Vous savez ce qu'il vous reste à faire ...

Très jolie fic. J'adore.
Une Oscar torturé par une amitiè qui est entrain de s'évaporer. Et un André qui fête sont anniversaire loin d'Oscar (ça m'étonne un peu )

Je suis impatientede découvrir la suite

Merci :sszazq: :sszazq: :sszazq: Je ne peux pas te répondre trop sans trop t'en dire.... :aaqzaq: Je vais donc dire que j'avais envie de faire quelque chose de plus doux que ce que je fais souvent, quelques vignettes mises à part. On est encore dans un dispositif intimiste, un peu comme dans "Ma Chère Poupée...", mais ce sont d'autres souvenirs qu'Oscar revit ce soir-là.

La suite arrive bientôt :vvgrety: très bientôt même... Je la poste tout de suite :dffred:

J'adore toujours autant Arlène ^^

J,avoue qu'en lisant la suite je me suis demandé si cette histoire de frère ne venait pas du manga ou de quelque chose que j'avais loupé encore lollllll Mais c'est vrai qu'elle est très belle ^^ triste, mais elle explique bien des choses dans ton contexte ^^

Il me tarde de lire la suite et j'Aime bien voir que le liens qui les unis est si fort qu'André aussi s'échape sur ces chemins ^^

Merci Marina Bah oui, quand même je n'allais pas laisser Oscar se promener toute seule sur les chemins de l'amitié, les routes ne sont parfois pas sûres : imagine que la Polignac ait à nouveau envoyé ses sbires pour tendre une nouvelle embuscade à Oscar

heu ok, très d'âneries, je sors

Sérieusement, j'ai eu envie d'ajouter un peu plus le point de vue d'André pour montrer que ce que je raconte est un chemin qu'ils font ensemble même séparés. Je trouvais l'idée jolie aussi :flower:

Non, non, l'histoire du frère du général ne vient pas du manga, mais de ma petite tête qui radote un peu d'une fic à une autre

J'adore cette idée mimi
J,adore ta fic
j'adore ton imagination qui mène des histoire comme celle du général d'une fic à l'autre
J'adore ton style d'écriture

bref:

J'ADORE!!!!!!

Alors merci de nous régaler comme ça de tant de douceur^^

bouuh suis comme Marina j'adore !

J'aime bien que tu es repris ton idée du frère de Rainier de Amour&Liberté et que tu l'es plus développé.
C'est vrai que ainsi on pourrait mieux comprendre le Général c'est dommage que Riyoko n'y ai pas songée

Je demanderai qu'une chose ... la suite !

Merci

Pour Ikéda, on n'a plus qu'une solution : lui réclamer à corps et à cris l'histoire du général en inspirant de cette idée

La suite arrive sous peu

ça y est ! La suite est arrivée

rouiiiiiiiiiiiiiiiiii et elle est géniale cette suite vraiment^^
L'exploitation de l'imagination des enfants est sublime^^
J'adore ce passage où Oscar fait son voeu à ce dahu ^^
Et une fois adulte, elle lui ''reparle''

c'est génialissime j'Adore merci Arlène^^

Très beau chapitre! J'adore cette chasse au Dahu ... Par contre tu parles de certaines conséquences de cette chasse pour ton prochain chapitre ? Oscar aurait elle été prise à parler seule ?


Pour le savoir la suite^^

MERCI

Les conséquences ? .... Bah vi, faut attendre la suite

J'adore Arlène^^
Un peu de suspens quand même là, je me demande ce que grand-mère va faire raconter à André au général^^

Merci pour ce bijou sa détends vraiment avant le boulot ^^

Merci :flower:

J'ai posté la réponse à cet ''intenable'' suspens Bonne lecture !

Lolll c'était trop bien pensée^^
surtout el passage où le général parle de ''dahus'' devant des paysans lollll me semble que sa devait être drôle lollllllll

Je le simagines tellement tous les deux à cheval, le général devant eux, mais leur yeux moqueurs et leur sourire en coin c'est une très belle image^^

Merci Arlène vraiment j'adore ça
et j'ai hate de voir ce petit défi hihihi ^^

Merci :gyguy: :gyguy: :gyguy:

Je vais essayer d' :vvgrety: le chapitre sur le défi dans la journée

:mmlkjh: :mmlkjh: :mmlkjh: :mmlkjh:

J'ai adoré cette finale Arlène ^^
Et la fic en entier d'ailleurs

Si douce et différente de celles que tu as écrites au part avant
Vraiment bravo pour cette merveille de douceur ^^
Et j'aime bien quand la fin laisse place à l'imagination ^^

Merci J'avais envie d'écrire dans un autre registre, plus léger, plus rafraîchissant pour ne pas me spécialiser uniquement dans un style de fics et puis parce que j'avais envie d'un souffle d'air en écrivant. Je suis contente que ça t'ait plu.
Là, je vais entamer une fic sur le Général avec comme ligne directrice une idée qui semble me tenir à coeur puisqu'elle revient dans plusieurs fics : l'idée d'un frère qu'il aurait dû remplacer, et qui réponde à la question : pourquoi fait-il le choix d'élever Oscar en homme ? On verra ce que ça donne...

J'ai très hate de voir ça cette nouvelle fic^^

J,adore cette petit histoire de frère et je suis curieuse de voir comment tu vas la dévelloper ^^

Cette fic est très émouvante et touchante même si elle est pleine de pointes d'humour... Une histoire très humaine et qui montre la vraie personnalité d'oscar malgré elle...
J'ai beaucoup aimé et même apprécié...

Merci

Ce que j'aime bien dans les waffys, c'est que l'on peut faire une Oscar moins austère et faire des textes amusants Contente que ça t'ait plu.

Merci

Ce que j'aime bien dans les waffys, c'est que l'on peut faire une Oscar moins austère et faire des textes amusants Contente que ça t'ait plu.

Superbe, vraiment ! Très doux, très intime, très mignon sans être mièvre. J'adore ! Merci !

@ Lady Victoire : Merci beaucoup   Je me souviens m'être beaucoup amusé en écrivant cette fic


Depuis que je suis revenue, je me suis aperçue que mes textes avaient été lus et commentés en mon absence. J'ai été très heureuse et très touchée de découvrir ces commentaires. J'y répondrai peu à peu (si je réponds à tout en même temps, ça va trop "bousculer" les commentaires actuels sur les fics en cours d'écriture en faisant remonter trop d'anciens sujets, ce qui serait incorrect). A bientôt pour d'autres réponses. 

Ah oui, pour celles qui ne le savent pas, Lénie = Arlène (j'avais dû changer de compte à un moment parce que j'avais été piratée), c'est pourquoi c'est Lénie qui répond sur les fics d'Arlène... Ouh... ça commence à être compliqué 

L'avantage de découvrir ces petits trésors des années après, c'est qu'ils sont déjà complets

Merveilleuse histoire, mais fichtre de fichtre ... ça a réveillé à nouveau la muse ça va devenir une habitude!

Parmi ce que j'ai écrit, c'est l'une de mes préférées. J'ai beaucoup ri en l'imaginant
Avec un taux d'hilarite record sur le chapitre des moustiques.

Ça a encore réveillé ta muse ? Mais elle est shootée ma parole !! Elle a pris trop de petits bonbons colorés Essaye de lui filer des somnifères pour voir

Bonjour Lénie,

 

Etant en congés cette semaine, je me suis attaquée à ton répertoire (très fourni) de FICs comme je me l’étais promis ! J'ai déjà lu toutes tes histoires « tout public » = des heures et des heures de pur divertissement !! J Beaucoup de ces histoires ont été rédigé il y a longtemps, mais je les découvre seulement maintenant. Et j’aimerais inciter d’autres nouveaux lecteurs à s’y pencher.

 

Parce que tu as un réel talent de conteuse Lénie ! Il y a vraiment un côté « il était une fois… » dans tes écrits : tu nous prends par la main et tu nous fais remonter le temps si facilement vers l'enfance d'Oscar et d’André. Tout ce que tu as inventé sur leur passé est si plausible que cela semble couler de source et se grave dans le marbre comme étant leur "enfance officielle".

Ton imagination est fertile, ta plume est belle, ton style très fluide. L’expression des sentiments de ces deux enfants est si pure, leur attachement si sincère que l’on ne peut qu’y croire et s’attacher nous-mêmes à eux. D’autant que chacune de tes FICs est ponctuée d’une leçon de vie, comme toute fable qui se respecte.

J’ai particulièrement aimé « Sur les chemins de l’amitié », « Au fil de l’eau », « La petite licorne, le petit garçon et la demoiselle escargot »…

Falbala

Falbala a écrit:

Bonjour Lénie,

 

Etant en congés cette semaine, je me suis attaquée à ton répertoire (très fourni) de FICs comme je me l’étais promis ! J'ai déjà lu toutes tes histoires « tout public » = des heures et des heures de pur divertissement !! J Beaucoup de ces histoires ont été rédigé il y a longtemps, mais je les découvre seulement maintenant. Et j’aimerais inciter d’autres nouveaux lecteurs à s’y pencher.

 

Parce que tu as un réel talent de conteuse Lénie ! Il y a vraiment un côté « il était une fois… » dans tes écrits : tu nous prends par la main et tu nous fais remonter le temps si facilement vers l'enfance d'Oscar et d’André. Tout ce que tu as inventé sur leur passé est si plausible que cela semble couler de source et se grave dans le marbre comme étant leur "enfance officielle".

Ton imagination est fertile, ta plume est belle, ton style très fluide. L’expression des sentiments de ces deux enfants est si pure, leur attachement si sincère que l’on ne peut qu’y croire et s’attacher nous-mêmes à eux. D’autant que chacune de tes FICs est ponctuée d’une leçon de vie, comme toute fable qui se respecte.

J’ai particulièrement aimé « Sur les chemins de l’amitié », « Au fil de l’eau », « La petite licorne, le petit garçon et la demoiselle escargot »…

Falbala

Merci beaucoup 
C'est vrai, ces histoires ont été écrites il y a environ une dizaines d'années, sauf "Entre tes lignes" et "la petite licorne, le petit garçon et la demoiselle escargot" qui sont récentes.
Un joli style et un talent de conteuse ? Je te remercie, ça me fait très plaisir. En fait j'essaie d'emmener le lecteur où se promène mon imagination. Et j'aime bien jouer avec l'histoire officielle en utilisant les moments que l'on ne voit pas et en imaginant ce que ce qui a pu se passer à tel ou tel moment. L'enfance d'Oscar et André offrent tellement de possibilités... C'est un de mes péchés mignons de leur imaginer telle ou telle anecdote d'enfance. "les chemins de l'amitié" est sur ce plan une de mes fics favorites. 
Ce qui me surprend le plus en lisant ton commentaire, c'est le parallèle que tu fais avec les fables et les contes. Je n'avais jamais vu mes fics sur leur enfance sous cet angle, à part "la petite licorne, le petit garçon et la demoiselle escargot" qui est une version un peu revisitee du conte de fées. En y réfléchissant, en effet, il y a un côté conte dans ces histoires, peut-être plus sur les vignettes que sur cette fic. Encore que... C'est vrai, l'atmosphère générale a un petit côté irréel, un peu à côté de la réalité, avec ces souvenirs que les deux arpentent ensemble sans le savoir en cette nuit d'été. Merci de m'avoir fait voir les choses sous cet angle également  
Je suis vraiment heureuse que tu aies aimé ces textes sur leur enfance. Je viens de me souvenir que j'avais écrit une autre vignette de ce genre pour un concours de Pâques. Je vais la chercher et la poster dans ma section fics
J'ai vu que tu avais commenté deux autres de mes fics. Je réponds demain. Il est l'heure de retrouver Morphee

Je commenterai plus en detail ce soir mais je viens de finir cette petite histoire et j'ai beaucoup aimé 

Avec plaisir
Je suis curieuse de savoir ce que tu vas m'en dire. A tous les coups, tu vas me faire voir des choses qui m'avaient échappées

C'est ti-par  

Déjà, je suis sensible au parti pris de raconter l'enfance d'Oscar et André sous forme de souvenirs, ce qui lui ajoute une douce profondeur mélancolique que j'aime beaucoup. J'ai passé un très bon moment à lire leurs petites aventures d'amitiés, je dirais même un peu trop, parce que tu m'as donné la furieuse envie de gambader dans l'herbe verte et le foin alors qu'on est un plein confinement. Super timing :p
Je rigole bien sûr, c'était le genre de lecture dont j'avais besoin. Pour paraphraser Falbala, je salue particulièrement ton talent pour conter. Ecrire sur l'enfance, retranscrire les pensées de cette âge et le langage qui va avec sans que cela devienne agaçant ou trop forcée, ce n'est pas évident, surtout si les enfants sont née plus de deux siècles avant. Et pour le coup je trouve que tu as réussi le pari, j'ai trouvé leurs interactions agréables, rigolotes, ou émouvantes, ni trop sérieuses, ni trop niaises.
André et Oscars sont adorables ensembles, je les imagines très bien : André l'instigateurs, qui se fait dépasser par l'enthousiasme débordant de son élève  Et Grand mère qui fait tout pour couvrir leurs bêtises ^^ J'ai adoré le running gag avec la souris et le renard, et le coup des enfants cachées dans le panier mais qui ne peuvent pas s'empêcher de faire du bruit. Un classique indémodable ! Le coup des orties m'a fait aussi beaucoup rire  
(Bon je ne m'attarderais pas sur les racines corses d'André, on sait tous qu'ils sont partout ceux là !)

Au début le Général à l'air tout du cliché du père violent et insensible. ça donne un impact "les malheurs de Sophie" que j'aime bien, mais j'apprécie aussi le fait que son portait soit nuancé par la suite. Notamment cette histoire du frère noyé dont tu as même tiré une fic si je ne m'abuse. Je dois dire que j'aime beaucoup l'idée de ce grand père impitoyable, mesquin, dur envers son cadet qu'il méprise et hait à un point irrationnel jusque sur son lit de mort (Il me fait penser à un personnage de Game of Throne mais je ne me rappelle plus de son nom). Le destin d'Oscar prend alors un double sens symbolique caché : elle est à la fois un hommage vivant à son oncle décédé, et l'ultime tentative de rachat du Général envers son propre père. Le rapport conflictuel au père, voilà une thématique que j'aime beaucoup voire explorer. Du reste ça me donne envie de lire "Père, pardonnez moi", que j'avais déjà commencé il me semble mais sans aller jusqu'au bout.
En tout cas les réflexions que le Général se fait sur sa décision d'élever Oscar en homme qu'André découvre dans son journal intime sont sincèrement intéressantes, notamment sur la marge de liberté qu'offraient la condition, tant masculine que féminine, à cette époque, et son raisonnement ne me semble pas absurde. S'il est certain qu'Oscar à souffert de ne pas pouvoir aimer librement, rien ne permet de dire que cela n'aurais pas été de même si elle avais été élevé en femme vu les carcans de son temps.

Mon commentaire commence déjà à s'allonger dangereusement donc je vais l'arrêter ici pour ce soir, parce qu'il me vient des tas d'autres remarques et que si je commence à les aborder maintenant je vais encore avoir du mal à me réveiller demain. C'est presque pathologique à la fin, je m'étais dis que je ferais un truc court et concis pour une fois, et rebelote, au fur et à mesure il me viens de nouvelle chose. Je vais finir par croire que c'est à cause d'une de ces païenneries corses, tu m'as lancé un sort ou quelque chose comme ça !  

Merci Scrrubi ! En te lisant hier soir, ça m'a inspiré un petit qqc. Je n'en dis pas plus. Je répondrai un peu plus tard (aujourd'hui, demain ou dans quelques jours) à ton long et très intéressant commentaire. Je vais essayer d'écrire une petite demi-heure pour Entre tes lignes

Tu m'intrigues ! Prends ton temps pour répondre  Je me suis déjà fait la réflexion qu'il y a quelque chose d'agréable à ce que sur le forum, on puisse prendre un temps pour la réflexions et les interactions dont on ne peut pas toujours bénéficier ailleurs.

Alors, reprenons : il y a deux passages en particuliers qui m'ont particulièrement marqué. La chasse au dahu, non seulement parce que c'est drôle quand André essaye d'expliquer et qu'Oscar ne piges rien (en fin c'est pas pire que son père qui gobe tout ce que Grand mère lui raconte   ), mais surtout parce que, du moment où Oscar décide de rentrer dans le jeu et d'imaginer l'animal, tu as cueilli pour moi le coeur de l'enfance. La parenthèse magique où les frontières du jeu et du réel se floutent, l'imaginaire déborde. Ce qui est marrant c'est que pourtant, spontanément, ma première réaction a été de trouver ça...étrange, surréaliste, exagéré. Je pense que c'est ça ce qui m'a le plus plu, que pour pouvoir l'apprécier la scène t'oblige en quelque sorte à te rappeler ce que c'est d'être enfant. Je n'ai pas pu m'empêcher de sourire quand Oscar a embrassé le museau du dahu, coup de coeur absolu pour ce passage, c'est trop mignon

Eeeeet il est déjà minuit, donc je reporte à demain la suite de la suite de ce com

Je t'intrigue ? En fait, c'est juste quelque chose qui m'est venu pour une scène qui va venir au fil du Gange et qui me trotte dans la tête depuis environ un an. J'en ai déjà imaginé différentes versions et là, je me suis dit qu'il y a quelque chose qui pourrait être intéressant d'aborder, mais je ne dis pas quoi, le Gange le dira en son temps  
Je trouve aussi que c'est agréable de pouvoir prendre son temps pour répondre. ça laisse le temps de la réflexion et parfois la possibilité de changer d'avis quand on réexamine ce à quoi on pensait à la base.  

La chasse au dahu, ah mais oui ! J'avais oublié cette scène  Elle est amusante et demande pas mal d'imagination. En fait, comme tu le dis, il faut vraiment arriver à voir les choses dans sa tête comme lorsqu'on est enfant pour pouvoir y entrer.  Mais j'ai aussi fait des scènes faites pour être amusantes, en poussant un peu parfois. J'avais simplement envie de m'amuser à l'époque où je ai écrit cette fic. Un peu comme les histoires de bain mouillé et de couverts cet été. 
La scène que je trouve la plus poussée/outrée c'est l'histoire des moustiques et la scène de "grand guignol" qui s'en suit avec le Dr Lassonne. Elle m'avait fait beaucoup rire en l'écrivant et encore quand j'ai relu la fic il y a deux ou trois ans (quand j'ai repris le Gange en fait  ). Il faut vraiment entrer dans le jeu de la fic pour le coup, surtout quand oups les orties ... c'est vraiment ballot 

Je reviens sur ton premier commentaire. Je suis contente que cette histoire t'ai plu par son côté à la fois mélancolique et amusant. En écrivant, je ne m'étais pas posé la question du bon dosage pour écrire sur l'enfance. J'avais juste écrit ce qui m'était passé par la tête. C'était à cette époque où j'écrivais et postais un chapitre après l'autre sans me poser de questions. Ah c'est beau la jeunesse ... Somme toute relative, je devais avoir un peu plus de trente ans quand même   En fait, ce qui me fait plaisir en lisant ton commentaire c'est d'avoir visé juste "d'instinct" (mais non je ne me jette pas des fleurs... encore que... mais non, na !   ) 
La souris et le renard qui se promènent d'un chapitre sur l'autre, ça pourrait faire une nouvelle fable  Avec le coup du panier, qu'est-ce que j'ai ri en l'écrivant celui-là ! 

Et de là, on passe au Général qui présente plusieurs facettes. Insensible et froid au premier abord, et plus nuancé ensuite. J'ai bien tiré une fic (Père, pardonnez-moi) de cette histoire de frère décédé et de culpabilité. J'avais envie de creuser un peu parce que je me suis toujours demandé comment le père d'Oscar avait pu avoir l'idée de faire de sa fille son fils. Et un rapport torturé à son propre père me semblait une raison qui pouvait expliquer une décision qui à l'époque était très osée, presqu'insensée.  
Après dans Père, pardonnez-moi, il y a de grosses ficelles, et des choses qui ne collent pas historiquement parlant. Je ne renie pas pour autant cette fic, j'ai bien aimé l'imaginer,notamment avec ce père totalement figé dans sa rancoeur et aussi avec le personnage de la Chevalière (qui expliquerait en partie pourquoi il pense sa fille capable de relever le "défi"n du moins ce qui pouvait apparaître comme tel à l'époque).
Oui, au vu de la condition des femmes au XVIIIème, rien ne permet de dire qu'Oscar aurait été plus libre en tant que femme, et notamment plus libre d'aimer. C'est un aspect que j'aime bien aborder

Deuxième partie de la deuxième partie du com, en espérant que ça sera la dernière. (Surtout que ça ne sert à rien que je me force à me coucher vers minuit parce que je met deux heure à trouver le sommeil, mais passons )
Le deuxième passage qui a retenu mon attention plus que les autres, c'est quand Oscar va manger avec son père et qu'elle s'efforce d'être la plus parfaite possible à ces yeux. Pas de raison particulière, simplement ça m'a fait de la peine l'imaginer toute droite et sérieuse, alors que ses pieds ne doivent même pas toucher par terre, dans le seul but de satisfaire un père intransigeant et dur qui ne sait pas lui témoigner son affection. Je ne peux pas m'empêcher de penser que dans la réalité c'est ce que vivent beaucoup d'enfant.
Le troisième passage, (parce que oui, en définitive il y en a un troisième !) c'est celui de la fin, tout simplement. Notamment la phrase d'Oscar "Ton amitié est, en vérité, la seule source d'espoir qui ne se tarit jamais. Je m'y abreuve lorsque celles de mon courage, de mon honneur et de mon devoir s'assèchent."  Pour être tout a fait honnête, j'avais d'abord trouvé la phrase un peu lourde dans la bouche d'Oscar adolescente, un peu trop "dramatique". Mais prononcée, le soir, en solitaire dans le pigeonnier, par une Oscar qui a grandi, mûrie, et dont les responsabilités n'ont fait que s'accroître avec le temps, prononcée dans ce contexte je l'ai trouvée très belle.
Il y a une très grande douceur dans leur tête à tête final. On a l'impression d'un instant privilégié, hors du temps, avec cette atmosphère un peu magique des nuits d'été. C'est très agréable à lire, très apaisant. Et comme pour d'autres de tes anciennes fics que j'ai lu, j'ai eu l'impression qu'en écrivant le début tu connaissais déjà la fin. Je comprends pourquoi Falbala a parlé de conte concernant cette histoire, c'est un peu la même impression que j'ai eu en terminant le dernier chapitre, le côté "la boucle est bouclée" qui m'avais déjà marquée dans "Valse etc". Je me demande si j'aurais le même ressenti en arrivant à la fin d"Entre tes lignes" (si tant est que cette fin existe un jour dans notre dimension )  

J'aime beaucoup que l'idée d'amour ne soit qu'une évocation future. Pour dire vrai, je suis bien plus sensible à l'amitié entre Oscar et André que je n'arrive à croire à leur amour. Donc que cette fic soit, et reste, avant tout, une ode à leur amitié m'a énormément plu. Je pense que c'est un thème qui me parle d'autant plus que j'ai eu mon propre "André" d'enfance et que pour le coup, au contraire, nous ont a vraiment fini par se perdre de vue petit à petit.

Voila, donc pour finir merci Lénie pour cette jolie fic qui m'a fait passer un très bon moment