Rhaaa! Les parents! Si tu as envie de t'y remettre n'hésite pas! Et puis honnêtement, qui au collège aurait pu être Hergé!? c'est tellement de travail le dessin. Autant chanter juste certaines personnes peuvent y arriver du premier coup, dessiner juste ce n'est rien d 'autre que des années de pratique. ne te laisse pas abattre cow boy. Si tu as envie de dessiner, même pour le plaisir, ne te prives pas.

J'ai recommencé y a quelque temps... J'essayerai de vous en mettre ici...
MERCI.
Je ne suis plus fan de comics depuis longtemps et j'en achète vraiment de façon sporadique (mon dernier date de 2008, édition tardive d'une bd que je cherchais depuis très longtemps: BATMAN CONTRE DRACULA par Doug MOENCH (scénario) et Kelley JONES (dessins))... Mon autre bd coup de cœur non-superhéros (enfin dans un tout autre genre): MASKS (2012) publié y a peu chez PANINI COMICS...
A New York en 1927 un groupe politique style fascisme s'empare de l'Etat et de la ville. Un groupe de justiciers masqués sans gros superpouvoirs décide de ramener le vrai sens de la loi (Oui sur l'image c'est bien Zorro... Son arrière petit-fils, Rafael de la Vega).

La principale cause de l'échec scolaire du moins dans des classes 'normales' ça reste les profs.

Ouf.. je ne sais pas si j'irais répéter ça à mes amis profs... Même si il doit y avoir du vrai dedans.

Ah tiens, pour le dessin j'ai eu les mêmes remarques... Enfin tout ce qui est créatifs, pas mal de personnes balancent dans les dents que personne n'arrive à la cheville des Grands...
Alors que c'est complètement faux. Déjà chacun à son style et puis surtout les "codes" artistiques de maintenant ne sont plus du tout pareil. Rien qu'avec l'arrivée d'Internet , le fait d'avoir des connaissances dans le milieu, et j'en passe

Mais malheureusement, tout ce qui touche aux études artistiques, c'est compliqué. Surtout quand on entend tellement de gens qui préfèrent décourager plutôt que donner des bonnes pistes (comme par exemple se renseigner auprès de pro,... )

le problème vient aussi quand on vient d'une famille où on est le seul artiste. ils n'y connaissent rien et donc pour eux dessin (surtout)= crève la faim. alors qu'il y a des tas de métiers liés au dessin et au graphisme (pas seulement celui de peintre maudit!). Je ne sais pas si j'aurai tenté une école d'art en l'ayant su, mais j'aurai aimé être un peu mieux renseignée à l'époque.

Bon, bah j'ajoute ma pierre à l'édifice lol

Je suis titulaire d'un bac littéraire, d'une licence de lettres modernes ( bac + 3 ) ainsi que du diplôme européen du CLES 2 en anglais ( en gros, ça donne une catégorie à votre niveau en langue, je suis considérée comme quasi bilingue ) .

Félicitations Marina! Tu voudrais travailler dans quel domaine par la suite?

J'ai un profil plus dans le secrétariat ou l'assistanat administratif, et j'ai apparemment un bon profil pour les métiers d'internet. Je cherche dans le secrétariat ou la saisie mais j'ai tendance à élargir mes recherches, si jamais il y a une offre à laquelle je peux postuler, je le fais, c'est comme ça que j'ai été opératrice pour le Forum pour la Gestion des Villes et des Collectivités Territoriales en 2014 et agent d'entretien de la voirie en job saisonnier en août 2015. J'ai également de l'expérience dans la vente, car j'ai été stagiaire dans l'e-commerce d'une amie, que j'aide régulièrement ( préparation des commandes, mises à jour des sites, contacts clients, contacts fournisseurs genre les Etats-Unis ou le Pakistan lol ).

Bon courage pour tes recherches alors.

Merci. J'ai un entretien lundi dans un cabinet d'avocat.

Je croise les doigts pour toi!

je te souhaite de tout coeur de reussir,tu le merites!

Merci, c'est gentil

J'ai fait des tests pour suivre des cours dans une école d'informatique à Paris, l'examinateur m'a fait une remontrance parce que j'avais eu une meilleure note en anglais qu'en français.

C'était inattendu !

Pas tant que ça car je n'écoute que de la musique anglo-saxonne et je regarde une série allemande sous titrée en anglais.

Je parle anglais avec ma femme de ménage (elle est anglaise). J'ai fait des études d'anglais et j'ai appris à parler et comprendre la langue sans faire la traduction dans ma tête. Ce qui est encore plus génial c'est que j'arrive à faire la même chose avec l'italien et l'allemand.

C'est cool de maitriser trois langues aussi bien! 

Je suis surtout bilingue français/anglais. Ensuite j'ai tâté de l'espagnol, de l'italien du latin et du grec ancien. Je peux donc lire ces langues, mais pas les parler, je n'ai pas assez pratiqué. Et sinon j'essaye d'apprendre le japonais;

Reika (si elle repasse par là la vilaine) doit en maitriser 8 je crois. Elle est pire que lexilogos!

Huit langues? Comme je kifferais ça!

Bonjour (vu l'heure)

Mon parcours est des plus sinueux.

Je commence à 19 ans des études d’esthétique cosmétique (soin du corps/visage, massage, drainage lymphatique) j'obtiens un CAP niveau 3è, je ne trouve que des remplacements par la suite et je ne poursuis guère dans cette branche. Le plus que j'ai fait c'est dans un Y Rocher à Montparnasse à faire des épilations.
 Auparavant j'ai fait des études de marché c'est à dire téléphoner à des entreprises pour que la personne réponde à des questionnaires, ça se faisait en porte à porte, sur le terrain genre devant la Fnac par exemple. Je n'ai guère apprécié surtout quand j'étais dans des magasins à essayer de promouvoir des produits aux consommateurs.
 Puis ce fut des études d'éducatrice de jeunes enfants (autrefois appelé jardinière d'enfant, pourquoi jardinière?) Un métier que j'aimais beaucoup ça correspondait à un travail avec les jeunes enfants avec une formation en études continues de 27 mois, en 1998 (qui depuis sont passée à 36 mois) ça donnait un niveau bac +2, aujourd'hui je crois que c'est un niveau licence. Les niveaux des études ne sont plus celles des années 90 alors je suis un peu perdue. Au programme psycho, pédagogie, atelier, santé (ça ressemblait un peu à de la pédiatrie) sociologie (j'aimais un peu moins que les autres matières). Là aussi guère de places, et je suis une jeune diplômée...J'aurais aimé partager un projet commun pour une future structure qui allait se monter mais ça ne s'est pas fait.
 Enfin des études de bibliothécaire-documentaliste, envoi de C.V+ LM avec une copine (on n'avais pas encore le net toutes les deux). Résultat nul.
Je n'ai jamais réellement trouvé ma place et ma vocation, c'était un peu de l'errance de ma part selon mes goûts. J'ai appris beaucoup de choses en tant qu'ésthéticienne-cosmétique mais j'ai l'impression d'avoir choisi ce métier les yeux fermés au moment de mon orientation.

J'ai beaucoup aimé mes études d'EJE ou Educatrice de jeunes enfants.On à aussi milité pour avoir le même niveau que les puéricultrices c'est à dire un niveau bac+3 mais depuis 1998 je ne sais guère ou ça en est. Le travail avec les jeunes enfants est intéressant, c'était ded bébés de 2 mois jusqu' à l'âge de 3 ans avant la maternelle, je travaillais surtout l'accueil parents enfants et l'adaptation des enfants à la halte garderie-crèche, j'ai même fait un mémoire là dessus. Ces études correspondaient vraiment à une facette de ma personnalité surtout la psycho-péda, les pathologies du jeune enfant qu'on à abordé (Autisme-hospitalisme, maltraitance...) et la santé ou prévention des accidents.
Pour un stage j'ai été dans une crèche ou il n'y avait que des auxiliaires de puériculture et une directrice puéricultrice, j'étais en observation des jeunes enfants, et je crois que là la puéricultrice n'avait pas compris que j'étais une EJE et que le change des couches des bébés n'était pas pour moi un protocole pour un examen d'auxiliaire: j'ai eu droit à prendre les pieds du bébé, nettoyer les fesses de la main droite avec la lingette, de la main gauche pour le body à enfiler  , bref un truc qui ne me concernait en rien. Je crois que dans cette crèche elles savaient à peine ce qu'était une EJE ou pas du tout. D'ailleurs le métier n'est guère connu ni reconnu et il fait partie de ces métiers du social tel que éducatrice spécialisé, moniteur éducateur payé au lance pierre (toutefois on ne fait pas ces métiers pour le fric) c'est plus une vocation, une volonté d'aider son prochain. Plusieurs EJE de ma connaissance préféraient devenir institutrice vu la dureté du métier en crèche-halte garderie parce que non reconnues.
Être EJE n'est pas comme être mère, ça demande des connaissances assez pointues, alors quand je voyais pour les recrutements de la mairie de Paris que les mères de 3 enfants pouvaient elles aussi se présenter en tant qu'éduc' ça me faisait rigoler. La profession ça n'est pas l’assistante maternelle, du baby sitting, animation ça ne s'improvise pas, ce n'est pas déposer son gamin dans la crèche et bye bye. On demandait à la mère/père de venir après 5 minutes, 1/4d'h un autre jour, une 1/2h, la 1/2 journée. Il fallait de la disponibilité pour cet accueil pour le personnel et pour l'enfant.
Et aussi un jouet ou un autre ne correspondent pas à n'importe quel âge, un bébé sent avec sa bouche plutôt qu'avec ses doigts: objets en mousse, tissus, livres en tissus et un enfant de 2 ans sait prendre des objets entre ses doigts: pinceaux, fourchette...

Pour les langues c'était anglais/allemand, ayant habité à Bruxelles je devais aussi apprendre le néerlandais (hollandais) la langue obligatoire en Belgique.
Ce sont plutôt mes parents qui parlent le plus de langues, mon père 3: Allemand, français, anglais et ma mère 4: français, anglais, allemand, italien.

Et tu fais quoi maintenant ? J'ai une copine qui fait AVS, ça n'est pas avec de très jeunes enfants, mais c'est super intéressant.

Je fais mes ateliers au SAVS, mais je ne pense pas encore à faire un stage pour me remettre dans le monde du travail.

Moi j'ai fait l'erreur de mélanger passion et travail quand je pense que j'aurai pu passer mon bac et briller dans les études.Mais quand je vois des caissières avec bac+5 je me dis que la vie n'est pas plus facile sous prétexte que nous avons fait des études.Et puis j'ai un avantage avec mon métier qu'est l'artisanat,si un jour j'ai les moyens je peux devenir indépendante (en ouvrant une boutique de pâtisserie).Bien que je soit encore jeune j'ai juste un niveau de collège et n'ai pas le courage d'étudier au moins 2 ans pour passer mon bac.
Est-cd que je regrette d'avoir arrêter après la 3eme pour me consacrer au Cap Pâtissier ? D'un côté non car j'éprouve beaucoup de plaisir à réaliser les pâtisseries,j'oublie tout le reste quand je patisses 😁 D'un côté oui car c'est un metier trop dur.

C'est chouette la pâtisserie Et peut-être que dans quelques années tu pourras faire une VAE (validation des acquis de l'expérience), à voir avec la chambre des métiers Mais ne regrette pas de faire un métier qui te passionne, c'est ce qui motive pour se lever le matin et ça n'a pas de prix Je vois bcp d'élèves qui viennent au lycée sans savoir ce qu'ils y feront alors qu'ils seraient mieux à faire autre chose, et je trouve cela très courageux d'être capable à 16 ans de dire: oui, je veux faire ça, c'est ma passion et je m'en donne les moyens, plutôt que de suivre le troupeau si ça ne nous intéresse pas

Du coup je m'y mets Bac A2 (lettres et langues, je suis une vioque, les noms ont changé depuis ) puis 3 ans de classe prépa littéraire, maîtrise de lettres, DEA à la Sorbonne en littérature de la Renaissance), et thèse (terminée mais non soutenue) sur la littérature de la Renaissance. Après le DEA, passage de l'agrégation de Lettres modernes, et donc prof de lettres depuis 1994

Mes regrets: ne pas avoir pu soutenir ma thèse (pas d'internet à l'époque, on envoyait les feuilles..et c'est resté en pile sur le bureau de mon prof...qui s'est réveillé 3 mois avant la date butoir pour me dire de faire des corrections -en juin, la période calme en lycée !!-, forcément j'ai fait à l'arrache car pas assez de temps, j'ai bouclé mais je n'ai du coup pas eu l'autorisation de soutenir...6 ans de travail pour rien).
J'aurais aimé faire 1 an à l'étranger, mais je voulais aussi pouvoir commencer à gagenr ma vie, et prendre le relais de mes parents sur le plan financier.

Et finalement, avec le recul, je suis aussi contente d'être en lycée car c'est très ouvert par rapport à la fac, et j'aime bien les relations avec les jeunes Si je veux, je pourrai postuler à un poste de chargé de TD mais pour l'instant c'est trop compliqué sur le plan logistique (je ne vis pas dans une ville universitaire et les enfants sont encore petits). Et j'ai des élèves de la 2nde au BTS donc c'est intéressant aussi
Dernière chose, j'ai grandi avec une mère instit et un père tailleur puis restaurateur, alors la dichotomie entre métiers "manuels et "intellectuels", très peu pour moi ! L'essentiel est de savoir exploiter ses talents

Merci  beaucoup Lady Victoire c'est vraiment gentille,je ne connaissais pas la VAE,ce qui est le plus dur dans ce métier c'est quand tu as des crampes là où tu ignorais que tu pouvais en avoir mais bon je me suis habituée et de toute façon je suis quelqu'un de manuel,tout le contraire d'avant^^'.Et puis je crois que je n'aurais jamais supporter rester assise dans un bureau :')

Je comprends pour les crampes, mes parents ayant tenu un restaurant, je voyais bien la fatigue inhérente à la station debout ou à certains gestes répétés Ca s'apparente aux troubles musculo-squelettiques dans certaines professions (être bcp sur ordi peut entraîner un tennis elbow même quand tu ne joues à Roland Garros )

Sinon pour le bureau, j'ai l'impression de courir le marathon (l'an dernier, le vendredi je montais et descendais 24 étages au lycée ! C'est sportif haha ! )

Ah quand même 24 étages il faut du courage je crois que je le ferai même pas 😅

Il est vrai que rester assis n'est pas meilleure pour la santé non plus^^ 

(moi je monte 4 étages je me plains déjà,je suis assez physique mais loin d'être sportive pour autant  )

Tu prends les 3 étages, 2 h de cours, puis récré, puis encore cours, puis heure du repas et rebelote l'après-midi et hop...C'est grand un lycée C'est physique mon boulot finalement Bon, le souci ce sont aussi mes articulations qui me font souffrir certains jours alors le marathon, bof...

Au moins vous n'avez pas besoin d'une activité physique 😁 Mais si vous êtes prof vous restez debout toute la journée,ça doit être dur quand même.

Oui on piétine pas mal. Même si avec le numérique, je suis souvent derrière l'ordi (je pratique +++ le vidéoprojecteur et les cours interactifs par l'outil informatique, jamais sans ma clé usb ).

Mais euhh...tu as le droit de me tutoyer

Ah oui le modernisme,c'est plus pratique^^ 

Je n'osais pas mais je préfère te tutoyer je me sens plus à l'aise,en tous cas merci ça été sympa de discuter avec toi,je me sens plus confiance avec mon métier,qui même dur j'adooore franchement je crois que je me plains trop 

D'ailleurs ça me fait penser que je dois inventer une nouvelle recette (pour moi personnellement)

hé bien à mon tour de me lancer.
Pour ma part je suis un peu à l'opposé de celles et ceux qui sont déçus de ne pas avoir pu faire d'études. Je m'explique. 
Quand j'étais plus jeune, je rêvais de faire un métier manuel. Chocolatier, joaillier, horloger... Tout ce qui avait un rapport avec les arts manuels m'intéressaient (et m'intéresse toujours!). 
Pas de chance si on peut dire ça comme ça : je viens d'une famille "d'intellectuels". Alors quand j'ai demandé à mes parents d'intégrer un lycée professionnel c'était hors de question! Surtout que j'ai de la chance de n'avoir aucuns de soucis d'apprentissage donc leur enfant fera des études comme tous les membres de la famille, un point c'est tout! J'ai passé mon temps à entendre "passe ton bac d'abord, tu verras ensuite", puis "passe ta licence, ça te sera toujours utile" et "passe ton master, tu vas pas t'arrêter maintenant!". Du coup, me voila diplômée d'un master dans le patrimoine : un mélange entre l'Histoire et la gestion, disciplines dans lesquelles je glisse sans difficultés. 
Un diplôme ronflant, des études longues et réussies tout ça pour... l'intérim, les CDD et le chômage. 
Le milieu du patrimoine est à la fois ultra concurrentiel et incroyablement pistonné alors il faut enchaîner les missions (parfois sans aucun intérêt pour espérer en avoir parfois une ou deux intéressantes) et les périodes d'incertitudes professionnelles. En quatre ans, j'ai déjà l'impression d'être usée.

Au final, même si je ne regrette pas d'avoir fait des études, j'ai quand même un goût amer qui me reste en bouche et des fois je me dis : "tout ça pour ça...".

Misao a écrit:

D'ailleurs ça me fait penser que je dois inventer une nouvelle recette (pour moi personnellement)

Tu partages ?

Megaloo a écrit:

hé bien à mon tour de me lancer.
Pour ma part je suis un peu à l'opposé de celles et ceux qui sont déçus de ne pas avoir pu faire d'études. Je m'explique. 
Quand j'étais plus jeune, je rêvais de faire un métier manuel. Chocolatier, joaillier, horloger... Tout ce qui avait un rapport avec les arts manuels m'intéressaient (et m'intéresse toujours!). 
Pas de chance si on peut dire ça comme ça : je viens d'une famille "d'intellectuels". Alors quand j'ai demandé à mes parents d'intégrer un lycée professionnel c'était hors de question! Surtout que j'ai de la chance de n'avoir aucuns de soucis d'apprentissage donc leur enfant fera des études comme tous les membres de la famille, un point c'est tout! J'ai passé mon temps à entendre "passe ton bac d'abord, tu verras ensuite", puis "passe ta licence, ça te sera toujours utile" et "passe ton master, tu vas pas t'arrêter maintenant!". Du coup, me voila diplômée d'un master dans le patrimoine : un mélange entre l'Histoire et la gestion, disciplines dans lesquelles je glisse sans difficultés. 
Un diplôme ronflant, des études longues et réussies tout ça pour... l'intérim, les CDD et le chômage. 
Le milieu du patrimoine est à la fois ultra concurrentiel et incroyablement pistonné alors il faut enchaîner les missions (parfois sans aucun intérêt pour espérer en avoir parfois une ou deux intéressantes) et les périodes d'incertitudes professionnelles. En quatre ans, j'ai déjà l'impression d'être usée.

Au final, même si je ne regrette pas d'avoir fait des études, j'ai quand même un goût amer qui me reste en bouche et des fois je me dis : "tout ça pour ça...".

Je comprends :/ Ca dépend pas mal des collectivités territoriales, de leurs projets, de leurs financements...Tu étais dans un musée ? Et des missions auprès de la DRAC par exemple ?