*Je souris*

Justement....c'est pour cela..que tu t'es inquiété.....pour rien...

*Je ne pouvais répondre.
Me faire du soucis pour rien ? Sachant que la nuit pourais lui être fatale ? Sachant que je pourais le perdre ?
J'avais passé une journée et une nuit à le veiller, sans manger, sans bouger et il me disait que ce n'était rien ? Et puis quoi encore.
Je me contentais de le regarder.
Soudain une évidense me vain...Je pourtais malheur...Tout cela à cause de moi...
Je retira ma main du lit, m'éloingant doucement de lui...Mais je ne disais toujours rien.*

*Je vis la peur se mêler à autre chose dans son regard. Mais quoi? Je la vis se lever et partir. Qu'est ce qui lui prenait?*

Aurore...reviens ici.

*J'arriva à la porte. Je calla mon dos contre elle. Je regardais toujours Julian.
Oui, je portais malheur...tout était de ma faute...tout...
Ma voix était brisée...*

- Padonne moi Julian...Fait attention à vous...

*J'ouvris la porte et partis en direction de Versailles en courant.*

*Lorsqu'elle avait dit cela, j'avais compris où elle voulait aller. Je me força à me redresser. Ma douleur ne conu plus de limite dnas mon dos, la blessure étant fraiche. Mais peu importe, je n'allais pas laisser des remords nous gacher la vie. J'appella Marie pour qu'elle m'aide. J'enfila une chemise blanche, un pantalon et des bottes noir, un gilet sans manche couleur ténbres et attacha ma broche de couleur rubis à mon col. Ma tenue habituelle en somme.*

*J'alla ensuite voir Aliénor, elle dormait encore, j'effleura doucement ses cheveux et murmura*

Ne t'en fais pas ma chérie....Je vais ramener maman...

*Je ceint mon épée à mon côté et prit soin de glisse un poignard sous mon gilet avant de descendre aux écuries. Le carosse fut rapidement prêt, j'y monta afin de me rendre à Versailles*

*Je courus de toute mes forces.
Je trouva le roi en premenade dans les jardins.
Je me précipita vers lui, me jettant à ses pieds je lui dis d'une voie déterminée.*

- Sire...prenez moi, sauvez moi de cette femme.

*Ces mots me dérichèrent le coeur.*

- Je vous en prie...Je vous donnerais ce que vous voulez.

*Le roi la regardais, souriant aux annges.*

- Relevez vous. Je savais que vous feriez le bon choix. Calmez vous et venez avec moi.

*Il l'emmêne d'un pas rapide dans un petit recoins de Versailles, là ou il allait avec tout ses maitresses.*

*Lorsque j'arriva à Versailles, je demanda à être reçu d'urgence par le roi.*

Désolé monsieur, mais le roi est avec une jeune comtesse et a demandé à ne aps être dérangé.

*Ainsi c'était déjà trop tard...J'attrappa le garde apr le col et plaça mon épée sous sa gorge.*

Bien, dans ce cas j'emploierai la force. Puisqu'elle semble avoir fait son choix, prouvons lui le contraire. Allez dire au roi que je souhaite que mon éxécution ai lieu rapidement, s'il vous demande le nom de l'accusé, donnez lui ceci: Julian de Marivaux et s'il souhaite me voir, j'attendrais ici même.

*Le garde acquiesça et sitôt que j'eus laché mon étreinte, prit ses jambes à son cou pour alelr prévenir le roi et lui conter cela*

*Le roi avait commencé à profité de mon offre. Il m'embrassait et me caressait les épaules et la poitrine par dessus mon corsage.
Je tremblais à chacun de ses gestes, mon par plaisir, mais par peur et par dégout de ce que je fesais.
Mais je devais porter malheur à quelqu'un d'autre.

Quand le valet entra, il étais pâle comme la mort. Il savait que le roi allait hurler. Et c'est ce qu'il fit.*

- DEHORS ! JE SUIS OCCUPE !

*Le valet ne se laissa pas démonter et raconta tout d'une voix faible tout de même.
Je me leva du lit comme un pentin.*

- NON...

*Le roi me regarda en souriant et me dit*

- Restez là, je reviens. Je compte bien avoir ce que vous m'avez promis.

*Et il sortit voir Julian.
JE tremblais, je pleurais, je me sentais impuissante et misérable.*

*Je me présenta dans la salle d'audience, comme le garde me l'avait dit, le roi m'y attendait. Je pouvais voir son air fier. son air supérieur. Cela me fit sourire, il pensait avoir gagné, mais c'était lui le perdant. Je m'inclina*

Altesse, je souhaiterais mourir demain, à 16H précise. Cependant...

*Je regarda le roi*

Avant de mourir, puisque mon épouse a décidé de devenir vôtre, j'aimerai être une dernière fois avec elle, avant qu'elle ne soit entièrement à vous. je vous demande de m'accorder la faveur de cette nuit, cette unique nuit pour moi avec la présence de mon épouse. après cette nuit, ma vie ne sera plus, vous ne risquez donc rien. Voici les dernières volonté d'un condamné.

*J'attendis la réponse du roi.*

*Il rit*

- Et puis quoi encore ! Une nuit et vous disparaissez ! Vous me prenez pour un fou !

*J'avais réussit à rejoindre le roi. J'entendis tout.
Je me précipita devant lui, au sol je lui dis sans un regard à Julian.*

- Sire...je sais que ce que cette femme à fait est mal. Mais montrez au yeux de tous votre grand coeur, je vous en prie.

*Je le regardais dans les yeux. Mais les mots semblaient des poignards s'enfoçant plus profondément chaque instant.*

- Une heure avec elle, une heure pour nous expliquer et la liberté...je vous en prie...Si vous m'aimez Sire...

*Je n'avais pas bougé, gardant ma position initiale, le même calme sur le visage. Mais mon coeur, lui, seserrait de plus en plus. Si j'avais pu, j'aurai demandé à mourir sur le champ. Mais il fallait que je comprenne avant tout. Je resta donc sans bouger à attendre la réponse du roi.*

*Le roi me regardais. Je voyais dans ses yeux une chose qui me fit peur. De l'amour. Il m'aimait. Mon Dieu, pourquoi moi...
Je me forçais à lui sourire avec tendresse.*

*Le roi se doutait bien que la vie serais encore plus dire pour Julian que la mort.
Il soupira.*

- Je ne peux rien vous refuser ma chère.

*Il regarda Julian.*

- Vous avez une heure. Sous bonne grade, enfermez dans une pièce. Et vous ne mourez pas. Vous avez de la chance, mon coeur est épris de cette femme et elle me dicte sa loi !

*Il regarda un garde.*

- Emmenez les dans la chambres des secrets. Et fermez à clef. Surveillez l'entrée et les fen^tres.

*Il jouta à mon intention.*

- Madame, je gouverne la France et vous gouver,ez mon coeur.

*Puis il se leva et partis.
Nous fumes conduits dans la pièces désignées.*

*J'entendis le roi*

Altesse...si ce n'est vous qui m'offrez la mort....je me l'offrirais moi-même...merci pour tout.

*Je m'inclina et alla dnas la pièce indiquée. Je me plaça devant la fenêtre, observant sans les voir, les jardins du palais. J'étais dos à elle, les bras croisé, attendant qu'elle s'exlique avant de lui dire ce que je pensais.*

*Je n'osais regarder Julian. Je fixais le sol.
Je savais qu'il attendais des explications. Nous n'avions qu'une heure.*

- Julian...Je l'ai fais pour vous savez Aliénor et toi...

Cesse donc de mentir.

*Ma voix notait un timbre froid, glacé.*

Je te l'ai déjà dit aurore: je préfére mourir que te laisser au roi, tu le sais et pourtant tu te jetes dans ses bras comme la première des courtisanes, et tu me demandes de vivre en pensant que chaque jour il va pouvoir te toucher comme il le souhaite? Eh bien emrci, mais je décline cett evie pour prendre la mrot, au moins, elle m'offrira la possibilité de ne pas voir cela, après tout, c'est toi qui viens de ma l'offrir cette mort.

*Je marqua une pause.*

Aliénor...oui parlons en....Tu veux qu'elle devienne la risée de la cour? La fille de la maitresse du roi! Une batarde! Alors bravo, c'est reussi. Tu persiste dans ton erreur, car tu ne t'es pas demandé une seule fois ce que moi j'en pensais ou ce qu'Aliénor en pensait. Moi tu t'es sans doute dit: il vivra il sera heureux d'être en vie! alors tout va bien! Mais j'ai l'impression que tu n'as aps compris à quel point je t'aimais: lorsque l'on aime vraiment quelqu'un, on ne peut pas rompre ce serment, sauf par la mort.

*Je me tu et tourna doucement mon visage vers elle pour la regarder.*

*Ses phrases étaient assassines. MA seule défense fut l'attaque.*

- C'est donc ce que tu penses. Que je ne suis qu'une courtisane. Alors soit. Même une femme de mauvaise vie si cela peu te faire plaisire. Mais tu résonnes mal Julian. Tu vois que je te fais du mal, mais imagine le mal que je me fais. Quand il va me toucher, quand on va faire l'amour, à qui je vais penser, avec qui je vais être ? Depuis que le roi a posé ses yeux sur moi, il ne désir que me voir avec lui. Je ne lui offre que ce qu'il veux. Pour te sauver. On t'a poignardé. pourquoi à ton avis ?

*Je le regardais maintenant.*

- Tu ne crois pas que perdre Aliénor va me tuer, tu crois que de te perdre je ne vais pas en mourir ? Et bien tu as torts. Si tu meurs, alors moi aussi.

*Je pris son épée.*

- Si c'est vraiment ce que tu veux, si tu veux mourir, très bien. Mais tu devras me voir mourir en premire. Alors ? Un mot de toi...j'attends.

*Je me retourna violement, attrapant la lame de l'épée d'une main, passant mon bras contre son pour la coller au mur. j'écarta lé lame d'elle, ma main se mit à saigner, mais je n'y fis pas attention.*

Je n'ai aucune envie de mourir, mais c'est toi qui m'y force en t'offrant au roi, je ne supporterai pas de le voir avec toi à ses côtés.

*Je souris soudain doucement*

Finalement, l'Aurore que je connais est enfin revenue....elle n'avait pas disparue....

*Je me pencha et déposa un baiser sur ses lèvres*

Mais elle devrait penser à retourner cette épée contre son véritable ennemi, pas contre elle-même.

*Je m'écartais comme je pu.*

- Julian, je le fais pour toi...Alors va, élève notre fille, dit lui que je l'aimerais toujours et refait ta vie.

*Je me diriga vers la fenêtre. Tournant le dos à Julian.*

- Je suis décidée. Et je suis au roi. POur toi, pour ne pas te voir mourir à cause de l'amour du roi pour moi. Plutot souffrir d'être sans toi que de te voir mourir.

Je te signale une chose aurore: si je repars sans toi, c'est l mort qui t'apportera de mes nouvelles. Mais qui pourrait trouver lache la mort d'un homme qui a perdu la femme qu'il chérissait et qui l'a abandonné?

*Je rangea mon épée et l'observa*

Et ne dis pas que tu le fais pour moi, puisque en suivant ce chemin tu me mène à ma mort.

*Ma voix étais remple de larmes*

- Mais tu ne cormprend pas ? C'est pour te voir en vie que je fais cela. Et puis le roi se lassera. Il en aimera une autre...et je pourais te rejoindre.

*Les larmes montaient en moi, mais elle ne coulaient pas. Elle me nouaient la gorge.*

- C'est parce que je t'aime que que je te laisse...

Et mon honneur et ma douleur qu'en fais-tu? Tu crois que je peux attendre sagement des mois voir des années que leur roi ai fini de faire de toi son jouet avant que tu ne me revienne?

*Je marqua une pause*

Je t'aime Aurore, c'est pour cela que tu devrais comprendra que l'idée qu'un autre homme et surtout le roi puisse te toucher, avec ou sans ton accord.*

*Je n'en pouvais plus.Comment lutter.*

- Mais moi aussi je t'aime...

*Je me retournai et courus dans ses bras.
Je l'embrassa avec tendresse.*

- Je t'aime...

*Je la vis se retourner, lorsqu'elle se jeta dans mes bras, je reta un instant surpris de ce revirement. Mais en sentant ses lèvres contre les miennes, je l'entoura de mes bras et l'embrassa, je souris doucement*

Petite sotte....si seulement tu m'avais parlé au lieu de t'enfuir.....

*Je me sentais si bien contre lui. Mais je savais aussi que je ne pouvais pas rentrer avec lui...sous peine de mort pour tout les deux.*

- Julian...Je ne peux pas rentrer avec toi, quand bien m^me je le voudrais...Je n'ai pas le choix.

*Murmure*

- Et puis je porte malheur...

*J'éclata de rire*

Toi? Porter malheur? Dans ce cas moi je suis carément maudit! ce n'est aps possible Aurore et tu le sais bien!

*Je pris son visage dans mes mains et la regarda*

D'accord, alord je reste, si le roi te veut, il me prends avec!

*Je le regardais dans les yeux.*

- Tu es fou ! tu as perdus la raison. Dois-je te rappeler que le roi aime les femmes ? En qu'il m'aime...

*Je frissonnais en disant cela.*

- Et puis c'est te condamer toi m^me. Alors laisse moi ici. Je trouverais bien un moyen de te rejoindre la journée...

non c'est non, et puis je suis une femme non? Ne t'inquiète aps pour moi, au moins je pourrais rester avec toi, même si mon honneur sera réduit à néant! Je te laisse le choix: soit tu pars avec moi, soit c'est moi qui reste.

*JE tremblais à présent.*

- Julian...tu ne peux pas...Tu vas tu tuer...Je t'en prie...

*Je pris sa main.*

- Mon amour...

*Je le regardais dans les yeux*

- Et puis tu ne vas pas tout de même te laisser prendre pour une femme...Ni même rester avec nous...Tu es fou...Fou...

*Je souris doucement et la serra contre moi*

Oui je suis fou....fou amoureux....C'est peut-être un signe de dieu pour me faire payer toute les horreurs que j'ai commise.....et peut-être....me montrer ma folie de vouloir être un homme alors que je suis une femme.....Pas de la manière la plus délicate certes....mais bon...

*Je m'écarta légérement*

Je préfère être avec toi que dépérire, même si je sais que ca va être dur....

*Je le regardais dans les yeux.
Je l'embrassa avec passion, tendresse, amour, bref, le baiser du dernier condamné.
J'entendis la porte qu'on ouvrais. Je m'écratais de lui et murmura.*

- Je suis désolée...Je le fait pour toi.

*Je leva mon bras et l'abatis sur sa joue en hurlant*

- TU N'EST QU'UNE FEMME ! NE ME TOUCHE PAS !

*Je vis le roi entrer*

- Tout doux ma belle ! n'abime pas son jolie visage angrogine.

*Il nous regardais*

- Bon, ça c'est mal passé ! Alors Madame, laissez nous, j'ai des choses à faire !

*Il ne pu s'empêcher de regarder Julian comme une femme.*

*Je posa mes doigts sur mes lèvres, elles saignaient, eh bien, même pour faire semblant, elle n'y était pas allée de main morte! Mais ce n'est pas comme ça qu'elle allait me sauver, Je n'avais aps tiré ma dernière carte. Je ne fis pas attention aux paroles du roi*

Altesse, ce n'est pas votre problème. Et ne croyez aps que je vais la laisser devenir votre catin!

*J'eus un sourire mauvais et 'mapprocha d'Aurore. Maintenant, je n'avais plus qu'à prier pour que ca marche...et dans le bon sens.*

Tu t'es bien foutu de moi j'espère que tu es satisfaite!

*Je la gifla du revers de la main*

*Non seulement sa gliffle était forte mais enplus je ne comprenais pas.
Je le regardais dans les yeux. Effrayée...pourquoi...*

*Le roi regardais Julian, sans rien dire. Souriant de voir ces deux "femmes" se battre.*

*Je regardais Julian. Répondant à ses paroles.*

- Oui et alors ! Je voulais savoir ce que c'est d'être aimé par une femme. Et bien...C'est mauvais, très mauvais.

*Je disais l'exacte contraire de mes pensées avec un aplomb déconcertant.*

*Mon sourire s'accentua. Je palqua mon bras contre son cou, de sorte à la coller au mur avant de sortir le poignard caché dans mon gilet et de le placer sur sa gorge*

Pas de chance ma belle, mais légalement, c'est moi le amri et un amri a tout les droit sur sa femme, aussi puisque c'est à moi que tu appartiens, alors je ne vais tout de même laisser un autre profiter de tes "services"!

*Je gardais un oeil sur le roi, au cas où il voudrait intervenir*

*Le roi nous regardais amusé. Un peu inquiet tout de même. Mais je voyais qu'il prenais plaisir à nous voir ainsi. Je voyais dans son regard qu'il ne voyait que deux femmes très proche l'une de l'autre. Il me dégoutait.
Je paniquais aussi. Je ne comprenais pas tout...*

- Je...Laisse moi...je t'en prie...Je l'ai mérité d'accord...mais je t'en prie...Laisse moi vivre...m^me aller avec le roi...que j'aime lui...

*J'eus un rire froid, presque éteint*

Pour que lorsque je viendrais à Versailles, on me regarde en disant: regardez celui ci, sa femme est devenue la catin du roi! Sa maitresse! Mon honneur est detruit, alors je n'ai plus rien à perdre, même si je dois y passer, tu mourreras de ma main avant qu'il n'ai pu te toucher!

*Puis je l'observa*

Et puis...même habillée en homme, je suis quand même plus belle femme que toi personnellement!