Raisonnez dans le double sens pour les italiques ...
La maladie d'André? Mais... comment dire ...

A forçe de manger des pommes, un ver a probablement investi les intestions d'André, les crampes me font penser au ver solitaire.
Je sais, je sais, je me suis tromper.
Mais je m'investis...

Et je t'en remercie sincèrement!

Un nouveau chap en ligne: celui des révélations . L'action va désormais devenir le centre du récit...

Je pensais la même chose que toi Cath: je me suis dit que l'intrus était un ver solitaire qui devait "se nourrir" d'André pour prendre des forces. Puis, je me suis dit que non, ça ne pouvait être ça...pour finalement, être prise de doute quand André se tord de douleur à cause de crampes et qu'il refuse de s'alimenter.

Mais bon, c'est super que l'on ne puisse deviner de quoi il s'agit. Tu nous as accrochées avec ce mystère Sudena

*********

Je viens juste de terminer la lecture du dernier chapitre: et la lumière fut ! La variole ! Tu as très bien su mêler le tout pour nous laisser sur notre appétit, mais maintenant tout s'éclaire. Mais je ne comprends toujours pas ces rêves prémonitoires...

moi je croyais juste que c'était la mort qui venait ronger ses victimes petits à petits... je me doutais bien que c'était une forme de maladie... mais j'aurais pas pensé à la variole (faut dire j'en connais pas les symptomes)... j'avoue ma première pensée a été pour la peste (genre la gamine du début dans le cercueil qui le refile à dd quand il pose le crucifie sur le cercueil)...

bref... on s'en fout de mon raisonnement à 2 balles... c'est donc la variole! (comment ça se soigne? vite google! lol)

Précisément, la variole ne se soigne pas: seule la vaccine découverte par le docteur Jenner permet de l'aténuer si on l'inocule avant ou aux tout premiers symptomes...
Les rêves... considère pour l'instant qu'ils ont une fonction d'illustration (la variole provoque des délires et des hallucinations parfois semblables à ceux de l'opium _cf pour ceux-cis: "From Hell" des frères Huges avec Johnny Depp ou... "Il était une fois en Amérique" de Sergio Leone[?..] ce qui m'a permis d'y penser): je saurai _pour certains d'entre eux_ leur donner une fonction plus "profonde" et plus symbolique plus tard ...

En tout cas merci pour vos coms ...

Et au fait tenez, en guise de précision d'une partie de ma fic :

Oh j'aime !!!

Cela me rappelle mes années de théâtre où je jouais "Les femmes savantes" de Molière (il y a très longtemps...). Nous dansions un menuet sur cette pièce musicale (p'tite tranche de vie ).

Merci Sudena pour m'avoir fait redécouvrir ce trésor ! Je suis en train d'écrire la suite de ma fic et je me suis mis ton enregistrement en boucle. :rffredx: La musique m'aide à me plonger dans la chambre où repose présentement Oscar...mais bon tu verras bien... Mais grâce à toi, je suis capable d'écrire plus de 2 lignes sans me remettre à gigoter.

Jour 5

« je me sens désormais prêt, tout du moins pour les préliminaires... »
Mais les préliminaires de quoi ? J’en suis toujours à la valse des suppositions.

Une vraie journée de vacances, loin du regard des grandes personnes. Je comprends que les deux enfants jubilent.

Le contraste entre ces jeux d’enfant, ce déjeuner champêtre (bravo pour tes connaissances en champignons !) et cet atroce cauchemar d’André est saisissant. J’avais presque baissé ma garde et voici que "lui" réapparaît en tortionnaire sadique.
Le pire, c’est qu’André a eu l’impression d’être l’auteur même de l’agression d’Oscar.

Il est poignant de voir ces deux enfants pleurer, sans comprendre pourquoi. J’ai l’impression qu’ils commencent à peine à pleurer et que ce qui les attend par la faute de "lui" ne sera pas fort réjouissant.

Jour 6

Que je n’aime pas du tout la jouissance horrible que je sens dans cette mystérieuse entité ! Ni la manière dont il évoque Oscar !

« Je ne peux plus manger de pommes. »
Mais ce n’est plus notre André alors !

« C'était un secret qu'ils voulaient garder en eux et entre eux. »
Une jolie pensée, a priori, mais j’ai l’impression que ce secret va les dévorer.

André ne mange rien. Grand-mère s’en inquiète... et lui aussi. J’ai l’impression que ce qui est en lui le rend malade. Mais comment ? Et pourquoi ? Et je n’arrive toujours pas à deviner ce que ce pourrait être. Peut-être, tout bêtement, une maladie. Mortelle s'entend. Je ne me souviens pas si tu as précisé de quoi est morte Rosette (un clin d'oeil aux Fables de sang ?).

Mais, pour l'instant, je peux avancer toutes les hypothèses que je veux, elles restent hasardeuses.

La variole !!!
Aïe aïe aïe... C'est pas bon du tout ça....

La complicité entre André et Oscar est plus forte que le mensonge.
A ce moment-là on se dit...qu'il ne faudrait jamais grandir !

Jour 7

Si ce n’est pas du vampirisme, c’est bien imité. Je tremble à chaque fois que je lis tes italiques. Non seulement, je déteste la manière dont l’entité parle d’Oscar et d’André, mais je ne suis plus tellement sûre d’avoir vraiment envie de découvrir ce qu’elle est réellement.

« Cette inspection se réduisit à retourner à la fourche quelques brins de foin. »
On voit bien que tu n’as jamais nettoyé de box. C’est tous les jours, et à fond.

Etranges les jeux de cache-cache d’Oscar. Mais est-ce vraiment elle qui veut ainsi sentir la main d‘André dans ses cheveux ? Ou ce désir est-il peu ou prou lié à l’entité présente entre eux, en eux ?

« Il fut presque surpris de voir que sa main n'était pas devenue toute dorée... »
Belle pensée d’amoureux.

André mange mais n’aime toujours pas les pommes. Je me perds en conjoncture, sans doute trop, devant cet appétit aux caprices duquel je ne comprends rien.

Trompettes de la mort et girolles : cela me rappelle de bons souvenirs de cueillette... et de cuisine !

Evidemment, tout ce qui arrive à André est la faute de l’entité : le froid, la douleur puis la fièvre. Une occasion pour Oscar de prouver combien elle tient à son compagnon. Mais moi, je m’inquiète de plus en plus pour eux.

Jour 8

« Ces imbéciles qui le côtoient ne m'ont même pas encore reconnu. »
Donc on peut reconnaître l’entité. A quels signes ? Est-ce à dire que tout ce qui arrive à André devrait alerter son entourage ? Si je résume, nous avons : perte d’appétit, nausées, douleurs, fièvre... plus quelques rêves à la limite du délire (dus à la fièvre ?). Cela évoque de plus en plus une maladie. Mais laquelle ?
Marina, à la rescousse ! C’est toi, la spécialiste dans ce domaine.
En tout cas, si c’est une maladie, il s’agit d’une maladie qui s’attrape comme un rien. Il y a eu contact sanguin entre André et Oscar mais de Rosette à André (si c’est bien d’elle qu’il a attrapé ça), il n’y a quasiment rien eu. Il a juste déposé la croix sur son cercueil.
Bon, j’arrête de me creuser les méninges et de tourner en rond. Si ça se trouve, tu donnes la solution deux paragraphes plus bas.

Pas à dire : André est bien malade. Foin des fantômes et autres vampires ! Chaud puis froid, fièvre et délire : la malaria, que l’on appelait à l‘époque, si je me souviens bien, fièvre tierce, quarte ou quinte selon la périodicité des épisodes fébriles ? Mais où aurait-il attraper cette maladie ? Et Rosette n’aurait pas pu le contaminer. J’en perds mon latin, ou plutôt les quelques rares notions médicales que je possède.

En tout cas, pour que Grand-mère coure à Paris chercher le docteur Lassonne, il faut qu’elle soit vraiment inquiète. Sudena, tu ne vas tout de même faire mourir André (puis Oscar ?) d’une très bête maladie ? Je sais bien qu’à l’époque, il en existait de redoutables dont nous avons oublié jusqu’aux noms ou que nous considérons maintenant comme inoffensives. Et que la mortalité infantile était dramatique. Mais tout de même, André et Oscar !

Ce que j’aime dans tout cela, c’est l’attitude d’Oscar qui reste au chevet de son ami, tente de le soulager et de lui changer les idées. Je pense qu’à l’époque on devait fuir plutôt les malades histoire d’éviter la contagion dont on ne savait pas grand-chose. A mon avis, si ses parents étaient là, ils ne la laisseraient pas faire.

La consultation de Lassonne est quasi moliéresque ! Il n’a peut-être pas les moyens actuels à sa disposition mais tout de même. Du repos et un bain chaud, cela me semble un peu court comme prescription ! D'autant qu'un bain chaud, quand on a de la fièvre...

Grand-mère éloigne Oscar, comme de juste, mais celle-ci revient au chevet d’André. J’ai l’impression que les symptômes mettent plus de temps à se manifester chez elle, non ?
En tout cas, je crains de plus en plus pour les deux enfants.

Jour 9

Tes passages en italiques sont de plus en plus horrifiques. La manière dont la maladie, quelle qu’elle soit, se réjouit de ce qu’elle fait subir, et va faire subir, à André puis à Oscar, me fait couler des frissons dans le dos.

Les crampes diverses et multiples s’ajoutent aux symptômes, mais je reste dans le noir. Sortie des signes de base que connaît toute mère de famille, je suis plutôt ignare en la matière.

« Ce jeune homme disait tout haut ce que lui-même pensait tout bas... »
Une évocation intéressante de la rencontre avec le jeune Robespierre. Mais cette rencontre aura-t-elle lieu un jour ?

« Oscar jugea ce dernier ordre inutile et se contenta de s'habiller. »
Bien observé ! Dès qu’ils le peuvent, mes fils bâclent leur toilette et font tout juste semblant de s’éclabousser.

Et des boutons maintenant ! La scène avec Lassonne, qui ne veut pas donner le vrai diagnostic devant les enfants, rappelle irrésistiblement celle qui se déroule au chevet de Louis XV.
La variole ?
Tu avais pourtant bien souligné l’odeur qui émanait du cercueil de la petite Rosette et dont André s’était étonné.
La variole ! L’horreur absolue à l’époque. Et je suppose que ni André ni Oscar n’ont été inoculés. Ah, les Français et leur phobie des vaccins ! A croire qu’elle est atavique.

Je trouve le docteur Lassonne plutôt optimiste. André a l’air sérieusement atteint, non ? Donner un espoir à Grand-mère frôle la cruauté, à mon sens.

« tout semblait avoir mauvais goût. »
Pas la peine de se cacher la vérité, Oscar est bel et bien atteinte.

J’aime qu’au nom de leur serment, elle décide de dire la vérité à André. Savoir comment celui-ci réagira...

« Les deux enfants restèrent silencieux, étrangement sereins: ils savaient qu'ils allaient tous les deux traverser une terrible épreuve mais au moins maintenant ils connaissaient le visage de leur ennemi et ils allaient la traverser ensemble. »
S’ils ne font que la traverser. Je pense que les statistiques de mortalité par la variole, à leur âge en plus, devaient être proprement effrayantes. Mais cet espoir qui les porte est magnifique.
Savoir s’il les portera suffisamment pour les sortir de là, tous les deux ? J’en doute mais je ne demande qu’à me tromper.

Et je n’ai plus de chapitre à me mettre sous la dent ! Je vais être obligée d’attendre la suite... avec impatience.

La variole est donc ce qui a emporté la petite Rosette !
Même si ça ne se soignait pas à l'époque, il pouvait y avoir des cas où le malade se remettait ? non ?

Je ne le dirai pas dans la fic, donc autant vous faire le topo maintenant: toutes catégories d'âge confondues, et au grand minimum, la variole "bénigne" tuait le dixième des atteints, la "maligne" (qu'a eue Louis XV) le septième et la "confluente" la moitié. Il y avait aussi postérieurement les risques de fragilisation du corps et bien sûr l'éventuelle défiguration (inévitable lors de la variole "confluente").

Mais, pour vous mettre "l'eau à la bouche" , la petite Rosette (référence du prénom effectivement en partie aux Fables de Sang, mais aussi à la ressemblance avec le prénom "Rosalie"...) en a eu une forme très particulière ... Je développerai soit cette nuit soit demain. Merci en tout cas pour vos coms: je vous avoue que si j'ai une idée de la tram de l'histoire j'avance à l'instinct pour les chapitres (beaucoup d'inspirations de musiques diverses dont j'aurais honte d'avouer certaines...) et vos coms m'encouragent à continuer et me donnent souvent même des idées ...

Même si elles sont effrayantes, les statistiques de la mortalité par les différentes formes de variole que tu nous donnes pour l'époque sont moins importantes que je ne l'aurais imaginé. Oscar et André ont donc quelques chance de s'en tirer...
Ceci dit, j'ai toujours été nulle en probabilités mais j'ai bien peur que les chances pour qu'ils s'en tirent tous les deux soient tout de même bien minces.

Je cours lire le chapitre suivant.

Alors, finalement, c'est la maladie? C'est drôle cette façon que tu as de la faire parler, on croirait entendre une maîtresse délaissée et malveillante, une mante religieuse... On sent que cette variole joue un jeu cruel, pervers et sensuel avec nos deux héros innocents, et c'est d'autant plus dérangeant qu'il ne s'agit non pas d'adultes, mais d'enfants.
Franchement, ta trouvaille pour décrire cette maladie mortelle est extrêmement ingénieuse. La faire parler horrifie beaucoup plus que les symptômes décrits. Car c'est plus que de la compassion que je ressens, c'est de l'horreur et l'impuissance de ne pouvoir rien faire pour aider André et Oscar. Impuissance que doit certainement ressentir Grand-Mère.

L'amitié et la confiance que tu tisses autour d'eux apportent le juste équilibre entre la beauté et la laideur, la perversité et l'innocence, le bien et le mal...

Mille bravos, vraiment!

Pas de vers, mais la variole, si tant est, je peux la comparer à une forme de ver, à s'insinuer lentement, et se nourrir de l'intèrieur.
Maladie gourmande, qui ne pense qu' à son bien être, à trouver d'autres victimes.
Oscar de pas sa nature, étant plus fragile, cela me fait envisager le pire pour la suite
Les propos de la variole ne me plaisent pas
André, dont la maladie commençe à le défigurer, à part son regard qui reste le même.
Que peut'il lui arriver ? La maligne et la bénigne sont en lui

En attendant un autre chap (très prochainement ), j'espère que vous ne trouverez pas choquant de ma part de vous montrer la musique qui m'a inspiré par-dessus tout pour le principe des italiques du début ...

Je n'ai pas encore commencé cette fic, mais le titre m'intrigue, alors je l'ai insérée dans mon planning de lecture (qui est bordélique, précisons-le)

On connait maintenant le visage du danger qui guette Oscar et André...
Et cela provoque déjà beaucoup de réactions : une complicité sans faille entre les deux enfants, les mensonges de grand-mère ( qui agit plus pour les protéger et se "rassurer" que par mauvaises intentions ).

La maladie présentée comme une personne, festoyant, jouissant, se reposant pour reprendre des forces.
Ca donne des frissons.
Je trouve, comme Hermès, que tu as eu une idée "extrêmement ingénieuse".

Et tous ces rêves, prémonitoires ou non, que va-t-il en résulter ?

Jour 10

Brrr Tu as l’art de décrire les cauchemars d’Oscar et d’André. J’ai la chance d’en faire très peu mais je déteste cela (comme tout le monde, je suppose) et je les plains de tout mon cœur. A leur place, je serais bonne pour une fin de nuit blanche.

J’apprécie la connivence entre Oscar et André face à Grand-mère, aux grandes personnes et à leur faculté de mensonges. S’ils s’en sortent, ils seront à mon avis plus liés que jamais.

« Je n'ai pas à recevoir d'ordre de toi maintenant! Je sais que tu me mens! Que tu NOUS mens depuis deux jours! J'ai tout entendu hier et tout à l'heure! Je vais rester ici et je t'ordonne, moi, de te taire! »
La colère de l’enfant à laquelle on a menti, doublée de l’arrogance native de l’aristocrate : après tout, Oscar tient peut-être plus de son général de père qu’il n’y paraît au premier abord.

Tu ne nous fais vraiment grâce d’aucun des détails de la maladie. Heureusement que l’odeur ne se transmet pas (encore) virtuellement, sinon nous y aurions aussi droit. Ainsi, il s’agit d’une forme "atypique" qui nous laisse encore dans l’expectative en ce qui concerne sa dangerosité.

« On aurait pu mourir sans jamais se revoir... »
Oscar exprime plus la peur de ne pas voir André que celle de mourir. Il est vrai qu’à l’époque la mort était une compagne beaucoup plus familière que de nos jours et que la société ne s’employait pas à la nier et à la cacher sous le tapis. Je me demande ce qui se passera pour le survivant si l’un des deux meurt et pas l’autre.


Je rebondis sur ce que souligne Hermès, cette horreur de la maladie qui se réjouit face à l'impuissance des enfants innocents et de ceux qui les aiment. Et, comme La Lionne, je me demande si ces rêves qui, pour nous, évoquent le futur d'Oscar et André sont bon signe ou non.
Tu as l'art de nous maintenir en haleine, Sudena.

Je viens de commencer ta fic
Très bon début. Donc nos 2 amis sont enfants et l'évènement de la mort de cette petite fille laisse affluer des questions à l'esprit d'Oscar. Des questions troublantes surtout pour des enfants de cet âge.

Jour 2

Effectivement, ce genre de question travaille l'esprit. Mais ce qui me trouble le plus est la pensée d'Oscar : André ne serait plus là pour MOI. Les gens nobles ont l'habitude d'avoir, de garder selon leur bon vouloir. Mais la mort ne se commande pas. Qui peut la contrôler ?

D'autre part, elle reconnait le coeur droit et la générosité d'André, toujours discret et perspicace.

Je ne crois pas que Grand-mère puisse être en colère face à son geste fait avec bonté. Mais bon, les louches en décident peut-être autrement.

Jour 3

Par l'intermède de ce décès, ils deviennent frères de sang et cela sans hésitation.
Mais les propos de GM sont troublants effectivement.

Jour 4

Eh ben, les louches ont parlé quand même !
Excellent stratagème pour protéger son amie.

Rêve prémonitoire pour Oscar pour une nuit d'amour future qui sera unique avant la mort de son ami-amour ?

Jour 5

Bon alors, je dois t'avouer Sudena que j'ai cru qu'ils allaient mourir à cause des champignons (je n'y connais rien et l'avis d'un enfant de 10 ans... ).
Par contre, je n'arrive pas à me souvenir de cette tentative d'André mis à part le jour où il a tenté d'abuser d'elle.

André serait donc plus résistant qu'Oscar face à la maladie.
Mais, lui ayant dit qu'il ne lui survivrait pas, cela peut changer la donne pour la demoiselle...

Et cette garce de maladie qui se repait de leurs corps !

Jour 6

Quel est ce mal qui ronge André ? Car j'ai l'impression que ces lignes en italiques est un mal qui l'habite et qui attend son heure.
Mais effectivement, c'est bien la première fois que je vois André avec une perte d'appétit. Les jeunes enfants sont facilement troublés par des choses qu'ils ont parfois du mal à comprendre et à analyser.

Jour 7

Il n'y a rien qui vaille, là ! C'est même angoissant ! Quelle maladie André a-t-il attrapé ??
Il y a de quoi être inquiète surtout quand on sait qu'il est solide et qu'il ne se plaint jamais. J'espère seulement que le fait de ne pas avoir alerter un adulte ne va pas pénaliser André

Jour 8

Si même le médecin semble hésiter... où allons-nous ? Surtout avec cette inquiétude grandissante.
Et avec le temps qu'il faut pour trouver le médecin... :hyhrhrt:

Jour 9

La variole !
Et les voilà tous les deux atteints !
Et s'ils n'en meurent pas... ils seront défigurés à vie Il parait d'ailleurs si mes souvenirs sont bons que Mozart et un autre (je ne sais plus s'il s'agit de Chopin ou Beethoven -je les ai étudié en même temps ce qui explique mon cafouillage ) l'ont eu et en ont gardé des séquelles au visage.

Jour 10

Elle a raison, Oscar. On apprend aux enfants à ne pas mentir alors que les adultes ne s'en privent pas. Il parait que c'est différent. En tout cas, cela a remis GM à sa place et cela a pu permettre à Oscar de s'imposer.

Cependant, partager cette épreuve ensemble est une belle preuve d'amitié, soi dit en passant. Peu d epersonnes le ferait. Et on le voit dans chaque geste de l'un et de l'autre.

Jour 11

Excuse-moi mais j'ai souri quand Oscar a demandé à André comment elle était : et sa réponse "un parterre..." toujours aussi délicat même dans un moment pareil.

Cependant, le docteur Lassonne ne laisse pas d'espoir :698$$^2:
Et je crois bien que si l'un se sort de cette maladie, il mourra de chagrin et de remords. :698$$^2:

Ton histoire est magnifique, Sudena. Même si cela touche une maladie terrible, tu mets l'accent sur des questions importantes : l'amitié, la vie et la mort. Tout est lié. La mort fait partie de la vie et la vie fait partie de la mort. L'amitié et l'amour sont des sentiments éternels.