agnes!!!

Je suis d'accord avec cath en ce qui concerne ta créa sur Marie-Antoinette et Fersen. Elle est superbe dans sa composition. Le fait que les personnages soient tronqués symbolisent l'impossibilité de leur amour, avec néanmoins ce rais de lumière.
De plus, le fait que la créa soit si sombre renvoie au côté tragique de leur relation.

La Lionne pour ton commentaire!!

J'adore ton commentaire!!

DEDE a écrit:

trés chouette

DEDE a écrit:

S'il ne me tappait pas autant sur le système en ce moment, je dirai que je le trouve trés beau!

j'adore tes créas Dédé , chaque jour je les guette avec impatience

les filles pour vos commentaires!!

Les pommes, c'est bon, mais je pense que celle çi représente plus un symbole, celui qui reste sur la bréche, l'orphelin qui n'a jamais vraiment su où était sa place

En attendant, , ces trois créas sont

Oscar, la femme amoureuse qui se cache derrière la guerrière

Cath pour tes commentaires!!

Le départ aux Amériques, que de coeurs meurtri ce jour là

Fersen était'il vraiment aveugle aux sentiments d'Oscar ?
Heureusement que oui, sinon pauvre André

J'aime bien cet André, obséquieux et moqueur, derrière cette façade de valet obéissant, il montre un caractère plus affirmé, plus audacieux

Cath!!

cath a écrit:

J'aime bien cet André, obséquieux et moqueur, derrière cette façade de valet obéissant, il montre un caractère plus affirmé, plus audacieux

j'aime bien ce côté que nous montre André:derrière cette façade de valet obéissant,il apparait moqueur et ironique. Il n'est pas soumis à Oscar comme on pourrait le croire.

DEDE a écrit:

J'aime beaucoup cette Oscar qui semble se parler/se percevoir en étant dédoublée : comme si d'un côté de la rivière, on avait la femme, de l'autre "l'homme", et on a l'impression que les deux côtés se regardent et dialoguent.
Non, non, je n'ai rien pris (bon, puisque vous insister, juste quelques , mais vraiment à dose infime), quelle idée !

Arlène a écrit:

DEDE a écrit:

J'aime beaucoup cette Oscar qui semble se parler/se percevoir en étant dédoublée : comme si d'un côté de la rivière, on avait la femme, de l'autre "l'homme", et on a l'impression que les deux côtés se regardent et dialoguent.
Non, non, je n'ai rien pris (bon, puisque vous insister, juste quelques , mais vraiment à dose infime), quelle idée !

tout d'abord,merci pour tes commentaires Arlene.
comme toi,j'aime beaucoup cette créa,je ne sais pas,l'inspiration m'est venue comme ça......

tu es sûre de n'avoir rien pris!?Je plaisante,parfois il m'arrive également de prendre des et elles ont un effet sur moi plutôt

DEDE a écrit:

hihihi!!!!! par ici le fond d'écran

Rien qu'une fois, se sentir femme et oser rêver d'amour...

J'ai toujours trouvé l'expression d'Alain particulièrement impressionnante sur cette image. Et ta création met en valeur la tragédie qu'il est train de vivre...