Bonsoir Marina

Tu sais à quel point j'ai apprécié tes fics.
Là je viens de lire ta fic. Bon, en fait, je rectifie, j'ai commencé et j'ai survolé. à mon plus grand regret. Vraiment.
Ton style me plait. Là je trouve un peu compact à partir du 3°§.
Mais c'est pas là le problème, pour moi.
C'est, comment dire, les mots me manquent. J'écris sur le vif et j'espère que tu compren,dras. La forme c'est ok.
Mais l'histoire... euh... comment dire... j'ai ressenti un choc.

La façon dont tu as restrancri l'histoire est poignante. Pour ne pas dire,... je ne sais pas. les mots, sont loin.
Une femme violée est une femme qui meurt à petit feu. Même si on a l'impression qu'elle s'en sort, elle ne le sera jamais. Elle garde une marque indélébile en son âme. Même si elle connait la renaissance, l'amour, etc... une partie d'elle-même est morte et ne revivra jamais. Ses nuits seront peuplées de ces évènements, comme une marque indélébile.

Mêrme si elle continue de vivre, de faire "semblant", d'oublier (vainc mot), elle garde l'empreinte à jamais.

C'est vrai, le sujet est actuel et omniprésent. Combien de femmes ont cherché à effacer cet acte ignoble ? Ont tenté de l'oublié comme elles ont pu ? Ceertaines en se taisant. Le silence n'est-il pas d'argent ?
Mais l'acte est là et a détruit.

En revenant à nos moutons, comme on dit, je suis choquée par l'attitude d'André, même si je le comprends. Depuis combien de temps ???
Mais, en fait, c'est ta manière d'écrire cette fic. C'est une critique. Positive et négative. Positive : elle est proche des réactions des femmes violées. Négative : ces femmes revivent cet épisode, peut-être même en plus, indigeste.

Pour moi, toute critique est bonne. Car la critique n'est pas seulement négative. Elle permet de s'améliorer. Je ne pense pas à mal. Tu as mis cette fic en lemon. je suis habituée à des tas de trucs, mais le viol, l'inceste et la pédophilie me mettent HORS DE MOI. :hyhrhrt:

Je ne veux pas rentrer dans un sujet difficile. Mais j'avais besoin de m'exprimer. Exceptionnellement, pas en bon.
je n'arrivais pas à lire la suite même si j'en avais envie pour ton talent.

bonne continuiité.
je lirai peut-être la suite, parce que j'aime tes fics et que je ne supporte pas de lire un livre sans connaitre la fin mais... ne t'étonnes pas, si je suis critique... ce sera indépendamment de moi...

Franchement j'aurai jamais imaginé que tu irais si loin dans ce défi, j'ai adorer cette première partie et j'attends impatiement la suite^^

triste fée je ne suis pas choquée, pas le moins du monde tu sais

je m'attendais à de telle critique, vu le sujet et le sens que j'y écris... si j'ai bien compris, c'est se passage de fin où Oscar décide d'oublier qui te plait moins, et je le comprends crois moi... et la fic n'en restera pas là c'est certain...

Je dirais seulement que chaque victime a son histoire, sa façon de tenter de s'en sortir, ses défenses... Et que chaque auteur mets un peu de soi dans ses histoires... Même en modifiant des faits, on fini toujours par écrire de nos propres émotions et sentiments...

Et ce texte je l'écris aussi pour moi, pour continuer de libérer certaines choses encore tapis dans mon âme, resurgissant du passé... J,y glisse quelque partie de moi-même... C'est peut-être ce qui fait que tu trouves le texte plus poignant, et qu'Angelking trouve que je vais loin.... Possible oui... Mais je suis ainsi faite, j'écris toujours malgré moi en fonction de mes propres réactions et sentiments... Alors je comprendrai si tu ne lis pas la suite je ne serai pas choqué, je savais au départ que mon texte serait lourd (Peut-être qu'il me touche trop aussi je ne sais pas...) Mais j'avais envis de le faire... Alors non je ne suis pas choqué rassure toi

Un début très fort, Marina. Avec un tel sujet,il ne pouvait d’ailleurs en être autrement.

Tu as parfaitement rendu les différentes phases par lesquelles passe Oscar : incrédulité, culpabilité, colère, déni. Tu as très bien montré les différents éléments qui accablent Oscar : que ce soit André, l’ami de toujours, qui soit l’auteur du viol ; que le militaire n’ait pas su se défendre et ait même été paralysé par la peur ; qu’après toutes ses années à tout sacrifier pour devenir un « homme », elle devienne et se découvre « femme » de la manière la plus brutale, la plus injuste.
Oscar n’a pas simplement perdu sa virginité, elle s’est perdue elle-même.
Je trouve d’ailleurs très intéressante la manière dont tu fais réfléchir Oscar autour de sa virginité, qu’elle refuse comme signant sa condition de femme, alors que la virginité concerne aussi les hommes, mais pas tels qu’elle les voit. Je dirais que cette réflexion montre les difficultés d‘Oscar à se sexualiser, difficultés normales vu l’éducation qu’elle a reçue et la vie qu’elle mène.

Qu’Oscar tente, en brûlant les draps et la trace de son viol, de l’effacer, qu’elle décide de l’oublier, qu’elle essaie de se persuader que rien n’est arrivé, me paraît une étape parfaitement normale et psychologiquement très juste.
« Il ne s’est rien passé… Je n’ai rien perdu… »
On trouve souvent le même déni à l’annonce d’une maladie grave. Comme tu l’écris dans ta réponse à Triste Fée, chaque victime a ses défenses propres. Et le refus, la recherche de l’oubli sont un mécanisme courant. C’est d’ailleurs celui de l’amnésie post-traumatique.
Cela ne signifie en aucune manière, Triste Fée a tout à fait raison, que l’on puisse réellement oublier, que l’on ne soit pas quelque part marquée à vie et au fer rouge. Mais je pense que le choc, la violence physique et psychique sont tels, en particulier dans le cas d’Oscar, qu’on ne peut les regarder vraiment en face au début. Il y faut du temps et un vrai travail sur soi-même.
Donc ce refus, cette volonté d’effacer et d’oublier que tu prêtes à Oscar me semblent parfaitement justes.

Bravo pour ce début, Marina. J’ai maintenant hâte de savoir comment réagira Oscar dans un second temps, et comment André vit son acte. En sera-t-il aussi sombrement satisfait que dans la fiction d’Arlène ? J’en doute… mais je peux me tromper.

J'ai trouvé que ce début était excellent !
On est dans la tête d'Oscar, et tu décris très finement ce qu'elle pense et ressent. Je ne vais pas reprendre ce qu'a dit Maylïs, je vais juste ajouter ceci : une chose me frappe et je la trouve très juste : quand il arrive à quelqu'un quelque chose de tragique, il est surpris que le monde continue à tourner. D'un côté il est surpris ; d'autre autre, il veut tenter d'en faire lui aussi parti en faisant semblant, en faisant comme si tout allait bien.
Que se passe-t-il du côté d'André ? Je suis curieuse de savoir comment tu vas nous présenter ça.

Merci les filles

Contente que sa vous plaise même si c'est un sujet délicat, fort et pas très heureux...
En effet, j'ai essayé de travailler sur ce que je voyais pour Oscar, dès la première nuit...
Cette palette de sentiments par laquelle peut passer une victime, comme le souligne Mailys, j,ai essayer d'en rendre une partie, du moins de ce que moi je voyais, puisque comme je l'ai mentionné plus haut, chaque victime vit le lendemain de façon différente, et j'ai tenté de la coller avec la psychologie d'Oscar.

Maintenant reste à savoir comment je my collerai pour André, je ne suis pas encore certaine de comment je le ferai évoluer, puisque je ne souhaite pas copier sur Arlène
Pour le moment j'ai plutôt sur papier la suite pour Oscar je l'avoue, mais dès mon retour de Roberval je me colle à la partie d'André ^^

Et Arlène, c'est justement le fait que la victime se rend compte que le monde continue de tourner que je voulais souligner, que malgré les sentiments qui l'anime, la personne désire ardemment continuer de faire partie de ce monde qui tourne en faisant fit de sa honte et de sa douleur.

Contente que sa vous plaise quand même

Je trouve cette deuxième partie très dense. Je dirais qu'on sent que tu l'a beaucoup travaillée, que chaque mot est pesé, chaque pensée réfléchie et chaque sentiment analysé.

J'aime bien l'équilibre et l'opposition entre les deux parties qui composent ce chapître.
Dans la première nous retrouvons un André assez terrifiant (un peu moins, tout de même, que celui d'Arlène, mais pas beaucoup). Un André, mâle dominateur, figé dans une dynamique de pouvoir :
" Il fallait qu’elle comprenne, qu’elle se rende compte de ce qu’elle était et serait toujours envers et contre tout… Qu’elle voit qu’elle était en réalité une femme au même titre que les autres… Et que les femmes appartiennent aux hommes! "

Un André aussi qui se venge, plus ou moins consciemment, de plus de vingt ans de soumission à Oscar :
" Il avait, inconsciemment, pris le rôle de la femme rêveuse alors qu’elle le dominait dans son mensonge d’être l’homme… "
" Enfin elle comprenait ce qu’était la soumission, ce qu’était la souffrance d’être dominé... "

Un André qui savoure cette image de lui-même soumettant Oscar et qui s'estime pleinement justifié :
" Quel sentiment puissant, beaucoup plus encore que cette illusion d’amour qu’il avait cru ressentir jusque là… La satisfaction de se sentir un avec elle, même si cela avait dû se faire par la force… Enfin il la possédait entièrement, à jamais elle serait sienne. "

Et ce revirement soudain (un peu trop, peut-être ?), cette prise de conscience de son acte, de tout ce qu'il a anéanti par sa violence, de l'impossibilité de revenir en arrière.
" Il sentait son sentiment de pouvoir s’effacer doucement, laissant place à une vérité qu’il n’était plus sûr de vouloir assumer… "
La réalité reprend ses droits, et quelle réalité !
" … Jamais il ne pourrait se pardonner l’acte qu’il venait de commettre… Jamais plus il ne serait un homme, cette nuit il s’était fait animal… "

Soudain, il n'a pas de mots assez forts pour se condamner :
" Il avait perdu son âme pour un instant de jouissance… "
Mouvement qui semble parfaitement convenir à l'André que nous connaissons. Il cherche alors la punition, la punition par les mains d'Oscar. Parce qu'elle est la femme qu'il a violée... ou parce que, dans le tréfonds de son esprit, elle le maître qui a "droit de basse et haute justice" sur lui ? Peut-être pour les deux raisons ensemble.
" L’heure du jugement était venue, car il ne vivrait pas une minute de plus avec cette douleur… Il ne voulait pas de pardon, il voulait qu’elle se venge pour obtenir justice… "

Qu'il ose retourner sur "les lieux du crime", me semble plutôt puissant de sa part. Je trouve intéressant la confrontation au lit, la compréhension immédiate qu'il a du geste d'Oscar faisant disparaître les draps. Il la connaît si bien que, même dans ces circonstances extrêmes, il est capable de deviner ses motivations. Motivations qui le confrontent encore plus crûment à sa violence :
" Elle n’avouerait jamais cette blessure invisible, mais elle la ressentirait sans doute toujours… Et c’était de sa faute à lui… C’est lui qui avait ainsi tout détruit… "

J'estime très symbolique cette manière qu'il a de brosser le matelas, d'une part, pour aider Oscar dans son désir d'affacer les traces visibles de ce rappel si brutal à sa condition de femme ; d'autre part, je pense, pour effacer en partie ses propres actes. Le parallèle entre les dernières parties de ces deux premiers chapitres accentue tout ce qui se joue autour de ce lit et de ce sang si symbolique.
La phrase finale me paraît marquer la lucidité d'André :
" Et il s’était fait prédateur… Et cela jamais il ne se le pardonnerait… "

Un tel sujet ne pouvait être traité que de façon forte. Tu l'abordes d'une manière plus réaliste peut-être qu'Arlène mais, du coup, je me demande comment tu vas continuer. Alors que ce qui s'est passé marque tout de même une rupture majeure pour les deux protagonistes. J'ai du mal à imaginer Oscar pardonner, et André se pardonnant.
Pourtant, malgré tout, je n'ai pas vraiment envie que tu les sépares.

Je trouve ce texte excellent !
J'aime ce sentiment d'avoir remis les êtres à leur place par son geste, la satisfaction d'avoir possédé Oscar qui laissent place au remord et à la culpabilité, à tel point qu'il souhaite expier mais ne le peut. Alors il agit comme Oscar en complètant ce qu'elle a commencé : faire disparaître les traces pour faire comme s'il ne s'était rien passé, tout en sachant qu'il s'agit d'une illusion. Je trouve le sujet finement traité (je confirme ce que dit Maylïs : tu le traites de façon beaucoup plus réaliste que moi : j'ai entraîné les personnages dans une folie fantasmagorique aux contours flous proche de l'inhumanité, tu les ancres dans le quotidien et au plus profond de l'humanité) et ai très envie de connaître la suite.

Bonjour Marina

Bien, oui, j'ai poursuivi malgré tout la lecture de ta fic... Je ne pouvais pas m'en empêcher... Je dois être maso qq part
Mis à part ça, je suis encore sous le coup de l'émotion mais ton exte est bien écrit. j'aime l'idée de mettre les pensées intimes des 2 antagonistes.
D'abord, celui de la victime qui se sent détruite à jamais. , et le combat qu'elle devra méner le reste de sa vie car la blessure est indélébile.
Ensuite, celui du "bourreau" dans le registre des remords et du regret. Il se réveille pour découvrir le monstre qu'il est devenu malgré lui. Il se sent détruit mais différemment. Il a tout détruit à ce moment même s'il a eu l'impression de gagner. La vérité se fait jour et il regrette. La lutte entre l'homme animal, instinctif et l'homme raisonnable. Il recherche la punition mais doit survivre en gardant en mémoire son acte immonde.

je reconnais que cela n'a pas été facile de lire ton histoire. Mais, comme j'ai apprécié tes fics, je n'aurais pas supporté de ne pas lire celle-ci. Cela aurait fini par me titiller. Donc, je l'ai lu de manière plus impersonnelle et plus sur le fond. Tu ne m'en voudras pas.

Cependant, tu as bien su cerner les pensées des personnages même si dans ces moments-là, il est difficile de mettre des mots sur de tels actes.

à bientot

Merci les filles, j'ai trouvé ce texte, et surtout la partie d'André, difficile à écrire, car j'ai voulu dans un premier temps tenter de le rendre crédible avec les personnalités de chacuns des personnages, et dans un second temps, faire différent d'Arlène.

Comme le dit maylis, j'ai voulu faire D'abort d'André un prédateur, ou plutôt je devais le faire ainsi, sans quoi il naurait pas été jusqu'au bout... Seulement je souhaitais différer d'Arlène, et comme jessais de demeurer quelque peu fidèle au gabarit originel, jimaginais plutôt André revenir sur terre... Le revirement était peut-être soudain, seulement j'imaginais André face à son reflet, en train d'avoir ses pensées obsène et mauvaises, qui tout à coup en voyant seulement son propre regard, prennait conscience de tout le reste... Comme quelqu'un qui est soul et qui dégrise d'un coup en apprenant quelque chose de grave... Voila pourquoi je l'ai joué ainsi.

C'est aussi pourquoi j'imaginais bien André, malgré tout, comprenant le smotivations d'Oscar, puisqu'il la connait malgré tout, ce qui le ramène à ce qu'il était juste avant ce soir-là... Reste à savoir comment il jonglera entre lui-même et le prédateur quil a été...

Merci Arlène, en effet j'ai essayer de les mettre plus au quotidien, avec ce quils sont

Triste fée je te trouve courageuse de continuer si sa te trouble... Et en effet, c'est difficile de mettre des mts sur de tels actes

contente que sa vous plaise malgré tout ^^

Bonjour Marina

Oscar s'imagine que la fuite permet d'oublier de tels gestes. Mais la mémoire n'oublie jamais.
J'aime bien le fait que tu sépares les deux pensées bien à l'opposé : durant l'acte, Oscar souffre alors qu'André ne réfléchit pas, il n'agit qu'impulsivement ; ensuite, Oscar souffre et tente d'effacer cette douleur physiquement (en effaçant les traces visuelles : draps, vêtements...) et André souffre en se réveillant et voudrait subir la punition ; enfin, Oscar tente de se relever, fidèle à elle-même, bien que les souvenirs ne puissent s'atténuer mais elle lutte et cherche à tuer la femme pour ne rester que l'homme en elle, et André, souffre pour elle et s'enfonce dans le désespoir e n allant plus loin.

C'est un joli chapitre où tu montres bien comment Oscar joue à cache-cache avec son traumatisme en cherchant l'illusion et le déni. On ne peut qu'être ému par ce que tu écris. Quant à André, si le châtiment ne vient pas à lui, il ira au châtiment pour se libérer de sa culpabilité. La question que je me pose est : comment vont-ils réagir lorsqu'André va arriver à Arras ? Mais non, ce n'est pas une façon déguisée de te demander la suite ! Quoi que ...

Il est temps que j'y aille de mon petit commentaire non ?

C'est en effet un texte puissant que tu nous proposes, une histoire poignante qui enserre le coeur et tord l'estomac.
On ne peut s'empêcher d'espérer la suite, tout en la redoutant.

Je ne trouve qu'un terme pour expliquer la brièveté de mon commentaire, alors même que je voudrais dire tant de choses : bouleversant !

J'adore le mélange des pensées d'Oscar et d'André, ça rend l'histoire encore plus poignante. J'appécie également le fait qu'André redescende sur terre est "comprend ce qu''il à fait. J'ai hâte de lire la confrontation André Oscar pour voir ce qui va en ressortir.

Merci pour ces trois chap (surdose de pillule???)

Merci les filles je suis contente que vous aimiez malgré le sujet...

Triste fée en effet, j'essais de donner les deux côtés de la médaille; Oscar en victime et André en attaquant... Seulement vu la personnalité des deux protagonistes, cela donne de seffets à long terme plutôt comment dirais-je.... controversant... La mémoire n'oublie jamais ces gestes là (et je peux l'affirmer... )

Arlène en effet je voyais mal Oscar en simple victime.... Avec son tempérament et son caractère, elle ne peut que tenter de tout effacé, de tout nier pour ne pas en souffrir... Mais c'est un peu une sorte de deuil qu'elle vit en un sens, d'où le fait que j'utilise ses étapes pour exprimer mon histoire. Quand à André, comme je l'ai joué différemment du tiens et quil se rend compte de ses actes, je le voyais mal e punir lui-même en un sens, d'où le pourquoi j'ai plutôt traduis qu'il cherche sa punition par la main d'Oscar... Pour l'arrivé d'André à Aras je ne suis même pas sur moi même de ce que je ferai lollllllllll donc on verra

La lionne merci pour ton commentaire... Si le texte est bouleversant, cela signifie qu'il est bien écrit et ressentit donc je suis contente ^^

Nicole merci ^^ je crois que le fait que j'intègre les deux pensées plait bien alors ^^ Mais j,Avoue avoir plus de mal avec les pensées d'André lollll j'ai peur de devenir redondante Abus de pillules? Peut-être mais surtout aussi le besoin d'écrire, j'ai été privé d'ordinateur 3 semaines (un drame dans mon cas ) Et comme je vis beaucoup de stresse en ce moment, j'ai besoin de me défouler dans l'écriture... (Et plusieurs problèmes personnelles à cause de ma mère qui m'ont beaucoup frustrés et troublé alors en ces moments là j'ai besoin d'écrire pour évacué donc ce texte me permet de le faire en un sens... je sais jsuis fucké faut pas chercher à me comprendre lolllllll )

J'me lance sur la suite demain si mon ordinateur me permet d'écrire

Le troisième chapitre est toujours aussi dense et fort que les précédents ; la tension ne retombe pas, ce qui est un bel exploit d’auteur, Marina.

J’aime beaucoup cette première partie où Oscar tourne en rond en essayant d’échapper à ses souvenirs et à la réalité.
« Ne plus songer que l’espace d’un instant on avait fait d’elle une femme… Une femme soumise à la volonté d’un homme, une femme qu’elle n’avait jamais voulu être et ne voulait plus jamais connaître… »
Une femme qu’elle n’avait jamais voulu être… ou qu’on l’a jamais laissé être ? Qu’on ne lui a pas appris à devenir ? Et si elle ne veut plus jamais se connaître femme, n’est-ce pas parce qu’elle est l’est devenue dans la violence, la terreur et la douleur ? La seule expérience qu’elle a personnellement de la condition féminine, c’est cette nuit de viol : il me semble normal qu’elle préfère rester homme et à l’abri de ce genre de brutalité.

J’aime bien la litanie par laquelle tu clos cette première partie.
« … La douleur de la réalité… Le calme du mensonge… La fureur de la rage… La douceur du déni… »
Elle illustre bien le dilemme sans issue dans lequel Oscar se débat.

La deuxième partie nous ramène à André, un André qui cherche la mortification et le châtiment par les mains d’Oscar.
« Sang pour sang… Seul son sang versé réparerait le déshonneur qu’il lui avait apporté… Même si cela ne réparerait jamais son âme brisée… Mais au moins, une fois justice faite, peut-être arriverait-elle à continuer d’avancer… »
Ce que j’apprécie, c’est qu’il cherche cette punition non parce que cela effacerait son acte ou lui procurerait une sorte de soulagement, mais parce qu’Oscar elle-même pourrait peut-être en être soulagée et se reconstruire. J’y retrouve le caractère d’André, songeant d’abord à Oscar. C’est très proche de la théorie moderne, comme quoi la reconnaissance de la victime et de l’agression en tant que telles et la condamnation du coupable sont un élément fondamental pour un cheminement positif de la personne agressée.

La troisième partie est poignante en ce qu’elle marque l’émergence de la réalité et de la peur chez Oscar.
« Mais pourquoi alors avait-elle l’impression que rien n’était comme avant? »
Oscar est obligée d’abandonner le déni et de se confronter à ce qu’elle a vécu, qui la rend différente à jamais. Oscar « craque » et s’abandonne aux larmes. Pour moi, Oscar est un personnage qui vit quasiment en public, qui est constamment ou presque entourée, et qui, pourtant, est très seule. Et tu donnes à voir de façon très marquante cette solitude dans ce passage. Si l’on y réfléchit bien, Oscar n’a personne à qui confier sa détresse, même pas un professionnel puisque, d’une part, psychologues et psychiatres n’existaient pas encore, et que, d’autre part, le viol n’était même pas reconnu en soi. (Air connu : c’est de sa faute, elle n’avait qu’à…).

Comme les autres, je me demande ce que donnera, dans cette propriété d’Arras, qui m’a l’air déserte, la confrontation d’Oscar et d’André.

Je réponds avec du retard (puisque depuis hier je n'arrivais pas à écrire...) Je sais plus
trop ce que j'ai fais, mais là sa marche, mais uniquement si je mets dans le bloc note... C'est louche
et j'ai horreur de sa... Néanmoins...

Merci mailys, j'aime ta perspicacité Car il est vrai qu'au fond Oscar n'a jamais réellement
pu expérimenter sa féménité (Outre au bal avec Fersen... Mais l'expérience n,aura pas été
des plus sublimes puisqu'elle en est repartie brisée et troublée... Enfin sa c'est ma vision
de ce passage de l'histoire...) Donc elle n'aura connu que deux mauvaises expériences en tant que femme,
d'abort au bal où elle s'est sauvé pour pleurer sur le rebord de la fontaine, et maintenant
ce viol par André...

Merci pour cette litanie, j'avoue l'avoir grandement travaillé ^^ Au sens où j'y ai beaucoup réfléchis
sur la façon de clore ce chapitre, et aux tournures possibles pour laisser l'effet que je voulais ^^

Pour le passage d'André, j'ai cherché beaucoup je l'avoue lolll Mais je ne voulais pas le jouer
comme l'agesseur qu'a créé Arlène, je voulais diverger... Donc j'ai essayer de ramener le
texte dans une position confortable, c'est à dire, près de l'André que l'on connait; celui qui
songe d'abort à Oscar, et qui s'efface littéralement pour elle... Voila pourquoi j'ai choisi
cette façon de chercher sa punition venant de ses mains à elle, pour qu'Elle puisse continuer
d'avancer

Pour en revenir à Oscar, tu as excatement mit le doigt sur ce que je ressens face à elle...
On dit que nous sommes souvent encore plus seule entourée de gens... Elle vit pour eux (son père,
la reine, l'honneur... ect...) Mais pour elle, elle vit quoi? Certes elle a ou plutôt avait
André, mais jusqu'à quel point? Il est rare qu'elle se laisse aller à se confier à lui sans
barrière... J'ai souvent l'impression qu'Oscar porte un masque, qu'elle joue une pièce de théatre
pour parvenir à obtenir l'approbation de son père... Mais lorsque tombent les masques, que
reste-t-il? Une Oscar seule avec elle même... Et si par le passé elle pouvait s'ouvrir quelques peu
à André.... Si maintenant c'est lui qui la blesse, que lui reste-t-il?

Je suis contente que sa t'ai plus et d'être arrivé à exprimé pas mal ce que je voulais... Maintenant
j'espère être en mesure d'écrire la suite bientôt... Mais avec l'ordi qui ne cesse de faire des siennes...
Je ne sais pas si j'y arriverai... Déjà un miracle que j'ai trouvé une parade pour vous répondre
MErci pour tous vos commentaires les filles ^^

Tu nous fais languir, Marina !
J’attendais avec impatience la confrontation Oscar - André : bernique ! La prochaine fois… peut-être.

Dans la première partie, autour d’Oscar, je trouve extraordinaire ce moment où elle se vit totalement de l’extérieur. On est quasi dans la schizophrénie, là !
« Elle n’en pouvait plus de les entendre, mais elle n’arrivait pas plus à les faire taire… »
« Comment faire taire cette femme qui pleurait? »
D’ailleurs, Oscar en arrive à un geste qui frôle l’automutilation, ce qui confirme mon diagnostic.
« Étrangement, en se concentrant sur cette douleur physique qu’elle s’infligeait elle-même, elle en oublia momentanément la raison de ses larmes… »
Je trouve impressionnant ce passage où Oscar doit se voir de l’extérieur pour arriver à se retrouver et à dompter sa souffrance. Où elle a besoin de la douleur physique pour se sentir exister, exister par elle-même et ne plus être le jouet du destin… et des hommes.
« Elle avait du pouvoir sur son corps… Elle avait du pouvoir sur son âme… Elle n’appartenait à personne sinon à elle-même… »

« Elle avait l’habitude des blessures, elle connaissait le cycle de la guérison… »
Comme toujours, ce qui souligne les contraintes et les souffrances de la vie d’Oscar, est émouvant. Elle a reçu ses blessures au combat, pendant une vie militaire à laquelle elle n’était a priori pas destinée, même si elle ne lui déplaît pas toujours tant que cela !
Mais ce passage m’évoque aussi d’autres types de blessure, comme celle de son amour non partagé pour Fersen. Dans ce domaine, je ne suis pas bien sûre qu’elle ait connu la guérison.

J’ai trouvé intéressant le parallèle que tu fais entre la fin de la première partie, consacrée à Oscar, et le début de la seconde, consacrée à André. Ce lien, ce pont que tu établis entre eux par l’intermédiaire de ce repos non trouvé, ni par l’un, ni par l’autre.
« N’avait-elle pas droit d’aspirer à un instant de repos… »
« Et si son esprit réclamait le jugement, son corps réclamait le repos… (…) Mais il n’avait que peu dormi… »

La manière dont André découvre sa chambre vidée est très forte et les conclusions qu’il en tire plutôt dévastatrices.
« Oscar avait fait disparaître la moindre trace de lui de la chambre qu’il avait si souvent occuper, comme s’il n’y avait jamais mit les pieds… »
« C’était devenu de la haine… Une haine dont lui seul était l’objet… Mais également l’auteur… »
Je trouve intéressant qu’il s’accuse. Il est vraiment dans une dynamique de culpabilité et de recherche du châtiment.
Cette quête d’Oscar dans les pièces du château, image de la quête de sa propre mort, a quelque chose de très onirique. Ton écriture est très visuelle ; j’ai presque l’impression d’un film qui se déroule dans ma tête.

Et cette absence d’Oscar est plus que troublante, angoissante. Pas seulement pour André mais aussi pour nous. Dans l’état où elle est, Oscar peut avoir cherché toutes les formes de repos, y compris la plus définitive. Oscar est courageuse et a l’habitude de faire front, certes. Mais le genre de blessure qu’elle a reçue, et de la part d’André, son compagnon de toujours, est de celle qui déboussole sérieusement et vous font chavirer. Et à force de tenir, on finit par craquer…

Ne me laisse pas trop longtemps dans cette attente, s’il te plaît, Marina !

En lisant ce chapitre, j'ai été particulièrement interpellée par la scène où elle se blesse au bras et constate de cette façon qu'elle peut reprendre du pouvoir sur son propre corps. J'ai trouvé ça très bien vu et très intéressant.

J'ai également été frappé par le remord destructeur d'André : il cherche moins Oscar pour elle-même que parce qu'elle est la seule main qui puisse lui donner la mort, qui le libèrera, dont il pense qu'elle la libèrera aussi.

Le passage où il se rend dans la chambre qu'il occupait autrefois est symbolique : il ne reste plus rien lui appartenait mais les tiroirs sont reversés. Autrement dit, la main qui a fait cela veut à la fois effacer jusqu'au souvenir de l'existence d'André mais est incapable de le faire de manière apaisée ou dans une indifférence glacée. Je crois que ça aurait été pire s'il avait découvert une chambre débarrasée de sa présence mais où tout était en ordre. Là, ça aurait indiqué qu'Oscar avait décidé de le considérer comme quelqu'un n'existant plus, un non être.

J'ai beaucoup aimé l'image de l'ombre qui avait éteint sa propre lumière.

Comme Maylïs, j'attends la rencontre Oscar/André et je me demande où est passée Oscar

J'aime beaucoup quand tu parles des étapes que suit Oscar pour se relever de ce geste. Tu mets bien en comparaison les deux personnalités d'Oscar : d'une part, cette femme brisée, fragile qui ne se comprend pas car s'est ignorée durant tant d'années, et d'autre, cet homme, impassible et fort que les difficultés n'anéantissent pas. Et cette part d'elle-même apprend à l'autre moitié à survivre. Enfin, du moins, c'est ainsi que je l'ai ressenti en lisant ta fic.

Ensuite, la recherche d'André : quelles sont ses raisons véritables ? Au début, il semble soucieux d'Oscar et recherche son jugement de ses mains. Pour ELLE, pour qu'elle redevienne celle qu'elle était (comment pourrait-elle être comme avant ?! ). Mais bon, les mecs réfléchissent pas trop là-dessus : on s'explique, on efface et on reprend comme avant. Bon là, je m'égare.
Mais ensuite, quand il comprend qu'Oscar le hait, et l'efface de sa vie de toutes les manières. Et là, il veut son jugement pour LUI ! Il se sentira mieux et risquera moins !! Pas bête celui-là ! Vaut mieux agir avant que la punition ne soit trop sérieuse, non ? Il a sous-estimé les capacités d'Oscar à se relever même de la pire des souffrances !

Je suis impatiente de lire leur affrontement !!

André cherche sa punition, voilà une belle preuve de son grand coeur, mais je pense que Oscar n'ir pas jusque là elle est bien trop gentille (oui justement hé hé hé )

Merci mailys tonc ommentaire me touche beaucoup, quand tu dis que c'est imagé comme un film qui se passerait dans ta tête ^^ Sa me dit que le texte est bien monté alors merci ^^

haaaa ce passage de l'automutilation... C'est une façon, probablement troublante en effet, pour elle de voir qu'elle possède encore un certain contrôle sur elle-même, qu'Elle a du pouvoir sur quelque chose... Même si ce quelque chose est la douleur... Et je me suis dis que dans sa situation, elle qui a plus l'habitude des blessures physiques que mentales, c'est une façon de se réagir...

La confrontation entre les deux, je voulais l'écrire dans cette partie, mais mon esprit à un peu convergé ailleurs.... Je voulais bien illustrer les différentes étapes par laquelle passe les personnages pour en venir à la confrontation, afin que celle-ci soit plus sentit et plus ''réaliste''... Alors sa viendra ^^

Et pour le passage qui ''relis'' les deux partie, je me suis dis qu'aucun des deux n'arriverait réellement à dormir paisiblement... Alors sa me semblait une bonne piste ^^

Merci Arlène ^^ Je suis contente que mon côté ',auto-mutilation'' soit intéressant hihi ^^ Et en effet, tu as souligné ce que je cherchais à exprimé, que d'abort André pense à elle, mais qu'il fini par revenir vers son centre à lui... Et à chercher la punition pour lui plus que pour la soulager elle...

Où est passé Oscar? J'ai eu un flash de dernièr eminute ^^ En fait je vais vous l'avouer André devait retrouvé Oscar endormi... Mais l'idée de la chambre vidé et dévasté m'Est venu subitement et je l'ai trouvé plus intéressante, ce qui a repoussé bien sur leur affrontement Mais aussi poussé mon idée de base un peu plus loin

Triste fée merci aussi ^^ Pour les étapes, en fait à la base je me suis inspiré des étapes du deuil, car en uns ens c'est un peu un deuil qu'Oscar vit dans ces moments... Le déni... La colère... Viendra ensuite les autres Enfin je crois Et je trouvais que cette piste des étapes du deuil étaient réaliste

Angelking: Qui a dit qu'elle serait gentille

Pour la suite je n'ai qu'un jour de congé demain,a près quoi je travaille vendredi, samedi, dimanche, lundi donc sa sra pas avant mardi ou mercredi désolé, mais sa viendra ^^

Merci pour vos commentaires ^^

Et bien moi qui attendais la rencontre Oscar/André, j'ai été servie ! Quelle bonne idée ce jugement ! En lisant ton texte, une idée m'a traversée l'esprit : au Moyen-Age, pour déterminer si une personne était coupable ou non, on la soumettait au jugement de Dieu. Et j'ai eu le sentiment qu'André faisait la même chose avec Oscar : il attend d'elle qu'elle détermine son degré de culpabilité; qu'elle le délivre de sa souffrance (ça m'a fait pensé à la phrase du ''Notre Père'' : "Délivrez-nous du mal"), et qu'elle lui ote la vie ou choisisse de la lui laisser. Donc chose curieuse, même dans une situation où il a parfois des bouffées de rage et d'orgueil de l'avoir possédée, d'être capable de la dominer à tout moment (il le lui prouve juste avant d'implorer son jugement), André hisse Oscar au rang du divin.
ça m'a beaucoup frappé.

Sinon, une Oscar qui d'abord cherche à nouveau à effacer les traces et puis qui condamne André à porter le fardeau de sa culpabilité, et enfin qui fuit pour se réfugier dans un endroit inconnu, à l'abri d'André. Une Oscar qui tente aussi de marchander avec le ciel pour être délivrée de sa souffrance, un peu comme André avait voulu faire avec elle.
Donc une Oscar troublée, troublante et touchante !

T'as bien fait de faire un petit somme : c'est très bénéfique sur ton écriture

je suis d'accord avec Arlène, sans compter que je ne m'attendais pas à un jugement qui pour moi serait pire que la mort.

Quelle fin !!!
Alors là, si tu veux mon avis, sa punition est bien pire que la mort Les remords et les regrets vont emplir sa vie jusqu'à sa mort et il en était conscient. Oscar en prend finalement conscience.
Cependant, il est vrai que le repenti d'André nous fait regretter une telle punition ! Mais, je pense (attention, je crois que je vais recevoir des coups aïe) que c'est la meilleure des punitions. Que son crime l'empêche de vivre.
On dit que le pardon est une qualité supérieure et je le pense. De plus, c'est loin d'être facile de pardonner surtout un tel crime. André ne va ps retrouver Oscar pour obtenir son pardon mais bien pour être libérer de ses remords !!

Chapeau Marina. Tu ne m'as pas fait regretté d'avoir lu jusqu'au bout

Encore un chapitre très fort.
Tu montres bien la façon dont Oscar en est arrivé à brûler les possessions d’André, ses vêtements, son ruban. Tout ce que cela peut symboliser de lui pour elle ; du lui d’autre fois, qui l’a trahie ; du lui de maintenant, qui l’a violée. Elle ne veut plus se souvenir ni de l’un ni de l’autre et s’adonne à un véritable autodafé.

Qu’André réagisse par la colère me paraît normal. Elle le raye de sa vie par ce geste, elle le nie et le renie. Même s’il sait le mériter, il ne l’accepte pas. Sans doute parce que, à l’inverse, la pensée d’Oscar ne quitte guère son esprit. Il y aussi cette petite phrase étonnante, qui nous rappelle que, malgré sa position privilégiée au château, André n’est qu’un subalterne, souffrant de sa condition. « De quel droit osait-elle ainsi détruire ce qui lui appartenait, lui qui n’avait déjà pas beaucoup? »

J’ai aimé aussi les quatre temps de leur rencontre :
- La colère d’André, se prise de conscience qu’il peut détenir le pouvoir sur Oscar (« Le pouvoir vient de l’homme à qui il appartient! »), contrairement à ce qu’il a cru toute sa vie.
- Son recul devant les larmes d’Oscar, devant cette rage subite qui le saisit à nouveau malgré lui. (« Il ne voulait plus être ce prédateur. »).
- La demande de châtiment d’André et la tentation d’Oscar d’y répondre, son discours avec elle-même, ses hésitations.
- La décision finale prise par Oscar, mais par pitié ou par vengeance ? Cela ne me paraît pas clair dans son esprit. Et tu ouvres ainsi la porte à pas mal de possibilités !

Comment va réagir André maintenant ? Et sa décision va-t-elle apporter un peu de paix à Oscar ?

A quand la suite ? :bounce: :bounce: :bounce:

Merci sa me touche que vous ayez apprécié cette suite ^^

Arlène j'Avoue que je n'ai jamais pensé à une telle chose en écrivant, soit la position de divin... Mais c'est vrai en un sens cette idée et le ''délivre-nous du mal''; sa s'Applique bien ici merci ^^ Et oui le marchandage, troisième ''étape'' si on puis le dire ainsi...

Angelking: Tu croyais pas que j'irais là? Se serait trop facile de le délivrer par la mort

Triste fée je suis d'accord, dans le moment du texte, André mérite cette punition, c'est pour sa que je la lui ai donné ^^ Mais lire jusqu'au bout, ce n'est pas encore terminé tu sais ^^

Mailys une fois de plus tu as bien saisi l'essence du texte ^^ J'adore tes petites analyses ^^ Alors comment ela se passera-t-il par la suite? Nous verrons cela bientôt je l'Espère lollll ^^

Quelle fin ! Marina, tu nous achève là, non ?
Tu as très exprimé ce qu'Oscar ressent en elle. Oui, c'est une mort lente et inhumaine qui dévore l'âme. Tout y est : la douleur, la peur, le dégoût, la colère, la volonté d'oublier, de mourir, de ne plus exister, de ne plus s'aimer. car en prenant par la violence, donc sans amour, la victime finit par ne plus s'aimer, s'apprécier.
C'est la beauté qui a causé ce mal et il est nécessaire de l'effacer pour qu'il disparaisse. Elle veut disparaître, qu'on ne la regarde plus. La vie est faite de souffrances. Alors pourquoi la poursuivre ? Logique.
Il est très difficile de surmonter tout cela car comme tu l'as si bien mis en évidence, tout s'accumule insidieusement, étape par étape dans la destruction de l'être pour une faute qu'un autre a commis mais on recherche la cause et celle-ci semble évidente : la victime.
En lisant ta fic, j'ai eu la gorge nouée. Mais la fin m'a enlevé les mots, la réaction.
Le geste d'André exprime bien sa douleur, et l'étendue de son amour pour Oscar.
L'amour est une tragédie dans ce cas présent. Il l'a rejoint dans un autre monde à sa manière.
Même si ton histoire est douloureuse (excuse jene trouve pas le mot adéquat), elle est poignante d'émotions et très belle.

Allez quelques avant de commenter ^^

Entre auto-mutilation, meurtre et suicide, là dark Mya, tu nous as gâtés !!! En tout cas, ta fic est une réussite ! Bravo !


J'ai été particulièrement touché par le sentiment qu'a Oscar que tout se passe comme si finalement le monde s'était arrêté de tourner. C'est vrai, le sien s'est arrêt, et elle devient étrangère à elle-même.

Merci triste fée
J'avoue que la finale est très sombre, mais je ne voyais pas l'histoire s'arranger dans le cas présent... Il faut souvent des années pour se remettre d'un tel acte, et encore il arrive que des flash revienne malgré tout... Et je me suis dit que pour Oscar, ce n'était pas que le viol en lui-même qui l'avait chaviré, mais aussi la perte de son identité d'homme... J'ai tenté malgré tout de coller légèrement au manga, avec la proposition de Girodelle, qui a fini par l'Achever... Car elle n,est pas remis de cette histoire, et son père veut la ''donner''à un autre, ce qu'elle refuse... Voila pourquoi je ne voyais pas l'histoire finir autrement...

Tu dis que tout y est dans mon histoire, chaque étape... La colère, la douleur, la peur, le dégout de sa personne... Je vais vous dire pourquoi cette fic me tenait à coeur et que je désirais l'écrire; j'y ai mit une grande partie de moi, je suis revenue en arrière, j'ai replongée dans mes propres souvenirs et expériences pour vous l'écrire... Car il y a plus de 10 ans maintenant, j'ai été à la place de la victime; c'est surement pour sa que vous trouvez que tout y est, et est dans une certaine logique et réalité

Bien sure à la différence de ma finale je m'en suis sortie de mon côté, mais j'ai eu le temps et l'aide nécessaire pour le faire au fils des ans, ce qu'Oscar dans mon histoire n'a pas eu, ce qui m'a poussé vers cette finale là comme je l'ai expliqué plus haut.

Donc je suis contente et touchée que ce texte vous ai plus puisqu'il partage une partie de mon jardin secret MErci pour vos commentaires ^^

Arlène et oui là je crois avoir abusé des noirs lollll Mais je ne voyais pas comment finir cette fic autrement avec l'évolution que j'ai faite des personnages

contente que sa t'ai plus Arlène ^^

franchement j'ai adoré la fin, Oscar à tout fait pour rester homme elle ne pouvait plus le rester même avec les cheuveux coupés, meurtre et suicide...un bon mélange^^

Très jolie fin bien noire. Pour la prochaine fic, prend des pilules colorées. Je ne voyais pas d'autre fin que sa mort, mais je ne pensais pas que se serait André qui l'étoufferais J'ai eu peur à la fin que tu ne laisses André vivant, mais non tu l'as pendu C'est parfait.

Bon je crois qu'il te reste une fic à terminé, non??? :kl**$ùm:

Marina a écrit:

Merci triste fée
J'avoue que la finale est très sombre, mais je ne voyais pas l'histoire s'arranger dans le cas présent... Il faut souvent des années pour se remettre d'un tel acte, et encore il arrive que des flash revienne malgré tout... Et je me suis dit que pour Oscar, ce n'était pas que le viol en lui-même qui l'avait chaviré, mais aussi la perte de son identité d'homme... J'ai tenté malgré tout de coller légèrement au manga, avec la proposition de Girodelle, qui a fini par l'Achever... Car elle n,est pas remis de cette histoire, et son père veut la ''donner''à un autre, ce qu'elle refuse... Voila pourquoi je ne voyais pas l'histoire finir autrement...

Tu dis que tout y est dans mon histoire, chaque étape... La colère, la douleur, la peur, le dégout de sa personne... Je vais vous dire pourquoi cette fic me tenait à coeur et que je désirais l'écrire; j'y ai mit une grande partie de moi, je suis revenue en arrière, j'ai replongée dans mes propres souvenirs et expériences pour vous l'écrire... Car il y a plus de 10 ans maintenant, j'ai été à la place de la victime; c'est surement pour sa que vous trouvez que tout y est, et est dans une certaine logique et réalité

Bien sure à la différence de ma finale je m'en suis sortie de mon côté, mais j'ai eu le temps et l'aide nécessaire pour le faire au fils des ans, ce qu'Oscar dans mon histoire n'a pas eu, ce qui m'a poussé vers cette finale là comme je l'ai expliqué plus haut.

Donc je suis contente et touchée que ce texte vous ai plus puisqu'il partage une partie de mon jardin secret MErci pour vos commentaires ^^

Arlène et oui là je crois avoir abusé des noirs lollll Mais je ne voyais pas comment finir cette fic autrement avec l'évolution que j'ai faite des personnages

contente que sa t'ai plus Arlène ^^

On ne s'en remet jamais, le souvenir reste même si on tente de l'oublier ou d ele mettre sur le côté. Et on ne sait jamais quand cela peut revenir : une phrase, un mot, un geste, un lieu, une histoire .
En tout cas, je tiens à te dire que je suis contente que tu t'en sois sortie et que tu as su lutté pour t'en sortir. D'écrire ce que l'on a vécu et que l'on cache au fond d'un tiroir demande beaucoup, notamment de replonger dans le passé. Mais cela aide aussi. Et puis, cela n'est pas toujours évident de parler de tout ceci car on le cache au début comme le fait Oscar, d'ailleurs, car on se sent sale, détruite, et honteuse (au début u moins). Je suis passée par là aussi il y a 20 ans mais peu de perzsonnes le savent. Mais cela tu as du t'en douter quand j'ai commenter ta fic la 1ère fois . Je salue donc ton courage de l'avoir affronté.
Eh bien, tout ca c'est pas gai.
Une p'tite rose ? c'est ca ??
Et encore bravo pour ta fic.

Merci king ^^

Triste fée j'avais des doutes oui légèrement Perso j'ai commencé à m'en sortir vers l'âge de 17 ans quand j,ai donné une conférence à des jeunes de 12-17 ans lors d'un congret des club octogone, sur les agressions sexuels... J'ai raconté publiquement cette histoire, et j'étais heureuse à la fin car deux filles sont venue me voir en privé ensuite et m'ont raconté leur histoire... J'avais réussi à toucher deux personnes qui ont choisi de ne plus passé cet acte sous silence... Là clé de la guérison est là, il faut en parler et ne plus garder pour soi comme Oscar l'a fait... (C'est sur qu'à l'époque c'était bien différent aussi et avec son évolution à elle c'était également une autre paire de manche...) Mais je suis contente que sa t'ai plus quand même

Nicole: je voulais une fin symbolique nous dirons...
Et pour ce qui est des fics heeee...... Enf ait je n'en ai pas une.... Mais 2 à finir

Allez quelques et à ton clavier pour la suite de tes deux fics, non mais !! lol

Plus sérieusement, je vais sur la façon d'intégrer des éléments forts de son vécu dans ses écrits et dans des personnages. Je trouve que tu l'as très bien fait, avec véracité, exactitude et suffisamment de distance. Vraiment chapeau !
Bravo aussi pour avoir réussi à mettre par écrit quelque chose d'autobiographique. En ce qui me concerne, ça ne passe jamais vraiment bien, du moins pas tout. ça doit correspondre à un stade de maturité à la fois personnelle et d'écriture. En tout cas, féliciations.
Pour le reste, je suis contente que tu t'en sois aussi bien sortie, avec beaucoup de courage et de détermination, et que tu sois devenue capable d'en parler sans que l'on te perçoive comme une victime ''victimisée''. Souvent, il y a une chose qui m'agace un peu quand on parle de violence sous différentes fortmes, c'est la façon dont on dépeind la victime. On finit par en faire quelqu'un d'incapable d'aller au-delà, et quelque part, c'est laisser l'agresseur gagner puisqu'il semble capable de détruire totalement la personne. Donc bravo aussi pour ton discours qui ne tombe pas non plus dans un excès de victimisation