je suis un monstre Tu as raison, l'erreur ne vient pas d'André mais de l'épouvantable auteure qui lui invente son comportement dans cette fic^^ Enfin, disons que la vilaine auteure a trouvé qu'André qui percuterait tout de suite alors qu'elle l'a viré et qu'il l'aime depuis des années en silence, c'était trop. Et puis, "la scène des explications", je l'ai coupée parce que je les vois mal s'expliquer d'emblée les yeux dans les yeux. Je ne le sens pas. Et comme ça, je joue avec vos nerfs

- Mel77 : Oui, il sait qu'Oscar est déchirée. Il fallait bien lui donner un indice A bientôt pour la suite.

- Agnès : Oscar est un poil torturée là, je l'admets bien volontiers. Papa Sigmund pourrait peut-être l'aider. Manque de pot, il n'était pas né à l'époque d'Oscar, donc il ne fera pas partie des personnages de cette fic

Merci de vos commentaires et à bientôt pour la suite

Oscar est prolixe dans son sommeil, elle revèle ce qu'elle cache avec tant de forçe. Sa crainte devant André, sa peur de le perdre, et enfin, cette envie de liberté qu'elle lui offre. Quelque part, elle aimerait être André, ce valet, et non le maître pour avoir le droit de disposer de sa vie et non plus d'obéir à cette hiérachie qui lui pèse...

Oui, Oscar envie la liberté dont André pourrait jouir et qu'il refuse. J'aime le petit passage où elle le traite d'imbécile, je trouve que c'est révélateur. Quelque part, elle aimerait qu'il soit libre pour l'être elle-même par procuration. Mais André a choisi et il a choisi Oscar... A moins que l'auteure tordue que je suis décide de donner à l'intrigue une autre tournure. Qui sait ?

Enfin le déroulement final, j'ai bien aimé cette fin toute comme cette phrase :

Citation :

«
André, je ne sais pas ce que j’ai dit dans mon sommeil. A présent, je suis éveillée, et je peux te dire que j’apprécie ton respect. Mais tu te trompes sur la signification de mes paroles. Je ne veux plus que tu t’approches, parce que j’essaie d’apprendre à vivre sans toi, sans la béquille et la lumière de ton amitié. Si tu restes près de moi, je ne serais jamais indépendante. Je ne parle pas d’une indépendance totale. Je la sais impossible. Je pense à … »

Oscar continue de mentir et de se mentir. Elle n'a pas peur qu'André s'approche, elle a peur d'elle même, elle sait très bien qu'elle ne peut pas vivre sans André et elle a compris qu'elle avait des sentiments très forts pour lui.

Heureusement, André est là pour la ramener à la raison et lui faire comprendre qu'elle se trompe une nouvelle fois, elle a le droit de choisir ce qu'elle veut et c'est elle, avec aucune contrainte qui décidera de la charmante suite de cette soirée (en privé malheureusement, nous n'aurons pas le droit aux détails croustillants ).

Arlène, tu n'as pas perdu la main et je serais très contente de lire prochainement une nouvelle fic de ta main de maître. (je ne te mets pas la pression )

Pour jouer à cache-cache avec ses sentiments, Oscar est championne, ça c'est certain, c'est d'ailleurs pour ça que j'aime bien travailler ce personnage

Merci. Je suis heureuse que cette fin t'ait plu, même sans détails croustillants. Mais tu sais que ce n'est pas trop mon fort (du moins à raconter...).

J'ai voulu cette fin assez enlevée et en dialogues, alors que sur le début, on était plus en introspection et en lenteur. Je ne savais pas si ça plairait ou non. Mais c'était comme ça que je la sentais. Un peu comme un cheval au galop. Et je trouvais que ça allait bien avec l'idée d'une Oscar qui retrouverait sa vivacité et sa fougue. Donc je suis doublement contente de ton commentaire.

Une autre fic ? Déjà ?! Mais non, tu ne me mets pas le pression. Du tout Heu... J'ai déjà "Intime Etrangère" qui m'attend... Il est possible que je traite le sujet d'Oscar et de l'accordéoniste. Peut-être pas sur une fic, mais en vignette. ça va mieux avec mon rythme d'écriture, du moins ces derniers temps (je sais, ça fait un moment...).

Les phrases prononcées par Oscar dans son sommeil laisse André perplexe Doit-il partir ou rester à ses côtés? Elle se considère comme un pantin appartenant à la reine qu'elle compare à une bergère -actrice et au roi qu'elle compare à quelqu'un qui se prend pour un serrurier. Elle a été dominée longtemps par son père et reste persuadée de ne pas avoir droit le vivre sa vie comme elle l'entend.
Mais ne l'entendant pas de cette oreille, André la ramène à la réalité et lui dit clairement qu'elle n'appartient à personne. Ces mots lui font l'effet d'un électrochoc et la font sortir d'une longue léthargie dans laquelle elle était plongée avec ses sentiments pour son ami.
Baiser passionné et déclaration enflammée pour le plus grand bonheur de celui-ci.

Belle histoire très bien écrite.

C'est une très belle fiction, très bien écrite.

André est donc la voie de la liberté et de l'indépendance pour Oscar. Alors qu'elle pensait devoir se séparer de lui pour être autonome, elle découvre que c'est en acceptant d'être encore plus liée à lui qu'elle devient réellement elle-même.
J'ai toujours perçu André comme étant plus libre qu'Oscar, "encadenacée" par sa naissance (fille et noble). Ce qui est paradoxal dans la société de l'époque. André était un prisonnier volontaire qui devient un libérateur.

D'une certaine manière, ils se sont tous deux débarrassés d'eux-même, comme ils le souhaitaient au début. Ils se sont défaits de leur rôle de soumis, qui régissait leur existence depuis presque toujours. Ah, l'amour !!!! Rien de tel pour aérer la Bastille...

Merci à toutes les deux
Oui, l'amour libère Oscar comme André.
Comme toi lyrêve, je vois bien Oscar comme une véritable prisonnière alors qu'André ne l'est que volontairement. Il est bien plus libre qu'elle. C'est un thème que j'aime bien traiter, parce que beaucoup de personnages de LO me semblent prisonniers, soit d'eux-mêmes, de rêves impossibles ou de leur classe sociale. Les plus libres ne sont pas ceux que l'on croit.
A propos, j'ai relu (après publication, oui, je sais shame on me...), il y a certaines coquilles qui ne manquent pas de sel ("patin" pour "pantin" notamment), donc je les ai laissées

Oscar prend enfin conscience que sans André, elle ne serait pas elle-même; libre d'aimer, libre d'être homme et femme, il faut parfois un déclencheur pour comprendre que la petite chose qui nous manque est toute proche, si proche qu'Oscar a failli la perdre.

Oui, parfois on ne comprend pas que ce qui nous manque est tout proche. Il faut être sur le point de le perdre pour en voir la valeur.
Merci pour ton commentaire

Chapitre 1

Nous découvrons sous ta plume une Oscar humaine et fragile.
Elle se pose tant questions après cet incident. Et malgré sa colère envers André et envers elle-même, elle comprend qu'elle n'est pas aussi indépendante qu'elle le croyait.
Et quand un être nous manque, le reste nous semble nu et pauvre.
Par conséquent elle tente de refouler sa colère sur André qui la laisser seule et lui a fait découvrir sa dépendance à lui.

chapitre 2

André ressent les mêmes douleurs qu'oscar a la différence qu'il sait ce qu'il ressent et ne les refuse pas.
Certes, l'indifférence est la pire des choses à supporter surtout par la personne que l'on aime.

chapitre 3

Oscar se rend compte à quel point la présence d'André était importante, dans les moindres moments. Elle se sent seule, terriblement seule. N'y aurait-il pas qq regret inavoué ??

Finalement, André revient pour la défier. Elle est trop contente de prime abord de le revoir et l'instant d'après, elle le rejette. Souvent femme varie...
Mais André lui tient tête tant il souffre de sa solitude loin d'elle.

chapitre 4

Finalement, leur rencontre se solde par une trêve. Une trêve qu'André apprécie à sa juste valeur alors qu'Oscar veut avoir la conscience tranquille puisqu'elle refuse de lui avouer qu'il a manqué...

chapitre 5

J'aime bien ce chapitre.
Oscar se trouve confrontée à l'incident passé et une situation ambigue.
André s'interroge sur les véritables raisons d'Oscar et finit par être le confident des rêves d'Oscar où se mêlent des contraires. Elle lui demande de partir et en même temps elle voudrait le retenir. Il comprend les raisons mais se sent de trop dans ces confessions intimes.

chapitre 6

très belle fic,Arlène  
Des sentiments contradictoires et une mise à nu permettent à Oscar de parvenir à son petit bonheur qu'elle se refusait à vivre.
Je te rassure tu n'as rien perdu de ton talent:D  c'est toujours un plaisir de te lire.

 gran historia  me facina 

Un grand merci à vous deux !   

J'ai adoré , mais comme je ne suis pas douée pour les grands discours quand il ne s'agit pas de me plaindre , voici ce gif qui parle à ma place.
Mais contrairement à la scène du film dont ce gif est tiré , moi j'ai vraiment aimé !  

N'étant pas très douée non plus pour les grands discours (si, si, je t'assure !), je vais faire court : merciiii !!!!      

   belle historire

   belle histoire

Merciii      

Je l'avais déjà lue mais je me rends compte que je ne l'avais jamais commentée
Elle commence dans le plus profond des désespoirs et se termine dans la lumière. Ils sont véritablement indissociables l'un de l'autre et ne peuvent survivre l'un sans l'autre.

Ouh, c'est une très ancienne fic, ça. Voyons, voyons que je rameute un peu mes souvenirs... 
Je me souviens notamment du dialogue entre Oscar et André quand ce dernier arrive le premier soir (quand ils parlent suicide, mélodrame et vêtements d'enterrement, quelque chose comme ça). Je me souviens aussi d'un aubergiste avec un accent à couper au couteau et d'une fin qui se finit bien. Je me souviens aussi de la première scène sur la plage, en plein désespoir puis de la même plage pas très longtemps après où le désespoir n'est plus qu'un vague souvenir. Oui, il sont indissociables et ne peuvent pas survivre l'un sans l'autre, quoi qu'il se passe. 
Je suis contente que cette fic t'ait plu et que tu aies pris le temps de commenter. ça fait toujours très plaisir