Lady Victoire a écrit:

J'ai adoré ce chapitre. Sous la légèreté de la scène de beuverie et de jeu, il y a une jolie réflexion sur les hiérarchies, l'amitié, la camaraderie, ce qui sépare les hommes et ce qui les rapproche...Et la fin est jolie aussi: Oscar va-t-elle fulminer contre le Ciel qui lui a donné un sergent ivrogne et incapable de se tenir ou va-t-elle faire preuve de douceur en le soignant (et découvrira-t-elle qu'il n'avait pas l’alcool solitaire, mais révolutionnaire, partagé avec un noble et un valet ce qui l'absoudrait de fait  ? Merci Lénie

Merci à toi
Je suis heureuse que tu aies aimé ce chapitre. J'ai pris beaucoup de plaisir à l'écrire. Oui, tu as raison, il y a en effet une réflexion sur ce qui sépare et rapproche. Je ne l'avais pas vu en écrivant
Ah ah, que va faire notre Oscar ? L'engueuler ou le soigner ? Ou les deux ? Saura-t-elle qu'il était avec Henri et Justin ? Réponse dans le prochain chapitre

Loufiction a écrit:

Mon petit doigt me dit que le roi du sofa est sur le point d'en apprendre de belles :p

Quel plaisir que ce chapitre Alain va finir par vraiment apprécier les nobles Il lui suffisait juste de rencontrer la famille De Jarjayes :p

Ton petit doigt aurait-il été en contact avec l'une des muses ?   Alain va en effet apprendre certaines choses mais quoi ? Hé hé, réponse dans le prochain chapitre
Alain va-t-il finir par apprécier les nobles ? Réponse dans deux chapitres  Il se pourrait même que l'on apprenne des choses sur... Oups... censuré par la muse 
La rencontre avec les Jarjayes est en effet pour lui une révélation   Mais que se passerait-il si d'aventure il rencontrait le Général ? 

Marina a écrit:

J'ai aussi bcp aimé ce chap., Entre livrognerie collective de nos comparses et la tricherie de l'oncle d'Oscar vrm je me suis amusé à lire sans oublié les petits messages caché dans les différence de classe avec Alain qui pogné comme un débutant devant l'oncle. J'ai adoré.

 Je me demande comment va aimer Oscar en apprenant qu'il c'est soûlé avec le valet et avec son oncle pour jouer aux cartes.

Je suis heureuse que ce chapitre t'ait plu
Nos trois compères se rapprochent et "jouent aux cons et aux cartes" comme le dit Alain 
Comment va réagir Oscar ? Mystère et réponse dans le prochain chapitre  

Décidément 0 effet expérience pour l'Oscargot. Ne se rend-elle vraiment pas compte qu'elle est en train de reproduire exactement le même schéma ? Tu veux que je t'envoie la petite voix la chandelle et la violette pour lui ouvrir les yeux? :p 

Comme Aurore j'ai beaucoup apprécié le moment où Alain lutte contre son ivresse et son mal aise dans les escaliers. On ne s'attendait pas à ça de la part d'un grand gaillard comme lui

La leçon de plateau c'est bien pensé j'ai des images de la formidable "Faux-Semblants" de Lady Victoire qui seraient absolument appropriés

Ah notre Oscar ... que décidera-t-elle quand elle comprendra enfin? SI elle comprend enfin... on connait l'entêtement de la bête... notre pauvre Alain part pour de longs mois de frustration sévère, surtout si elle lui partage ainsi son lit
Frère d'armes tsssss !!!!!

J'ai adoré ce chapitre !

Décidément, Alain bourré me plait beaucoup, j'ai bien ri de sa lutte dans les escaliers, et de sa réticence à rester tout seul. Mais alors le pompon, c'est quand ils croisent l'oncle Henri et que celui-ci fiche tout par terre en révélant la vérité sur leur folle soirée !   Et de plus, il ne se gêne pas et embarque avec lui le plateau garni.  
De plus, les dialogues entre Oscar et Alain font toujours mouche, j'aime beaucoup leurs petites réparties emplies de sarcasme, sous lesquelles ont sent poindre une véritable amitié. 

Mais au-delà de l'humour, il y a aussi beaucoup d'émotion dans ce chapitre, déjà avec Oscar qui soigne et prend soin de la gueule de bois d'Alain, je l'ai trouvée très attentionnée sur ce coup-là. Et bien plus encore quand elle lui propose de partager son lit, bien qu'elle soit inconsciente du trouble provoqué chez son "frère d'armes".
Mais à mon avis, son deuil est encore trop récent pour qu'elle ouvre encore les yeux, et le fait qu'elle porte l'enfant d'André joue aussi. Mais j'ai bien aimé la suggestion d'Alain quant à son nom de famille, c'est très sensé !

Ah oui, clairement c'est trop frais pour notre Oscargot (pourquoi vous croyez que j'ai fait une année par chapitre dans mon histoire? c'était juste pas possible d'attendre :p Et Lénie l'écrit tellement mieux ).

Je ne sais pas si l'on doit plaindre Alain qui part pour une course au long court, ou si l'on doit se réjouir de se dire qu'on va se régaler de telles scènes à venir.

Les deux en fait :p

Aurore F a écrit:

Ah la petite lecture à se mettre sous la dent  

Oscar qui joue les infirmières ne peut que faire rêver et rendre patois ce cher Alain, complétement hypnotisé.
J'aime bien le descriptif de l'ivresse d'Alain et sa bagarre avec les escaliers ainsi que ce vide et cette crainte qu'il ressent à être seul dans ce manoir immense, il n'en a pas l'habitude.

La suite est tendre et l'on voir que le lien entre le colonel et le sergent se renforce un peu plus. Il n'a pas tord sur l'histoire de son nom, ça fait partie d'elle et il a été porté en gloire avec la Bastille, elle ne peut en être que fier.
Dormir dans le même lit, Oscar ne se rend pas compte de l'épreuve que c'est pour Alain qui en rêve, le pauvre va avoir bien des difficultés à trouver le sommeil, pas comme Oscar   ^^

Alain et les escaliers, un combat épique qu'il mène vaillamment et en silence  C'est ça de trop taquiner la bouteille, mon vieux  
Il apprécie qu'Oscar joue les infirmières et s'occupe de lui. Il n'en a pas l'habitude. On voit combien ils sont proches l'un de l'autre à présent. La miss lui propose même de partager son lit en tout bien tout honneur... Une chance et une épreuve en même temps pour Alain qui n'a pas l'air si malheureux que ça au final  
Bon, je le dis ? Oui, allez. Pour la peur que lui inspire le manoir, il y a aussi une autre raison ... que l'on découvrira dans la suite. Non, non, ce n'est pas un fantôme 

Loufiction a écrit:

Décidément 0 effet expérience pour l'Oscargot. Ne se rend-elle vraiment pas compte qu'elle est en train de reproduire exactement le même schéma ? Tu veux que je t'envoie la petite voix la chandelle et la violette pour lui ouvrir les yeux? :p 

Comme Aurore j'ai beaucoup apprécié le moment où Alain lutte contre son ivresse et son mal aise dans les escaliers. On ne s'attendait pas à ça de la part d'un grand gaillard comme lui

La leçon de plateau c'est bien pensé j'ai des images de la formidable "Faux-Semblants" de Lady Victoire qui seraient absolument appropriés

Ah notre Oscar ... que décidera-t-elle quand elle comprendra enfin? SI elle comprend enfin... on connait l'entêtement de la bête... notre pauvre Alain part pour de longs mois de frustration sévère, surtout si elle lui partage ainsi son lit
Frère d'armes tsssss !!!!!

L'Oscargot est indécrottable, elle ne capte strictement jamais    Pour la petite voix, la chandelle et la violette, on va attendre un peu, j'ai besoin qu'elle garde les yeux fermés pour l'instant ou pour la vie d'ailleurs, qui sait ?  
Ah oui, Alain et les escaliers, c'est un combat titanesque  Et le manoir qui en rajoute, on n'a pas idée tout de même ! Là, je vais faire un micro-spoiler : dans la suite (pas forcément dans le prochain chapitre, hein, tu notes  ), on va apprendre que le malaise que ressent Alain a aussi une autre cause et que ...   
Oscar ne se rend pas compte de ce qu'elle fait à ce pauvre Alain, en bon Oscargot   Et puis, moi qui prends un malin plaisir à en rajouter, histoire de continuer à alimenter le Gange :mdrmor:Il faut avouer qu'un fleuve à sec, ce n'est pas bon pour la planète. Donc l'Oscargot et son black out sentimental ont une raison écologique d'exister, si, si 

Elle a bon dos l'écologie
Je suis très curieuse d'en savoir plus sur le malaise d'Alain tiens!!

Alain est un sacré personnage, malgré son état d'ivresse, il est lucide, lucide sur son ivresse, sur les sentiments qu'il ressent pour son colonel, pour le fait que pour l'instant, elle ne le voit que comme un camarade.

L'oncle Henri tjrs le bon mot lui aussi, lui et Alain étaient fait pour s'entendre, une fois les barrières nobles, roturiers abattus, d'ailleurs l'oncle henri en a rien à faire de ces barrières, pour lui tout le monde est pareil.

Oscar, infirmière, cuisinière et hôtesse, inviter Alain dans son lit est une évidence, ne sont-ils pas frères d'armes ? Sauf qu'Alain aimerait mettre un grand plus sur leur relation..... 


Un bien beau chapitre !

Sabrina a écrit:

J'ai adoré ce chapitre !

Décidément, Alain bourré me plait beaucoup, j'ai bien ri de sa lutte dans les escaliers, et de sa réticence à rester tout seul. Mais alors le pompon, c'est quand ils croisent l'oncle Henri et que celui-ci fiche tout par terre en révélant la vérité sur leur folle soirée !   Et de plus, il ne se gêne pas et embarque avec lui le plateau garni.  
De plus, les dialogues entre Oscar et Alain font toujours mouche, j'aime beaucoup leurs petites réparties emplies de sarcasme, sous lesquelles ont sent poindre une véritable amitié. 

Mais au-delà de l'humour, il y a aussi beaucoup d'émotion dans ce chapitre, déjà avec Oscar qui soigne et prend soin de la gueule de bois d'Alain, je l'ai trouvée très attentionnée sur ce coup-là. Et bien plus encore quand elle lui propose de partager son lit, bien qu'elle soit inconsciente du trouble provoqué chez son "frère d'armes".
Mais à mon avis, son deuil est encore trop récent pour qu'elle ouvre encore les yeux, et le fait qu'elle porte l'enfant d'André joue aussi. Mais j'ai bien aimé la suggestion d'Alain quant à son nom de famille, c'est très sensé !

Merci 
Qui aurait cru que pour faire peur à Alain, il suffisait d'un escalier et d'un grand manoir désert ?  En fait, on va en apprendre un peu plus par la suite sur la raison de son malaise, mais je n'en dis pas plus  Ah si : ce n'est pas uniquement parce qu'il a trop bu
Ah oui, l'oncle Henri qui débarque, qui casse la baraque d'Alain et qui pique le plateau en repartant, j'avoue que je me suis bien amusée à l'écrire  
Oui, derrières leurs piques, il y a une immense amitié (et un peu plus du côté de notre sergent préféré, mais ça, c'est encore une autre histoire, une histoire d'Oscargot qui ne comprend rien, et d'auteure qui en rajoute plusieurs couches, toussa toussa   ). C'est toujours un plaisir d'écrire les dialogues entre le Colonel et son sergent. Ils ne se ratent pas et s'adorent en même temps. Que feraient-ils l'un sans l'autre d'ailleurs ?  
C'est un chapitre que j'ai voulu plus en émotion que les précédents qui étaient plus tournés vers la comédie. Là, on sent l'attention que porte Oscar à Alain, même si elle passe à côté des signaux majeurs. Ils ont un lien bien particulier. 
Va-t-elle ouvrir les yeux ? Réponse dans la suite  
Oui, la suggestion d'Alain à propos de son nom est très sensée.  

Lady Victoire a écrit:

Oh qu'il est beau ce chapitre, entre le clair-obscur digne de La Tour qui entoure Oscar lorsqu'elle allume les bougies, et ces confidences l'air de rien, sur le thé, sur le nom, sur tout ce qu'ils ont traversé et j'aime bien quand Oscar soigne Alain...Je l'avais fait dans "au soir du duel"  ). Et Oscar qui propose à Alain de partager son lit en tout bien tout honneur, faut-il qu'elle ait sacrément confiance en lui ! Ça va se finir comme chez Loufiction, même s'il est encore trop tôt  Merci Lénie !

Merci 
C'est vrai, ce clair-obscur a des allures de La Tour. Et il crée une ambiance propice aux confidences et à l'expression du lien particulier qui s'est tissé entre Oscar et Alain. Au point que notre Oscar le soigne et lui propose de partager son lit en frères d'armes. C'est dire si elle a confiance en lui ! Est-ce à dire que cela va se finir comme chez Loufiction ? Ha ha... Surprises, pas surprises ? Disons que surprises il y aura. Est-ce que cela concernera Oscar et Alain ? Réponse dans la suite  

Loufiction a écrit:

Ah oui, clairement c'est trop frais pour notre Oscargot (pourquoi vous croyez que j'ai fait une année par chapitre dans mon histoire? c'était juste pas possible d'attendre :p Et Lénie l'écrit tellement mieux ).

Je ne sais pas si l'on doit plaindre Alain qui part pour une course au long court, ou si l'on doit se réjouir de se dire qu'on va se régaler de telles scènes à venir.

Les deux en fait :p

Si, si c'est très possible d'attendre, il suffit de suivre lentement le Gange 
Le domaine de l'amour est encore un terrain miné pour Oscar. La perte d'André est trop proche, en effet. En attendant, on se promène sur le Gange, tranquillement, dans une petite embarcation qui prend son temps 

Loufiction a écrit:

Elle a bon dos l'écologie
Je suis très curieuse d'en savoir plus sur le malaise d'Alain tiens!!

Oui, hein 
Réponse sur le malaise d'Alain dans pas très longtemps  

cath a écrit:

Alain est un sacré personnage, malgré son état d'ivresse, il est lucide, lucide sur son ivresse, sur les sentiments qu'il ressent pour son colonel, pour le fait que pour l'instant, elle ne le voit que comme un camarade.

L'oncle Henri tjrs le bon mot lui aussi, lui et Alain étaient fait pour s'entendre, une fois les barrières nobles, roturiers abattus, d'ailleurs l'oncle henri en a rien à faire de ces barrières, pour lui tout le monde est pareil.

Oscar, infirmière, cuisinière et hôtesse, inviter Alain dans son lit est une évidence, ne sont-ils pas frères d'armes ? Sauf qu'Alain aimerait mettre un grand plus sur leur relation..... 


Un bien beau chapitre !

Merci 
Oui, un Alain très lucide sur son ivresse, sur son amour, et sur Oscar. Et un oncle Henri égal à lui-même qui passe, pique le plateau et s'en va, tranquillement, sans oublier de laisser "l'eau bouillie" derrière lui  
Et Oscar qui a le souci d'Alain, jusqu'à la qualité de son sommeil, sans s'apercevoir qu'Alain aimerait être autre chose que son frère d'armes

Y'a pas des rapides sur le Gange de temps en temps?

Loufiction a écrit:

Y'a pas des rapides sur le Gange de temps en temps?

Sur le mien ? Heu... Attends, je téléphone à ma muse 
Ah non ! Elle vient de rejeter mon appel 

Elle doit être en débrief avec la mienne :p Jsuis devant une page blanche depuis tout à l'heure :p

Loufiction a écrit:

Elle doit être en débrief avec la mienne :p Jsuis devant une page blanche depuis tout à l'heure :p

Elles sont infernales ! La mienne m'a fait exactement le même coup : inspiration, puis plus rien ! 

Ca se lit d'une façon fluide et élégante comme tpujours, j'adore ce mélange dans ton écriture. Ton Alain est un gros nounours qui colle pile poil à celui du DA. Il est touchant, un vrai colosse aux pieds d'argile.

J'aime énormément ce chapitre, cette brèche qui s'ouvre sur son passé bien malgré lui. Cette foi inébranlable qu'il a en Oscar, c'est déjà une promesse d'éternité, amicale pour elle, mais pour lui c'est déjà tout.

Il découvre ce qui aurait pu être son quotidien. C'est troublant à l'extrême.
Et Oscar qui se laisse prendre au jeu par amitié mais qui s'en retrouve remuée.

Alain qui joue et surjoue car il constate que ça amuse Oscar, il est doué notre poil à gratter national

Et la nouvelle que l'oncle Henri connaissait son père, on serait remué pour moins que ça, entre ça, la cuite mémorable et le "jouons à l'aristo avec Oscar" ... on comprend que la fissure s'agrandisse.

Et le réveil ... où il réalise qu'il a dormi avec Oscar et qu'il cherche à se souvenir si ... mais clairement, si "si il y avait eu", il s'en souviendrait

Très très beau chapitre

Du Alain tout craché, faire le pitre, cracher,  jurer, faire sourire son colonel pour qui il vous un amour immodéré et derrière tout ça, le petit garçon qui a vu son père mourir. Une grande blessure que la vie lui a infligée.... J'aime ce passé que l'on découvre, ce pourquoi Alain est devenu soldat, ce qui a fait de lui un homme exceptionnel, tjrs prêt à défendre plus faible que lui.... Merci Lénie

아랑의 마초같은 기질 좋아해요~♡♡♡♡♡

Kala71 : you've choosen the best fic to start commenting

Superbe chapitre, tout en émotion, en sous-entendus, du Alain tout cuit  Le passage sur la mort de son père est touchant, Alain sera donc soldat pour vivre, contre la noblesse en mémoire de son père, mais déchiré au fond de lui, parce que ce sont des gens du peuple qui l'ont tué...Ca ajoute à la complexité et à l'intérêt du personnage. Merci !

Aurore F a écrit:

C'est qu'Alain a bien profité de sa nuit dans ce grand et confortable lit. Il est mignon ainsi étendu, le sourire aux lèvres. Et Oscar est émue de ce tableau, mais le réveil est rapide au moindre bruit. Un bon soldat, même endormi, sait rester sur le qui-vive  ^^

J'aime bien cette scène du petit déjeuner et de la conversation qui en découle.
Et à l'évocation de le présenter à la Reine, le passé ressurgit violement pour Alain. Et maintenant, on comprend mieux sa rancœur pour la noblesse, l'enfant triste et seul en lui a refait surface, mais la promesse et la présence d'Oscar l'apaise et semble repousser ce sombre souvenir qui le hante.

Mais c'est pas tout, va falloir commencer à parler de choses sérieuses : la garnison de révolutionnaires  ^^

Oui, après une soirée bien arrosée, Alain a bien profité de sa nuit et le voir dormir comme ça emeut Oscar. Mais au moindre mouvement, il a comme un 6ème sens
Après le temps du réveil, celui du déjeuner et du souvenir qui revient brusquement. Et après ça, il serait temps de passer à cette histoire de garde
J'ai bien aimé écrire cette scène du déjeuner et leur conversation. En fait j'aime bien écrire ces scènes entre Oscar et Alain

liberta a écrit:

Ca se lit d'une façon fluide et élégante comme tpujours, j'adore ce mélange dans ton écriture. Ton Alain est un gros nounours qui colle pile poil à celui du DA. Il est touchant, un vrai colosse aux pieds d'argile.

Merci beaucoup, Liberta    Arriver à doser le style est toujours un défi, surtout que dans cette fic je mélange les genres
Je suis heureuse que mon Alain te touche avec son mélange de force et de fragilité. C'est un personnage que je ressens de cette façon

Loufiction a écrit:

J'aime énormément ce chapitre, cette brèche qui s'ouvre sur son passé bien malgré lui. Cette foi inébranlable qu'il a en Oscar, c'est déjà une promesse d'éternité, amicale pour elle, mais pour lui c'est déjà tout.

Il découvre ce qui aurait pu être son quotidien. C'est troublant à l'extrême.
Et Oscar qui se laisse prendre au jeu par amitié mais qui s'en retrouve remuée.

Alain qui joue et surjoue car il constate que ça amuse Oscar, il est doué notre poil à gratter national

Et la nouvelle que l'oncle Henri connaissait son père, on serait remué pour moins que ça, entre ça, la cuite mémorable et le "jouons à l'aristo avec Oscar" ... on comprend que la fissure s'agrandisse.

Et le réveil ... où il réalise qu'il a dormi avec Oscar et qu'il cherche à se souvenir si ... mais clairement, si "si il y avait eu", il s'en souviendrait

Très très beau chapitre

Merci beaucoup    J'ai eu des doutes à un moment sur ce chapitre : la brèche ne s'ouvrait elle pas trop brutalement ? En même temps c'était le but mais je me demandais si j'avais dose correctement. Visiblement oui
On en apprend plus sur Alain et on voit à quel point Oscar prend une place importante pour lui. À ses yeux à elle, il est important aussi mais amicalement alors que pour lui c'est bien plus
En effet un certain nombre d'éléments étaient réunis pour faire remonter les souvenirs refoulés. On sentait depuis qq chapitres qu'il y avait qqc de plus chez Alain qu'une méfiance / haine des nobles basique, mais je n'avais pas laissé assez d'indices. J'avais gardé la fin de la scène avec l'oncle Henri sous le coude. Dès qu'il dit ça à Alain, les souvenirs veulent revenir, ils tapent à la porte
Mais Alain est coriace et il a le temps d'en faire des tonnes en surjouant pour le plus grand plaisir d'Oscar
Et puis effectivement ce passage où il se demande ce qui s'est passé avec Oscar pendant la nuit tout en se disant que s'ils avaient fait plus que dormir s'en souviendrait. Je confirme, si, il s'en souviendra
Vraiment très très heureuse que tu aies aimé ce chapitre
La j'arrive au moment où la muse m'a tout envoyé en même temps. Du coup il faut que j'écrive et que je trie ensuite. Sans compter ce qu'elle m'a envoyé qui va se passer bien plus tard. C'est pour ça que je dis que ta muse et la mienne doivent être potes, elles nous font les mêmes coups : D

cath a écrit:

Du Alain tout craché, faire le pitre, cracher,  jurer, faire sourire son colonel pour qui il vous un amour immodéré et derrière tout ça, le petit garçon qui a vu son père mourir. Une grande blessure que la vie lui a infligée.... J'aime ce passé que l'on découvre, ce pourquoi Alain est devenu soldat, ce qui a fait de lui un homme exceptionnel, tjrs prêt à défendre plus faible que lui.... Merci Lénie

Merci à toi
Oui on retrouve Alain dans toute sa splendeur, il fait le pitre, en rajoute et il ne dit rien du plus important (du moins pour l'instant). Il tait sa blessure, même si elle a une importance capitale dans ce qu'il est devenu. Il ne laisse jamais s'en prendre à plus faible

Kala71 a écrit:

아랑의 마초같은 기질 좋아해요~♡♡♡♡♡

Thank you very much, Kala 71. I'm glad that you enjoy Alain 's personality. I love him very much too
I' m also proud, pleased and surprised that you read my fanfiction despite the language gap. It's a big surprise for me And a big pleasure  
To understand what you write, I use the Google translator. I suppose you use it too to understand what I write. Or maybe you speak and read French? Do you prefer me to answer you in English or in French ? 
<3 <3 <3

Loufiction a écrit:

Kala71 : you've choosen the best fic to start commenting

Merci 

Lady Victoire a écrit:

Superbe chapitre, tout en émotion, en sous-entendus, du Alain tout cuit  Le passage sur la mort de son père est touchant, Alain sera donc soldat pour vivre, contre la noblesse en mémoire de son père, mais déchiré au fond de lui, parce que ce sont des gens du peuple qui l'ont tué...Ca ajoute à la complexité et à l'intérêt du personnage. Merci !

Merci à toi
J'avais envie et besoin d'en expliquer un peu plus sur le comportement d'Alain au-delà de la dimension comique du bain mouillé et Cie Comme je le disais à Loufiction, j'ai eu un doute sur ce chapitre qui casse un le ton du reste. Pour le coup, même si on relit ensuite le bain et Cie, pas sûre que ça fasse autant rire qu'en première lecture. C'est voulu, mais rien ne disait que ça allait être réussi J'avais juste laissé de minuscules indices ici et là mais pas assez pour comprendre le pourquoi du comment. Vilaine que je suis, j'avais coupé volontairement ce que lui avait dit Henri avant de le quitter
Vraiment contente que tu aies aimé

Je rattrape mon retard en mode mais j'avance quand même


Chapitre 88
 
 
 
 

Vive le calme



Chapitre 89

 

J’ai adoré ce chapitre. Alain est excellent et l’oncle Henri tout autant. Il n’y en a pas un pour relever l’autre.


 

L’alcool a de mauvais effets sur Alain, il le fait un peu trop parler. Sa langue a fourché plusieurs fois, il avoue sans prendre de gant qu’il aime Oscar. Il lui avoue aussi avoir pris des cours de bonnes tenues avec Oscar. Il est vrai que ces cours étaient dignes d’une très bonne pièce, comique à souhait.

 

Pendant qu’Alain buvait avec l’oncle Henri, je me disais, le pauvre Justin, il va le retrouver rond comme un ballon et pas c’est ce qui arriva. Mais le petit n’est pas seul dans ce cas car nos deux gaillards le sont tout autant. Ça me rappelle des soirées bien arrosées notamment sur la pénichette.

 
Je ne sais pas si le petit arrivera à apprendre à jouer aux cartes mais il risque d’apprendre à boire très rapidement. Sa mère risque de ne pas apprécier.

A ce rythme là, j'aurais fini de rattraper mon retard sur ta fic aujourd'hui 




 Chapitre 90
 
 
 

 Chapitre 91
 
 
 
 
 
 
Plus qu’un chapitre et j’aurais rattrapé ton mon retard pour cette fic. 



J'attends un agent pour son pc mais c'est gérable dans les deux heures qui me reste à travailler.

Chapitre 92 the last one

Joli réveil en fanfare pour Alain, les lendemains de cuite ne sont pas évidentes et en plus il ne se rappelait de ce qui avait pu se passer la veille, mais grand soulagement il n'y a rien eu de charnel avec Oscar.

A un moment j'ai cru que notre Alain aurait eu une partie de son anatomie au garde à vous car il était en extase dans son sommeil mais non tu n'as pas emprunté ce chemin.

Chapitre très intéressant, le masque d'Alain tombe et je suis contente d'apprendre la raison pour laquelle il déteste les nobles. C'était très touchant de le voir si fragile tel un petit enfant, Oscar aussi s'est laissé attendrir par ce récit.

L'oncle Henri est vraiment doué, même s'il savait ce qui était arrivé au père d'Alain, il n'a rien dit, préférant jouer les ignorants. Mon petit doigt me dit qu'il en sait plus qu'il n'en dit  

Un lien très fort se forme entre Oscar et Alain même si elle ne s'en rend pas compte réellement. Il a déjà dépassé la simple amitié.

Alain a beaucoup de mal à gérer ses émotions avec Oscar, sa langue a failli fourcher plusieurs fois mais celle-ci n'y a vu que du feu.

Je suis contente d'avoir pu rattraper mon retard, la suite était vraiment très intéressante, un vrai régal.