Merci d'avance de votre lecture

Merci !! Et la dernière fois que tu as eu une idée suite à la lecture d'"au soir du duel...", ça a donné quelque chose de fort sympathique

bien parlé mon Colonel

Ayé ! Créa mise en début de post avant la fic Merci !!!

magnifique vision d  l:episode 30 de l.o
Oscar se rend-compte qu'elle l:aime,tres beau texte.

Merci Tigresse !

Citation :

Et il trouvait encore la force de murmurer, de parler d'elle. De lui parler à elle qui n'entendait rien. Qui ne voulait pas entendre. Qui n'avait jamais voulu entendre de toute façon.
Elle le regardait.

Ah ça... Mademoiselle sentiments atrophiés, sauf quand il s'agit de Fersen

Citation :

Pas de place pour le sentiment, pour le peut-être. Oui ou non. Blanc ou noir. Repos. Rompez. Et cette pensée binaire était définitivement plaisante, absolument reposante, exactement ce qu'il lui fallait. L'absence d'états d'âme. Précisément ce qu'elle était venue chercher dans ce régiment dont la rudesse n'était plus à démontrer, et qui confondait souvent force et brutalité.

C'est fort probable... Bien analysé !

Citation :

Foutaises. Qu'est-ce que le cœur venait faire là ? Bien sûr qu'elle souffrait de le voir ainsi. C'était son valet, son frère, son meilleur ami, son compagnon d'armes, celui qui l'avait accompagnée de sa présence pendant vingt ans.

Son soldat...

Oui... Son soldat personnel, depuis toujours...
Quelle tristesse dans cette fic

Citation :

Un autre verbe qui donnerait chair et corps à ce qu'elle ressentait vraiment. Une autre modulation de phrase, une grammaire nouvelle faite de douceur, de caresses, où les point(g)s étaient remplacés par des effleurements au tendre phrasé, où la virgule d'une main offerte remplaçait le point de l’estocade finale, où la rondeur des interrogations remplaçait la violence de l’exclamation, comme celles qu'elle criait à ses soldats et qu'elle se hurlait à elle-même pour s'empêcher de déchiffrer au fond de son être cette grammaire amoureuse....
Vraiment, fichue rhétorique...

Comme c'est joliment dit ! Je suis admirative !

Citation :

Comme elle s'en voulut alors de l'avoir laissé à son tourment pour ne s'occuper que de ses états d'âme !

Il est temps...

Et quelle tendresse dans la fin de ce texte qui vient confirmer la révélation qu'a eu Oscar. Décidément j'aime vraiment ton style !

je n'ai pas bcp de temps ce soir mais merci, vraiment merci ! Ca me touche et ce type de comm apporte une jolie touche à ma journée bien sombre ! Merci beaucoup !

Tant mieux si ça peut te lettre du baume au cœur !

Comme tu peux le remarquer je récupère mon retard sur les fics. ça aide d'avoir un cours de merde sur Linux, certains jouent sur leur pc, d'autres dorment, moi j'ai opté pour rattraper mon retard sur ce site.

Oscar se prend la réalité en pleine face et elle a du mal à l'accepter cherchant toutes les fausses excuses possibles pour reculer l'inévitable, elle aime André.

Ses larmes sont la plus belle preuve car depuis quand un colonel pleure pour les blessures d'un de ses soldats. Elle perd toute sa lucidité car si ça avait été un autre soldat, elle aurait cherché les coupables et les aurait puni mais là, c'est SON André.

La rhétorique semble avoir un joli rôle dans ta fic, enfin du point de vue d'Oscar.

J'ai adoré 

jarjayes80 a écrit:

Comme tu peux le remarquer je récupère mon retard sur les fics. ça aide d'avoir un cours de merde sur Linux, certains jouent sur leur pc, d'autres dorment, moi j'ai opté pour rattraper mon retard sur ce site.

tu es en cours là ? Faut oser (dit celle qui a appris à l'IUFM -maintenant c'est l'ESPE mais c'est pareil du point de vue du contenu j'ai l'impression- à corriger ses copies au fond de la salle pendant les élucubrations d'un formateur qui n'avait pas vu d’élèves depuis 20 ans

Citation :

Oscar se prend la réalité en pleine face et elle a du mal à l'accepter cherchant toutes les fausses excuses possibles pour reculer l'inévitable, elle aime André.

Oui hein, de toute façon ce ne serait pas Oscar si elle acceptait sereinement les choses. Dans le DA elle met un moment à piger que ce qu’elle ressent pour André n'est pas que de l'amitié, et plus encore à le lui avouer...Les barrières sont psychologiques, ataviques, sociales...

Citation :

Ses larmes sont la plus belle preuve car depuis quand un colonel pleure pour les blessures d'un de ses soldats. Elle perd toute sa lucidité car si ça avait été un autre soldat, elle aurait cherché les coupables et les aurait puni mais là, c'est SON André.

oui, c'ets exactement ça !

Citation :

La rhétorique semble avoir un joli rôle dans ta fic, enfin du point de vue d'Oscar.

Héhé, c'est mon côté prof de lettres, il faut bien que j'exploite ce que je connais

Citation :

J'ai adoré 

Merci beaucoup ! Et bonne(s) lecture(s) !

au moins tu t'occupes ! Mamma mia, mais c’est une cata ce truc ! De mon temps (ça fait Mamie de dire ça !! Mais c'était quand même en 1994  ) les intervenants les plus intéressants étaient ceux qui restaient sur poste et avaient une décharge de formation, mais au moins ils avaient vu des élèves, et pas 10 ans avant !

Je viens de relire ce texte que j’adore mais que je n’ai pas commenté parce que, jusque-là, je n'avais pas trouvé le lien sur les commentaires (sans commentaires justement...  )

J’aime cette douce progression du moment où elle le découvre sur le sol à celui où elle s’approche pour l’aider à se relever. Ce lien, ce sentiment sur lequel elle n’arrive pas à mettre un nom, ou surtout sur lequel elle se refuse à mettre un nom… Que ce moment où elle cherche, tâtonne, hésite est beau et bien rendu !

Je crois que mon passage préféré est celui-ci : « Une autre modulation de phrase, une grammaire nouvelle faite de douceur, de caresses, où  les point(g)s  étaient remplacés par des effleurements au tendre phrasé , où la virgule d’une main offerte remplaçait le point de l’estocade finale, où la rondeur des interrogations remplaçait la violence de l’exclamation, comme celle qu’elle criait à ses soldats et qu’elle se hurlait à elle-même pour s’empêcher de déchiffrer au fond de son être cette grammaire amoureuse … ».
La première fois que je l’ai lu, j’en suis restée bouche bée, et à chaque fois que je relis, le charme opère. Et je suis toujours en admiration.
Décidément, j’aime ta façon de traiter les intrigues courtes ou longues, et je suis à la fois amoureuse et admirative de ta plume 

rhooo merci beaucoup ! Ca me touche