En vous remerciant de votre lecture

Sublimement triste ! 

Alain est très touchant, digne et si honnête envers la mémoire  d'André.   Une relation d' amitié profonde et longue aurait pu réunir ces 3 personnages.

Je ne verse pas de larmes pour mon deuxième personnage préféré..il aurait très certainement voulu qu'Oscar rejoigne André.

Yay ! Encore réussi !

Sans doute une de tes meilleures fic, même si elles sont toutes bonnes, ça il n'y a rien à dire. Tu trouves toujours moyen de t'améliorer.
C'est un Alain plein d'esprit et de subtilité que l'on découvre, j'adore.

Selen a écrit:

Sublimement triste ! 

Alain est très touchant, digne et si honnête envers la mémoire  d'André.   Une relation d' amitié profonde et longue aurait pu réunir ces 3 personnages.

Je ne verse pas de larmes pour mon deuxième personnage préféré..il aurait très certainement voulu qu'Oscar rejoigne André.

Merci Selen. J'aime beaucoup cette parenthèse dans la ruelle, avant d'aller rejoindre les autres soldats à la Bastille, pour honorer aussi la mémoire d'André en allant au bout e ce qu'ils avaient choisi tous les deux. Ce moment où elle s'autorise une faiblesse dans les bras d'Alain, tout étonné et touché de voir son colonel pleurer contre lui. Une belle amitié et une belle fidélité d'Alain envers André !

Citation :

Yay ! Encore réussi !

Sans doute une de tes meilleures fic, même si elles sont toutes bonnes, ça il n'y a rien à dire. Tu trouves toujours moyen de t'améliorer.
C'est un Alain plein d'esprit et de subtilité que l'on découvre,  j'adore.

Merci Comtesse. J'ai aimé écrire ce texte, plus poétique et imagé, forcément, que les fics à chapitres, puisque stylistiquement plus condensé et émotionnellement plus fort  Merci pour mes écrits, ça fait chaud au cœur J'ai voulu faire ressortir un autre côté d'Alain, il est sensible et attentionné dans cette scène, laissant de côté son côté bourrin.

Merci beaucoup les filles !

J'ai beaucoup aimé ce one shot, dur de vérité  (je suis incapable de regarder la fin du DA).

A travers Alain, tu décris bien toute cette souffrance d'Oscar. La perte de sa moitié même si elle ne l'a compris que tardivement.

Alain comprend qu'Oscar n'a plus qu'un seul désir : se battre pour la liberté, pour rejoindre le plus vite possible celui qu'elle a perdu.

Je ne crois pas au couple Alain-Oscar. Pas avec un André vivant en tout cas.

Je ne peux que plussoyer les autres  
Il y a une ambience de "fin du monde" mélancolique qui sonne tellement vrai pour cette scène je trouve, et puis au niveau de l'écriture...bah je ne saurais pas dire laquelle des phrases m'a le plus plu, entre "l'aigre douceur de sa triste tendresse" et "qui possedait la gloire, les titres, la fortune et les honneurs, la confiance des rois et la vertu des prince " 
Bref, merci à toi (si tu me permets le tutoiement  ) pour cette bien agréable lecture !

jarjayes80 a écrit:

J'ai beaucoup aimé ce one shot, dur de vérité  (je suis incapable de regarder la fin du DA).

A travers Alain, tu décris bien toute cette souffrance d'Oscar. La perte de sa moitié même si elle ne l'a compris que tardivement.

Merci beaucoup !

Citation :

Alain comprend qu'Oscar n'a plus qu'un seul désir : se battre pour la liberté, pour rejoindre le plus vite possible celui qu'elle a perdu.

Oui, c'est pour cela qu'il ne lui offre pas plus qu'elle ne pourrai accepter. Il est pudique et respectueux, il se contente d'accueillir cette souffrance sans jouer un autre rôle.

Citation :

Je ne crois pas au couple Alain-Oscar. Pas avec un André vivant en tout cas.

Moi non plus, même si j'aime bien jouer de l'ambiguïté qu'il pourrait y avoir entre eux (ce que j'ai mis dans ma fic "au soir du duel, Alain"..." mais le registre n'était pas du tout le même  )

Citation :

Je ne peux que plussoyer les autres  
Il y a une ambience de "fin du monde" mélancolique qui sonne tellement vrai pour cette scène je trouve, et puis au niveau de l'écriture...bah je ne saurais pas dire laquelle des phrases m'a le plus plu, entre "l'aigre douceur de sa triste tendresse" et "qui possedait la gloire, les titres, la fortune et les honneurs, la confiance des rois et la vertu des prince " 
Bref, merci à toi (si tu me permets le tutoiement  ) pour cette bien agréable lecture !

Merci Scrubbi ! L'ambiance apocalyptique, je la ressens aussi. Un monde connu s'écroule, celui de la royauté et de son fonctionnement millénaire, celui de cette Bastille qui s'écroule, et celui d'Oscar qui renonce à ce qu'elle était et a payé au prix fort son engagement. Le fait que cette scène se déroule dans une ruelle crasseuse et sombre fait vraiment écho, à mon sens, à cette idée de passage d'un monde à l'autre, un monde dont on ne sait pas ce qu'il va vraiment apporter même si on en souhaite l'avènement...Ils sont précisément dans ce passage, au sens propre et au sens figuré, et les larmes d'Oscar, celle qu'elle verse devant Alain, sont sa manière à elle de se donner du courage pour aller vers la lumière...et vers la mort bien sûr...

Merci pour mon écriture, on est dans un texte à mi-chemin entre la prose et la poésie, avec des assonances, des effets d'images. Il ne se passe pas grand chose de facto, mais les sentiments sont débordants et brûlants, c'est donc la rhétorique qui doit emplir l'espace pour retranscrire l'épaisseur de ce moment.

Pas de souci pour le tutoiement (ça me rajeunit  Si j'ai bien vu, tu as à peu près l'âge de mes élèves )

Merci à toutes de votre lecture

C'est un texte superbe !

Merci Lénie

Hier soir, j'ai fait un commentaire rapide. Je voulais t'en faire un plus détaillé, et finalement je m'aperçois que j'ai du mal à trouver mes mots sous l'influence de ce texte. Donc je vais simplement te dire que je l'ai trouvé beau à pleurer, en particulier ce passage : "Le silence se fit dans nos cœurs, plus lourds que jamais de ce sang versé, de ces pleurs semées d'espérance, de ces possibles qui ne pouvaient naître que sur le corps des martyrs de la République avant même qu'elle ne soit éclose.
Il n'y avait rien à faire, rien d'autre à faire que de relayer ses mutismes, de porter ses larmes. 
Plus rien. Qu'une femme muree dans son chagrin et un homme, pauvre bougre, un simple soldat des gardes françaises, qui tentaient de la soutenir. Plus de colonel et de sergent. 
Plus rien avant que la Liberté, de son souffle épique et puissant, ne nous rappelle. Résolument. 
Plus rien avant de rejoindre le bruit et la fureur. 
Avant, sans doute, qu'elle ne goûte à l'obscurité infinie des limbes. 
Avec lui. Dans le silence de leur cœur". 


Silence et respect, on savoure 

Je m'aperçois que je n'ai pas commenté ton post. Je t'en remercie infiniment.