Je vous présente à présent le troisième fic que j'ai écris. Ce devait être en 2000, vous y trouverez donc toutes les imperfections que je m'échine à éradiquer depuis. Il est centré sur Alain que j'ai toujours énormement apprécié. On le retrouve régulièrement dans mes fics, mais je ne parviens jamais à rendre sa gouaille, sa tendre insolence, c'est pourquoi je continue à le chercher.
Un jour je le trouverai et je serai satisfaite de la manière dont je l'écris.

En attendant, voici Alain ... Et la mort d'Oscar.

Hommage d'un homme à la découverte d'un amour tû, d'une noble honnis...
Sa vie n'avait plus d'importance, Alain était prêt à mourir pour venger son colonel, j'ai toujours pensé qu'il aurait aimé la rejoindre.

Quelles qu'ont été les pensées d'Alain ? Elles devaient être proches de la fic, j'ai l'impression de le voir, de le suivre dans sa fuite éperdue à venger son colonel.
Et de ressentir une peine identique...

Magnifique fic Silène
Que d'émotion en la lisant, j'en avais la gorge nouée.
On sent la douleur d'Alain pour l'être qui n'est plus, un colonel qui était à ses yeux le plus des officiers et une femme au coeur fragile mais le cachant derrière une froideur.
Une femme au caractère et à la personnalité exceptionnelles.
On sent sa colère, sa douleur, son chagrin.
On voit le chagrin d'Oscar à la perte d'André par les yeux d'Alain...
Et la rage prend le dessus pour la venger, pour venger la manière dont elle est morte, pour venger cet être intouchable.

Quel hymne d’amour du Garde-française à son colonel, de l’homme à la femme, d’Alain à Oscar !

Le style haché ponctue la bousculade des idées et des événements, l’évolution des opinions et des sentiments ; ponctue la course d’Alain à la tête de ses camarades vers la Bastille.
Les mots flamboient de sa rage, scintillent de son admiration, se colorent de sa tendresse.

Trois pages magnifiques pour crier un amour qui ne s’est jamais dit.

Moi qui ait un faible pour ce personnage, j’aimerais avoir écrit cette fiction, Silène.

Merci beaucoup à vous trois de l'aimer, ce vieux texte que je vous ai présenté. J'y vois un des défauts que j'ai du corriger (à m'en taper sur les doigts) à savoir la multiplication des points de suspension qui est récurrente dans mes premières fics. Mais peut être est ce que cela passe mieux, sur celui là

Maïlys, le compliment que tu me fais me touche, sincèrement. Toi dont l'écriture est si fine, qui m'a émue dans chacune de tes trois fics ? Toi qui dépeint les personnages de LO avec tant de finesse ? Je n'ai d'autre mot que Merci.
Je t'avoue que j'ai aussi un faible pour ce personnage, dont la gouaille m'a toujours semblé être une armure ....