Cette variole est vraiment perverse, faire l'amour avec ses victimes.
Cette façon de la montrer est un coup tordue, mais qui vaut la peine de le lire.
Oscar est plus atteinte, quand à mourir, je penche plutôt que les deux vont s'en sortir, les rêves prémonitoires : André qui chevauche avec Oscar.
Oscar SEULE qui cherche son compagnon, me font penser à la fin du DA.

voilà j ai ratrappé mon retard

Alors comme ça ce 3 ème perso c est la variole. Jolie allégorie que tu nous fait là et je dois dire que je m attendais à bcp mais pas à une maladie, bien joué. En m^me tps elle repésente la mort je n'étais donc pas très loin de mon ressenti du départ..

ta description de la maladie est comment dire à ne pas lire après ou avant manger... en meme tps c est la variole beurk....

on sent l amitié et l'attachement très fort entre Oscar et André prêt à mourir ensemble ou à survivre ( bin t en qu'à faire)
et cette pauvre grand mère quise retrouve confronter à la perte éventuelle de ses petits.
je comprends qu elle ne veuille pas dire la vérité et qu elle veuille protéger Oscar. Si elle peut en sauver un sur les 2.
Mais c est trop tard, le "malin" a pris sa place "Alea jacta est"
seront ils assez fort pr s en sortir.
Leurs rêves est ce leur futur qu ils voient ou un futur qu ils ne connaitront pas.mais également leur combat face à cette maladie...

triste fée a écrit:

Il parait d'ailleurs si mes souvenirs sont bons que Mozart et un autre (je ne sais plus s'il s'agit de Chopin ou Beethoven -je les ai étudié en même temps ce qui explique mon cafouillage ) l'ont eu et en ont gardé des séquelles au visage.

Beethoven l'a eue effectivement, je ne pense pas Chopin... Mozart l'a eue très grave et il en est resté fragilisé. Les grêlés sont ceux qui ont survécu à la confluente (en ce cas une beauté est perdue à-jamais) ou à la maligne dans certains cas (plus on l'attrappe tard, plus, paradoxalement, on est exposé à en garder des séquelles extérieures), la discrète ne laisse généralement pas de traces... encore faut-il y survivre...

Un autre chap sera en ligne, mais je ne pense pas avant mercredi après-midi, scusez ...

Et au fait Amber Queen: la variole était surnommée la "mort rouge" (en opposition avec la "mort noire": la peste) ...

Jour 11

« Pendant l'amour j'ai particulièrement pris ses mains, son cou, son visage: pour qu'on nous voit ensemble, pour qu'elle nous voit ensemble et qu'elle sache qu'il est à moi, tout à moi! »
Cette variole qui pense comme une amoureuse passionnée et délirante me fait vraiment froid dans le dos.

Le beau rêve conjoint d’Oscar et d’André évoque à la fois les chevauchées sur la plage normande et la chevauchée de rêve que vit Oscar après la mort d’André.

« Oscar de son côté avait prétexté sa future expérience pour toucher son compagnon, pour le sentir vraiment... Car au fond d'elle elle sentait que c'étaient les derniers moments qu'ils partageaient sur cette terre.. »
Oh non ! Si Oscar part avec ces idées-là, elle est battue d’avance par la maladie. Les interactions entre l’immunité et le moral sont bien connues. J’espère qu’André va comprendre ce qui se passe et la secouer un peu.

« On s'en sortira Oscar! Tu entends?! On s'en sortira tous les deux! »
Voilà, ça c’est bien ! Bravo, André. Mais je n’aime pas cette espèce de résignation que garde Oscar. J’espère que la volonté d’André sera assez forte pour eux deux.

Il est étonnant comme, avec une simple maladie, sans les péripéties habituelles aux fictions, tu nous tiens en haleine. D’abord en nous dévoilant peu à peu ce qui menace les deux enfants ; ensuite en nous laissant dans l’expectative suivre le cours réel de la maladie, comme si nous étions vraiment à leur chevet.
Il faut dire que l’enjeu est tout de même, ni plus ni moins que la vie ou la mort de nos héros bien-aimés.

Un autre chap dispo (quatre _oui quatre!_ chansons me l'ont inspiré)!

au moins avec ta fic bien écrite je ne regarderais plus les maladies comme avant, c'est flippant d'imaginer un rampant qui se promene dans le corps des gens,vite un médoc,que je me soigne.

Maïlys a écrit:

Il est étonnant comme, avec une simple maladie, sans les péripéties habituelles aux fictions, tu nous tiens en haleine. D’abord en nous dévoilant peu à peu ce qui menace les deux enfants ; ensuite en nous laissant dans l’expectative suivre le cours réel de la maladie, comme si nous étions vraiment à leur chevet.

D'accord avec toi, Maïlys. Là se trouvent le tour de force et l'idée de génie! Sudena est en train de révolutionner ( ) l'écriture de la fanfiction. D'ailleurs, j'aimerais bien m'inspirer de ton idée pour rebondir dessus, Sudena...
Puis-je ou as-tu déjà déposé un copyright?
Quoiqu'en fait, il me semble que la manière dont je veux l'utiliser n'est pas nouvelle...

Hermès a écrit:

Puis-je ou as-tu déjà déposé un copyright?

J'en serais flatté Hermès ...

Aïe ! En ayant tué l'espoir chez André et en le faisant culpabiliser ( ce qu'il sait très bien faire ), grand-mère risque de lui ôter de l'énergie pour la dernière bataille.
Mais André est aussi plus fort qu'on ne le croie souvent...

Voici les illustrations musicales: elles sont _j'en conviens volontiers_ totalement cyniques :










Et plus "vraie":



Voilà: j'ai réussi à me faire un ennemi de tout le monde?..

Jour 12

Freud, au secours ! Les rêves d’Oscar et d’André sont cette fois bien étranges. Je pourrais leur trouver plusieurs significations contradictoires mais je ne suis pas sûre d’en avoir envie. Les chemins par lesquels tu nous mènes, Sudena, sont si tortueux... et pas toujours rassurants.

C’est une véritable horreur que le récit à deux voix de l’agonie et de la mort de Rosette. Ce ton soudain vulgaire, cette gloutonnerie, cet écho des symptômes de la fillette et des jouissances de la variole...
Et dire que c’est-ce monstre qui s’est emparé d’André et d’Oscar.
Je n’aurais jamais cru que tu parviendrais à me le rendre encore plus immonde.

« Il s'efforça de contenir la vague de désespoir qui le submergeait et détourna la tête pour qu'Oscar ne le voit pas pleurer. »
Et moi qui ait pensé pis que pendre de Grand-mère car elle ne leur avait pas dit la vérité. Mais cette vérité-là, celle de la mort de Rosette, n’était peut-être pas à dire si elle doit saper le moral d’André. Jusqu’à présent, c’était lui le maillon fort, celui qui résistait à la maladie et nous donnait un espoir qu’elle soit vaincue. S’il flanche...

Et un autre chap dispo, un!

personnifier la maladie de cette façon aussi "parlante" donne une dimension encore plus cruelle à leurs souffrances physiques aussi bien que psychiques (c'est bien vu Sudena )
Leur attachement mutuel est aussi pur et altruiste que leur amour le deviendra, surtout pour des enfants de cet âge !

Accepter de se défigurer pour faire vivre Oscar... L'abandon de soi pour l'autre. André est bien tel que je l'imagine, son bonheur passe par celui de son amie.

Ta maladie me fait penser au poème de Charles BAUDELAIRE, danse macabre, cette maladie matérialiser comme lui l'a fait avec la mort. La sienne danse, la tienne embrasse... mais je suis contente de découvrir que les enfants s'en sortiront... parce que cet univers sombre de la maladie que tu nous a extrêmement bien décrit ne finira pas son festin je l'espère.

Juste pour le plaisir de relir ce beau texte, je vous le joints

Danse macabre


Fière, autant qu'un vivant, de sa noble stature,
Avec son gros bouquet, son mouchoir et ses gants,
Elle a la nonchalance et la désinvolture
D'une coquette maigre aux airs extravagants.

Vit-on jamais au bal une taille plus mince ?
Sa robe exagérée, en sa royale ampleur,
S'écroule abondamment sur un pied sec que pince
Un soulier pomponné, joli comme une fleur.

La ruche qui se joue au bord des clavicules,
Comme un ruisseau lascif qui se frotte au rocher,
Défend pudiquement des lazzi ridicules
Les funèbres appas qu'elle tient à cacher.

Ses yeux profonds sont faits de vide et de ténèbres,
Et son crâne, de fleurs artistement coiffé,
Oscille mollement sur ses frêles vertèbres.
Ô charme d'un néant follement attifé.

Aucuns t'appelleront une caricature,
Qui ne comprennent pas, amants ivres de chair,
L'élégance sans nom de l'humaine armature.
Tu réponds, grand squelette, à mon goût le plus cher !

Viens-tu troubler, avec ta puissante grimace,
La fête de la Vie ? ou quelque vieux désir,
Éperonnant encor ta vivante carcasse,
Te pousse-t-il, crédule, au sabbat du Plaisir ?

Au chant des violons, aux flammes des bougies,
Espères-tu chasser ton cauchemar moqueur,
Et viens-tu demander au torrent des orgies
De rafraîchir l'enfer allumé dans ton coeur ?

Inépuisable puits de sottise et de fautes !
De l'antique douleur éternel alambic !
A travers le treillis recourbé de tes côtes
Je vois, errant encor, l'insatiable aspic.

Pour dire vrai, je crains que ta coquetterie
Ne trouve pas un prix digne de ses efforts ;
Qui, de ces coeurs mortels, entend la raillerie ?
Les charmes de l'horreur n'enivrent que les forts !

Le gouffre de tes yeux, plein d'horribles pensées,
Exhale le vertige, et les danseurs prudents
Ne contempleront pas sans d'amères nausées
Le sourire éternel de tes trente-deux dents.

Pourtant, qui n'a serré dans ses bras un squelette,
Et qui ne s'est nourri des choses du tombeau ?
Qu'importe le parfum, l'habit ou la toilette ?
Qui fait le dégoûté montre qu'il se croit beau.

Bayadère sans nez, irrésistible gouge,
Dis donc à ces danseurs qui font les offusqués :
" Fiers mignons, malgré l'art des poudres et du rouge,
Vous sentez tous la mort ! Ô squelettes musqués,

Antinoüs flétris, dandys, à face glabre,
Cadavres vernissés, lovelaces chenus,
Le branle universel de la danse macabre
Vous entraîne en des lieux qui ne sont pas connus !

Des quais froids de la Seine aux bords brûlants du Gange,
Le troupeau mortel saute et se pâme, sans voir
Dans un trou du plafond la trompette de l'Ange
Sinistrement béante ainsi qu'un tromblon noir.

En tout climat, sous tout soleil, la Mort t'admire
En tes contorsions, risible Humanité,
Et souvent, comme toi, se parfumant de myrrhe,
Mêle son ironie à ton insanité ! "

Sudena a écrit:

Hermès a écrit:

Puis-je ou as-tu déjà déposé un copyright?

J'en serais flatté Hermès ...

Je te remercie de ta générosité, Sudena!

Jour 13

« Salopard! Après tout ce qu'on a vécu ensemble! »
Ah, l’infidélité des hommes !
Bravo à André qui a l’air d’avoir à peu près gagné la partie. Mais ne nous réjouissons pas trop tôt.

« Elle ne pourra pas me résister longtemps celle-là... Sauf si... Qu'est ce qui se passe encore?! »
Y aurait-il aussi un espoir pour Oscar ? Si André se reprend, peut-être.

André a faim : excellente nouvelle. Vite une pomme !

« il mordit à pleines dents et avec une visible délectation la pomme rouge et luisante qu'il tenait. »
Sudena, je vois que nous avons la même conception de ce qui convient à André.

André se bat pour Oscar, en devient même capable de se mettre en colère contre elle, de lui avouer qu’elle lui est indispensable. Ce passage est très émouvant. Finalement, si les deux enfants s’en sortent, ce sera grâce à la force de leur affection mutuelle.

« Puis André approcha sa main de son visage et d'un geste sec arrache les croûtes desséchées qui s'y trouvaient. »
Pourquoi André fait-il cela ? Si je rapproche de la varicelle, il va se retrouver défiguré à vie. En quoi ce geste fait-il avancer les choses ? En quoi contribue-t-il à leur victoire sur la maladie ? Je ne comprends pas.

La variole n'est pas la varicelle Maïlys ... Les grêlés le sont par les pustules: les cicatrices sont déja formées sous les croûtes (de toutes façons s'il a pu les arracher c'est qu'elles étaient déja moribondes ...): et l'acte de défiguration est aussi un moyen de prouver sa force face à la maladie. Un chap décisif sera écrit cette nuit ou demain, les explications viendront ultérieurement ...

Un autre chap disponible!

Voici pour vous mettre "l'eau à la bouche" :

Jour 14

« Je dois bien me rendre à l'évidence: il m'a vaincue. »


J’adore la manière dont la variole s’invective elle-même.
Mais, si j’ai bien compris, la bataille est gagnée pour André mais pas encore pour Oscar, d’autant que la maladie va jeter toutes ses ressources dans la bataille. Décidément, tu nous tiens en haleine jusqu’au bout.

« La seule solution pour la vaincre était de ne jamais se laisser surprendre et de la regarder toujours en face! »
Je sais bien que le moral est essentiel pour lutter contre la maladie, quelle qu’elle soit, mais si c’était toujours aussi simple, ce serait tout de même trop beau.

Très belle métaphore que ce double combat, physique et moral, que mènent les deux enfants. Et j’aime beaucoup l’alternance de la réalité d’Oscar et d’André avec les apartés de la maladie. Le rythme se précipite.

Voici un combat en tout cas qui aura scellé quelque chose de définitif entre Oscar et André. A mon avis, ils ne pourront plus se regarder l’un l’autre tout à fait comme avant.

La pomme de la victoire ! Cela fait plaisir.

Hum ! Victoire, c’est peut-être vite dit. J’ai comme l’impression que la variole, et Sudena avec elle, n’ont pas tout à fait dit leur dernier mot. Je me trompe ?

Ils ont gagné !

Le rêve d'André était donc prémonitoire. Plus encore, c'était la clef de la victoire pour permettre à Oscar de vaincre son monstre.

La maladie semble avoir perdu pied totalement chez André, mais paraisse "en sommeil" chez Oscar. Ce qui laisse planer un doute pour les lecteurs...

J'aime beaucoup la complicité entre les deux enfants. La maladie n'aura pas eu que des effets négatifs.

Maïlys a écrit:

Je sais bien que le moral est essentiel pour lutter contre la maladie, quelle qu’elle soit, mais si c’était toujours aussi simple, ce serait tout de même trop beau.

Je le sais Maïlys et je ne crois pas l'avoir omis lorsque j'ai évoqué la mort de la petite Rosette...
Seulement la variole est LA maladie par excellence qui dépend du psychisme: Louis XV y aurait probablement survécu malgré sa gravité mais il était alors en profonde dépression pour te citer un exemple. Et le meilleur remède qu'on y ait trouvé était précisément le remède mental (cette maladie provoque des délires ne l'oublions pas...); je pense d'ailleurs quon ne mettait sous morphine que dans les cas absolus à cause précisément de l'effet déprimant de la descente (j'en connais quelque-chose!..)...

Jour 12

la maladie sournoise et victorieuse !
Quand la réalité rattrape les derniers espoirs et annulent les meilleures volontés !

Jour 13

André se révolte et secoue Oscar pour qu'elle lutte ! Même s'ils sont jeunes, ils ont un caractère de battants qui peuvent les conduire à vaincre. mais à quel prix ! Il faut souvent une raison, un mobile pour atteindre ce qu'on croit ne pas réussir. Le moindre détail a son importance.

jour 14

Belle leçon d'amitié et de solidarité !
Et la maladie qui comprend qu'elle est vaincue !! Quelle belle idée tu as eu en personnifiant la maladie : ses monologues, ses observations, ses remarques, sa manière d'agir et son plan...

Voici le dernier chapitre de ma fic (désolé du retard...): il est possible _mais pas certain_ que je me serve de cette fic pour rebondir ultérieurement sur une autre... En tout cas voici l'illustration musicale:



Si vous avez des questions sur quoi que ce soit, des précisions, des remarques ou autres, je serais plus qu'heureux d'y répondre...

La variole a perdu, mais elle a l'air décidé à sévir ailleurs
Oscar qui s'avoue des sentiments bien avant qu'elle oublie plus tard, devant le regard d'un suédois.
j'ai trouvé pourquoi Fersen n'a pas répondu à ses sentiments, les marques sur son corps....... Ha, les hommes qui ne cherchent que des femmes parfaites.... GRRRRRRRRRRRRRRRRRR
J'ai pris beaucoup de plaisir à lire cette fic, deviner qui se cachait derrière cet amant , vivre avec lui, sentir son envie de tout détruire.

La fin tout en douceur et en tendresse pour les deux enfants.

En douleur aussi... Pour Oscar, car cela scelle son destin ( du moins à ses yeux ). Mais aussi pour André car, d'ores et déjà, il met son présent et son avenir au service de son amie, quoi qu'il lui en coûte. Pour la maladie également ( mais celle-là, on ne la plaindra pas ), qui se sent dépérir.

La variole a perdu deux proies de choix. Non seulement elle les a perdues, mais elle les a fortifiées, physiquement et mentalement.
Toutefois, ô surprise, elle semble avoir trouvé un nouvel hôte ( qui t'ouvre la porte à un possible rebondissement ) "qui lui rappelle de bons souvenirs". C'est cette familiarité qui m'inquiète un peu. Ne serait-elle pas sortie de Jarjayes ? Ou bien les bons souvenirs sont-ils ceux de la petite paysanne, qu'elle aima moins sensuellement bien sûr mais avec plus de succès ?

Merci pour cette fic hors du commun !

Ce fut une fic particulièrement intéressante et bien différente , dans le bon sens du terme.
Ces deux enfants victorieux de cette insidieuse maladie par la seule force de leur amour;
Les stigmates physiques qu'a laissé la variole ont-elles été un élément décisif dans la décision qu'Oscar prendra plus tard ?
La conclusion de la Voix nous laisse dans l'expectative et nous pose un nouveau mystère, des précisions Sudena , ou est-ce le prélude à de nouvelles péripéties pour ta prochaine fic ?

La voix finale n'est pas le prélude à une nouvelle fic, ou alors bien plus tard, car je ne vois pas dans l'immédiat ce que je pourrais trouver qui ne soit pas du réchauffé avec cette maladie... J'avoue que je pensais à une contagion d'un autre personnage que nous avons croisé (l'oncle de la petite Rosette?..) et au fait que la variole est un fléau récurrent jusqu'à l'invention du docteur Jenner (le fait que le première campagne de vaccination en France date de 1804 a inspiré certains "relents" à la fin de ma fic ...). Mais merci de m'ouvrir des pistes: elles pourront toujours revenir et ne sont jamais perdues !..

La maladie a été vaincue ! Et elle a renforcé les 2 amis contre l'adversité ainsi que leurs liens. Ils se sentent plus proches pour avoir vécu et partagé la même épreuve.
Il n'est pas étonnant qu'André regarde Oscar avec son coeur et pas seulement avec ses yeux. Mais s'en souviendra-t-elle plus tard quand elle rencontrera Fersen ??

Allez: voici en vrac un petit medley de toutes les mélodies qui m'ont inspirées lors de mon écriture (plus ou moins consciemment): vous aurez le droit ABSOLU de me jeter aux oubliettes après...

J'oubliais...





Et il en manque une BIEN PIRE (je ne l'ai pas trouvée)...

(désolé de vous faire ch... mais j'aime bien rire et la musique nous en donne souvent l'occasion: elle est le seul langage universel et à ce titre exalte tous nos sentiments _même les moins avouables_ souvent en beauté...)

Hors de question de te jeter aux oubliettes !