J’aime beaucoup la scène au miroir et ce qui transparaît des sentiments d’Oscar à travers ses réflexions autour de la chemise d’André. Bien sûr, ce n’est que passager, mais tout de même, j’ai l’impression que la glace commence (enfin !) à fondre.

Je ne supporte pas cette pimbêche d’Anne-Héloïse. Elle est vraiment l’archétype de la demoiselle aristocratique remplie de préjugés et imbue d’elle-même. Ce ne pourrait pas être elle la méchante de service ?

« Il faudrait qu'elle fasse prochainement une promenade dans les environs, afin de s'assurer de son identité et, le cas échéant, lui dire quelques mots. »
Alors, comme ça, Emilie s’intéresse à André ? Parce qu’il est bel homme et qu’il a contribué à la sauver ? Par simple curiosité ? Ou pour d’autres raisons inavouables ? Il n’y a rien à faire : je continue à scruter chaque action d’Emilie en lui cherchant mobiles secrets et sous-entendus. Elle me semble toujours suspecte. Si elle n’est qu’un leurre pour cacher la vérité, tu as parfaitement réussi ton coup, Hermès !

Une douzaine de soldats dans un pensionnat de jeunes filles : mais tu lâches le loup dans la bergerie ! Je n’ai pas précisé qui, de la demoiselle ou du cavalier, jouerait le rôle de l’agneau...

Oscar se laisse distraire de ses devoirs car elle suit André des yeux. Bien, bien, notre colonel commence à changer. Et André m’a l’air décidé à jouer la carte de l’indifférence, non ? Ce n’est peut-être pas une mauvaise chose pour intriguer la belle. Elle est tellement habituée à sa constante présence que l’éloignement pourrait attirer son attention... et la retenir.

Ainsi c’était Emilie qui était visée. Mais à quel titre ? Elle n’est pas une riche héritière, si je me souviens bien. Détiendrait-elle un secret quelconque, une information importante ? Je patauge, je patauge...
Quant au nom "Charmay de Villemeur", s’il parle à Oscar, il ne me dit rien. A-t-il déjà été évoqué dans la fiction ? Dans ce cas la mémoire me fait défaut. Mais s’il met Oscar sur une piste, tant mieux ! C’est le principal.

La dernière partie de ton chapitre est sibylline à souhait, Hermès : apparition d’un grand de ce monde, visiblement pas un familier ou un ennemi intime d’Oscar (il n’a pas l’air de bien la connaître) et petites remarques anodines sur une fausse piste bourguignonne, un parfait bouc émissaire et de graves événements à venir.
Oh là là ! Suspense, suspense ! Mais je suis toujours aussi perdue, si ce n’est davantage. Je ne vois ni qui est le sbire au pensionnat, ni qui est le noble qui tire les ficelles, ni la finalité de toutes ces manœuvres. La purée de pois, quoi !

Merci les filles pour tous vos commentaires! Malheureusement, j'ai eu un week-end chargé et je n'aurai pas le temps d'y répondre aujourd'hui. Mais ce sera fait dès mercredi, promis. J'en profiterai pour terminer et publier le chapitre 14.

Bisous!

Demain le nouveau chapitre !!! :bounce: :bounce: :bounce: :bounce: :bounce: :bounce:

Toujours pas de suite...

Que te dire ????
A part que je suis ravie par ce nouveau chapitre, des soupçons...
Je part dans la même direction qu'Oscar. Je trouverai, mais pas aujourd'hui.
Cette scène dans les écuries.......... Violence, amour, tout y est....... WHAAAAAAAAAAAA;

Et ce faux cadavre ??? Pour quelle raisons ??????

Un petit retour de Maurice, pauvre homme... Que ne fait'on par amour ?????
Chercher sa Lisette, aller jusqu'à voir une certaine ressemblance avec le nouveau palefrenier.

C'est toujours un plaisir de te lire Hermès.

Un seul mot pour l'écurie... MIAM!

Mais euh! On est encore demain d'abord! Je suis touchée par votre impatience, les filles, merci (Lona, ton montage m'a encore fait bien rire! )

Bon, je n'ai pu m'atteler à la tâche qu'à 17h passées et j'ai dû entre-temps répondre à un long coup de fil. Ajoutons en outre que le chapitre 14 s'est donné un malin plaisir à me résister... Donc, me voici, sans me presser.

cath: Emilie, la suspecte idéale? Faut voir... L'épilogue est pour bientôt (je ne peux te dire en revanche dans combien de chapitres il arrivera).
En ce qui concerne la réaction d'André, elle n'est pas étudiée (ce n'est pas son genre de calculer), mais on va dire qu'elle est diablement efficace! Merci pour ton commentaire!

liberta: Effectivement, la réaction d'André a payé!!!

La Lionne: Tu as compris en effet qu'il était moins évident pour moi d'accéder à internet en ce moment. Mais le voilà!
Maintenant, en ce qui concerne tes hypothèses, je ne puis malheureusement rien te révéler, si ce n'est les motivations du meurtrier: permettre à l'autrice que je suis de broder une hisoire d'amour entre Oscar et André (tout ça pour ça!!! )

Maïlys: Et comment que la glace fond!!! Sinon, heureuse qu'Anne-Héloïse soit une méchante crédible. Je lui ai donné des valeurs que je n'apprécie pas pour constituer son fond de commerce...
Emilie, coupable ou non? Peux rien te dire...
Quant à ta réflexion sur les soldats dans le pensionnat, j'avais pensé un instant à en parler, mais bon, je manquais de temps alors...
Sinon, pour les motifs visant Emilie, j'en ai effectivement parlé dans un chapitre ultérieur (avec Charmay de Villemeur, etc.)
Quant à la purée de pois... J'ai l'impression qu'à force de faire des mystères, j'ai un peu perdu tout le monde... J'espère que l'épilogue expliquera tout . Mais bon, n'est pas Agatha Christie qui veut...

Voilà. Merci encore et à bientôt!

J'adore ta description de la scène d'amour dans les écuries, passionnée, douce mais ardente. Oscar déstabilisée et ivre de sensations nouvelles mais pas inconnues; André a pris l'initiative et ça le rend encore plus irrésistible et fascinant. J'en oublierais presque le côté enquête (ou presque)Toujours aussi bien écrit Hermes !

Non non rassure-toi, tu n'as pas perdu tout le monde....
Enfin, moi je n'ai pas besoin d'une énigme pour être perdue. Une simple petite question, et zou.....

Par exemple, même si tu nous as donné toutes les cartes, il faudra en plus que tu me donnes l'identité du tueur pour que je découvre qui c'est.
En attendant, c'est vrai que je peux me perdre en hypothèses...
Emilie, oui, elle a quelque chose...
Pourquoi pas la directrice de l'école ? Elle connait parfaitement le bâtiment, c'est une femme d'expérience ( et de sang-froid pour faire face à toutes les péronnelles qui se succèdent ! ).

Exit Maurice ! Il a perdu toute sa superbe en perdant Lisette et erre comme une âme en peine. J'adore la manière dont il aborde André, parce qu'elle lui ressemble.
Attention, ça pourrait lui donner des idées !!!

Une Oscar jalouse commence par cogner, avant de découvrir que sa colère cache peut-être quelque chose ( des sentiments ? tiens donc ! ) et de vouloir jouer aux infirmières.
Or, on connait le fantasme des hommes concernant les infirmières...

La pauvre Ninon n'a plus qu'à aller se rhabiller.
Enfin, elle n'avait pas eu l'occasion de jouer à l'infirmière... Passons !

Dis-moi, le lieutenant ne va pas interrompre son colonel maintenant ?!!!
Imagine la scène (aux abords de l'écurie, quelques temps plus tard) :
- Ah colonel, je vous ai enfin trouvé... Mais pourquoi toute cette paille dans vos cheveux ? Et cette tenue débraillée ?
- Ne vous inquiétez pas lieutenant... Pourquoi me cherchiez-vous ? Et si vous continuez à me chercher vous allez me trouver... Quoique j'ai suffisamment cogné pour aujourd'hui...
- Nous avons trouvé...et patati et patata... Mais, pourquoi le palefrenier a-t-il toute cette paille dans ses cheveux ?[i]

En tout cas, je suis sure que ce pantin n'est pas là par hasard. Mais quel peut être son utilité ?
Faire croire qu'il y a une personne...là où il n'y en a pas ? Pour pouvoir assassiner tranquillement quelqu'un pendant que l'on vous croit à la place de ce pantin ?
J'avais vu ça dans un Tintin : des mannequins figurant Tintin et le capitaine Haddock, tandis que les vrais s'étaient éclipsés pour enquêter en catimini. Ben vi, on a les références qu'on peut !

Gros bisous ma très chère déesse, et merci de tous ces efforts pour publier ( je sais que tu n'as pas beaucoup de temps toi non plus )

Voilà, j'ai rattraper mon retard pour ta fic. Hum que de choses que de choses. Bien interressant tout ça.... je me doutai que ces pâtes de fruit n'étaient pas catholique, mais il est vrai que je commence également à me grater la t^te pr deviner qui est le tueur et ses complices.... Enfin notre Oscar a compris qui faisait battre son coeur, c est amusant comme la jalousie peut vous ouvrir les yeux de temps en temps.
toujours accro, en retard certes mais appréciant tjrs autant cette fic. J aime bcp la tournure des évènements. En attente de la suite avec impatience et le du dénouement( ds pls chap je sais) pr me dire : mais bien sûr comment ni avais je pas pensé....

Oscar en proie au monstre vert de la jalousie ? Bien bien ! Voici qui devrait lui donner quelques idées sur ce qu’elle ressent réellement pour André, non ?

« De la peine? De la colère? Pour quelle raison? »
Elle a vraiment tout à apprendre du métier de femme et d’amoureuse !

Et après la servante, la pensionnaire ! Décidément André a beaucoup de succès. Un peu trop même si Maurice se met à faire le rapprochement entre sa chère Lisette et le nouveau palefrenier. Quel scandale si la vérité venait à se savoir !

Oscar fait une scène de jalousie en règle à André mais refuse de le reconnaître. Ils en viennent aux poings ! Cela rappelle la bagarre homérique de leur adolescence. Comment se terminera celle-ci ? Après tout, il s’agit d’une forme de corps à corps qui, pour violemment qu’il démarre, pourrait bien avoir des conséquences inattendues.

Eh bien, voilà ! Un baiser, c’est tout de même plus agréable qu’un coup de poing, non ? Oscar n’a d’abord pas l’air de trop savoir comment réagir devant celui-ci mais, au final, elle trouve tout à fait les gestes qui conviennent. Et André prend enfin l’initiative. S’ensuit une jolie scène tendre dans le foin selon la bonne tradition. (Tradition que je n’ai jamais comprise : en réalité, le foin pique, est rempli de bestioles. Pas confortable du tout !)

Les soldats font de curieuses découvertes dans les arbres du pensionnat. A quoi ce mannequin a-t-il pu bien servir ? De leurre ? Un soupçon me vient : est-ce bien Cécile qui dormait ou un mannequin habillé comme elle ? Après tout, elle n’a été que "légèrement" empoisonnée à la belladone et quel meilleur moyen de détourner d’éventuels soupçons d’elle que de passer pour une victime.
Comme tu le vois, Hermès, je me perds toujours dans les méandres de ton intrigue !

Chères lectrices,

Encore merci pour vos commentaires!

cath: merci d'aimer me lire! ça me fait toujours plaisir, ce genre de message!
En ce qui concerne la scène d'amour, elle ne pouvait ne pas contenir une certaine dose de violence. Heureuse que cette dernière ne t'ait pas traumatisée.
Quant au mannequin, il a peut-être sa raison d'être...

Krapagnou: J'ai l'impression que tu aimes les scènes d'amour...en plus des coups de reins d'André!

liberta: Effectivement, André a pris les initiatives. D'habitude, je le fais résister et faire preuve d'abnégation au-delà du soutenable parce qu'il est plus âgé (et donc plus sage). Mais dans cette fic, il est un tout jeune homme; j'ai donc trouvé plausible qu'il se laisse emporter par sa passion - qu'il frustre depuis plusieurs années - sans se poser de question sur son rang. En outre, à cette époque, Oscar n'est pas encore amoureuse de Fersen. Pas de barrières de ce côté-là, le caractère impétueux de la jeunesse.. André avait les coudées franches pour aller jusqu'au bout!

La Lionne: T'inquiète, tu vas l'avoir, ta réponse!! Madame de Brinion, une coupable possible? Sais pas... En tous les cas, vous semblez être toutes d'accord pour dire que le Baron se cache sous des vêtements féminins...
Maurice réapparaîtra peut-être dans un chapitre ultérieur.
Ton allusion au fantasme des infirmières m'a fait hurler de rire! Imaginer Oscar nue sous une blouse blanche pour préparer un petit clystère... Enfin, j'espère que le clystère sera plutôt destiné au duc de Germain qu'à André!
Et tes retrouvailles avec le lieutenant... Je me marrais toute seule!
Quant au pantin, il est possible en effet qu'il ait son utilité... Je ne connaissais pas cet épisode de Tintin. Pourtant, il me semble les avoir quasiment tous lus. Bon, d'accord, ça doit remonter à quinze ans maintenant, donc il est très possible que je l'ai oublié...

Amber queen: Tu avais vu juste pour les pâtes de fruits!!! Sinon, effectivement, la jalousie est l'un des moyens qui fait ouvrir les yeux sur les réels sentiments qu'on porte à quelqu'un. Pour moi, Oscar peut voir la réalité que de trois façons: la première (utilisée pour l'animé dans l'épisode du carrosse)): la peur de le perdre, la deuxième (utilisée dans le manga): l'éveil du désir et de la sensualité et la troisième: la jalousie. En général, je fais un mix entre la première et la deuxième solution (il lui faut au moins ça!!! ), mais parfois,comme dans cette fic,j'utilise aussi la jalousie. Matraquée comme elle était par la volonté farouche de l'autrice - totalement impartiale dans ses choix - de la faire tomber dans les bras de notre palefrenier national, elle a fini par céder. Mais ce fut un travail de longue haleine... :hyhrhrt:

Maïlys: Bon, je crois qu'Oscar a compris ce qu'elle ressentait pour André à présent. Elle aura mis le temps, la pauvrette, mais mieux vaut tard que jamais!
C'est vrai qu'André a son petit succès... En même temps, un nouveau mâle superbe en simple chemise, ça a de quoi émouvoir plus d'une jeune fille non?
Tu as raison pour ta remarque à propos du corps à corps: j'ai déjà utilisé cette ficelle dans une autre fic et j'avais effectivement en tête cette fameuse bagarre du premier épisode.
Sinon, nos deux tourtereaux ne s'ébattent pas sur le foin (dessus, ils n'ont fait que se battre) mais sur la couche d'André, qui se situe dans le grenier. Donc, normalement, il y avait quelque chose qui les protégeait de ce végétal vicieux au possible (perso, je n'ai jamais essayé mais il paraît effectivement que ça pique et que ça gratte. Je leur ai donc fait une fleur en leur accordant un endroit convenable. Ils auraient été coupés dans leur élan sinon et ça aurait été bien dommage...
Hum... A présent, tes soupçons s'égareraient sur Cécile? Hypothèse à voir... Tu auras bientôt des réponses!

Voilà, je vous embrasse, et vous dis à bientôt!

Zut, alors par déduction, je soupçonnais Emilie de Ferval, mais maintenant, une servante serait impliquée à moins qu'elle est rêvetue ce déguisement pour empoisonner le ragout...
Pour le mannequin, je suppose que c'est celui qui se trouvait sur le cheval avec le baron de la nuit.
Ho, Hermès, j'adore ton embrouillamini (je sais pas si ça se dit).
Le lieutenant qui découvre que le colonel est joli, avec ses lèvres rosés, et André qui débarque lui aussi avec de la paille dans les cheveux... Une interrogation de plus pour le lieutenant.

Encore et encore du plaisir à lire ce nouveau chapitre.

Tout à fait embrouillant en effet;
inutile que je te dise que j'ai aimé ce chapitre tout en douceur et sensualité, de plus l'étau se resserre et l'épilogue approche (du moins je suppose).
Tu clos toujours tes chaps par un suspens ou une interrogation , j'aime bcp ce mélange de romance et enquête.

Je dois t'avouer que...j'ai bien ri durant la scène des retrouvailles lieutenant/colonelle !
Je n'étais pas si loin du compte...

Heureusement qu'André, quand il apparait, interpelle le lieutenant pour autre chose que sa mise quelque peu débraillée. C'est plutôt sa familiarité envers le colonel, et l'attitude d'Oscar envers celui-ci, qui fait tiquer ce brave lieutenant.
Ainsi, André aurait tout compris ! ( Veinard !!! ) Alors, il a gagné le pompon de Sherlock Holmes !
D'ailleurs, après avoir joué les infirmières ( et on a vu où ça l'avait conduite ), Oscar peut bien jouer les docteur Watson ( et où cela va-t-il la conduire ? ).

J'attends la réaction d'une certaine personne suite à ta description...

Encore 1 chapitre, si je ne m'abuse.
( A défaut de résoudre des énigmes, j'espère savoir encore un peu compter )
Allez, je vais quand même essayer de faire carburer un peu les neurones. Une petite relecture s'imposera...
Qui est ce foutu Baron de la Nuit ?!!!
Qui est son commanditaire ?!!!
Que doit-il se passer ?!!!
Mdr

chap doux et calme qui mélange amour, humour et suspens....

amour pour Oscar et André qui s avouent enfin s aimer. Où ils se découvrent et partagent de nouveaux moments de complicité de sensualité.

humour pour le face à face avec le lieutenant...
et bien sûr tu clotures en nous laissant miroiter sur l identité du baron...
tel est pris qui croyait prendre....

Hello les filles!

Ah, je vais vous faire une réponse succinte, histoire de ne pas trop vous dévoiler l'ultime chapitre.
cath, je n'ajouterai donc rien à tes hypothèses. Mais elles se tiennent bien, ça, c'est sûr!
Liberta, j'aurais voulu vous révéler l'identité du baron dans ce chapitre, mais, comme d'hab, je me suis laissée emporter par les personnages et je n'avais pas le temps de poursuivre mon chapitre. Donc, j'ai préféré m'arrêter là.
La Lionne, j'avoue m'être inspirée de ton commentaire pour ce chapitre. Au début, je ne pensais pas vraiment à cette tournure d'évènements, et puis, au fur et à mesure, cette version s'est imposée d'elle-même.
Amber Queen: Contente que ce mélange des genres t'ait plu! Désolée pour cette ultime pirouette, mais bon, ce sera la dernière alors...

Merci encore pour vos commentaires et l'épilogue dès que je le pourrai!

Hermès a écrit:

La Lionne, j'avoue m'être inspirée de ton commentaire pour ce chapitre. Au début, je ne pensais pas vraiment à cette tournure d'évènements, et puis, au fur et à mesure, cette version s'est imposée d'elle-même.

Contente d'avoir pu t'inspirer ! :bounce:
A croire qu'Hermionne reprend du service même sans y être invitée.

Ce début de chapitre tout en douceur me charme infiniment. Il nous montre une Oscar, heureuse, apaisée, ne regrettant rien ; un André heureux lui aussi, comblé ; un couple qui s’est aimé, qui s’aime... et prêt à recommencer.
J’espère que ce n’est pour eux que le début d’un bonheur bien mérité.

Mais le colonel, et l’enquêteur, ne sont pas loin. J’ai l’impression qu’Oscar commence à se poser les bonnes questions et à cerner la personnalité de l’assassin. Le problème c’est qu’une femme, ce n’est pas ce qui manque dans une pension pour jeunes filles. Et si elle monte à cheval sous son identité féminine, ce n’est sûrement pas comme un homme. Comment Oscar va-t-elle procéder pour la débusquer ?

« A ce moment même, il ne pouvait s'empêcher de le trouver... joli. »
Il est sûr que son lieutenant n’a pas l’habitude de voir Oscar au sortir des bras d’un amant. Elle doit avoir l’air un peu moins glacial qu’en temps ordinaires !

« Je crois que je viens de comprendre... »
André a bien de la chance. Je suis encore dans le noir. Il faut dire que je me préoccupe plus des relations entre André et Oscar que de l’identité du Baron. Ce qui me console, c’est qu’Oscar n’a pas l’air plus douée que moi !

Un baron qui empoisonne la nourriture d’Oscar... et qui se retrouve en mauvaise posture. Est-ce le poignard d’Oscar ? Celui d’André ? Celui d’un troisième larron ?

La fiction avance mais je n’en suis pas plus avancée pour autant !
Je crois que je ne devinerais rien avant le mot de la fin et je ne me hasarde plus à de douteuses hypothèses. J’attends sagement (mais pas trop longtemps ?) la suite.

La Lionne a écrit:

Contente d'avoir pu t'inspirer ! :bounce:
A croire qu'Hermionne reprend du service même sans y être invitée.

En effet, chère Lionne! D'ailleurs, ne pourrait-on pas publier notre première fic en commun? (celle qui avait été écrite pour la Saint-Valentin?). Elle était vraiment super mignonne et marrante. Et comme elle date de deux ans, il y a peut-être des lectrices qui ne la connaissent pas?

Maëlys, je suis contente que tu aies été sensible à la douceur de mes écrits (je suis totalement pour le "aimons-nous les uns les autres, mes frères!" ). Le début d'un bonheur bien mérité? Si tu me poses cette question, c'est que tu ne me connais pas!!! (hein? Qui est en train de me critiquer dans mon dos, là??? )
Bon, c'est vrai que je laisse la part belle à André ne ce qui concerne la trouvaille de l'assassin, mais c'est quand même lui qui l'a pisté, non?

En ce qui concerne le délai d'attente pour l'épilogue, j'espère pouvoir le terminer ce week-end. maintenant, je vais avoir du boulot et, comme je le fais passer en priorité, rien n'est moins sûr... Mais je m'y mets, promis!

Allez, bisous à toutes les deux, et merci encore pour vos commentaires!

Hermès a écrit:

D'ailleurs, ne pourrait-on pas publier notre première fic en commun? (celle qui avait été écrite pour la Saint-Valentin?).

Tu me rappelles insidieusement que je voulais la republier sous Hermionne, et que je ne l'ai toujours pas fait.

Ouh là, là, là... C'est vrai, je n'ai toujours pas touché mes droits d'auteur! T'as pensé aux intérêts, j'espère??? Je vais être méga-riche!!!! :pisciete:

T'inquiète, je n'ai pas viré paranoïaque haineuse, rabâchant ma rancoeur envers l'abominable voleuse de fic que tu es!!!

Bon, sinon, on la publie ou non? faut que tu sois d'accord...

Gros bisous ma Lionne!

Emilie de Ferval !
Sans André, Oscar aurait'elle deviné... Pas sur !
Un complice, je m'en doutais, mais qui ?????????
Que tout ceçi soit l'oeuvre du frère du roi, là je voyais plutôt le duc de chartres.

C'est dommage, c'est fini, je prenais tellement de plaisir à découvrir chaque chapitre.
De l'aventure, de l'action et de l'amour...

Et maintenant un petit détour par la normandie... Ils n'arrêteront jamais.

Voilà, l'épilogue est posté. J'espère qu'il répondra à vos questions. désolée, il est bâclé et je sais que ce n'est pas sympa et respectueux de ma part envers les lecteurs, mais j'avoue que cette fic ne m'inspirait plus. Je suis déjà partie dans ma prochaine fic, L'île aux esclaves. Les situations, les personnages m'envahissent au point de ne pouvoir me concentrer que difficilement sur ceux de La dame de Pique.

En tous les cas, je félicite Maïlys, la première à avoir soupçonné Emilie de Ferval, et ce, dès le début. Bravo aussi à toi, cath!

Bisous à toutes et merci de m'avoir lue jusqu'au bout!

enquête résolue, et machiavélisme habilement déjoué.
Le comte de Provence, frère du roi, je savais qu'ils ne s'aimaient pas mais de là à vouloir la mort de son frère ... Il s'en sort trop bien je trouve.
A présent que son devoir est accompli, Oscar désire voguer vers une autre aventure, plus... romanesque
Merci Hermes pour cette fic prenante, tu as su conserver le suspens tout en clôturant au bon moment. j'ai hâte de lire ta prochaine.

J'ai a-do-ré les armes de fortune d'André !!!
Eh oui ! Il n'est pas le petit-fils de grand-mère pour rien.

Il connait décidément très bien Oscar. Il est sûr que, s'il avait lui-même mis fin aux activités criminelles du Baron de la Nuit -à coups de louche-, la fringante colonelle n'aurait pas manqué de lui en vouloir.
Quoique...
Ça aurait pu nous valoir une réconciliation sur l'oreiller. ( Non je ne suis pas obsédée !..... J'aime les histoires de cœur à la Hermès, c'est tout... :mmlkjh: )

Emilie de Ferval était donc un homme !
Comme tu le soulignais au début de l'histoire, bien souvent il ne faut pas aller chercher très loin.

N'empêche, un homme dans un pensionnat de jeunes filles, rhoooooooooooo ! ( Mais puisque je vous dis que je ne suis pas obsédée !!! )



Pour ce qui est de notre fic commune, bien sûr que je veux bien qu'on la publie.
Mais j'attends surtout cette île aux esclaves dont le titre permet toutes les suppositions !
Au plaisir de te lire prochainement ma chère déesse

jusqu'à présent je n'avais pas laissé de comms par manque de temps,je viens de lire ta fic d'un seul coup et j'ai adoré!!!

Emilie de Ferval est le Baron. J’avais raison de me méfier d’elle depuis le début ! :numberone:

Euh... Soyons honnête. C'est une manie chez moi, quand je lis un roman policier ou un roman à intrigue, de soupçonner tout le monde tour à tour, un peu au petit bonheur la chance, et surtout ceux qui ont l'air le moins "soupçonnables". Comme cela, je peux toujours dire que j'avais envisagé la bonne solution.
Ceci dit, il est vrai qu'Emilie m'a semblé assez suspecte dès son apparition. je ne saurais trop dire pourquoi.

« Cette taille, haute, qu'elle était parvenue à diminuer par elle ne savait quelle astuce. »
Je me demande aussi car, à part se voûter comme une petite vieille, ce qui aurait tout de même un peu attiré l’attention chez une jeune fille...

André emprunte à Grand-mère son arme favorite ! Et se débrouille fort bien avec.
Peut-être existe-t-il un "gène de la louche" ?

« Louis-Stanislas-Xavier de France, frère du Roi Louis XVI et prince de sang! »
Ainsi le commanditaire de tous ces crimes-leurres était carrément le Comte de Provence. Tu n’y vas pas de main morte, Hermès ! Mais c’est plus vraisemblable (toutes proportions gardées) que les complots du Duc d’Orléans dans l’animé car celui-ci n’était qu’en troisième place dans l’ordre de succession au trône. Et même en quatrième puisque, au début du règne de Louis XVI, il n’était encore que Duc de Chartres et que son père, le véritable Duc d’Orléans, vivait encore et aurait dû régner avant lui. Alors que le Comte de Provence était en première ligne après Louis XVI.

Et, son devoir accompli, Oscar choisit de prendre la route des plages normandes avec André et de vivre son amour.
Un peu ? Beaucoup ? Toujours ?
Tu laisses planer le doute mais, telle quelle, cette fin en forme d’espoir me plaît beaucoup.

Il est toujours un peu triste de voir se terminer une fiction que l’on aime. Celle-ci m’a procuré quelques échauffements de neurones et cogitations diverses. J’ai aimé cette atmosphère d’intrigues, ces touches d’humour (Je n’oublierai de sitôt pas André-Lisette et son soupirant. ) et son histoire d’amour. Une fiction complète, écrit dans un beau style comme toujours avec toi, Hermès.
Et la prochaine s’annonce déjà : de quoi se réjouir !

Alors comme ça c était cette fameuse Emilie...bien joué je ne l avais pas soupçonnée de mon coté... et que le commanditaire soit le frère du roi...logique.

J ai bcp aimé le passage où André se bat avec des louches, il n'est pas le digne petit fils de gd mère pr rien...

Oscar réussit à déjouer le plan grâce à André il faut le dire. Elle termine sa mission et prend la route pr en commencer une autre qui je pense me paraît bien plus agréable.....

merci pr cette fic, ce fut un réel plaisir de la lire..

Alors, vrai? Z'avez aimé l'épilogue? Merci, vous êtes gentilles, car j'avoue que je n'étais pas convaincue moi-même!!!

Cath: Oh merci, ton commentaire est vraiment adorable! Oui, je sais, beaucoup pensaient à Saint-Just et au duc d'Orléans, mais j'ai préféré prendre d'autres persos. Et si André a deviné, c'est parce qu'il est celui qui a le mieux vu le Baron.

Liberta: Bon, ben là, il voulait la mort de son frère parce que ça arrangeait diablement l'autrice... Merci pour ton gentil commentaire. La suivante inédite est encore en cours d'élaboration. Cependant, en attendant, je peux poster des fics publiées ailleurs et pas encore ici. Donc, normalement, la plupart d'entre vous ne devrait pas les connaître.

La Lionne: Je suis contente que tu aies aimé les louches d'André! J'y tenais, à cette scène. Au début, il était censé avoir mille louches et être déguisé en Lisette (version humoristique), mais, finalement, j'ai opté pour la version plus romantique.
Eh oui, c'était Emilie!! Pourtant, Dieu sait que j'ai tenté de vous entraîner sur d'autres pistes. Je ne pensais pas être démasquée si facilement...
Pour notre fic commune, euhhhh... En fait, je ne l'ai pas! Je n'ai pas de traitement de texte (je n'ai donc conservé aucune de mes fics), et, comme la fic a été publiée sous ton pseudo, je n'ai pas le mot de passe me permettant d'accéder au texte sur Excess. Ce qui fait que... Qui va devoir s'en charger? (comme d'hab', tu me diras ) C'est Bibi-La-Lionne!!! Et vouiiii!!!
Tu ne m'en veux pas?

Quant à L'île aux esclaves, elle n'est pas encore prête...

DEDE: Merci de ton passage et de ton commentaire!

Maïlys: Eh oui, tu avais deviné depuis le début!!! Tu ne peux pas savoir comment j'ai dû me creuser la tête pour essayer de te perdre! Du coup, je vous ai peut-être un peu trop baladées dans tous les sens...
Quant à la taille "télescopique" du Baron, les transformistes ont vraiment des talents inimaginables pour changer d'apparence.
Un gène de la louche? Je l'ignore! Mais je reconnais que l'idée m'avait bien plu!
Pour le comte de Provence, non, je n'y vais pas de main morte!!! En même temps, je ne lui avais pas demandé son avis, au Stanislas-Xavier (avoue qu'un tel prénom est un véritable appel au détournement, non??? ), et ça m'arrangeait bien qu'il soit le méchant. Après tout, il a réellement organisé en douce une campagne de calomnies contre son frère et sa belle-soeur, campagne qui a tellement bien réussi qu'elle a débouché sur la révolution et tout ce qui s'ensuit. Alors, évidemment, c'était loin d'être l'élément déclencheur, il y avait pas mal d'autres choses en jeu, n'empêche. Il ne sort pas blanc de cette histoire et s'est empressé de prendre la couronne dès qu'il l'a pu.
Combien de temps Oscar vivra son amour avec André? J'ai bien mon idée...
Enfin, ta dernière remarque me fait infiniment plaisir! Quant à la prochaine, elle n'est encore qu'en gestation dans ma tête. Il faut que je développe un peu plus les persos, les lieux, les rapports entretenus...

Amber Queen: Tu ne l'avais jamais soupçonnée? Tant mieux! j'ai donc réussi à te surprendre! Eh oui, André est celui qui résoud l'énigme... Je ne suis pas une andrénette pour rien...
Merci pour ton gentil commentaire!

Voilà, merci encore à vous toutes de m'avoir suivie jusque-là et de m'avoir fait part de vos impressions.

Bises à toutes!

j'ai rattrapé mon méchant retard et c'est avec délice que je découvre la cloture de cette fic qui m'a bien promener d'un tueur à un baiser... et je suis tout a fait d'accord... nos deux amoureux n'ont plus qu'a allé poursuivre le marquis machin-chose en Normandie! Excellente idée!!!

bravo!

Mauvaise manip

Désolée, Krapagnou, je viens de découvrir ton message! Je ne te réponds donc que maintenant.

krapagnou a écrit:

nos deux amoureux n'ont plus qu'a allé poursuivre le marquis machin-chose en Normandie!

Le marquis de Carabas, en fait! Il s'agit du nom imaginaire que le Chat Botté donne aux paysans qu'il rencontre sur sa route pour désigner son maître, un pauvre meunier qui, grâce aux astuces ingénieuses de son matou, va devenir un prince et épouser une princesse.

Merci beaucoup pour ton commentaire!

merci pour la précision! (je ne savais pas l'origine de ce nom)

Sinon, si j'ai écrit machin-chose, ce n'est pas parce que j'ai oublié réellement le nom que tu as donné à la fin, mais plutôt pour dire que je me fiche qui Oscar et Dédé poursuivent et que tu peux m'emmener les suivre sur n'importe quelle nouvelle histoire!

merci à toi de nous avoir promené au fil de ton intrigue!