Une inspiration subite librement inspirée (avec quelques modifications de la série ) de la fic d'Arlène "Talisman du coeur" sur l'histoire du médaillon d'Oscar.

Arlène, je te dirai que je n'ai pas conservé le si beau titre " suite de treize" parce qu'après reconsidération et réécriture, mon histoire ne fait qu'une vingtaine de pages... ( même pas 26, la honte ! )

Très belle fc. J'ai adoré. C'est la première fois ou je lit une fic avec la présence du père d'André aussi marquer.

merci Nicole !!
j'avais très envie d'exploiter l'idée que la vie d'Oscar était entourée de l'amour des Grandier !

Moi j'applaudis cette superbe idée vraiment
C'est superbement bien pensé et original je trouve toute cetet histoire autour du collier mettant le père d'André en contact avec Oscar, c'est génial

Sans parler du fait qu'il aurait été le prédécesseur du masque noir... Sa c'est un coup de génie je trouve

Et la finale, pauvre, pauvre André.... On pense que sa va finir sur un baiser, et Oscar qui pense qu'il allait s'endormir :hyhrhrt: LA GROSSE NOUILLE quand même :hyhrhrt:

Vraiment chapeau MAria, tu as vraiment des idées originales et intéressante J'Adore ça

Très joli fic très bien écrit!
Pas si court que cela tout de même ^_____^ j'aime beaucoup l'idée de ce fic la clairevoyance d'Oscar enfant, qui défend le bien de sa mère et sa mentalité prompte à défendre les opprimés.
La comparaison perle= pain également!! et le petit "mon médaillon c'était toi" haaaa très jolie scène!!!

Bravo Maria!!!!

J'ai découvert cette fic tardivement Cela ne m'empêche pas de dire que je l'ai adorée !!!

Ah oui, en effet, je viens de me souvenir qu'on avait parlé d'une suite de treize... ma mémoire me joue des tours... un effet de mon grand âge sans doute ou des cachets colorés de Marina

J'aime le côté inattendu du père d'André, la double éducation que reçoit Oscar, "mon médaillon, c'est toi" évidemment, mais j'aime aussi la fin : ça ressemble bien à Oscar de ne rien comprendre. Il faudra qu'elle reste looongtemps aux côtés de son médaillon pour en comprendre tous les trésors cachés

Je résume ce que je pense de cette fic :
ect...

moi aussi je vient de la découvrir et franchement j'ai adorée, cétait une bonne idée de mettre des personnages tel que le père d'André ( qui a un sacré caractère)

Après avoir lu Un large champ de colza, je n’ai pas résisté à l’envie de découvrir ce personnage de Clet que tu évoques. Je commence donc la fiction que tu lui as consacré.

Chapitres 1 et 2

Une entrée en matières intrigante, avec ce personnage inconnu qui a l’air de tenir une si grande place dans l’esprit... et le cœur d’Oscar. Celui qui, de toute évidence lui a donné ce médaillon qu’elle regrette d’avoir, à son tour, donné à Rosalie.

« Ce détail mis à part » : quand le « détail » en question est la féminité d’Oscar, je trouve que tu pratiques avec bonheur l’art de la litote !

Eh bien ! Ton Oscar n’a pas froid aux yeux, et est incontestablement pénétrée de la supériorité de sa noblesse, pour affronter ainsi un adulte. Qui n’est qu’un roturier, il est vrai. Mais j’ai l’impression qu’il/elle va trouver à qui parler !

Hmm ! Cette description des yeux d’Abélard Etienne ! J’aurais envie qu’un beau fanart vienne l’illustrer.

Apparition de Bernard Châtelet enfant ! Décidément, ta fiction recèle bien des surprises. Je comprends comment Bernard va devenir un journaliste acquis aux idées nouvelles et un Masque noir-Robin des Bois, s’il suit les enseignements de cet homme pour le moins iconoclaste envers l’ordre établi.

Comment Oscar pourrait-elle comprendre un tel discours subversif ? Comment pourrait-elle apprécier un homme qui reconnaît ouvertement être un bandit de grands chemins ? Mais j’ai dans l’esprit qu’il a beaucoup à lui apprendre, à cette Oscar de dix ans, si ancrée dans ses certitudes.

Je trouve en tout cas savoureux que Grand-mère, si conventionnelle et attachée aux traditions, ait un fils si original et dédaigneux des conventions.
J’ai hâte de lire la suite.

oh mais dites donc, il y a des commentaires qui datent et que je n'avais pas vu pardon et merci :lklokl:

Maïlys, je te remercie de ton commentaire sur ce début :hyret: . J'ai pris plaisir à y jeter des petites allusions au futur, c'est vrai... ( et tu sais quoi, je suis allée la relire pour savoir comment j'avais décrit les yeux d'Abélard parce que j'avais oublié... Houh, la honte !! )

Je suis curieuse de savoir si tu vas aimer cette histoire. (j'espère que oui ! :bounce: )

Chapitre 3

« ...Quoique dans ton cas, je doute fort que tu fasses réellement ce dont tu as envie... » : Il est étonnant qu’Oscar ne comprenne pas le pourquoi de cette remarque de Clet. A-t-elle été si conditionnée pour ne pas percevoir la terrible contrainte qui lui est imposée par son père ?

« Je ne retire rien, je donne au contraire... Je donne un peu plus de vie. » Que voici une jolie définition du "métier" de Clet...

Eh bien, Oscar a le coup d’œil pour les bijoux ! Parce que distinguer un rang de perles d’un autre rang de perles...

« Il se jura qu’un jour, il serait le colonel qui mettrait fin aux agissements du Masque noir ! » Alors voici d’où vient l’acharnement du Colonel de Jarjayes à démasquer le masque noir !

Outre l’originalité de ce fils de Grand-mère, j’aime sa manière, gentille, ironique et distanciée, d’essayer de faire réfléchir Oscar, à la fois à sa condition de fille-garçon et à la condition des roturiers.
Pour l’instant, ses efforts n’ont guère été couronnés de succès mais je ne perds pas espoir.

Chapitres 4 et 5

Oscar n’est visiblement pas de taille à se mesurer au Masque noir, pas pour le moment en tous cas. Il lui faut encore grandir un peu et apprendre deux ou trois petites choses...
...dont l’art de ne pas se perdre en forêt ! Et son fidèle coursier la laisse tomber. Entre nous, elle aurait dû lui lâcher les rênes et il serait gentiment rentré à l’écurie. Les chevaux savent très bien retrouver leur auge et leur râtelier d’avoine.

« La bouillie [de blé] était parfumée au thym et à la courgette ! Quel régal ! » Non merci, sans façon ! Je suppose que tu as effectué des recherches historiques pour que ton héroïne se délecte de cette bizarre mixture.

Je me sens un peu comme la petite Oscar : je ne comprends pas bien les propos d’Abélard.
Qu’on cherche à "maquiller" Oscar, petite fille, en l’élevant comme un garçon, je peux le comprendre. Mais que cela l’empêche de deviner la clé du médaillon, j’ai un peu plus de mal. La solution dans le prochain chapitre, je présume.

Décidément, la personnalité de cet Abélard est étrange et mystérieuse. Pourquoi s’intéresse-t-il autant à Oscar ? Qu’il ne l’attaque pas, vu son jeune âge, soit, mais qu’a-t-elle de spécial à ses yeux pour qu’il se préoccupe d’elle ainsi ?

Suite et fin

J’aime la valse hésitation d’Oscar en face de Clet, à la fois attirée et repoussée, intriguée et choquée.

Ainsi donc le médaillon appartenait à la reine Marie Leczinska, une reine bonne selon les critères du Masque noir. J’avoue que, comme Oscar, je patauge toujours quant à la réelle signification de ce bijou.

La relation qui se tisse entre l’homme, Clet, et la "petite fille" qu’est en réalité Oscar, est touchante. Clet ouvre pour Oscar les horizons du cœur et du rêve ; il la fait réfléchir ; il l’aime pour ce qu’elle est. Il la fait grandir et mûrir tout en lui permettant d’être une enfant.

« C’est à ton cœur de décider s’il battra et ce pour quoi il le fera... » : un très beau précepte de vie mais qui n’est pas si facile à appliquer. Surtout lorsque l’on est encore une enfant inféodée aux ordres de son père et vivant dans une société normée et rigide. Mais Clet sème une petite graine, peut-être celle qui aboutira aux choix d’Oscar à la fin de sa vie.

Qu’elle est jolie, cette scène automnale, pleine de tendresse ! Une sorte d’arrêt sur image avant de plonger dans la réalité déchirante du départ. Pauvre Oscar qui va à nouveau se retrouver si seule.

Et le déchirement de ses premières larmes, la dernière leçon de Clet, le don de ce médaillon, symbole des sentiments que Clet a fait découvrir en elle-même à la petite fille...

J’aime beaucoup l’épilogue, avec un André à la fois héritier de Clet et possédant sa propre personnalité. Le récit qui fend le cœur de ce petit garçon se construisant sa légende à propos du médaillon, le seul souvenir qu’il voulait tellement posséder de son père.


« C’était comme avec Clet. Oscar se sentait « elle », libre d’exister malgré les obligations de l’uniforme, libre de ressentir des émotions malgré la froideur du colonel, libre de vivre sa vie de femme. Libre d’aimer.
- ...C’était toi mon médaillon. »
Et voilà ! Oscar réalise l’importance d’André dans sa vie, tout ce qu’il lui offre, tout ce qu’il lui permet de ressentir. Au point de l’assimiler à ce médaillon contenant l’essence de l’enseignement de Clet. Et pourtant, elle ne comprend pas la signification véritable des paroles qu’elle prononce elle-même. Il lui reste encore bien du chemin à faire avant de comprendre réellement le message profond du médaillon et de suivre sa nature.

Pauvre André ! Il ne lui reste plus, à lui, qu’à prendre son mal en patience !


J’ai beaucoup aimé cette fiction, très originale, avec ce personnage central de Clet qui permet à Oscar de découvrir tant d’elle et de la vie. Ce personnage à la fois ironique et tendre, qui suit son chemin envers et contre tout et que l’on retrouve en écho à travers André.
Maintenant, il faudrait que je relise Un large champ de colza, à la lumière de ce que j’ai appris de Clet et de ses relations avec Oscar.

PS : Clet apparaît-il dans une autre de tes fictions ?

Citation :

...Quoique dans ton cas, je doute fort que tu fasses réellement ce dont tu as envie... » : Il est étonnant qu’Oscar ne comprenne pas le pourquoi de cette remarque de Clet. A-t-elle été si conditionnée pour ne pas percevoir la terrible contrainte qui lui est imposée par son père ?

Totalement conditionnée . Il fallait bien ça pour légitimer que Clet ait besoin de passer beaucoup de temps à « l’éduquer », pour que les sentiments aient le temps de naître !

Citation :

« Je ne retire rien, je donne au contraire... Je donne un peu plus de vie. » Que voici une jolie définition du "métier" de Clet...

merci

Citation :

Eh bien, Oscar a le coup d’œil pour les bijoux ! Parce que distinguer un rang de perles d’un autre rang de perles...

oui, c’est vrai que c’est un peu gros ( j'ai raconté n'importe quoi !! sauf si l'on part du postulat que le collier ne contenanit pas que des perles mais une pierre précieuse sur monture dans l'esprit d'un pendentif qui différencierait le collier d'un autre... mais comme je ne l'ai pas précisé, cette excuse tombe à l'eau... donc, effectivement, j'ai raconté n'importe quoi ) mais comme elle sait que Clet vient de chez elle, elle en a déduit qu’il ne peut avoir volé qu’un bijou de sa mère, on va dire...

Citation :

Les chevaux savent très bien retrouver leur auge et leur râtelier d’avoine.

Je ne savais pas ! merci pour l’info :lkioujy: . Nul doute, ça me servira !!

Citation :

« La bouillie [de blé] était parfumée au thym et à la courgette ! Quel régal ! » Non merci, sans façon ! Je suppose que tu as effectué des recherches historiques pour que ton héroïne se délecte de cette bizarre mixture.

hmm... bah... euh... en fait, c’est simplement ce que je mange quand je fais une indigestion :silent: ... et c’est pas mauvais ! mais c’est de la bouillie à l’eau, pas au lait ( parce que je confirme, la bouillie au lait, je n'aime pas non plus ! ).
Mais sinon, je sais qu'on mangeait de la bouillie de blé ( ou d’avoine) historiquement quand on était malade. Moi j'ai rajouté l'accompagnement parce que c'est ce que je mange mais c'est un hasard si je mange comme eux !!

Citation :

(...) la reine Marie Leczinska, une reine bonne selon les critères du Masque noir.

Et selon les critères historiques aussi !! ( mais je ne sais pas si elle a vraiment remplacé ses vrais bijoux par des faux pour nourrir le peuple, ça, c'est une liberté que j'ai prise !!)

Citation :

PS : Clet apparaît-il dans une autre de tes fictions ?

Juste dans la rubrique des défis, « Avant Jarajyes, le livre d’André » mais tu l’as lue... J’ai une idée pour une autre histoire où on parlerait de lui mais on ne le verrait pas, on parlerait juste de lui et des relations qu’il avait le Général de Jarjayes ( mais du coup, ce serait une histoire parallèle parce que ses rapports ne seraient pas les mêmes que ceux inexistants qu’on trouve dans « Clet »... parce que sinon, il n’aurait pas visité Jarjayes avec un « regard curieux et calculateur » ni volé le collier de Louise. Quoique, si je creuse l’histoire, je pourrais trouver une explication pour relier les deux récits... ).


Je suis ravie que tu aies aimé :hyret: ! merci beaucoup ! elle est dans mon top 3 de mes histoires préférées !

Comme promis, j'ai lu ta fic et je te laisse un petit commentaire.

Petite fic intéressante qui explique comment Oscar a hérité du collier.

cette rencontre entre clet et Oscar apporte beaucoup à ton personnage d'Oscar, clet lui a appris à être elle-même, il la rend plus humaine, il lui apprend à pleurer.

Il considère Oscar comme une fille et non comme l'héritier des Jarjayes, il se comporte avec elle de la même façon qu'André quelques années plus tard.


Toujours aussi longue à la détente cette Oscar, elle n'a pas compris qu'André voulait l'embrasser. On ferme uniquement les yeux lorsque l'on est fatiguée. Elle a l'esprit un peu étroit la petite.

Maria, je viens de lire ta fic, certes, qui ne date pas d'aujourd'hui;)  mais je dois dire qu'elle est singulière et touchante.
J'ai rarement lu de fics sur le père d'André et celle-ci le montre bien présent.
Une présence pour Oscar tout au long de sa vie et qui lui donne la force nécessaire pour avancer et ne pas s'oublier.
On retrouve André qui comprend tout mais qui ne lui en veut pas, sans doute parce qu'il succède d'une certaine manière à Clet auprès d'Oscar.
En résumé, très belle fic