Il était une fois, dans un pays endetté une
jeune fille blonde qui s'appelait Oscar et qui avait été élevée comme un
garçon. Son père, le Général de Jarjayes, était dur avec elle. Elle
n'avait qu'un ami qui s’appelait André Grandier. Ils étaient proches
et inséparables, dès leur enfance. André a été élevé par sa
Grand-mère qui était la nourrisse d'Oscar. Cette dernière la dernière fille des Jarjayes, aimait grand- mère et elle la considère membre de la famille.
Parfois, après avoir bu quelque verre avec André, grand -mère divaguait. Mais un jour elle dit à André qu’il ne devait plus regarder Oscar comme une future épouse ni même avouer ses sentiments envers elle car il ne fallait pas qu'André oublie qu'il n'était qu'un domestique, et elle fille de comte, et général par dessus le marché! André resta figé après ces paroles dures dites par sa grand-mère. Il n’a même pas géré ces mots. Il monta voir Oscar, qui était enfermée dans sa chambre toute la journée, et lui proposa d'aller faire une balade en forêt. Oscar était surprise par cette demande mais elle l’a bien caché mais elle accepta avec entrain.


_ Une balade en forêt ? Oui pourquoi pas. Ça sera une bonne idée. Allons y André.
_D'accord je vais prévenir Grand-mère, dit André.
Il commença à descendre les escaliers, mais il se ravisa, et décida de ne rien dire à Grand mère. André alla à l'écurie afin de préparer les deux chevaux en attendant qu’Oscar mette ses bottes. Il sella Appolline, le cheval de sa bien aimée, mais toujours il n’a pas pu chasser les paroles dures dites par sa grand-mère. Pourquoi lui avait elle dit cela? Cela se voyait tant qu'il l'aimait plus que sa vie? André secoua sa tête en arrière et ferma ses beaux yeux verts couleur émeraude.
Soudain, il entendit une voix cristalline qui le fit sortir de ses pensées amoureuses.
_ André !! André !! Tu rêves ou quoi ?
_Non non , je pensai juste a quelque chose. Rien d’important.
_Ah...une jolie fille peut-être? dit elle en riant.
André parla avec un voix triste
_ Oui, Oscar une belle fem… mais…
_Mais quoi André ... ?
_ Rien Oscar, rien alors et cette promenade dans la forêt on va le faire ?
_Oui ! répondit Oscar puis ils repartirent.
Oscar n’a pas voulu insister sur André ; elle n’a pas voulu l’intimider encore une fois.
Presque arriver à la forêt, André cria brusquement : OSCAR !!!
_ As- tu perdu la tête André. Vous allez effrayer les chevaux.
_Excuse moi...Mais, j'ai une question à te poser...
_Laquelle? dit elle en croisant les bras sur la poitrine.
André resta un peu silencieux. Il avait un peu peur, oui peur de perdre Oscar par cette simple question. Il n’a pas pu attendre puis il se retourna vers elle et lui dise :
_ Oscar ! Aimes-tu- Fersen ?
_Quoi???
_Oui, l'aimes tu toujours...demanda t il en levant les yeux vers elle.
_Quelle question André cela ne se pose pas ! et pour y répondre non .
_ Désolé Oscar je voulais tout simplement savoir
_Ca n'est rien mais pourquois cette question ?

André resta silencieux. Il n’a pas pu répondre à sa question. Il avait peur d’avouer ses sentiments envers elle. Oui envers la femme qui n’a pas cessé de l’aimer depuis toujours. Mais oscar a rompu ce silence.
_ Si tu ne veux pas me répondre tu peux me le dire.
_Oscar je ...je .... On est arrivé .
Oscar et Andre arrivèrent dans une petit auberge qu'ils connaissaient
Oscar jeta un regard à André, signifiant qu'elle n'avait pas dit son dernier mot, et ils entrèrent.

_Au fait André tout a l'heure tu n'avais pas fini ta phrase .
_ Oscar tu sais tu compte beaucoup pour moi. Je voulais te dire que je… je…
_ Quoi André?
_ Je ...
_ André!
Une jeune fille aux somptueux cheveux roux s'avança vers eux. Sa chevelure faisait penser à une queue de renarde, et ses yeux noirs, malicieux, étaient tout aussi déstabilisants que sont imposante mais envoûtante poitrine. Oscar se tourna vivement vers André:
_ Tu connais cette perronnelle? dit elle avec un ton cassant et glaciale.
_ Non, non je ne la connaît pas c’est la première fois que je le vois
_Pourtant, ELLE, elle semble très bien te connaitre, et oh!! André!!!!
Ce qu'elle avait sous les yeux l'avait tellement choqué, qu'elle en était pétrifiée, figée sur place...
_C'est .. c'est ma mére Oscar .

Il était une fois, dans un pays endetté une
jeune fille blonde qui s'appelait Oscar et qui avait été élevée comme un
garçon. Son père, le Général de Jarjayes, était dur avec elle. Elle
n'avait qu'un ami qui s’appelait André Grandier. Ils étaient proches
et inséparables, dès leur enfance. André a été élevé par sa
Grand-mère qui était la nourrisse d'Oscar. Cette dernière la dernière fille des Jarjayes, aimait grand- mère et elle la considère membre de la famille.
Parfois, après avoir bu quelque verre avec André, grand -mère divaguait. Mais un jour elle dit à André qu’il ne devait plus regarder Oscar comme une future épouse ni même avouer ses sentiments envers elle car il ne fallait pas qu'André oublie qu'il n'était qu'un domestique, et elle fille de comte, et général par dessus le marché! André resta figé après ces paroles dures dites par sa grand-mère. Il n’a même pas géré ces mots. Il monta voir Oscar, qui était enfermée dans sa chambre toute la journée, et lui proposa d'aller faire une balade en forêt. Oscar était surprise par cette demande mais elle l’a bien caché mais elle accepta avec entrain.


_ Une balade en forêt ? Oui pourquoi pas. Ça sera une bonne idée. Allons y André.
_D'accord je vais prévenir Grand-mère, dit André.
Il commença à descendre les escaliers, mais il se ravisa, et décida de ne rien dire à Grand mère. André alla à l'écurie afin de préparer les deux chevaux en attendant qu’Oscar mette ses bottes. Il sella Appolline, le cheval de sa bien aimée, mais toujours il n’a pas pu chasser les paroles dures dites par sa grand-mère. Pourquoi lui avait elle dit cela? Cela se voyait tant qu'il l'aimait plus que sa vie? André secoua sa tête en arrière et ferma ses beaux yeux verts couleur émeraude.
Soudain, il entendit une voix cristalline qui le fit sortir de ses pensées amoureuses.
_ André !! André !! Tu rêves ou quoi ?
_Non non , je pensai juste a quelque chose. Rien d’important.
_Ah...une jolie fille peut-être? dit elle en riant.
André parla avec un voix triste
_ Oui, Oscar une belle fem… mais…
_Mais quoi André ... ?
_ Rien Oscar, rien alors et cette promenade dans la forêt on va le faire ?
_Oui ! répondit Oscar puis ils repartirent.
Oscar n’a pas voulu insister sur André ; elle n’a pas voulu l’intimider encore une fois.
Presque arriver à la forêt, André cria brusquement : OSCAR !!!
_ As- tu perdu la tête André. Vous allez effrayer les chevaux.
_Excuse moi...Mais, j'ai une question à te poser...
_Laquelle? dit elle en croisant les bras sur la poitrine.
André resta un peu silencieux. Il avait un peu peur, oui peur de perdre Oscar par cette simple question. Il n’a pas pu attendre puis il se retourna vers elle et lui dise :
_ Oscar ! Aimes-tu- Fersen ?
_Quoi???
_Oui, l'aimes tu toujours...demanda t il en levant les yeux vers elle.
_Quelle question André cela ne se pose pas ! et pour y répondre non .
_ Désolé Oscar je voulais tout simplement savoir
_Ca n'est rien mais pourquois cette question ?

André resta silencieux. Il n’a pas pu répondre à sa question. Il avait peur d’avouer ses sentiments envers elle. Oui envers la femme qui n’a pas cessé de l’aimer depuis toujours. Mais oscar a rompu ce silence.
_ Si tu ne veux pas me répondre tu peux me le dire.
_Oscar je ...je .... On est arrivé .
Oscar et Andre arrivèrent dans une petit auberge qu'ils connaissaient
Oscar jeta un regard à André, signifiant qu'elle n'avait pas dit son dernier mot, et ils entrèrent.

_Au fait André tout a l'heure tu n'avais pas fini ta phrase .
_ Oscar tu sais tu compte beaucoup pour moi. Je voulais te dire que je… je…
_ Quoi André?
_ Je ...
_ André!
Une jeune fille aux somptueux cheveux roux s'avança vers eux. Sa chevelure faisait penser à une queue de renarde, et ses yeux noirs, malicieux, étaient tout aussi déstabilisants que sont imposante mais envoûtante poitrine. Oscar se tourna vivement vers André:
_ Tu connais cette perronnelle? dit elle avec un ton cassant et glaciale.
_ Non, non je ne la connaît pas c’est la première fois que je le vois
_Pourtant, ELLE, elle semble très bien te connaître, et oh!! André!!!!
Ce qu'elle avait sous les yeux l'avait tellement choqué, qu'elle en était pétrifiée, figée sur place...
_C'est … c'est ma mère Oscar.
Oscar resta immobile par ces mots là; elle n’a pas gérée ce qui se passe.

Il était une fois, dans un pays endetté une
jeune fille blonde qui s'appelait Oscar et qui avait été élevée comme un
garçon. Son père, le Général de Jarjayes, était dur avec elle. Elle
n'avait qu'un ami qui s’appelait André Grandier. Ils étaient proches
et inséparables, dès leur enfance. André a été élevé par sa
Grand-mère qui était la nourrisse d'Oscar. Cette dernière la dernière fille des Jarjayes, aimait grand- mère et elle la considère membre de la famille.
Parfois, après avoir bu quelque verre avec André, grand -mère divaguait. Mais un jour elle dit à André qu’il ne devait plus regarder Oscar comme une future épouse ni même avouer ses sentiments envers elle car il ne fallait pas qu'André oublie qu'il n'était qu'un domestique, et elle fille de comte, et général par dessus le marché! André resta figé après ces paroles dures dites par sa grand-mère. Il n’a même pas géré ces mots. Il monta voir Oscar, qui était enfermée dans sa chambre toute la journée, et lui proposa d'aller faire une balade en forêt. Oscar était surprise par cette demande mais elle l’a bien caché mais elle accepta avec entrain.


_ Une balade en forêt ? Oui pourquoi pas. Ça sera une bonne idée. Allons y André.
_D'accord je vais prévenir Grand-mère, dit André.
Il commença à descendre les escaliers, mais il se ravisa, et décida de ne rien dire à Grand mère. André alla à l'écurie afin de préparer les deux chevaux en attendant qu’Oscar mette ses bottes. Il sella Appolline, le cheval de sa bien aimée, mais toujours il n’a pas pu chasser les paroles dures dites par sa grand-mère. Pourquoi lui avait elle dit cela? Cela se voyait tant qu'il l'aimait plus que sa vie? André secoua sa tête en arrière et ferma ses beaux yeux verts couleur émeraude.
Soudain, il entendit une voix cristalline qui le fit sortir de ses pensées amoureuses.
_ André !! André !! Tu rêves ou quoi ?
_Non non , je pensai juste a quelque chose. Rien d’important.
_Ah...une jolie fille peut-être? dit elle en riant.
André parla avec un voix triste
_ Oui, Oscar une belle fem… mais…
_Mais quoi André ... ?
_ Rien Oscar, rien alors et cette promenade dans la forêt on va le faire ?
_Oui ! répondit Oscar puis ils repartirent.
Oscar n’a pas voulu insister sur André ; elle n’a pas voulu l’intimider encore une fois.
Presque arriver à la forêt, André cria brusquement : OSCAR !!!
_ As- tu perdu la tête André. Vous allez effrayer les chevaux.
_Excuse moi...Mais, j'ai une question à te poser...
_Laquelle? dit elle en croisant les bras sur la poitrine.
André resta un peu silencieux. Il avait un peu peur, oui peur de perdre Oscar par cette simple question. Il n’a pas pu attendre puis il se retourna vers elle et lui dise :
_ Oscar ! Aimes-tu- Fersen ?
_Quoi???
_Oui, l'aimes tu toujours...demanda t il en levant les yeux vers elle.
_Quelle question André cela ne se pose pas ! et pour y répondre non .
_ Désolé Oscar je voulais tout simplement savoir
_Ca n'est rien mais pourquois cette question ?

André resta silencieux. Il n’a pas pu répondre à sa question. Il avait peur d’avouer ses sentiments envers elle. Oui envers la femme qui n’a pas cessé de l’aimer depuis toujours. Mais oscar a rompu ce silence.
_ Si tu ne veux pas me répondre tu peux me le dire.
_Oscar je ...je .... On est arrivé .
Oscar et Andre arrivèrent dans une petit auberge qu'ils connaissaient
Oscar jeta un regard à André, signifiant qu'elle n'avait pas dit son dernier mot, et ils entrèrent.

_Au fait André tout a l'heure tu n'avais pas fini ta phrase .
_ Oscar tu sais tu compte beaucoup pour moi. Je voulais te dire que je… je…
_ Quoi André?
_ Je ...
_ André!
Une jeune fille aux somptueux cheveux roux s'avança vers eux. Sa chevelure faisait penser à une queue de renarde, et ses yeux noirs, malicieux, étaient tout aussi déstabilisants que sont imposante mais envoûtante poitrine. Oscar se tourna vivement vers André:
_ Tu connais cette perronnelle? dit elle avec un ton cassant et glaciale.
_ Non, non je ne la connaît pas c’est la première fois que je le vois
_Pourtant, ELLE, elle semble très bien te connaître, et oh!! André!!!!
Ce qu'elle avait sous les yeux l'avait tellement choqué, qu'elle en était pétrifiée, figée sur place...
_C'est … c'est ma mère Oscar.
Oscar resta immobile par ces mots là; elle n’a pas gérée ce qui se passe.
—Non...réussi à articuler Oscar. Impossible...
Et pourtant c'était vrai, la dame qui se tenait devant eux était bel et bien la mère d'André. Elle s'approcha de son fils, et lui fit la bise sur la joue. Elle semblait elle même extrèmement troublée, qu'elle ne trouva rien d'autre à dire que:
"C'est ta fiancé mon chéri?

Il était une fois, dans un pays endetté une
jeune fille blonde qui s'appelait Oscar et qui avait été élevée comme un
garçon. Son père, le Général de Jarjayes, était dur avec elle. Elle
n'avait qu'un ami qui s’appelait André Grandier. Ils étaient proches
et inséparables, dès leur enfance. André a été élevé par sa
Grand-mère qui était la nourrisse d'Oscar. Cette dernière la dernière fille des Jarjayes, aimait grand- mère et elle la considère membre de la famille.
Parfois, après avoir bu quelque verre avec André, grand -mère divaguait. Mais un jour elle dit à André qu’il ne devait plus regarder Oscar comme une future épouse ni même avouer ses sentiments envers elle car il ne fallait pas qu'André oublie qu'il n'était qu'un domestique, et elle fille de comte, et général par dessus le marché! André resta figé après ces paroles dures dites par sa grand-mère. Il n’a même pas géré ces mots. Il monta voir Oscar, qui était enfermée dans sa chambre toute la journée, et lui proposa d'aller faire une balade en forêt. Oscar était surprise par cette demande mais elle l’a bien caché mais elle accepta avec entrain.


_ Une balade en forêt ? Oui pourquoi pas. Ça sera une bonne idée. Allons y André.
_D'accord je vais prévenir Grand-mère, dit André.
Il commença à descendre les escaliers, mais il se ravisa, et décida de ne rien dire à Grand mère. André alla à l'écurie afin de préparer les deux chevaux en attendant qu’Oscar mette ses bottes. Il sella Appolline, le cheval de sa bien aimée, mais toujours il n’a pas pu chasser les paroles dures dites par sa grand-mère. Pourquoi lui avait elle dit cela? Cela se voyait tant qu'il l'aimait plus que sa vie? André secoua sa tête en arrière et ferma ses beaux yeux verts couleur émeraude.
Soudain, il entendit une voix cristalline qui le fit sortir de ses pensées amoureuses.
_ André !! André !! Tu rêves ou quoi ?
_Non non , je pensai juste a quelque chose. Rien d’important.
_Ah...une jolie fille peut-être? dit elle en riant.
André parla avec un voix triste
_ Oui, Oscar une belle fem… mais…
_Mais quoi André ... ?
_ Rien Oscar, rien alors et cette promenade dans la forêt on va le faire ?
_Oui ! répondit Oscar puis ils repartirent.
Oscar n’a pas voulu insister sur André ; elle n’a pas voulu l’intimider encore une fois.
Presque arriver à la forêt, André cria brusquement : OSCAR !!!
_ As- tu perdu la tête André. Vous allez effrayer les chevaux.
_Excuse moi...Mais, j'ai une question à te poser...
_Laquelle? dit elle en croisant les bras sur la poitrine.
André resta un peu silencieux. Il avait un peu peur, oui peur de perdre Oscar par cette simple question. Il n’a pas pu attendre puis il se retourna vers elle et lui dise :
_ Oscar ! Aimes-tu- Fersen ?
_Quoi???
_Oui, l'aimes tu toujours...demanda t il en levant les yeux vers elle.
_Quelle question André cela ne se pose pas ! et pour y répondre non .
_ Désolé Oscar je voulais tout simplement savoir
_Ca n'est rien mais pourquois cette question ?

André resta silencieux. Il n’a pas pu répondre à sa question. Il avait peur d’avouer ses sentiments envers elle. Oui envers la femme qui n’a pas cessé de l’aimer depuis toujours. Mais oscar a rompu ce silence.
_ Si tu ne veux pas me répondre tu peux me le dire.
_Oscar je ...je .... On est arrivé .
Oscar et Andre arrivèrent dans une petit auberge qu'ils connaissaient
Oscar jeta un regard à André, signifiant qu'elle n'avait pas dit son dernier mot, et ils entrèrent.

_Au fait André tout a l'heure tu n'avais pas fini ta phrase .
_ Oscar tu sais tu compte beaucoup pour moi. Je voulais te dire que je… je…
_ Quoi André?
_ Je ...
_ André!
Une jeune fille aux somptueux cheveux roux s'avança vers eux. Sa chevelure faisait penser à une queue de renarde, et ses yeux noirs, malicieux, étaient tout aussi déstabilisants que sont imposante mais envoûtante poitrine. Oscar se tourna vivement vers André:
_ Tu connais cette perronnelle? dit elle avec un ton cassant et glaciale.
_ Non, non je ne la connaît pas c’est la première fois que je le vois
_Pourtant, ELLE, elle semble très bien te connaître, et oh!! André!!!!
Ce qu'elle avait sous les yeux l'avait tellement choqué, qu'elle en était pétrifiée, figée sur place...
_C'est … c'est ma mère Oscar.
Oscar resta immobile par ces mots là; elle n’a pas gérée ce qui se passe.
—Non...réussi à articuler Oscar. Impossible...
Et pourtant c'était vrai, la dame qui se tenait devant eux était bel et bien la mère d'André. Elle s'approcha de son fils, et lui fit la bise sur la joue. Elle semblait elle même extrèmement troublée, qu'elle ne trouva rien d'autre à dire que:
"C'est ta fiancé mon chéri? vous faitez un trés beau couple en tous cas .
A ces paroles André et Oscar rougir et resta bouchebé ( je suis pa sur de l'orthographe :S )

Il était une fois, dans un pays endetté une
jeune fille blonde qui s'appelait Oscar et qui avait été élevée comme un
garçon. Son père, le Général de Jarjayes, était dur avec elle. Elle
n'avait qu'un ami qui s’appelait André Grandier. Ils étaient proches
et inséparables, dès leur enfance. André a été élevé par sa
Grand-mère qui était la nourrisse d'Oscar. Cette dernière la dernière fille des Jarjayes, aimait grand- mère et elle la considère membre de la famille.
Parfois, après avoir bu quelque verre avec André, grand -mère divaguait. Mais un jour elle dit à André qu’il ne devait plus regarder Oscar comme une future épouse ni même avouer ses sentiments envers elle car il ne fallait pas qu'André oublie qu'il n'était qu'un domestique, et elle fille de comte, et général par dessus le marché! André resta figé après ces paroles dures dites par sa grand-mère. Il n’a même pas géré ces mots. Il monta voir Oscar, qui était enfermée dans sa chambre toute la journée, et lui proposa d'aller faire une balade en forêt. Oscar était surprise par cette demande mais elle l’a bien caché mais elle accepta avec entrain.


_ Une balade en forêt ? Oui pourquoi pas. Ça sera une bonne idée. Allons y André.
_D'accord je vais prévenir Grand-mère, dit André.
Il commença à descendre les escaliers, mais il se ravisa, et décida de ne rien dire à Grand mère. André alla à l'écurie afin de préparer les deux chevaux en attendant qu’Oscar mette ses bottes. Il sella Appolline, le cheval de sa bien aimée, mais toujours il n’a pas pu chasser les paroles dures dites par sa grand-mère. Pourquoi lui avait elle dit cela? Cela se voyait tant qu'il l'aimait plus que sa vie? André secoua sa tête en arrière et ferma ses beaux yeux verts couleur émeraude.
Soudain, il entendit une voix cristalline qui le fit sortir de ses pensées amoureuses.
_ André !! André !! Tu rêves ou quoi ?
_Non non , je pensai juste a quelque chose. Rien d’important.
_Ah...une jolie fille peut-être? dit elle en riant.
André parla avec un voix triste
_ Oui, Oscar une belle fem… mais…
_Mais quoi André ... ?
_ Rien Oscar, rien alors et cette promenade dans la forêt on va le faire ?
_Oui ! répondit Oscar puis ils repartirent.
Oscar n’a pas voulu insister sur André ; elle n’a pas voulu l’intimider encore une fois.
Presque arriver à la forêt, André cria brusquement : OSCAR !!!
_ As- tu perdu la tête André. Vous allez effrayer les chevaux.
_Excuse moi...Mais, j'ai une question à te poser...
_Laquelle? dit elle en croisant les bras sur la poitrine.
André resta un peu silencieux. Il avait un peu peur, oui peur de perdre Oscar par cette simple question. Il n’a pas pu attendre puis il se retourna vers elle et lui dise :
_ Oscar ! Aimes-tu- Fersen ?
_Quoi???
_Oui, l'aimes tu toujours...demanda t il en levant les yeux vers elle.
_Quelle question André cela ne se pose pas ! et pour y répondre non .
_ Désolé Oscar je voulais tout simplement savoir
_Ca n'est rien mais pourquois cette question ?

André resta silencieux. Il n’a pas pu répondre à sa question. Il avait peur d’avouer ses sentiments envers elle. Oui envers la femme qui n’a pas cessé de l’aimer depuis toujours. Mais oscar a rompu ce silence.
_ Si tu ne veux pas me répondre tu peux me le dire.
_Oscar je ...je .... On est arrivé .
Oscar et Andre arrivèrent dans une petit auberge qu'ils connaissaient
Oscar jeta un regard à André, signifiant qu'elle n'avait pas dit son dernier mot, et ils entrèrent.

_Au fait André tout a l'heure tu n'avais pas fini ta phrase .
_ Oscar tu sais tu compte beaucoup pour moi. Je voulais te dire que je… je…
_ Quoi André?
_ Je ...
_ André!
Une jeune fille aux somptueux cheveux roux s'avança vers eux. Sa chevelure faisait penser à une queue de renarde, et ses yeux noirs, malicieux, étaient tout aussi déstabilisants que sont imposante mais envoûtante poitrine. Oscar se tourna vivement vers André:
_ Tu connais cette perronnelle? dit elle avec un ton cassant et glaciale.
_ Non, non je ne la connaît pas c’est la première fois que je le vois
_Pourtant, ELLE, elle semble très bien te connaître, et oh!! André!!!!
Ce qu'elle avait sous les yeux l'avait tellement choqué, qu'elle en était pétrifiée, figée sur place...
_C'est … c'est ma mère Oscar.
Oscar resta immobile par ces mots là; elle n’a pas gérée ce qui se passe.
—Non...réussi à articuler Oscar. Impossible...
Et pourtant c'était vrai, la dame qui se tenait devant eux était bel et bien la mère d'André. Elle s'approcha de son fils, et lui fit la bise sur la joue. Elle semblait elle même extrèmement troublée, qu'elle ne trouva rien d'autre à dire que:
"C'est ta fiancé mon chéri? vous faitez un trés beau couple en tous cas .
A ces paroles André et Oscar rougirent et restèrent bouches bés. André baissa les yeux vers le sol, imités de près par Oscar. Il venait de retrouver sa mère qu'il pensait morte, et alors qu'il était en train de croire au Seigneur, il fallait qu'elle les jette dans une situation de tout ce qu'il ya de plus embarassant. Soudain, il sursauta, et tourna les pupilles vers la droite. Oscar avait tendrement saisit sa main...

Il était une fois, dans un pays endetté une
jeune fille blonde qui s'appelait Oscar et qui avait été élevée comme un
garçon. Son père, le Général de Jarjayes, était dur avec elle. Elle
n'avait qu'un ami qui s’appelait André Grandier. Ils étaient proches
et inséparables, dès leur enfance. André a été élevé par sa
Grand-mère qui était la nourrisse d'Oscar. Cette dernière la dernière fille des Jarjayes, aimait grand- mère et elle la considère membre de la famille.
Parfois, après avoir bu quelque verre avec André, grand -mère divaguait. Mais un jour elle dit à André qu’il ne devait plus regarder Oscar comme une future épouse ni même avouer ses sentiments envers elle car il ne fallait pas qu'André oublie qu'il n'était qu'un domestique, et elle fille de comte, et général par dessus le marché! André resta figé après ces paroles dures dites par sa grand-mère. Il n’a même pas géré ces mots. Il monta voir Oscar, qui était enfermée dans sa chambre toute la journée, et lui proposa d'aller faire une balade en forêt. Oscar était surprise par cette demande mais elle l’a bien caché mais elle accepta avec entrain.


_ Une balade en forêt ? Oui pourquoi pas. Ça sera une bonne idée. Allons y André.
_D'accord je vais prévenir Grand-mère, dit André.
Il commença à descendre les escaliers, mais il se ravisa, et décida de ne rien dire à Grand mère. André alla à l'écurie afin de préparer les deux chevaux en attendant qu’Oscar mette ses bottes. Il sella Appolline, le cheval de sa bien aimée, mais toujours il n’a pas pu chasser les paroles dures dites par sa grand-mère. Pourquoi lui avait elle dit cela? Cela se voyait tant qu'il l'aimait plus que sa vie? André secoua sa tête en arrière et ferma ses beaux yeux verts couleur émeraude.
Soudain, il entendit une voix cristalline qui le fit sortir de ses pensées amoureuses.
_ André !! André !! Tu rêves ou quoi ?
_Non non , je pensai juste a quelque chose. Rien d’important.
_Ah...une jolie fille peut-être? dit elle en riant.
André parla avec un voix triste
_ Oui, Oscar une belle fem… mais…
_Mais quoi André ... ?
_ Rien Oscar, rien alors et cette promenade dans la forêt on va le faire ?
_Oui ! répondit Oscar puis ils repartirent.
Oscar n’a pas voulu insister sur André ; elle n’a pas voulu l’intimider encore une fois.
Presque arriver à la forêt, André cria brusquement : OSCAR !!!
_ As- tu perdu la tête André. Vous allez effrayer les chevaux.
_Excuse moi...Mais, j'ai une question à te poser...
_Laquelle? dit elle en croisant les bras sur la poitrine.
André resta un peu silencieux. Il avait un peu peur, oui peur de perdre Oscar par cette simple question. Il n’a pas pu attendre puis il se retourna vers elle et lui dise :
_ Oscar ! Aimes-tu- Fersen ?
_Quoi???
_Oui, l'aimes tu toujours...demanda t il en levant les yeux vers elle.
_Quelle question André cela ne se pose pas ! et pour y répondre non .
_ Désolé Oscar je voulais tout simplement savoir
_Ca n'est rien mais pourquois cette question ?

André resta silencieux. Il n’a pas pu répondre à sa question. Il avait peur d’avouer ses sentiments envers elle. Oui envers la femme qui n’a pas cessé de l’aimer depuis toujours. Mais oscar a rompu ce silence.
_ Si tu ne veux pas me répondre tu peux me le dire.
_Oscar je ...je .... On est arrivé .
Oscar et Andre arrivèrent dans une petit auberge qu'ils connaissaient
Oscar jeta un regard à André, signifiant qu'elle n'avait pas dit son dernier mot, et ils entrèrent.

_Au fait André tout a l'heure tu n'avais pas fini ta phrase .
_ Oscar tu sais tu compte beaucoup pour moi. Je voulais te dire que je… je…
_ Quoi André?
_ Je ...
_ André!
Une jeune fille aux somptueux cheveux roux s'avança vers eux. Sa chevelure faisait penser à une queue de renarde, et ses yeux noirs, malicieux, étaient tout aussi déstabilisants que sont imposante mais envoûtante poitrine. Oscar se tourna vivement vers André:
_ Tu connais cette perronnelle? dit elle avec un ton cassant et glaciale.
_ Non, non je ne la connaît pas c’est la première fois que je le vois
_Pourtant, ELLE, elle semble très bien te connaître, et oh!! André!!!!
Ce qu'elle avait sous les yeux l'avait tellement choqué, qu'elle en était pétrifiée, figée sur place...
_C'est … c'est ma mère Oscar.
Oscar resta immobile par ces mots là; elle n’a pas gérée ce qui se passe.
—Non...réussi à articuler Oscar. Impossible...
Et pourtant c'était vrai, la dame qui se tenait devant eux était bel et bien la mère d'André. Elle s'approcha de son fils, et lui fit la bise sur la joue. Elle semblait elle même extrèmement troublée, qu'elle ne trouva rien d'autre à dire que:
"C'est ta fiancé mon chéri? vous faitez un trés beau couple en tous cas .
A ces paroles André et Oscar rougirent et restèrent bouches bés. André baissa les yeux vers le sol, imités de près par Oscar. Il venait de retrouver sa mère qu'il pensait morte, et alors qu'il était en train de croire au Seigneur, il fallait qu'elle les jette dans une situation de tout ce qu'il ya de plus embarassant. Soudain, il sursauta, et tourna les pupilles vers la droite. Oscar avait tendrement saisit sa main... et réponda :
_Oui nous sommes fiancé depuis peut et nous allons nous marié

Il était une fois, dans un pays endetté une
jeune fille blonde qui s'appelait Oscar et qui avait été élevée comme un
garçon. Son père, le Général de Jarjayes, était dur avec elle. Elle
n'avait qu'un ami qui s’appelait André Grandier. Ils étaient proches
et inséparables, dès leur enfance. André a été élevé par sa
Grand-mère qui était la nourrisse d'Oscar. Cette dernière la dernière fille des Jarjayes, aimait grand- mère et elle la considère membre de la famille.
Parfois, après avoir bu quelque verre avec André, grand -mère divaguait. Mais un jour elle dit à André qu’il ne devait plus regarder Oscar comme une future épouse ni même avouer ses sentiments envers elle car il ne fallait pas qu'André oublie qu'il n'était qu'un domestique, et elle fille de comte, et général par dessus le marché! André resta figé après ces paroles dures dites par sa grand-mère. Il n’a même pas géré ces mots. Il monta voir Oscar, qui était enfermée dans sa chambre toute la journée, et lui proposa d'aller faire une balade en forêt. Oscar était surprise par cette demande mais elle l’a bien caché mais elle accepta avec entrain.


_ Une balade en forêt ? Oui pourquoi pas. Ça sera une bonne idée. Allons y André.
_D'accord je vais prévenir Grand-mère, dit André.
Il commença à descendre les escaliers, mais il se ravisa, et décida de ne rien dire à Grand mère. André alla à l'écurie afin de préparer les deux chevaux en attendant qu’Oscar mette ses bottes. Il sella Appolline, le cheval de sa bien aimée, mais toujours il n’a pas pu chasser les paroles dures dites par sa grand-mère. Pourquoi lui avait elle dit cela? Cela se voyait tant qu'il l'aimait plus que sa vie? André secoua sa tête en arrière et ferma ses beaux yeux verts couleur émeraude.
Soudain, il entendit une voix cristalline qui le fit sortir de ses pensées amoureuses.
_ André !! André !! Tu rêves ou quoi ?
_Non non , je pensai juste a quelque chose. Rien d’important.
_Ah...une jolie fille peut-être? dit elle en riant.
André parla avec un voix triste
_ Oui, Oscar une belle fem… mais…
_Mais quoi André ... ?
_ Rien Oscar, rien alors et cette promenade dans la forêt on va le faire ?
_Oui ! répondit Oscar puis ils repartirent.
Oscar n’a pas voulu insister sur André ; elle n’a pas voulu l’intimider encore une fois.
Presque arriver à la forêt, André cria brusquement : OSCAR !!!
_ As- tu perdu la tête André. Vous allez effrayer les chevaux.
_Excuse moi...Mais, j'ai une question à te poser...
_Laquelle? dit elle en croisant les bras sur la poitrine.
André resta un peu silencieux. Il avait un peu peur, oui peur de perdre Oscar par cette simple question. Il n’a pas pu attendre puis il se retourna vers elle et lui dise :
_ Oscar ! Aimes-tu- Fersen ?
_Quoi???
_Oui, l'aimes tu toujours...demanda t il en levant les yeux vers elle.
_Quelle question André cela ne se pose pas ! et pour y répondre non .
_ Désolé Oscar je voulais tout simplement savoir
_Ca n'est rien mais pourquois cette question ?

André resta silencieux. Il n’a pas pu répondre à sa question. Il avait peur d’avouer ses sentiments envers elle. Oui envers la femme qui n’a pas cessé de l’aimer depuis toujours. Mais oscar a rompu ce silence.
_ Si tu ne veux pas me répondre tu peux me le dire.
_Oscar je ...je .... On est arrivé .
Oscar et Andre arrivèrent dans une petit auberge qu'ils connaissaient
Oscar jeta un regard à André, signifiant qu'elle n'avait pas dit son dernier mot, et ils entrèrent.

_Au fait André tout a l'heure tu n'avais pas fini ta phrase .
_ Oscar tu sais tu compte beaucoup pour moi. Je voulais te dire que je… je…
_ Quoi André?
_ Je ...
_ André!
Une jeune fille aux somptueux cheveux roux s'avança vers eux. Sa chevelure faisait penser à une queue de renarde, et ses yeux noirs, malicieux, étaient tout aussi déstabilisants que sont imposante mais envoûtante poitrine. Oscar se tourna vivement vers André:
_ Tu connais cette perronnelle? dit elle avec un ton cassant et glaciale.
_ Non, non je ne la connaît pas c’est la première fois que je le vois
_Pourtant, ELLE, elle semble très bien te connaître, et oh!! André!!!!
Ce qu'elle avait sous les yeux l'avait tellement choqué, qu'elle en était pétrifiée, figée sur place...
_C'est … c'est ma mère Oscar.
Oscar resta immobile par ces mots là; elle n’a pas gérée ce qui se passe.
—Non...réussi à articuler Oscar. Impossible...
Et pourtant c'était vrai, la dame qui se tenait devant eux était bel et bien la mère d'André. Elle s'approcha de son fils, et lui fit la bise sur la joue. Elle semblait elle même extrèmement troublée, qu'elle ne trouva rien d'autre à dire que:
"C'est ta fiancé mon chéri? vous faitez un trés beau couple en tous cas .
A ces paroles André et Oscar rougirent et restèrent bouches bés. André baissa les yeux vers le sol, imités de près par Oscar. Il venait de retrouver sa mère qu'il pensait morte, et alors qu'il était en train de croire au Seigneur, il fallait qu'elle les jette dans une situation de tout ce qu'il ya de plus embarassant. Soudain, il sursauta, et tourna les pupilles vers la droite. Oscar avait tendrement saisit sa main... et répondit :
_Oui nous sommes fiancés depuis peu et nous allons nous marier.
_ Comment? s'écria André.
A ces mots, Oscar se jeta sur lui et l'embrassa à pleine bouche. Puis, elle lui chuchota au creu de l'oreille:
"Ecoute André. Cette folle croit etre ta mère, il faut suivre son jeu si nous ne voulons pas avoir d'ennuis. André, tu m'écoutes?"

Il était une fois, dans un pays endetté une
jeune fille blonde qui s'appelait Oscar et qui avait été élevée comme un
garçon. Son père, le Général de Jarjayes, était dur avec elle. Elle
n'avait qu'un ami qui s’appelait André Grandier. Ils étaient proches
et inséparables, dès leur enfance. André a été élevé par sa
Grand-mère qui était la nourrisse d'Oscar. Cette dernière la dernière fille des Jarjayes, aimait grand- mère et elle la considère membre de la famille.
Parfois, après avoir bu quelque verre avec André, grand -mère divaguait. Mais un jour elle dit à André qu’il ne devait plus regarder Oscar comme une future épouse ni même avouer ses sentiments envers elle car il ne fallait pas qu'André oublie qu'il n'était qu'un domestique, et elle fille de comte, et général par dessus le marché! André resta figé après ces paroles dures dites par sa grand-mère. Il n’a même pas géré ces mots. Il monta voir Oscar, qui était enfermée dans sa chambre toute la journée, et lui proposa d'aller faire une balade en forêt. Oscar était surprise par cette demande mais elle l’a bien caché mais elle accepta avec entrain.


_ Une balade en forêt ? Oui pourquoi pas. Ça sera une bonne idée. Allons y André.
_D'accord je vais prévenir Grand-mère, dit André.
Il commença à descendre les escaliers, mais il se ravisa, et décida de ne rien dire à Grand mère. André alla à l'écurie afin de préparer les deux chevaux en attendant qu’Oscar mette ses bottes. Il sella Appolline, le cheval de sa bien aimée, mais toujours il n’a pas pu chasser les paroles dures dites par sa grand-mère. Pourquoi lui avait elle dit cela? Cela se voyait tant qu'il l'aimait plus que sa vie? André secoua sa tête en arrière et ferma ses beaux yeux verts couleur émeraude.
Soudain, il entendit une voix cristalline qui le fit sortir de ses pensées amoureuses.
_ André !! André !! Tu rêves ou quoi ?
_Non non , je pensai juste a quelque chose. Rien d’important.
_Ah...une jolie fille peut-être? dit elle en riant.
André parla avec un voix triste
_ Oui, Oscar une belle fem… mais…
_Mais quoi André ... ?
_ Rien Oscar, rien alors et cette promenade dans la forêt on va le faire ?
_Oui ! répondit Oscar puis ils repartirent.
Oscar n’a pas voulu insister sur André ; elle n’a pas voulu l’intimider encore une fois.
Presque arriver à la forêt, André cria brusquement : OSCAR !!!
_ As- tu perdu la tête André. Vous allez effrayer les chevaux.
_Excuse moi...Mais, j'ai une question à te poser...
_Laquelle? dit elle en croisant les bras sur la poitrine.
André resta un peu silencieux. Il avait un peu peur, oui peur de perdre Oscar par cette simple question. Il n’a pas pu attendre puis il se retourna vers elle et lui dise :
_ Oscar ! Aimes-tu- Fersen ?
_Quoi???
_Oui, l'aimes tu toujours...demanda t il en levant les yeux vers elle.
_Quelle question André cela ne se pose pas ! et pour y répondre non .
_ Désolé Oscar je voulais tout simplement savoir
_Ca n'est rien mais pourquois cette question ?

André resta silencieux. Il n’a pas pu répondre à sa question. Il avait peur d’avouer ses sentiments envers elle. Oui envers la femme qui n’a pas cessé de l’aimer depuis toujours. Mais oscar a rompu ce silence.
_ Si tu ne veux pas me répondre tu peux me le dire.
_Oscar je ...je .... On est arrivé .
Oscar et Andre arrivèrent dans une petit auberge qu'ils connaissaient
Oscar jeta un regard à André, signifiant qu'elle n'avait pas dit son dernier mot, et ils entrèrent.

_Au fait André tout a l'heure tu n'avais pas fini ta phrase .
_ Oscar tu sais tu compte beaucoup pour moi. Je voulais te dire que je… je…
_ Quoi André?
_ Je ...
_ André!
Une jeune fille aux somptueux cheveux roux s'avança vers eux. Sa chevelure faisait penser à une queue de renarde, et ses yeux noirs, malicieux, étaient tout aussi déstabilisants que sont imposante mais envoûtante poitrine. Oscar se tourna vivement vers André:
_ Tu connais cette perronnelle? dit elle avec un ton cassant et glaciale.
_ Non, non je ne la connaît pas c’est la première fois que je le vois
_Pourtant, ELLE, elle semble très bien te connaître, et oh!! André!!!!
Ce qu'elle avait sous les yeux l'avait tellement choqué, qu'elle en était pétrifiée, figée sur place...
_C'est … c'est ma mère Oscar.
Oscar resta immobile par ces mots là; elle n’a pas gérée ce qui se passe.
—Non...réussi à articuler Oscar. Impossible...
Et pourtant c'était vrai, la dame qui se tenait devant eux était bel et bien la mère d'André. Elle s'approcha de son fils, et lui fit la bise sur la joue. Elle semblait elle même extrêmement troublée, qu'elle ne trouva rien d'autre à dire que:
"C'est ta fiancé mon chéri? vous fêtez un très beau couple en tous cas .
A ces paroles André et Oscar rougirent et restèrent bouches bés. André baissa les yeux vers le sol, imités de près par Oscar. Il venait de retrouver sa mère qu'il pensait morte, et alors qu'il était en train de croire au Seigneur, il fallait qu'elle les jette dans une situation de tout ce qu'il ya de plus embarrassant. Soudain, il sursauta, et tourna les pupilles vers la droite. Oscar avait tendrement saisit sa main... et réponde :
_Oui nous sommes fiancé depuis peut et nous allons nous marié.
André n’a pas dit un mot. Il était surpris par cette réponse. Lui qui attendait des années pour avouer son amour à Oscar et voilà il entend pour la première fois qu’oscar est sa fiancée. Il est toujours perturbé. Il parla à lui-même est ce que je rêve ? Où c’est la vérité. Il tourna vers Oscar pour chercher une réponse à ces questions.

Il était une fois, dans un pays endetté une
jeune fille blonde qui s'appelait Oscar et qui avait été élevée comme un
garçon. Son père, le Général de Jarjayes, était dur avec elle. Elle
n'avait qu'un ami qui s’appelait André Grandier. Ils étaient proches
et inséparables, dès leur enfance. André a été élevé par sa
Grand-mère qui était la nourrisse d'Oscar. Cette dernière la dernière fille des Jarjayes, aimait grand- mère et elle la considère membre de la famille.
Parfois, après avoir bu quelque verre avec André, grand -mère divaguait. Mais un jour elle dit à André qu’il ne devait plus regarder Oscar comme une future épouse ni même avouer ses sentiments envers elle car il ne fallait pas qu'André oublie qu'il n'était qu'un domestique, et elle fille de comte, et général par dessus le marché! André resta figé après ces paroles dures dites par sa grand-mère. Il n’a même pas géré ces mots. Il monta voir Oscar, qui était enfermée dans sa chambre toute la journée, et lui proposa d'aller faire une balade en forêt. Oscar était surprise par cette demande mais elle l’a bien caché mais elle accepta avec entrain.


_ Une balade en forêt ? Oui pourquoi pas. Ça sera une bonne idée. Allons y André.
_D'accord je vais prévenir Grand-mère, dit André.
Il commença à descendre les escaliers, mais il se ravisa, et décida de ne rien dire à Grand mère. André alla à l'écurie afin de préparer les deux chevaux en attendant qu’Oscar mette ses bottes. Il sella Appolline, le cheval de sa bien aimée, mais toujours il n’a pas pu chasser les paroles dures dites par sa grand-mère. Pourquoi lui avait elle dit cela? Cela se voyait tant qu'il l'aimait plus que sa vie? André secoua sa tête en arrière et ferma ses beaux yeux verts couleur émeraude.
Soudain, il entendit une voix cristalline qui le fit sortir de ses pensées amoureuses.
_ André !! André !! Tu rêves ou quoi ?
_Non non , je pensai juste a quelque chose. Rien d’important.
_Ah...une jolie fille peut-être? dit elle en riant.
André parla avec un voix triste
_ Oui, Oscar une belle fem… mais…
_Mais quoi André ... ?
_ Rien Oscar, rien alors et cette promenade dans la forêt on va le faire ?
_Oui ! répondit Oscar puis ils repartirent.
Oscar n’a pas voulu insister sur André ; elle n’a pas voulu l’intimider encore une fois.
Presque arriver à la forêt, André cria brusquement : OSCAR !!!
_ As- tu perdu la tête André. Vous allez effrayer les chevaux.
_Excuse moi...Mais, j'ai une question à te poser...
_Laquelle? dit elle en croisant les bras sur la poitrine.
André resta un peu silencieux. Il avait un peu peur, oui peur de perdre Oscar par cette simple question. Il n’a pas pu attendre puis il se retourna vers elle et lui dise :
_ Oscar ! Aimes-tu- Fersen ?
_Quoi???
_Oui, l'aimes tu toujours...demanda t il en levant les yeux vers elle.
_Quelle question André cela ne se pose pas ! et pour y répondre non .
_ Désolé Oscar je voulais tout simplement savoir
_Ca n'est rien mais pourquois cette question ?

André resta silencieux. Il n’a pas pu répondre à sa question. Il avait peur d’avouer ses sentiments envers elle. Oui envers la femme qui n’a pas cessé de l’aimer depuis toujours. Mais oscar a rompu ce silence.
_ Si tu ne veux pas me répondre tu peux me le dire.
_Oscar je ...je .... On est arrivé .
Oscar et Andre arrivèrent dans une petit auberge qu'ils connaissaient
Oscar jeta un regard à André, signifiant qu'elle n'avait pas dit son dernier mot, et ils entrèrent.

_Au fait André tout a l'heure tu n'avais pas fini ta phrase .
_ Oscar tu sais tu compte beaucoup pour moi. Je voulais te dire que je… je…
_ Quoi André?
_ Je ...
_ André!
Une jeune fille aux somptueux cheveux roux s'avança vers eux. Sa chevelure faisait penser à une queue de renarde, et ses yeux noirs, malicieux, étaient tout aussi déstabilisants que sont imposante mais envoûtante poitrine. Oscar se tourna vivement vers André:
_ Tu connais cette perronnelle? dit elle avec un ton cassant et glaciale.
_ Non, non je ne la connaît pas c’est la première fois que je le vois
_Pourtant, ELLE, elle semble très bien te connaître, et oh!! André!!!!
Ce qu'elle avait sous les yeux l'avait tellement choqué, qu'elle en était pétrifiée, figée sur place...
_C'est … c'est ma mère Oscar.
Oscar resta immobile par ces mots là; elle n’a pas gérée ce qui se passe.
—Non...réussi à articuler Oscar. Impossible...
Et pourtant c'était vrai, la dame qui se tenait devant eux était bel et bien la mère d'André. Elle s'approcha de son fils, et lui fit la bise sur la joue. Elle semblait elle même extrêmement troublée, qu'elle ne trouva rien d'autre à dire que:
"C'est ta fiancé mon chéri? vous fêtez un très beau couple en tous cas .
A ces paroles André et Oscar rougirent et restèrent bouches bés. André baissa les yeux vers le sol, imités de près par Oscar. Il venait de retrouver sa mère qu'il pensait morte, et alors qu'il était en train de croire au Seigneur, il fallait qu'elle les jette dans une situation de tout ce qu'il ya de plus embarrassant. Soudain, il sursauta, et tourna les pupilles vers la droite. Oscar avait tendrement saisit sa main... et réponde :
_Oui nous sommes fiancé depuis peut et nous allons nous marié.
André n’a pas dit un mot. Il était surpris par cette réponse. Lui qui attendait des années pour avouer son amour à Oscar et voilà il entend pour la première fois qu’oscar est sa fiancée. Il est toujours perturbé. Il parla à lui-même est ce que je rêve ? Où c’est la vérité. Il tourna vers Oscar pour chercher une réponse à ces questions.
Oscar regarda André avec de grand yeux qui brillait et la André comprit q'Oscar aussi l'aimait

l était une fois, dans un pays endetté une
jeune fille blonde qui s'appelait Oscar et qui avait été élevée comme un
garçon. Son père, le Général de Jarjayes, était dur avec elle. Elle
n'avait qu'un ami qui s’appelait André Grandier. Ils étaient proches
et inséparables, dès leur enfance. André a été élevé par sa
Grand-mère qui était la nourrisse d'Oscar. Cette dernière la dernière fille des Jarjayes, aimait grand- mère et elle la considère membre de la famille.
Parfois, après avoir bu quelque verre avec André, grand -mère divaguait. Mais un jour elle dit à André qu’il ne devait plus regarder Oscar comme une future épouse ni même avouer ses sentiments envers elle car il ne fallait pas qu'André oublie qu'il n'était qu'un domestique, et elle fille de comte, et général par dessus le marché! André resta figé après ces paroles dures dites par sa grand-mère. Il n’a même pas géré ces mots. Il monta voir Oscar, qui était enfermée dans sa chambre toute la journée, et lui proposa d'aller faire une balade en forêt. Oscar était surprise par cette demande mais elle l’a bien caché mais elle accepta avec entrain.


_ Une balade en forêt ? Oui pourquoi pas. Ça sera une bonne idée. Allons y André.
_D'accord je vais prévenir Grand-mère, dit André.
Il commença à descendre les escaliers, mais il se ravisa, et décida de ne rien dire à Grand mère. André alla à l'écurie afin de préparer les deux chevaux en attendant qu’Oscar mette ses bottes. Il sella Appolline, le cheval de sa bien aimée, mais toujours il n’a pas pu chasser les paroles dures dites par sa grand-mère. Pourquoi lui avait elle dit cela? Cela se voyait tant qu'il l'aimait plus que sa vie? André secoua sa tête en arrière et ferma ses beaux yeux verts couleur émeraude.
Soudain, il entendit une voix cristalline qui le fit sortir de ses pensées amoureuses.
_ André !! André !! Tu rêves ou quoi ?
_Non non , je pensai juste a quelque chose. Rien d’important.
_Ah...une jolie fille peut-être? dit elle en riant.
André parla avec un voix triste
_ Oui, Oscar une belle fem… mais…
_Mais quoi André ... ?
_ Rien Oscar, rien alors et cette promenade dans la forêt on va le faire ?
_Oui ! répondit Oscar puis ils repartirent.
Oscar n’a pas voulu insister sur André ; elle n’a pas voulu l’intimider encore une fois.
Presque arriver à la forêt, André cria brusquement : OSCAR !!!
_ As- tu perdu la tête André. Vous allez effrayer les chevaux.
_Excuse moi...Mais, j'ai une question à te poser...
_Laquelle? dit elle en croisant les bras sur la poitrine.
André resta un peu silencieux. Il avait un peu peur, oui peur de perdre Oscar par cette simple question. Il n’a pas pu attendre puis il se retourna vers elle et lui dise :
_ Oscar ! Aimes-tu- Fersen ?
_Quoi???
_Oui, l'aimes tu toujours...demanda t il en levant les yeux vers elle.
_Quelle question André cela ne se pose pas ! et pour y répondre non .
_ Désolé Oscar je voulais tout simplement savoir
_Ca n'est rien mais pourquois cette question ?

André resta silencieux. Il n’a pas pu répondre à sa question. Il avait peur d’avouer ses sentiments envers elle. Oui envers la femme qui n’a pas cessé de l’aimer depuis toujours. Mais oscar a rompu ce silence.
_ Si tu ne veux pas me répondre tu peux me le dire.
_Oscar je ...je .... On est arrivé .
Oscar et Andre arrivèrent dans une petit auberge qu'ils connaissaient
Oscar jeta un regard à André, signifiant qu'elle n'avait pas dit son dernier mot, et ils entrèrent.

_Au fait André tout a l'heure tu n'avais pas fini ta phrase .
_ Oscar tu sais tu compte beaucoup pour moi. Je voulais te dire que je… je…
_ Quoi André?
_ Je ...
_ André!
Une jeune fille aux somptueux cheveux roux s'avança vers eux. Sa chevelure faisait penser à une queue de renarde, et ses yeux noirs, malicieux, étaient tout aussi déstabilisants que sont imposante mais envoûtante poitrine. Oscar se tourna vivement vers André:
_ Tu connais cette perronnelle? dit elle avec un ton cassant et glaciale.
_ Non, non je ne la connaît pas c’est la première fois que je le vois
_Pourtant, ELLE, elle semble très bien te connaître, et oh!! André!!!!
Ce qu'elle avait sous les yeux l'avait tellement choqué, qu'elle en était pétrifiée, figée sur place...
_C'est … c'est ma mère Oscar.
Oscar resta immobile par ces mots là; elle n’a pas gérée ce qui se passe.
—Non...réussi à articuler Oscar. Impossible...
Et pourtant c'était vrai, la dame qui se tenait devant eux était bel et bien la mère d'André. Elle s'approcha de son fils, et lui fit la bise sur la joue. Elle semblait elle même extrêmement troublée, qu'elle ne trouva rien d'autre à dire que:
"C'est ta fiancé mon chéri? vous fêtez un très beau couple en tous cas .
A ces paroles André et Oscar rougirent et restèrent bouches bés. André baissa les yeux vers le sol, imités de près par Oscar. Il venait de retrouver sa mère qu'il pensait morte, et alors qu'il était en train de croire au Seigneur, il fallait qu'elle les jette dans une situation de tout ce qu'il ya de plus embarrassant. Soudain, il sursauta, et tourna les pupilles vers la droite. Oscar avait tendrement saisit sa main... et réponde :
_Oui nous sommes fiancé depuis peut et nous allons nous marié.
André n’a pas dit un mot. Il était surpris par cette réponse. Lui qui attendait des années pour avouer son amour à Oscar et voilà il entend pour la première fois qu’oscar est sa fiancée. Il est toujours perturbé. Il parla à lui-même est ce que je rêve ? Où c’est la vérité. Il tourna vers Oscar pour chercher une réponse à ces questions.Oscar se jeta sur lui et l'embrassa à pleine bouche. Puis, elle lui chuchota au creu de l'oreille:
"Ecoute André. Cette folle croit etre ta mère, il faut suivre son jeu si nous ne voulons pas avoir d'ennuis. André, tu m'écoutes?"

hey ta oublie cette phrase "Oscar regarda André avec de grand yeux qui brillait et la André comprit qu'Oscar aussi l'aimait ."

( je t'ai mis ta phrase)

Il était une fois, dans un pays endetté une
jeune fille blonde qui s'appelait Oscar et qui avait été élevée comme un
garçon. Son père, le Général de Jarjayes, était dur avec elle. Elle
n'avait qu'un ami qui s’appelait André Grandier. Ils étaient proches
et inséparables, dès leur enfance. André a été élevé par sa
Grand-mère qui était la nourrisse d'Oscar. Cette dernière la dernière fille des Jarjayes, aimait grand- mère et elle la considère membre de la famille.
Parfois, après avoir bu quelque verre avec André, grand -mère divaguait. Mais un jour elle dit à André qu’il ne devait plus regarder Oscar comme une future épouse ni même avouer ses sentiments envers elle car il ne fallait pas qu'André oublie qu'il n'était qu'un domestique, et elle fille de comte, et général par dessus le marché! André resta figé après ces paroles dures dites par sa grand-mère. Il n’a même pas géré ces mots. Il monta voir Oscar, qui était enfermée dans sa chambre toute la journée, et lui proposa d'aller faire une balade en forêt. Oscar était surprise par cette demande mais elle l’a bien caché mais elle accepta avec entrain.


_ Une balade en forêt ? Oui pourquoi pas. Ça sera une bonne idée. Allons y André.
_D'accord je vais prévenir Grand-mère, dit André.
Il commença à descendre les escaliers, mais il se ravisa, et décida de ne rien dire à Grand mère. André alla à l'écurie afin de préparer les deux chevaux en attendant qu’Oscar mette ses bottes. Il sella Appolline, le cheval de sa bien aimée, mais toujours il n’a pas pu chasser les paroles dures dites par sa grand-mère. Pourquoi lui avait elle dit cela? Cela se voyait tant qu'il l'aimait plus que sa vie? André secoua sa tête en arrière et ferma ses beaux yeux verts couleur émeraude.
Soudain, il entendit une voix cristalline qui le fit sortir de ses pensées amoureuses.
_ André !! André !! Tu rêves ou quoi ?
_Non non , je pensai juste a quelque chose. Rien d’important.
_Ah...une jolie fille peut-être? dit elle en riant.
André parla avec un voix triste
_ Oui, Oscar une belle fem… mais…
_Mais quoi André ... ?
_ Rien Oscar, rien alors et cette promenade dans la forêt on va le faire ?
_Oui ! répondit Oscar puis ils repartirent.
Oscar n’a pas voulu insister sur André ; elle n’a pas voulu l’intimider encore une fois.
Presque arriver à la forêt, André cria brusquement : OSCAR !!!
_ As- tu perdu la tête André. Vous allez effrayer les chevaux.
_Excuse moi...Mais, j'ai une question à te poser...
_Laquelle? dit elle en croisant les bras sur la poitrine.
André resta un peu silencieux. Il avait un peu peur, oui peur de perdre Oscar par cette simple question. Il n’a pas pu attendre puis il se retourna vers elle et lui dise :
_ Oscar ! Aimes-tu- Fersen ?
_Quoi???
_Oui, l'aimes tu toujours...demanda t il en levant les yeux vers elle.
_Quelle question André cela ne se pose pas ! et pour y répondre non .
_ Désolé Oscar je voulais tout simplement savoir
_Ca n'est rien mais pourquois cette question ?

André resta silencieux. Il n’a pas pu répondre à sa question. Il avait peur d’avouer ses sentiments envers elle. Oui envers la femme qui n’a pas cessé de l’aimer depuis toujours. Mais oscar a rompu ce silence.
_ Si tu ne veux pas me répondre tu peux me le dire.
_Oscar je ...je .... On est arrivé .
Oscar et Andre arrivèrent dans une petit auberge qu'ils connaissaient
Oscar jeta un regard à André, signifiant qu'elle n'avait pas dit son dernier mot, et ils entrèrent.

_Au fait André tout a l'heure tu n'avais pas fini ta phrase .
_ Oscar tu sais tu compte beaucoup pour moi. Je voulais te dire que je… je…
_ Quoi André?
_ Je ...
_ André!
Une jeune fille aux somptueux cheveux roux s'avança vers eux. Sa chevelure faisait penser à une queue de renarde, et ses yeux noirs, malicieux, étaient tout aussi déstabilisants que sont imposante mais envoûtante poitrine. Oscar se tourna vivement vers André:
_ Tu connais cette perronnelle? dit elle avec un ton cassant et glaciale.
_ Non, non je ne la connaît pas c’est la première fois que je le vois
_Pourtant, ELLE, elle semble très bien te connaître, et oh!! André!!!!
Ce qu'elle avait sous les yeux l'avait tellement choqué, qu'elle en était pétrifiée, figée sur place...
_C'est … c'est ma mère Oscar.
Oscar resta immobile par ces mots là; elle n’a pas gérée ce qui se passe.
—Non...réussi à articuler Oscar. Impossible...
Et pourtant c'était vrai, la dame qui se tenait devant eux était bel et bien la mère d'André. Elle s'approcha de son fils, et lui fit la bise sur la joue. Elle semblait elle même extrêmement troublée, qu'elle ne trouva rien d'autre à dire que:
"C'est ta fiancé mon chéri? vous fêtez un très beau couple en tous cas .
A ces paroles André et Oscar rougirent et restèrent bouches bés. André baissa les yeux vers le sol, imités de près par Oscar. Il venait de retrouver sa mère qu'il pensait morte, et alors qu'il était en train de croire au Seigneur, il fallait qu'elle les jette dans une situation de tout ce qu'il ya de plus embarrassant. Soudain, il sursauta, et tourna les pupilles vers la droite. Oscar avait tendrement saisit sa main... et réponde :
_Oui nous sommes fiancé depuis peut et nous allons nous marié.
André n’a pas dit un mot. Il était surpris par cette réponse. Lui qui attendait des années pour avouer son amour à Oscar et voilà il entend pour la première fois qu’oscar est sa fiancée. Il est toujours perturbé. Il parla à lui-même est ce que je rêve ? Où c’est la vérité. Il tourna vers Oscar pour chercher une réponse à ces questions. Oscar regarda André avec de grand yeux qui brillait et la André comprit qu'elle aussi l'aimait Oscar se jeta sur lui et l'embrassa à pleine bouche. Puis, elle lui chuchota au creux de l'oreille:
"Ecoute André. Cette folle croit être ta mère, il faut suivre son jeu si nous ne voulons pas avoir d'ennuis. André, tu m'écoutes?"
Tout est passé ci vite, André ne sait pas quoi faire. Il resta figé par ce baiser inattendu.
_ Hei ! André tu m’écoutes.
_ Oui Oscar. Je t’ai entendu très bien.

(mirki ^_^)

Il était une fois, dans un pays endetté une
jeune fille blonde qui s'appelait Oscar et qui avait été élevée comme un
garçon. Son père, le Général de Jarjayes, était dur avec elle. Elle
n'avait qu'un ami qui s’appelait André Grandier. Ils étaient proches
et inséparables, dès leur enfance. André a été élevé par sa
Grand-mère qui était la nourrisse d'Oscar. Cette dernière la dernière fille des Jarjayes, aimait grand- mère et elle la considère membre de la famille.
Parfois, après avoir bu quelque verre avec André, grand -mère divaguait. Mais un jour elle dit à André qu’il ne devait plus regarder Oscar comme une future épouse ni même avouer ses sentiments envers elle car il ne fallait pas qu'André oublie qu'il n'était qu'un domestique, et elle fille de comte, et général par dessus le marché! André resta figé après ces paroles dures dites par sa grand-mère. Il n’a même pas géré ces mots. Il monta voir Oscar, qui était enfermée dans sa chambre toute la journée, et lui proposa d'aller faire une balade en forêt. Oscar était surprise par cette demande mais elle l’a bien caché mais elle accepta avec entrain.


_ Une balade en forêt ? Oui pourquoi pas. Ça sera une bonne idée. Allons y André.
_D'accord je vais prévenir Grand-mère, dit André.
Il commença à descendre les escaliers, mais il se ravisa, et décida de ne rien dire à Grand mère. André alla à l'écurie afin de préparer les deux chevaux en attendant qu’Oscar mette ses bottes. Il sella Appolline, le cheval de sa bien aimée, mais toujours il n’a pas pu chasser les paroles dures dites par sa grand-mère. Pourquoi lui avait elle dit cela? Cela se voyait tant qu'il l'aimait plus que sa vie? André secoua sa tête en arrière et ferma ses beaux yeux verts couleur émeraude.
Soudain, il entendit une voix cristalline qui le fit sortir de ses pensées amoureuses.
_ André !! André !! Tu rêves ou quoi ?
_Non non , je pensai juste a quelque chose. Rien d’important.
_Ah...une jolie fille peut-être? dit elle en riant.
André parla avec un voix triste
_ Oui, Oscar une belle fem… mais…
_Mais quoi André ... ?
_ Rien Oscar, rien alors et cette promenade dans la forêt on va le faire ?
_Oui ! répondit Oscar puis ils repartirent.
Oscar n’a pas voulu insister sur André ; elle n’a pas voulu l’intimider encore une fois.
Presque arriver à la forêt, André cria brusquement : OSCAR !!!
_ As- tu perdu la tête André. Vous allez effrayer les chevaux.
_Excuse moi...Mais, j'ai une question à te poser...
_Laquelle? dit elle en croisant les bras sur la poitrine.
André resta un peu silencieux. Il avait un peu peur, oui peur de perdre Oscar par cette simple question. Il n’a pas pu attendre puis il se retourna vers elle et lui dise :
_ Oscar ! Aimes-tu- Fersen ?
_Quoi???
_Oui, l'aimes tu toujours...demanda t il en levant les yeux vers elle.
_Quelle question André cela ne se pose pas ! et pour y répondre non .
_ Désolé Oscar je voulais tout simplement savoir
_Ca n'est rien mais pourquois cette question ?

André resta silencieux. Il n’a pas pu répondre à sa question. Il avait peur d’avouer ses sentiments envers elle. Oui envers la femme qui n’a pas cessé de l’aimer depuis toujours. Mais oscar a rompu ce silence.
_ Si tu ne veux pas me répondre tu peux me le dire.
_Oscar je ...je .... On est arrivé .
Oscar et Andre arrivèrent dans une petit auberge qu'ils connaissaient
Oscar jeta un regard à André, signifiant qu'elle n'avait pas dit son dernier mot, et ils entrèrent.

_Au fait André tout a l'heure tu n'avais pas fini ta phrase .
_ Oscar tu sais tu compte beaucoup pour moi. Je voulais te dire que je… je…
_ Quoi André?
_ Je ...
_ André!
Une jeune fille aux somptueux cheveux roux s'avança vers eux. Sa chevelure faisait penser à une queue de renarde, et ses yeux noirs, malicieux, étaient tout aussi déstabilisants que sont imposante mais envoûtante poitrine. Oscar se tourna vivement vers André:
_ Tu connais cette perronnelle? dit elle avec un ton cassant et glaciale.
_ Non, non je ne la connaît pas c’est la première fois que je le vois
_Pourtant, ELLE, elle semble très bien te connaître, et oh!! André!!!!
Ce qu'elle avait sous les yeux l'avait tellement choqué, qu'elle en était pétrifiée, figée sur place...
_C'est … c'est ma mère Oscar.
Oscar resta immobile par ces mots là; elle n’a pas gérée ce qui se passe.
—Non...réussi à articuler Oscar. Impossible...
Et pourtant c'était vrai, la dame qui se tenait devant eux était bel et bien la mère d'André. Elle s'approcha de son fils, et lui fit la bise sur la joue. Elle semblait elle même extrêmement troublée, qu'elle ne trouva rien d'autre à dire que:
"C'est ta fiancé mon chéri? vous fêtez un très beau couple en tous cas .
A ces paroles André et Oscar rougirent et restèrent bouches bés. André baissa les yeux vers le sol, imités de près par Oscar. Il venait de retrouver sa mère qu'il pensait morte, et alors qu'il était en train de croire au Seigneur, il fallait qu'elle les jette dans une situation de tout ce qu'il ya de plus embarrassant. Soudain, il sursauta, et tourna les pupilles vers la droite. Oscar avait tendrement saisit sa main... et réponde :
_Oui nous sommes fiancé depuis peut et nous allons nous marié.
André n’a pas dit un mot. Il était surpris par cette réponse. Lui qui attendait des années pour avouer son amour à Oscar et voilà il entend pour la première fois qu’oscar est sa fiancée. Il est toujours perturbé. Il parla à lui-même est ce que je rêve ? Où c’est la vérité. Il tourna vers Oscar pour chercher une réponse à ces questions. Oscar regarda André avec de grand yeux qui brillait et la André comprit qu'elle aussi l'aimait Oscar se jeta sur lui et l'embrassa à pleine bouche. Puis, elle lui chuchota au creux de l'oreille:
"Ecoute André. Cette folle croit être ta mère, il faut suivre son jeu si nous ne voulons pas avoir d'ennuis. André, tu m'écoutes?"
Tout est passé ci vite, André ne sait pas quoi faire. Il resta figé par ce baiser inattendu.
_ Hei ! André tu m’écoutes.
_ Oui Oscar. Je t’ai entendu très bien. Mais ce n'est pas une folle c'est bien ma mére !

Il était une fois, dans un pays endetté une
jeune fille blonde qui s'appelait Oscar et qui avait été élevée comme un
garçon. Son père, le Général de Jarjayes, était dur avec elle. Elle
n'avait qu'un ami qui s’appelait André Grandier. Ils étaient proches
et inséparables, dès leur enfance. André a été élevé par sa
Grand-mère qui était la nourrisse d'Oscar. Cette dernière la dernière fille des Jarjayes, aimait grand- mère et elle la considère membre de la famille.
Parfois, après avoir bu quelque verre avec André, grand -mère divaguait. Mais un jour elle dit à André qu’il ne devait plus regarder Oscar comme une future épouse ni même avouer ses sentiments envers elle car il ne fallait pas qu'André oublie qu'il n'était qu'un domestique, et elle fille de comte, et général par dessus le marché! André resta figé après ces paroles dures dites par sa grand-mère. Il n’a même pas géré ces mots. Il monta voir Oscar, qui était enfermée dans sa chambre toute la journée, et lui proposa d'aller faire une balade en forêt. Oscar était surprise par cette demande mais elle l’a bien caché mais elle accepta avec entrain.


_ Une balade en forêt ? Oui pourquoi pas. Ça sera une bonne idée. Allons y André.
_D'accord je vais prévenir Grand-mère, dit André.
Il commença à descendre les escaliers, mais il se ravisa, et décida de ne rien dire à Grand mère. André alla à l'écurie afin de préparer les deux chevaux en attendant qu’Oscar mette ses bottes. Il sella Appolline, le cheval de sa bien aimée, mais toujours il n’a pas pu chasser les paroles dures dites par sa grand-mère. Pourquoi lui avait elle dit cela? Cela se voyait tant qu'il l'aimait plus que sa vie? André secoua sa tête en arrière et ferma ses beaux yeux verts couleur émeraude.
Soudain, il entendit une voix cristalline qui le fit sortir de ses pensées amoureuses.
_ André !! André !! Tu rêves ou quoi ?
_Non non , je pensai juste a quelque chose. Rien d’important.
_Ah...une jolie fille peut-être? dit elle en riant.
André parla avec un voix triste
_ Oui, Oscar une belle fem… mais…
_Mais quoi André ... ?
_ Rien Oscar, rien alors et cette promenade dans la forêt on va le faire ?
_Oui ! répondit Oscar puis ils repartirent.
Oscar n’a pas voulu insister sur André ; elle n’a pas voulu l’intimider encore une fois.
Presque arriver à la forêt, André cria brusquement : OSCAR !!!
_ As- tu perdu la tête André. Vous allez effrayer les chevaux.
_Excuse moi...Mais, j'ai une question à te poser...
_Laquelle? dit elle en croisant les bras sur la poitrine.
André resta un peu silencieux. Il avait un peu peur, oui peur de perdre Oscar par cette simple question. Il n’a pas pu attendre puis il se retourna vers elle et lui dise :
_ Oscar ! Aimes-tu- Fersen ?
_Quoi???
_Oui, l'aimes tu toujours...demanda t il en levant les yeux vers elle.
_Quelle question André cela ne se pose pas ! et pour y répondre non .
_ Désolé Oscar je voulais tout simplement savoir
_Ca n'est rien mais pourquois cette question ?

André resta silencieux. Il n’a pas pu répondre à sa question. Il avait peur d’avouer ses sentiments envers elle. Oui envers la femme qui n’a pas cessé de l’aimer depuis toujours. Mais oscar a rompu ce silence.
_ Si tu ne veux pas me répondre tu peux me le dire.
_Oscar je ...je .... On est arrivé .
Oscar et Andre arrivèrent dans une petit auberge qu'ils connaissaient
Oscar jeta un regard à André, signifiant qu'elle n'avait pas dit son dernier mot, et ils entrèrent.

_Au fait André tout a l'heure tu n'avais pas fini ta phrase .
_ Oscar tu sais tu compte beaucoup pour moi. Je voulais te dire que je… je…
_ Quoi André?
_ Je ...
_ André!
Une jeune fille aux somptueux cheveux roux s'avança vers eux. Sa chevelure faisait penser à une queue de renarde, et ses yeux noirs, malicieux, étaient tout aussi déstabilisants que sont imposante mais envoûtante poitrine. Oscar se tourna vivement vers André:
_ Tu connais cette perronnelle? dit elle avec un ton cassant et glaciale.
_ Non, non je ne la connaît pas c’est la première fois que je le vois
_Pourtant, ELLE, elle semble très bien te connaître, et oh!! André!!!!
Ce qu'elle avait sous les yeux l'avait tellement choqué, qu'elle en était pétrifiée, figée sur place...
_C'est … c'est ma mère Oscar.
Oscar resta immobile par ces mots là; elle n’a pas gérée ce qui se passe.
—Non...réussi à articuler Oscar. Impossible...
Et pourtant c'était vrai, la dame qui se tenait devant eux était bel et bien la mère d'André. Elle s'approcha de son fils, et lui fit la bise sur la joue. Elle semblait elle même extrêmement troublée, qu'elle ne trouva rien d'autre à dire que:
"C'est ta fiancé mon chéri? vous fêtez un très beau couple en tous cas .
A ces paroles André et Oscar rougirent et restèrent bouches bés. André baissa les yeux vers le sol, imités de près par Oscar. Il venait de retrouver sa mère qu'il pensait morte, et alors qu'il était en train de croire au Seigneur, il fallait qu'elle les jette dans une situation de tout ce qu'il ya de plus embarrassant. Soudain, il sursauta, et tourna les pupilles vers la droite. Oscar avait tendrement saisit sa main... et réponde :
_Oui nous sommes fiancé depuis peut et nous allons nous marié.
André n’a pas dit un mot. Il était surpris par cette réponse. Lui qui attendait des années pour avouer son amour à Oscar et voilà il entend pour la première fois qu’oscar est sa fiancée. Il est toujours perturbé. Il parla à lui-même est ce que je rêve ? Où c’est la vérité. Il tourna vers Oscar pour chercher une réponse à ces questions. Oscar regarda André avec de grand yeux qui brillait et la André comprit qu'elle aussi l'aimait Oscar se jeta sur lui et l'embrassa à pleine bouche. Puis, elle lui chuchota au creux de l'oreille:
"Ecoute André. Cette folle croit être ta mère, il faut suivre son jeu si nous ne voulons pas avoir d'ennuis. André, tu m'écoutes?"
Tout est passé ci vite, André ne sait pas quoi faire. Il resta figé par ce baiser inattendu.
_ Hei ! André tu m’écoutes.
_ Oui Oscar. Je t’ai entendu très bien. Mais ce n'est pas une folle c'est bien ma mère !
_ Tu es sur mais ta mère est morte. C’est toi qui m’a dit que tu t’es élevé par ta grand-mère.

Il était une fois, dans un pays endetté une
jeune fille blonde qui s'appelait Oscar et qui avait été élevée comme un
garçon. Son père, le Général de Jarjayes, était dur avec elle. Elle
n'avait qu'un ami qui s’appelait André Grandier. Ils étaient proches
et inséparables, dès leur enfance. André a été élevé par sa
Grand-mère qui était la nourrisse d'Oscar. Cette dernière la dernière fille des Jarjayes, aimait grand- mère et elle la considère membre de la famille.
Parfois, après avoir bu quelque verre avec André, grand -mère divaguait. Mais un jour elle dit à André qu’il ne devait plus regarder Oscar comme une future épouse ni même avouer ses sentiments envers elle car il ne fallait pas qu'André oublie qu'il n'était qu'un domestique, et elle fille de comte, et général par dessus le marché! André resta figé après ces paroles dures dites par sa grand-mère. Il n’a même pas géré ces mots. Il monta voir Oscar, qui était enfermée dans sa chambre toute la journée, et lui proposa d'aller faire une balade en forêt. Oscar était surprise par cette demande mais elle l’a bien caché mais elle accepta avec entrain.


_ Une balade en forêt ? Oui pourquoi pas. Ça sera une bonne idée. Allons y André.
_D'accord je vais prévenir Grand-mère, dit André.
Il commença à descendre les escaliers, mais il se ravisa, et décida de ne rien dire à Grand mère. André alla à l'écurie afin de préparer les deux chevaux en attendant qu’Oscar mette ses bottes. Il sella Appolline, le cheval de sa bien aimée, mais toujours il n’a pas pu chasser les paroles dures dites par sa grand-mère. Pourquoi lui avait elle dit cela? Cela se voyait tant qu'il l'aimait plus que sa vie? André secoua sa tête en arrière et ferma ses beaux yeux verts couleur émeraude.
Soudain, il entendit une voix cristalline qui le fit sortir de ses pensées amoureuses.
_ André !! André !! Tu rêves ou quoi ?
_Non non , je pensai juste a quelque chose. Rien d’important.
_Ah...une jolie fille peut-être? dit elle en riant.
André parla avec un voix triste
_ Oui, Oscar une belle fem… mais…
_Mais quoi André ... ?
_ Rien Oscar, rien alors et cette promenade dans la forêt on va le faire ?
_Oui ! répondit Oscar puis ils repartirent.
Oscar n’a pas voulu insister sur André ; elle n’a pas voulu l’intimider encore une fois.
Presque arriver à la forêt, André cria brusquement : OSCAR !!!
_ As- tu perdu la tête André. Vous allez effrayer les chevaux.
_Excuse moi...Mais, j'ai une question à te poser...
_Laquelle? dit elle en croisant les bras sur la poitrine.
André resta un peu silencieux. Il avait un peu peur, oui peur de perdre Oscar par cette simple question. Il n’a pas pu attendre puis il se retourna vers elle et lui dise :
_ Oscar ! Aimes-tu- Fersen ?
_Quoi???
_Oui, l'aimes tu toujours...demanda t il en levant les yeux vers elle.
_Quelle question André cela ne se pose pas ! et pour y répondre non .
_ Désolé Oscar je voulais tout simplement savoir
_Ca n'est rien mais pourquois cette question ?

André resta silencieux. Il n’a pas pu répondre à sa question. Il avait peur d’avouer ses sentiments envers elle. Oui envers la femme qui n’a pas cessé de l’aimer depuis toujours. Mais oscar a rompu ce silence.
_ Si tu ne veux pas me répondre tu peux me le dire.
_Oscar je ...je .... On est arrivé .
Oscar et Andre arrivèrent dans une petit auberge qu'ils connaissaient
Oscar jeta un regard à André, signifiant qu'elle n'avait pas dit son dernier mot, et ils entrèrent.

_Au fait André tout a l'heure tu n'avais pas fini ta phrase .
_ Oscar tu sais tu compte beaucoup pour moi. Je voulais te dire que je… je…
_ Quoi André?
_ Je ...
_ André!
Une jeune fille aux somptueux cheveux roux s'avança vers eux. Sa chevelure faisait penser à une queue de renarde, et ses yeux noirs, malicieux, étaient tout aussi déstabilisants que sont imposante mais envoûtante poitrine. Oscar se tourna vivement vers André:
_ Tu connais cette perronnelle? dit elle avec un ton cassant et glaciale.
_ Non, non je ne la connaît pas c’est la première fois que je le vois
_Pourtant, ELLE, elle semble très bien te connaître, et oh!! André!!!!
Ce qu'elle avait sous les yeux l'avait tellement choqué, qu'elle en était pétrifiée, figée sur place...
_C'est … c'est ma mère Oscar.
Oscar resta immobile par ces mots là; elle n’a pas gérée ce qui se passe.
—Non...réussi à articuler Oscar. Impossible...
Et pourtant c'était vrai, la dame qui se tenait devant eux était bel et bien la mère d'André. Elle s'approcha de son fils, et lui fit la bise sur la joue. Elle semblait elle même extrêmement troublée, qu'elle ne trouva rien d'autre à dire que:
"C'est ta fiancé mon chéri? vous fêtez un très beau couple en tous cas .
A ces paroles André et Oscar rougirent et restèrent bouches bés. André baissa les yeux vers le sol, imités de près par Oscar. Il venait de retrouver sa mère qu'il pensait morte, et alors qu'il était en train de croire au Seigneur, il fallait qu'elle les jette dans une situation de tout ce qu'il ya de plus embarrassant. Soudain, il sursauta, et tourna les pupilles vers la droite. Oscar avait tendrement saisit sa main... et réponde :
_Oui nous sommes fiancé depuis peut et nous allons nous marié.
André n’a pas dit un mot. Il était surpris par cette réponse. Lui qui attendait des années pour avouer son amour à Oscar et voilà il entend pour la première fois qu’oscar est sa fiancée. Il est toujours perturbé. Il parla à lui-même est ce que je rêve ? Où c’est la vérité. Il tourna vers Oscar pour chercher une réponse à ces questions. Oscar regarda André avec de grand yeux qui brillait et la André comprit qu'elle aussi l'aimait Oscar se jeta sur lui et l'embrassa à pleine bouche. Puis, elle lui chuchota au creux de l'oreille:
"Ecoute André. Cette folle croit être ta mère, il faut suivre son jeu si nous ne voulons pas avoir d'ennuis. André, tu m'écoutes?"
Tout est passé ci vite, André ne sait pas quoi faire. Il resta figé par ce baiser inattendu.
_ Hei ! André tu m’écoutes.
_ Oui Oscar. Je t’ai entendu très bien. Mais ce n'est pas une folle c'est bien ma mère !
_ Tu es sur mais ta mère est morte. C’est toi qui m’a dit que tu t’es élevé par ta grand-mère.
_Oui j'en suis sur que c'est ma mére , mais on m'a toujour dis que ma mére était morte je vais aller demender des explications a Grand-mére .

Alors André Oscar et sa soi disante mére retournère a la demeur des Jarjayes pour en savoir plus .

Il était une fois, dans un pays endetté une
jeune fille blonde qui s'appelait Oscar et qui avait été élevée comme un
garçon. Son père, le Général de Jarjayes, était dur avec elle. Elle
n'avait qu'un ami qui s’appelait André Grandier. Ils étaient proches
et inséparables, dès leur enfance. André a été élevé par sa
Grand-mère qui était la nourrisse d'Oscar. Cette dernière la dernière fille des Jarjayes, aimait grand- mère et elle la considère membre de la famille.
Parfois, après avoir bu quelque verre avec André, grand -mère divaguait. Mais un jour elle dit à André qu’il ne devait plus regarder Oscar comme une future épouse ni même avouer ses sentiments envers elle car il ne fallait pas qu'André oublie qu'il n'était qu'un domestique, et elle fille de comte, et général par dessus le marché! André resta figé après ces paroles dures dites par sa grand-mère. Il n’a même pas géré ces mots. Il monta voir Oscar, qui était enfermée dans sa chambre toute la journée, et lui proposa d'aller faire une balade en forêt. Oscar était surprise par cette demande mais elle l’a bien caché mais elle accepta avec entrain.


_ Une balade en forêt ? Oui pourquoi pas. Ça sera une bonne idée. Allons y André.
_D'accord je vais prévenir Grand-mère, dit André.
Il commença à descendre les escaliers, mais il se ravisa, et décida de ne rien dire à Grand mère. André alla à l'écurie afin de préparer les deux chevaux en attendant qu’Oscar mette ses bottes. Il sella Appolline, le cheval de sa bien aimée, mais toujours il n’a pas pu chasser les paroles dures dites par sa grand-mère. Pourquoi lui avait elle dit cela? Cela se voyait tant qu'il l'aimait plus que sa vie? André secoua sa tête en arrière et ferma ses beaux yeux verts couleur émeraude.
Soudain, il entendit une voix cristalline qui le fit sortir de ses pensées amoureuses.
_ André !! André !! Tu rêves ou quoi ?
_Non non , je pensai juste a quelque chose. Rien d’important.
_Ah...une jolie fille peut-être? dit elle en riant.
André parla avec un voix triste
_ Oui, Oscar une belle fem… mais…
_Mais quoi André ... ?
_ Rien Oscar, rien alors et cette promenade dans la forêt on va le faire ?
_Oui ! répondit Oscar puis ils repartirent.
Oscar n’a pas voulu insister sur André ; elle n’a pas voulu l’intimider encore une fois.
Presque arriver à la forêt, André cria brusquement : OSCAR !!!
_ As- tu perdu la tête André. Vous allez effrayer les chevaux.
_Excuse moi...Mais, j'ai une question à te poser...
_Laquelle? dit elle en croisant les bras sur la poitrine.
André resta un peu silencieux. Il avait un peu peur, oui peur de perdre Oscar par cette simple question. Il n’a pas pu attendre puis il se retourna vers elle et lui dise :
_ Oscar ! Aimes-tu- Fersen ?
_Quoi???
_Oui, l'aimes tu toujours...demanda t il en levant les yeux vers elle.
_Quelle question André cela ne se pose pas ! et pour y répondre non .
_ Désolé Oscar je voulais tout simplement savoir
_Ca n'est rien mais pourquois cette question ?

André resta silencieux. Il n’a pas pu répondre à sa question. Il avait peur d’avouer ses sentiments envers elle. Oui envers la femme qui n’a pas cessé de l’aimer depuis toujours. Mais oscar a rompu ce silence.
_ Si tu ne veux pas me répondre tu peux me le dire.
_Oscar je ...je .... On est arrivé .
Oscar et Andre arrivèrent dans une petit auberge qu'ils connaissaient
Oscar jeta un regard à André, signifiant qu'elle n'avait pas dit son dernier mot, et ils entrèrent.

_Au fait André tout a l'heure tu n'avais pas fini ta phrase .
_ Oscar tu sais tu compte beaucoup pour moi. Je voulais te dire que je… je…
_ Quoi André?
_ Je ...
_ André!
Une jeune fille aux somptueux cheveux roux s'avança vers eux. Sa chevelure faisait penser à une queue de renarde, et ses yeux noirs, malicieux, étaient tout aussi déstabilisants que sont imposante mais envoûtante poitrine. Oscar se tourna vivement vers André:
_ Tu connais cette perronnelle? dit elle avec un ton cassant et glaciale.
_ Non, non je ne la connaît pas c’est la première fois que je le vois
_Pourtant, ELLE, elle semble très bien te connaître, et oh!! André!!!!
Ce qu'elle avait sous les yeux l'avait tellement choqué, qu'elle en était pétrifiée, figée sur place...
_C'est … c'est ma mère Oscar.
Oscar resta immobile par ces mots là; elle n’a pas gérée ce qui se passe.
—Non...réussi à articuler Oscar. Impossible...
Et pourtant c'était vrai, la dame qui se tenait devant eux était bel et bien la mère d'André. Elle s'approcha de son fils, et lui fit la bise sur la joue. Elle semblait elle même extrêmement troublée, qu'elle ne trouva rien d'autre à dire que:
"C'est ta fiancé mon chéri? vous fêtez un très beau couple en tous cas .
A ces paroles André et Oscar rougirent et restèrent bouches bés. André baissa les yeux vers le sol, imités de près par Oscar. Il venait de retrouver sa mère qu'il pensait morte, et alors qu'il était en train de croire au Seigneur, il fallait qu'elle les jette dans une situation de tout ce qu'il ya de plus embarrassant. Soudain, il sursauta, et tourna les pupilles vers la droite. Oscar avait tendrement saisit sa main... et réponde :
_Oui nous sommes fiancé depuis peut et nous allons nous marié.
André n’a pas dit un mot. Il était surpris par cette réponse. Lui qui attendait des années pour avouer son amour à Oscar et voilà il entend pour la première fois qu’oscar est sa fiancée. Il est toujours perturbé. Il parla à lui-même est ce que je rêve ? Où c’est la vérité. Il tourna vers Oscar pour chercher une réponse à ces questions. Oscar regarda André avec de grand yeux qui brillait et la André comprit qu'elle aussi l'aimait Oscar se jeta sur lui et l'embrassa à pleine bouche. Puis, elle lui chuchota au creux de l'oreille:
"Ecoute André. Cette folle croit être ta mère, il faut suivre son jeu si nous ne voulons pas avoir d'ennuis. André, tu m'écoutes?"
Tout est passé ci vite, André ne sait pas quoi faire. Il resta figé par ce baiser inattendu.
_ Hei ! André tu m’écoutes.
_ Oui Oscar. Je t’ai entendu très bien. Mais ce n'est pas une folle c'est bien ma mère !
_ Tu es sur mais ta mère est morte. C’est toi qui m’a dit que tu t’es élevé par ta grand-mère.
_Oui j'en suis sur que c'est ma mère , mais on m'a toujours dis que ma mère était morte je vais aller demandé des explications a Grand-mère .

Alors André Oscar et sa soi disante mère retournèrent a la demeure des Jarjayes pour en savoir plus.
André était vraiment furieux. Pourquoi grand-mère m’a caché ça. Il se dirigea vite vers la cuisine pour avoir des explications mais Oscar l’a retenu par son bras.
_ André attend. Il faut que tu te calmes. Je sais que c’est difficile pour toi mais…
_ Mais quoi… Tous ces années j’ai vis dans un mensonge.

Il était une fois, dans un pays endetté une
jeune fille blonde qui s'appelait Oscar et qui avait été élevée comme un
garçon. Son père, le Général de Jarjayes, était dur avec elle. Elle
n'avait qu'un ami qui s’appelait André Grandier. Ils étaient proches
et inséparables, dès leur enfance. André a été élevé par sa
Grand-mère qui était la nourrisse d'Oscar. Cette dernière la dernière fille des Jarjayes, aimait grand- mère et elle la considère membre de la famille.
Parfois, après avoir bu quelque verre avec André, grand -mère divaguait. Mais un jour elle dit à André qu’il ne devait plus regarder Oscar comme une future épouse ni même avouer ses sentiments envers elle car il ne fallait pas qu'André oublie qu'il n'était qu'un domestique, et elle fille de comte, et général par dessus le marché! André resta figé après ces paroles dures dites par sa grand-mère. Il n’a même pas géré ces mots. Il monta voir Oscar, qui était enfermée dans sa chambre toute la journée, et lui proposa d'aller faire une balade en forêt. Oscar était surprise par cette demande mais elle l’a bien caché mais elle accepta avec entrain.


_ Une balade en forêt ? Oui pourquoi pas. Ça sera une bonne idée. Allons y André.
_D'accord je vais prévenir Grand-mère, dit André.
Il commença à descendre les escaliers, mais il se ravisa, et décida de ne rien dire à Grand mère. André alla à l'écurie afin de préparer les deux chevaux en attendant qu’Oscar mette ses bottes. Il sella Appolline, le cheval de sa bien aimée, mais toujours il n’a pas pu chasser les paroles dures dites par sa grand-mère. Pourquoi lui avait elle dit cela? Cela se voyait tant qu'il l'aimait plus que sa vie? André secoua sa tête en arrière et ferma ses beaux yeux verts couleur émeraude.
Soudain, il entendit une voix cristalline qui le fit sortir de ses pensées amoureuses.
_ André !! André !! Tu rêves ou quoi ?
_Non non , je pensai juste a quelque chose. Rien d’important.
_Ah...une jolie fille peut-être? dit elle en riant.
André parla avec un voix triste
_ Oui, Oscar une belle fem… mais…
_Mais quoi André ... ?
_ Rien Oscar, rien alors et cette promenade dans la forêt on va le faire ?
_Oui ! répondit Oscar puis ils repartirent.
Oscar n’a pas voulu insister sur André ; elle n’a pas voulu l’intimider encore une fois.
Presque arriver à la forêt, André cria brusquement : OSCAR !!!
_ As- tu perdu la tête André. Vous allez effrayer les chevaux.
_Excuse moi...Mais, j'ai une question à te poser...
_Laquelle? dit elle en croisant les bras sur la poitrine.
André resta un peu silencieux. Il avait un peu peur, oui peur de perdre Oscar par cette simple question. Il n’a pas pu attendre puis il se retourna vers elle et lui dise :
_ Oscar ! Aimes-tu- Fersen ?
_Quoi???
_Oui, l'aimes tu toujours...demanda t il en levant les yeux vers elle.
_Quelle question André cela ne se pose pas ! et pour y répondre non .
_ Désolé Oscar je voulais tout simplement savoir
_Ca n'est rien mais pourquois cette question ?

André resta silencieux. Il n’a pas pu répondre à sa question. Il avait peur d’avouer ses sentiments envers elle. Oui envers la femme qui n’a pas cessé de l’aimer depuis toujours. Mais oscar a rompu ce silence.
_ Si tu ne veux pas me répondre tu peux me le dire.
_Oscar je ...je .... On est arrivé .
Oscar et Andre arrivèrent dans une petit auberge qu'ils connaissaient
Oscar jeta un regard à André, signifiant qu'elle n'avait pas dit son dernier mot, et ils entrèrent.

_Au fait André tout a l'heure tu n'avais pas fini ta phrase .
_ Oscar tu sais tu compte beaucoup pour moi. Je voulais te dire que je… je…
_ Quoi André?
_ Je ...
_ André!
Une jeune fille aux somptueux cheveux roux s'avança vers eux. Sa chevelure faisait penser à une queue de renarde, et ses yeux noirs, malicieux, étaient tout aussi déstabilisants que sont imposante mais envoûtante poitrine. Oscar se tourna vivement vers André:
_ Tu connais cette perronnelle? dit elle avec un ton cassant et glaciale.
_ Non, non je ne la connaît pas c’est la première fois que je le vois
_Pourtant, ELLE, elle semble très bien te connaître, et oh!! André!!!!
Ce qu'elle avait sous les yeux l'avait tellement choqué, qu'elle en était pétrifiée, figée sur place...
_C'est … c'est ma mère Oscar.
Oscar resta immobile par ces mots là; elle n’a pas gérée ce qui se passe.
—Non...réussi à articuler Oscar. Impossible...
Et pourtant c'était vrai, la dame qui se tenait devant eux était bel et bien la mère d'André. Elle s'approcha de son fils, et lui fit la bise sur la joue. Elle semblait elle même extrêmement troublée, qu'elle ne trouva rien d'autre à dire que:
"C'est ta fiancé mon chéri? vous fêtez un très beau couple en tous cas .
A ces paroles André et Oscar rougirent et restèrent bouches bés. André baissa les yeux vers le sol, imités de près par Oscar. Il venait de retrouver sa mère qu'il pensait morte, et alors qu'il était en train de croire au Seigneur, il fallait qu'elle les jette dans une situation de tout ce qu'il ya de plus embarrassant. Soudain, il sursauta, et tourna les pupilles vers la droite. Oscar avait tendrement saisit sa main... et réponde :
_Oui nous sommes fiancé depuis peut et nous allons nous marié.
André n’a pas dit un mot. Il était surpris par cette réponse. Lui qui attendait des années pour avouer son amour à Oscar et voilà il entend pour la première fois qu’oscar est sa fiancée. Il est toujours perturbé. Il parla à lui-même est ce que je rêve ? Où c’est la vérité. Il tourna vers Oscar pour chercher une réponse à ces questions. Oscar regarda André avec de grand yeux qui brillait et la André comprit qu'elle aussi l'aimait Oscar se jeta sur lui et l'embrassa à pleine bouche. Puis, elle lui chuchota au creux de l'oreille:
"Ecoute André. Cette folle croit être ta mère, il faut suivre son jeu si nous ne voulons pas avoir d'ennuis. André, tu m'écoutes?"
Tout est passé ci vite, André ne sait pas quoi faire. Il resta figé par ce baiser inattendu.
_ Hei ! André tu m’écoutes.
_ Oui Oscar. Je t’ai entendu très bien. Mais ce n'est pas une folle c'est bien ma mère !
_ Tu es sur mais ta mère est morte. C’est toi qui m’a dit que tu t’es élevé par ta grand-mère.
_Oui j'en suis sur que c'est ma mère , mais on m'a toujours dis que ma mère était morte je vais aller demandé des explications a Grand-mère .

Alors André Oscar et sa soi disante mère retournèrent a la demeure des Jarjayes pour en savoir plus.
André était vraiment furieux. Pourquoi grand-mère m’a caché ça. Il se dirigea vite vers la cuisine pour avoir des explications mais Oscar l’a retenu par son bras.
_ André attend. Il faut que tu te calmes. Je sais que c’est difficile pour toi mais…
_ Mais quoi… Tous ces années j’ai vis dans un mensonge.

Il était une fois, dans un pays endetté une
jeune fille blonde qui s'appelait Oscar et qui avait été élevée comme un
garçon. Son père, le Général de Jarjayes, était dur avec elle. Elle
n'avait qu'un ami qui s’appelait André Grandier. Ils étaient proches
et inséparables, dès leur enfance. André a été élevé par sa
Grand-mère qui était la nourrisse d'Oscar. Cette dernière la dernière fille des Jarjayes, aimait grand- mère et elle la considère membre de la famille.
Parfois, après avoir bu quelque verre avec André, grand -mère divaguait. Mais un jour elle dit à André qu’il ne devait plus regarder Oscar comme une future épouse ni même avouer ses sentiments envers elle car il ne fallait pas qu'André oublie qu'il n'était qu'un domestique, et elle fille de comte, et général par dessus le marché! André resta figé après ces paroles dures dites par sa grand-mère. Il n’a même pas géré ces mots. Il monta voir Oscar, qui était enfermée dans sa chambre toute la journée, et lui proposa d'aller faire une balade en forêt. Oscar était surprise par cette demande mais elle l’a bien caché mais elle accepta avec entrain.


_ Une balade en forêt ? Oui pourquoi pas. Ça sera une bonne idée. Allons y André.
_D'accord je vais prévenir Grand-mère, dit André.
Il commença à descendre les escaliers, mais il se ravisa, et décida de ne rien dire à Grand mère. André alla à l'écurie afin de préparer les deux chevaux en attendant qu’Oscar mette ses bottes. Il sella Appolline, le cheval de sa bien aimée, mais toujours il n’a pas pu chasser les paroles dures dites par sa grand-mère. Pourquoi lui avait elle dit cela? Cela se voyait tant qu'il l'aimait plus que sa vie? André secoua sa tête en arrière et ferma ses beaux yeux verts couleur émeraude.
Soudain, il entendit une voix cristalline qui le fit sortir de ses pensées amoureuses.
_ André !! André !! Tu rêves ou quoi ?
_Non non , je pensai juste a quelque chose. Rien d’important.
_Ah...une jolie fille peut-être? dit elle en riant.
André parla avec un voix triste
_ Oui, Oscar une belle fem… mais…
_Mais quoi André ... ?
_ Rien Oscar, rien alors et cette promenade dans la forêt on va le faire ?
_Oui ! répondit Oscar puis ils repartirent.
Oscar n’a pas voulu insister sur André ; elle n’a pas voulu l’intimider encore une fois.
Presque arriver à la forêt, André cria brusquement : OSCAR !!!
_ As- tu perdu la tête André. Vous allez effrayer les chevaux.
_Excuse moi...Mais, j'ai une question à te poser...
_Laquelle? dit elle en croisant les bras sur la poitrine.
André resta un peu silencieux. Il avait un peu peur, oui peur de perdre Oscar par cette simple question. Il n’a pas pu attendre puis il se retourna vers elle et lui dise :
_ Oscar ! Aimes-tu- Fersen ?
_Quoi???
_Oui, l'aimes tu toujours...demanda t il en levant les yeux vers elle.
_Quelle question André cela ne se pose pas ! et pour y répondre non .
_ Désolé Oscar je voulais tout simplement savoir
_Ca n'est rien mais pourquois cette question ?

André resta silencieux. Il n’a pas pu répondre à sa question. Il avait peur d’avouer ses sentiments envers elle. Oui envers la femme qui n’a pas cessé de l’aimer depuis toujours. Mais oscar a rompu ce silence.
_ Si tu ne veux pas me répondre tu peux me le dire.
_Oscar je ...je .... On est arrivé .
Oscar et Andre arrivèrent dans une petit auberge qu'ils connaissaient
Oscar jeta un regard à André, signifiant qu'elle n'avait pas dit son dernier mot, et ils entrèrent.

_Au fait André tout a l'heure tu n'avais pas fini ta phrase .
_ Oscar tu sais tu compte beaucoup pour moi. Je voulais te dire que je… je…
_ Quoi André?
_ Je ...
_ André!
Une jeune fille aux somptueux cheveux roux s'avança vers eux. Sa chevelure faisait penser à une queue de renarde, et ses yeux noirs, malicieux, étaient tout aussi déstabilisants que sont imposante mais envoûtante poitrine. Oscar se tourna vivement vers André:
_ Tu connais cette perronnelle? dit elle avec un ton cassant et glaciale.
_ Non, non je ne la connaît pas c’est la première fois que je le vois
_Pourtant, ELLE, elle semble très bien te connaître, et oh!! André!!!!
Ce qu'elle avait sous les yeux l'avait tellement choqué, qu'elle en était pétrifiée, figée sur place...
_C'est … c'est ma mère Oscar.
Oscar resta immobile par ces mots là; elle n’a pas gérée ce qui se passe.
—Non...réussi à articuler Oscar. Impossible...
Et pourtant c'était vrai, la dame qui se tenait devant eux était bel et bien la mère d'André. Elle s'approcha de son fils, et lui fit la bise sur la joue. Elle semblait elle même extrêmement troublée, qu'elle ne trouva rien d'autre à dire que:
"C'est ta fiancé mon chéri? vous fêtez un très beau couple en tous cas .
A ces paroles André et Oscar rougirent et restèrent bouches bés. André baissa les yeux vers le sol, imités de près par Oscar. Il venait de retrouver sa mère qu'il pensait morte, et alors qu'il était en train de croire au Seigneur, il fallait qu'elle les jette dans une situation de tout ce qu'il ya de plus embarrassant. Soudain, il sursauta, et tourna les pupilles vers la droite. Oscar avait tendrement saisit sa main... et réponde :
_Oui nous sommes fiancé depuis peut et nous allons nous marié.
André n’a pas dit un mot. Il était surpris par cette réponse. Lui qui attendait des années pour avouer son amour à Oscar et voilà il entend pour la première fois qu’oscar est sa fiancée. Il est toujours perturbé. Il parla à lui-même est ce que je rêve ? Où c’est la vérité. Il tourna vers Oscar pour chercher une réponse à ces questions. Oscar regarda André avec de grand yeux qui brillait et la André comprit qu'elle aussi l'aimait Oscar se jeta sur lui et l'embrassa à pleine bouche. Puis, elle lui chuchota au creux de l'oreille:
"Ecoute André. Cette folle croit être ta mère, il faut suivre son jeu si nous ne voulons pas avoir d'ennuis. André, tu m'écoutes?"
Tout est passé ci vite, André ne sait pas quoi faire. Il resta figé par ce baiser inattendu.
_ Hei ! André tu m’écoutes.
_ Oui Oscar. Je t’ai entendu très bien. Mais ce n'est pas une folle c'est bien ma mère !
_ Tu es sur mais ta mère est morte. C’est toi qui m’a dit que tu t’es élevé par ta grand-mère.
_Oui j'en suis sur que c'est ma mère , mais on m'a toujours dis que ma mère était morte je vais aller demandé des explications a Grand-mère .

Alors André Oscar et sa soi disante mère retournèrent a la demeure des Jarjayes pour en savoir plus.
André était vraiment furieux. Pourquoi grand-mère m’a caché ça. Il se dirigea vite vers la cuisine pour avoir des explications mais Oscar l’a retenu par son bras.
_ André attend. Il faut que tu te calmes. Je sais que c’est difficile pour toi mais…
_ Mais quoi… Tous ces années j’ai vis dans un mensonge.
_Grand-mére a surement eu une bonne raison de ne rien te dire .
_Oui surement quand j'était petit mai le jour ou j'ai eu l'age de comprendre elle aurait put me révéler la verité .
Grand-mére il faut que je te parle ...

Il était une fois, dans un pays endetté une
jeune fille blonde qui s'appelait Oscar et qui avait été élevée comme un
garçon. Son père, le Général de Jarjayes, était dur avec elle. Elle
n'avait qu'un ami qui s’appelait André Grandier. Ils étaient proches
et inséparables, dès leur enfance. André a été élevé par sa
Grand-mère qui était la nourrisse d'Oscar. Cette dernière la dernière fille des Jarjayes, aimait grand- mère et elle la considère membre de la famille.
Parfois, après avoir bu quelque verre avec André, grand -mère divaguait. Mais un jour elle dit à André qu’il ne devait plus regarder Oscar comme une future épouse ni même avouer ses sentiments envers elle car il ne fallait pas qu'André oublie qu'il n'était qu'un domestique, et elle fille de comte, et général par dessus le marché! André resta figé après ces paroles dures dites par sa grand-mère. Il n’a même pas géré ces mots. Il monta voir Oscar, qui était enfermée dans sa chambre toute la journée, et lui proposa d'aller faire une balade en forêt. Oscar était surprise par cette demande mais elle l’a bien caché mais elle accepta avec entrain.


_ Une balade en forêt ? Oui pourquoi pas. Ça sera une bonne idée. Allons y André.
_D'accord je vais prévenir Grand-mère, dit André.
Il commença à descendre les escaliers, mais il se ravisa, et décida de ne rien dire à Grand mère. André alla à l'écurie afin de préparer les deux chevaux en attendant qu’Oscar mette ses bottes. Il sella Appolline, le cheval de sa bien aimée, mais toujours il n’a pas pu chasser les paroles dures dites par sa grand-mère. Pourquoi lui avait elle dit cela? Cela se voyait tant qu'il l'aimait plus que sa vie? André secoua sa tête en arrière et ferma ses beaux yeux verts couleur émeraude.
Soudain, il entendit une voix cristalline qui le fit sortir de ses pensées amoureuses.
_ André !! André !! Tu rêves ou quoi ?
_Non non , je pensai juste a quelque chose. Rien d’important.
_Ah...une jolie fille peut-être? dit elle en riant.
André parla avec un voix triste
_ Oui, Oscar une belle fem… mais…
_Mais quoi André ... ?
_ Rien Oscar, rien alors et cette promenade dans la forêt on va le faire ?
_Oui ! répondit Oscar puis ils repartirent.
Oscar n’a pas voulu insister sur André ; elle n’a pas voulu l’intimider encore une fois.
Presque arriver à la forêt, André cria brusquement : OSCAR !!!
_ As- tu perdu la tête André. Vous allez effrayer les chevaux.
_Excuse moi...Mais, j'ai une question à te poser...
_Laquelle? dit elle en croisant les bras sur la poitrine.
André resta un peu silencieux. Il avait un peu peur, oui peur de perdre Oscar par cette simple question. Il n’a pas pu attendre puis il se retourna vers elle et lui dise :
_ Oscar ! Aimes-tu- Fersen ?
_Quoi???
_Oui, l'aimes tu toujours...demanda t il en levant les yeux vers elle.
_Quelle question André cela ne se pose pas ! et pour y répondre non .
_ Désolé Oscar je voulais tout simplement savoir
_Ca n'est rien mais pourquois cette question ?

André resta silencieux. Il n’a pas pu répondre à sa question. Il avait peur d’avouer ses sentiments envers elle. Oui envers la femme qui n’a pas cessé de l’aimer depuis toujours. Mais oscar a rompu ce silence.
_ Si tu ne veux pas me répondre tu peux me le dire.
_Oscar je ...je .... On est arrivé .
Oscar et Andre arrivèrent dans une petit auberge qu'ils connaissaient
Oscar jeta un regard à André, signifiant qu'elle n'avait pas dit son dernier mot, et ils entrèrent.

_Au fait André tout a l'heure tu n'avais pas fini ta phrase .
_ Oscar tu sais tu compte beaucoup pour moi. Je voulais te dire que je… je…
_ Quoi André?
_ Je ...
_ André!
Une jeune fille aux somptueux cheveux roux s'avança vers eux. Sa chevelure faisait penser à une queue de renarde, et ses yeux noirs, malicieux, étaient tout aussi déstabilisants que sont imposante mais envoûtante poitrine. Oscar se tourna vivement vers André:
_ Tu connais cette perronnelle? dit elle avec un ton cassant et glaciale.
_ Non, non je ne la connaît pas c’est la première fois que je le vois
_Pourtant, ELLE, elle semble très bien te connaître, et oh!! André!!!!
Ce qu'elle avait sous les yeux l'avait tellement choqué, qu'elle en était pétrifiée, figée sur place...
_C'est … c'est ma mère Oscar.
Oscar resta immobile par ces mots là; elle n’a pas gérée ce qui se passe.
—Non...réussi à articuler Oscar. Impossible...
Et pourtant c'était vrai, la dame qui se tenait devant eux était bel et bien la mère d'André. Elle s'approcha de son fils, et lui fit la bise sur la joue. Elle semblait elle même extrêmement troublée, qu'elle ne trouva rien d'autre à dire que:
"C'est ta fiancé mon chéri? vous fêtez un très beau couple en tous cas .
A ces paroles André et Oscar rougirent et restèrent bouches bés. André baissa les yeux vers le sol, imités de près par Oscar. Il venait de retrouver sa mère qu'il pensait morte, et alors qu'il était en train de croire au Seigneur, il fallait qu'elle les jette dans une situation de tout ce qu'il ya de plus embarrassant. Soudain, il sursauta, et tourna les pupilles vers la droite. Oscar avait tendrement saisit sa main... et réponde :
_Oui nous sommes fiancé depuis peut et nous allons nous marié.
André n’a pas dit un mot. Il était surpris par cette réponse. Lui qui attendait des années pour avouer son amour à Oscar et voilà il entend pour la première fois qu’oscar est sa fiancée. Il est toujours perturbé. Il parla à lui-même est ce que je rêve ? Où c’est la vérité. Il tourna vers Oscar pour chercher une réponse à ces questions. Oscar regarda André avec de grand yeux qui brillait et la André comprit qu'elle aussi l'aimait Oscar se jeta sur lui et l'embrassa à pleine bouche. Puis, elle lui chuchota au creux de l'oreille:
"Ecoute André. Cette folle croit être ta mère, il faut suivre son jeu si nous ne voulons pas avoir d'ennuis. André, tu m'écoutes?"
Tout est passé ci vite, André ne sait pas quoi faire. Il resta figé par ce baiser inattendu.
_ Hei ! André tu m’écoutes.
_ Oui Oscar. Je t’ai entendu très bien. Mais ce n'est pas une folle c'est bien ma mère !
_ Tu es sur mais ta mère est morte. C’est toi qui m’a dit que tu t’es élevé par ta grand-mère.
_Oui j'en suis sur que c'est ma mère , mais on m'a toujours dis que ma mère était morte je vais aller demandé des explications a Grand-mère .

Alors André Oscar et sa soi disante mère retournèrent a la demeure des Jarjayes pour en savoir plus.
André était vraiment furieux. Pourquoi grand-mère m’a caché ça. Il se dirigea vite vers la cuisine pour avoir des explications mais Oscar l’a retenu par son bras.
_ André attend. Il faut que tu te calmes. Je sais que c’est difficile pour toi mais…
_ Mais quoi… Toutes ces années j’ai vis dans un mensonge.
_Grand-mère a sûrement eu une bonne raison de ne rien te dire .
_Oui sûrement quand j'était petit mai le jour ou j'ai eu l'age de comprendre elle aurait put me révéler la vérité.
Grand-mère il faut que je te parle.
_ Oui André je t’écoute ça va ?
_ Pourquoi tu m’as menti ?
_ ANDRE !! Tu n’as pas honte.
_ Grand-mère pourquoi tu m’a dit que ma mère est morte ? et tu sais que ce n’est pas la vérité.
_ Euhh… à vrai dire c’est que …
_ Alors j’attends des explications !!!

Il était une fois, dans un pays endetté une
jeune fille blonde qui s'appelait Oscar et qui avait été élevée comme un
garçon. Son père, le Général de Jarjayes, était dur avec elle. Elle
n'avait qu'un ami qui s’appelait André Grandier. Ils étaient proches
et inséparables, dès leur enfance. André a été élevé par sa
Grand-mère qui était la nourrisse d'Oscar. Cette dernière la dernière fille des Jarjayes, aimait grand- mère et elle la considère membre de la famille.
Parfois, après avoir bu quelque verre avec André, grand -mère divaguait. Mais un jour elle dit à André qu’il ne devait plus regarder Oscar comme une future épouse ni même avouer ses sentiments envers elle car il ne fallait pas qu'André oublie qu'il n'était qu'un domestique, et elle fille de comte, et général par dessus le marché! André resta figé après ces paroles dures dites par sa grand-mère. Il n’a même pas géré ces mots. Il monta voir Oscar, qui était enfermée dans sa chambre toute la journée, et lui proposa d'aller faire une balade en forêt. Oscar était surprise par cette demande mais elle l’a bien caché mais elle accepta avec entrain.


_ Une balade en forêt ? Oui pourquoi pas. Ça sera une bonne idée. Allons y André.
_D'accord je vais prévenir Grand-mère, dit André.
Il commença à descendre les escaliers, mais il se ravisa, et décida de ne rien dire à Grand mère. André alla à l'écurie afin de préparer les deux chevaux en attendant qu’Oscar mette ses bottes. Il sella Appolline, le cheval de sa bien aimée, mais toujours il n’a pas pu chasser les paroles dures dites par sa grand-mère. Pourquoi lui avait elle dit cela? Cela se voyait tant qu'il l'aimait plus que sa vie? André secoua sa tête en arrière et ferma ses beaux yeux verts couleur émeraude.
Soudain, il entendit une voix cristalline qui le fit sortir de ses pensées amoureuses.
_ André !! André !! Tu rêves ou quoi ?
_Non non , je pensai juste a quelque chose. Rien d’important.
_Ah...une jolie fille peut-être? dit elle en riant.
André parla avec un voix triste
_ Oui, Oscar une belle fem… mais…
_Mais quoi André ... ?
_ Rien Oscar, rien alors et cette promenade dans la forêt on va le faire ?
_Oui ! répondit Oscar puis ils repartirent.
Oscar n’a pas voulu insister sur André ; elle n’a pas voulu l’intimider encore une fois.
Presque arriver à la forêt, André cria brusquement : OSCAR !!!
_ As- tu perdu la tête André. Vous allez effrayer les chevaux.
_Excuse moi...Mais, j'ai une question à te poser...
_Laquelle? dit elle en croisant les bras sur la poitrine.
André resta un peu silencieux. Il avait un peu peur, oui peur de perdre Oscar par cette simple question. Il n’a pas pu attendre puis il se retourna vers elle et lui dise :
_ Oscar ! Aimes-tu- Fersen ?
_Quoi???
_Oui, l'aimes tu toujours...demanda t il en levant les yeux vers elle.
_Quelle question André cela ne se pose pas ! et pour y répondre non .
_ Désolé Oscar je voulais tout simplement savoir
_Ca n'est rien mais pourquois cette question ?

André resta silencieux. Il n’a pas pu répondre à sa question. Il avait peur d’avouer ses sentiments envers elle. Oui envers la femme qui n’a pas cessé de l’aimer depuis toujours. Mais oscar a rompu ce silence.
_ Si tu ne veux pas me répondre tu peux me le dire.
_Oscar je ...je .... On est arrivé .
Oscar et Andre arrivèrent dans une petit auberge qu'ils connaissaient
Oscar jeta un regard à André, signifiant qu'elle n'avait pas dit son dernier mot, et ils entrèrent.

_Au fait André tout a l'heure tu n'avais pas fini ta phrase .
_ Oscar tu sais tu compte beaucoup pour moi. Je voulais te dire que je… je…
_ Quoi André?
_ Je ...
_ André!
Une jeune fille aux somptueux cheveux roux s'avança vers eux. Sa chevelure faisait penser à une queue de renarde, et ses yeux noirs, malicieux, étaient tout aussi déstabilisants que sont imposante mais envoûtante poitrine. Oscar se tourna vivement vers André:
_ Tu connais cette perronnelle? dit elle avec un ton cassant et glaciale.
_ Non, non je ne la connaît pas c’est la première fois que je le vois
_Pourtant, ELLE, elle semble très bien te connaître, et oh!! André!!!!
Ce qu'elle avait sous les yeux l'avait tellement choqué, qu'elle en était pétrifiée, figée sur place...
_C'est … c'est ma mère Oscar.
Oscar resta immobile par ces mots là; elle n’a pas gérée ce qui se passe.
—Non...réussi à articuler Oscar. Impossible...
Et pourtant c'était vrai, la dame qui se tenait devant eux était bel et bien la mère d'André. Elle s'approcha de son fils, et lui fit la bise sur la joue. Elle semblait elle même extrêmement troublée, qu'elle ne trouva rien d'autre à dire que:
"C'est ta fiancé mon chéri? vous fêtez un très beau couple en tous cas .
A ces paroles André et Oscar rougirent et restèrent bouches bés. André baissa les yeux vers le sol, imités de près par Oscar. Il venait de retrouver sa mère qu'il pensait morte, et alors qu'il était en train de croire au Seigneur, il fallait qu'elle les jette dans une situation de tout ce qu'il ya de plus embarrassant. Soudain, il sursauta, et tourna les pupilles vers la droite. Oscar avait tendrement saisit sa main... et réponde :
_Oui nous sommes fiancé depuis peut et nous allons nous marié.
André n’a pas dit un mot. Il était surpris par cette réponse. Lui qui attendait des années pour avouer son amour à Oscar et voilà il entend pour la première fois qu’oscar est sa fiancée. Il est toujours perturbé. Il parla à lui-même est ce que je rêve ? Où c’est la vérité. Il tourna vers Oscar pour chercher une réponse à ces questions. Oscar regarda André avec de grand yeux qui brillait et la André comprit qu'elle aussi l'aimait Oscar se jeta sur lui et l'embrassa à pleine bouche. Puis, elle lui chuchota au creux de l'oreille:
"Ecoute André. Cette folle croit être ta mère, il faut suivre son jeu si nous ne voulons pas avoir d'ennuis. André, tu m'écoutes?"
Tout est passé ci vite, André ne sait pas quoi faire. Il resta figé par ce baiser inattendu.
_ Hei ! André tu m’écoutes.
_ Oui Oscar. Je t’ai entendu très bien. Mais ce n'est pas une folle c'est bien ma mère !
_ Tu es sur mais ta mère est morte. C’est toi qui m’a dit que tu t’es élevé par ta grand-mère.
_Oui j'en suis sur que c'est ma mère , mais on m'a toujours dis que ma mère était morte je vais aller demandé des explications a Grand-mère .

Alors André Oscar et sa soi disante mère retournèrent a la demeure des Jarjayes pour en savoir plus.
André était vraiment furieux. Pourquoi grand-mère m’a caché ça. Il se dirigea vite vers la cuisine pour avoir des explications mais Oscar l’a retenu par son bras.
_ André attend. Il faut que tu te calmes. Je sais que c’est difficile pour toi mais…
_ Mais quoi… Toutes ces années j’ai vis dans un mensonge.
_Grand-mère a sûrement eu une bonne raison de ne rien te dire .
_Oui sûrement quand j'était petit mai le jour ou j'ai eu l'age de comprendre elle aurait put me révéler la vérité.
Grand-mère il faut que je te parle.
_ Oui André je t’écoute ça va ?
_ Pourquoi tu m’as menti ?
_ ANDRE !! Tu n’as pas honte.
_ Grand-mère pourquoi tu m’a dit que ma mère est morte ? et tu sais que ce n’est pas la vérité.
_ Euhh… à vrai dire c’est que …
_ Alors j’attends des explications !!!
_A la mort de ton pére ta mére était devenu depréssife et n'arrivé plus a s'occuper de toi alors elle ma demender de te pendre ccar elle savait que tu serait bien comme elle n'arriver pas a fair son deil alors elle partie dans un couvant pour s'isoler quelque temps voila toute l'histoire.
_Mais comment sait tu que ta mére n'est pas morte ?

Il était une fois, dans un pays endetté une
jeune fille blonde qui s'appelait Oscar et qui avait été élevée comme un
garçon. Son père, le Général de Jarjayes, était dur avec elle. Elle
n'avait qu'un ami qui s’appelait André Grandier. Ils étaient proches
et inséparables, dès leur enfance. André a été élevé par sa
Grand-mère qui était la nourrisse d'Oscar. Cette dernière la dernière fille des Jarjayes, aimait grand- mère et elle la considère membre de la famille.
Parfois, après avoir bu quelque verre avec André, grand -mère divaguait. Mais un jour elle dit à André qu’il ne devait plus regarder Oscar comme une future épouse ni même avouer ses sentiments envers elle car il ne fallait pas qu'André oublie qu'il n'était qu'un domestique, et elle fille de comte, et général par dessus le marché! André resta figé après ces paroles dures dites par sa grand-mère. Il n’a même pas géré ces mots. Il monta voir Oscar, qui était enfermée dans sa chambre toute la journée, et lui proposa d'aller faire une balade en forêt. Oscar était surprise par cette demande mais elle l’a bien caché mais elle accepta avec entrain.


_ Une balade en forêt ? Oui pourquoi pas. Ça sera une bonne idée. Allons y André.
_D'accord je vais prévenir Grand-mère, dit André.
Il commença à descendre les escaliers, mais il se ravisa, et décida de ne rien dire à Grand mère. André alla à l'écurie afin de préparer les deux chevaux en attendant qu’Oscar mette ses bottes. Il sella Appolline, le cheval de sa bien aimée, mais toujours il n’a pas pu chasser les paroles dures dites par sa grand-mère. Pourquoi lui avait elle dit cela? Cela se voyait tant qu'il l'aimait plus que sa vie? André secoua sa tête en arrière et ferma ses beaux yeux verts couleur émeraude.
Soudain, il entendit une voix cristalline qui le fit sortir de ses pensées amoureuses.
_ André !! André !! Tu rêves ou quoi ?
_Non non , je pensai juste a quelque chose. Rien d’important.
_Ah...une jolie fille peut-être? dit elle en riant.
André parla avec un voix triste
_ Oui, Oscar une belle fem… mais…
_Mais quoi André ... ?
_ Rien Oscar, rien alors et cette promenade dans la forêt on va le faire ?
_Oui ! répondit Oscar puis ils repartirent.
Oscar n’a pas voulu insister sur André ; elle n’a pas voulu l’intimider encore une fois.
Presque arriver à la forêt, André cria brusquement : OSCAR !!!
_ As- tu perdu la tête André. Vous allez effrayer les chevaux.
_Excuse moi...Mais, j'ai une question à te poser...
_Laquelle? dit elle en croisant les bras sur la poitrine.
André resta un peu silencieux. Il avait un peu peur, oui peur de perdre Oscar par cette simple question. Il n’a pas pu attendre puis il se retourna vers elle et lui dise :
_ Oscar ! Aimes-tu- Fersen ?
_Quoi???
_Oui, l'aimes tu toujours...demanda t il en levant les yeux vers elle.
_Quelle question André cela ne se pose pas ! et pour y répondre non .
_ Désolé Oscar je voulais tout simplement savoir
_Ca n'est rien mais pourquois cette question ?

André resta silencieux. Il n’a pas pu répondre à sa question. Il avait peur d’avouer ses sentiments envers elle. Oui envers la femme qui n’a pas cessé de l’aimer depuis toujours. Mais oscar a rompu ce silence.
_ Si tu ne veux pas me répondre tu peux me le dire.
_Oscar je ...je .... On est arrivé .
Oscar et Andre arrivèrent dans une petit auberge qu'ils connaissaient
Oscar jeta un regard à André, signifiant qu'elle n'avait pas dit son dernier mot, et ils entrèrent.

_Au fait André tout a l'heure tu n'avais pas fini ta phrase .
_ Oscar tu sais tu compte beaucoup pour moi. Je voulais te dire que je… je…
_ Quoi André?
_ Je ...
_ André!
Une jeune fille aux somptueux cheveux roux s'avança vers eux. Sa chevelure faisait penser à une queue de renarde, et ses yeux noirs, malicieux, étaient tout aussi déstabilisants que sont imposante mais envoûtante poitrine. Oscar se tourna vivement vers André:
_ Tu connais cette perronnelle? dit elle avec un ton cassant et glaciale.
_ Non, non je ne la connaît pas c’est la première fois que je le vois
_Pourtant, ELLE, elle semble très bien te connaître, et oh!! André!!!!
Ce qu'elle avait sous les yeux l'avait tellement choqué, qu'elle en était pétrifiée, figée sur place...
_C'est … c'est ma mère Oscar.
Oscar resta immobile par ces mots là; elle n’a pas gérée ce qui se passe.
—Non...réussi à articuler Oscar. Impossible...
Et pourtant c'était vrai, la dame qui se tenait devant eux était bel et bien la mère d'André. Elle s'approcha de son fils, et lui fit la bise sur la joue. Elle semblait elle même extrêmement troublée, qu'elle ne trouva rien d'autre à dire que:
"C'est ta fiancé mon chéri? vous fêtez un très beau couple en tous cas .
A ces paroles André et Oscar rougirent et restèrent bouches bés. André baissa les yeux vers le sol, imités de près par Oscar. Il venait de retrouver sa mère qu'il pensait morte, et alors qu'il était en train de croire au Seigneur, il fallait qu'elle les jette dans une situation de tout ce qu'il ya de plus embarrassant. Soudain, il sursauta, et tourna les pupilles vers la droite. Oscar avait tendrement saisit sa main... et réponde :
_Oui nous sommes fiancé depuis peut et nous allons nous marié.
André n’a pas dit un mot. Il était surpris par cette réponse. Lui qui attendait des années pour avouer son amour à Oscar et voilà il entend pour la première fois qu’oscar est sa fiancée. Il est toujours perturbé. Il parla à lui-même est ce que je rêve ? Où c’est la vérité. Il tourna vers Oscar pour chercher une réponse à ces questions. Oscar regarda André avec de grand yeux qui brillait et la André comprit qu'elle aussi l'aimait Oscar se jeta sur lui et l'embrassa à pleine bouche. Puis, elle lui chuchota au creux de l'oreille:
"Ecoute André. Cette folle croit être ta mère, il faut suivre son jeu si nous ne voulons pas avoir d'ennuis. André, tu m'écoutes?"
Tout est passé ci vite, André ne sait pas quoi faire. Il resta figé par ce baiser inattendu.
_ Hei ! André tu m’écoutes.
_ Oui Oscar. Je t’ai entendu très bien. Mais ce n'est pas une folle c'est bien ma mère !
_ Tu es sur mais ta mère est morte. C’est toi qui m’a dit que tu t’es élevé par ta grand-mère.
_Oui j'en suis sur que c'est ma mère , mais on m'a toujours dis que ma mère était morte je vais aller demandé des explications a Grand-mère .

Alors André Oscar et sa soi disante mère retournèrent a la demeure des Jarjayes pour en savoir plus.
André était vraiment furieux. Pourquoi grand-mère m’a caché ça. Il se dirigea vite vers la cuisine pour avoir des explications mais Oscar l’a retenu par son bras.
_ André attend. Il faut que tu te calmes. Je sais que c’est difficile pour toi mais…
_ Mais quoi… Toutes ces années j’ai vis dans un mensonge.
_Grand-mère a sûrement eu une bonne raison de ne rien te dire.
_Oui sûrement quand j'était petit mai le jour ou j'ai eu l'age de comprendre elle aurait put me révéler la vérité.
Grand-mère il faut que je te parle.
_ Oui André je t’écoute ça va ?
_ Pourquoi tu m’as menti ?
_ ANDRE !! Tu n’as pas honte.
_ Grand-mère pourquoi tu m’a dit que ma mère est morte ? et tu sais que ce n’est pas la vérité.
_ Euhh… à vrai dire c’est que …
_ Alors j’attends des explications !!!
_A la mort de ton père ta mère était devenue dépressive et elle n'arrivait plus à s'occuper de toi alors elle m’a demandé de te prendre car elle savait que tu serais bien comme elle n'arrivait pas à faire son deuil alors elle est partie dans un couvant pour s'isoler quelque temps voila toute l'histoire.
_Mais comment sait tu que ta mère n'est pas morte ?
_ Je l’ai vu aujourd’hui et elle m’a reconnu ci vite.
Oscar était là à les écouter sans dire un mot. Elle n’a pas voulu les interrompre. Mais elle était peinée pour André.

Il était une fois, dans un pays endetté une
jeune fille blonde qui s'appelait Oscar et qui avait été élevée comme un
garçon. Son père, le Général de Jarjayes, était dur avec elle. Elle
n'avait qu'un ami qui s’appelait André Grandier. Ils étaient proches
et inséparables, dès leur enfance. André a été élevé par sa
Grand-mère qui était la nourrisse d'Oscar. Cette dernière la dernière fille des Jarjayes, aimait grand- mère et elle la considère membre de la famille.
Parfois, après avoir bu quelque verre avec André, grand -mère divaguait. Mais un jour elle dit à André qu’il ne devait plus regarder Oscar comme une future épouse ni même avouer ses sentiments envers elle car il ne fallait pas qu'André oublie qu'il n'était qu'un domestique, et elle fille de comte, et général par dessus le marché! André resta figé après ces paroles dures dites par sa grand-mère. Il n’a même pas géré ces mots. Il monta voir Oscar, qui était enfermée dans sa chambre toute la journée, et lui proposa d'aller faire une balade en forêt. Oscar était surprise par cette demande mais elle l’a bien caché mais elle accepta avec entrain.


_ Une balade en forêt ? Oui pourquoi pas. Ça sera une bonne idée. Allons y André.
_D'accord je vais prévenir Grand-mère, dit André.
Il commença à descendre les escaliers, mais il se ravisa, et décida de ne rien dire à Grand mère. André alla à l'écurie afin de préparer les deux chevaux en attendant qu’Oscar mette ses bottes. Il sella Appolline, le cheval de sa bien aimée, mais toujours il n’a pas pu chasser les paroles dures dites par sa grand-mère. Pourquoi lui avait elle dit cela? Cela se voyait tant qu'il l'aimait plus que sa vie? André secoua sa tête en arrière et ferma ses beaux yeux verts couleur émeraude.
Soudain, il entendit une voix cristalline qui le fit sortir de ses pensées amoureuses.
_ André !! André !! Tu rêves ou quoi ?
_Non non , je pensai juste a quelque chose. Rien d’important.
_Ah...une jolie fille peut-être? dit elle en riant.
André parla avec un voix triste
_ Oui, Oscar une belle fem… mais…
_Mais quoi André ... ?
_ Rien Oscar, rien alors et cette promenade dans la forêt on va le faire ?
_Oui ! répondit Oscar puis ils repartirent.
Oscar n’a pas voulu insister sur André ; elle n’a pas voulu l’intimider encore une fois.
Presque arriver à la forêt, André cria brusquement : OSCAR !!!
_ As- tu perdu la tête André. Vous allez effrayer les chevaux.
_Excuse moi...Mais, j'ai une question à te poser...
_Laquelle? dit elle en croisant les bras sur la poitrine.
André resta un peu silencieux. Il avait un peu peur, oui peur de perdre Oscar par cette simple question. Il n’a pas pu attendre puis il se retourna vers elle et lui dise :
_ Oscar ! Aimes-tu- Fersen ?
_Quoi???
_Oui, l'aimes tu toujours...demanda t il en levant les yeux vers elle.
_Quelle question André cela ne se pose pas ! et pour y répondre non .
_ Désolé Oscar je voulais tout simplement savoir
_Ca n'est rien mais pourquois cette question ?

André resta silencieux. Il n’a pas pu répondre à sa question. Il avait peur d’avouer ses sentiments envers elle. Oui envers la femme qui n’a pas cessé de l’aimer depuis toujours. Mais oscar a rompu ce silence.
_ Si tu ne veux pas me répondre tu peux me le dire.
_Oscar je ...je .... On est arrivé .
Oscar et Andre arrivèrent dans une petit auberge qu'ils connaissaient
Oscar jeta un regard à André, signifiant qu'elle n'avait pas dit son dernier mot, et ils entrèrent.

_Au fait André tout a l'heure tu n'avais pas fini ta phrase .
_ Oscar tu sais tu compte beaucoup pour moi. Je voulais te dire que je… je…
_ Quoi André?
_ Je ...
_ André!
Une jeune fille aux somptueux cheveux roux s'avança vers eux. Sa chevelure faisait penser à une queue de renarde, et ses yeux noirs, malicieux, étaient tout aussi déstabilisants que sont imposante mais envoûtante poitrine. Oscar se tourna vivement vers André:
_ Tu connais cette perronnelle? dit elle avec un ton cassant et glaciale.
_ Non, non je ne la connaît pas c’est la première fois que je le vois
_Pourtant, ELLE, elle semble très bien te connaître, et oh!! André!!!!
Ce qu'elle avait sous les yeux l'avait tellement choqué, qu'elle en était pétrifiée, figée sur place...
_C'est … c'est ma mère Oscar.
Oscar resta immobile par ces mots là; elle n’a pas gérée ce qui se passe.
—Non...réussi à articuler Oscar. Impossible...
Et pourtant c'était vrai, la dame qui se tenait devant eux était bel et bien la mère d'André. Elle s'approcha de son fils, et lui fit la bise sur la joue. Elle semblait elle même extrêmement troublée, qu'elle ne trouva rien d'autre à dire que:
"C'est ta fiancé mon chéri? vous fêtez un très beau couple en tous cas .
A ces paroles André et Oscar rougirent et restèrent bouches bés. André baissa les yeux vers le sol, imités de près par Oscar. Il venait de retrouver sa mère qu'il pensait morte, et alors qu'il était en train de croire au Seigneur, il fallait qu'elle les jette dans une situation de tout ce qu'il ya de plus embarrassant. Soudain, il sursauta, et tourna les pupilles vers la droite. Oscar avait tendrement saisit sa main... et réponde :
_Oui nous sommes fiancé depuis peut et nous allons nous marié.
André n’a pas dit un mot. Il était surpris par cette réponse. Lui qui attendait des années pour avouer son amour à Oscar et voilà il entend pour la première fois qu’oscar est sa fiancée. Il est toujours perturbé. Il parla à lui-même est ce que je rêve ? Où c’est la vérité. Il tourna vers Oscar pour chercher une réponse à ces questions. Oscar regarda André avec de grand yeux qui brillait et la André comprit qu'elle aussi l'aimait Oscar se jeta sur lui et l'embrassa à pleine bouche. Puis, elle lui chuchota au creux de l'oreille:
"Ecoute André. Cette folle croit être ta mère, il faut suivre son jeu si nous ne voulons pas avoir d'ennuis. André, tu m'écoutes?"
Tout est passé ci vite, André ne sait pas quoi faire. Il resta figé par ce baiser inattendu.
_ Hei ! André tu m’écoutes.
_ Oui Oscar. Je t’ai entendu très bien. Mais ce n'est pas une folle c'est bien ma mère !
_ Tu es sur mais ta mère est morte. C’est toi qui m’a dit que tu t’es élevé par ta grand-mère.
_Oui j'en suis sur que c'est ma mère , mais on m'a toujours dis que ma mère était morte je vais aller demandé des explications a Grand-mère .

Alors André Oscar et sa soi disante mère retournèrent a la demeure des Jarjayes pour en savoir plus.
André était vraiment furieux. Pourquoi grand-mère m’a caché ça. Il se dirigea vite vers la cuisine pour avoir des explications mais Oscar l’a retenu par son bras.
_ André attend. Il faut que tu te calmes. Je sais que c’est difficile pour toi mais…
_ Mais quoi… Toutes ces années j’ai vis dans un mensonge.
_Grand-mère a sûrement eu une bonne raison de ne rien te dire.
_Oui sûrement quand j'était petit mai le jour ou j'ai eu l'age de comprendre elle aurait put me révéler la vérité.
Grand-mère il faut que je te parle.
_ Oui André je t’écoute ça va ?
_ Pourquoi tu m’as menti ?
_ ANDRE !! Tu n’as pas honte.
_ Grand-mère pourquoi tu m’a dit que ma mère est morte ? et tu sais que ce n’est pas la vérité.
_ Euhh… à vrai dire c’est que …
_ Alors j’attends des explications !!!
_A la mort de ton père ta mère était devenue dépressive et elle n'arrivait plus à s'occuper de toi alors elle m’a demandé de te prendre car elle savait que tu serais bien comme elle n'arrivait pas à faire son deuil alors elle est partie dans un couvant pour s'isoler quelque temps voila toute l'histoire.
_Mais comment sait tu que ta mère n'est pas morte ?
_ Je l’ai vu aujourd’hui et elle m’a reconnu ci vite.
Oscar était là à les écouter sans dire un mot. Elle n’a pas voulu les interrompre. Mais elle était peinée pour André.
_André ta mére est-elle venu ici ?
_Oui grand-mére est avec Oscar.
_Je peut la voir ?
_Bien sur que oui eller vient.

Il était une fois, dans un pays endetté une
jeune fille blonde qui s'appelait Oscar et qui avait été élevée comme un
garçon. Son père, le Général de Jarjayes, était dur avec elle. Elle
n'avait qu'un ami qui s’appelait André Grandier. Ils étaient proches
et inséparables, dès leur enfance. André a été élevé par sa
Grand-mère qui était la nourrisse d'Oscar. Cette dernière la dernière fille des Jarjayes, aimait grand- mère et elle la considère membre de la famille.
Parfois, après avoir bu quelque verre avec André, grand -mère divaguait. Mais un jour elle dit à André qu’il ne devait plus regarder Oscar comme une future épouse ni même avouer ses sentiments envers elle car il ne fallait pas qu'André oublie qu'il n'était qu'un domestique, et elle fille de comte, et général par dessus le marché! André resta figé après ces paroles dures dites par sa grand-mère. Il n’a même pas géré ces mots. Il monta voir Oscar, qui était enfermée dans sa chambre toute la journée, et lui proposa d'aller faire une balade en forêt. Oscar était surprise par cette demande mais elle l’a bien caché mais elle accepta avec entrain.


_ Une balade en forêt ? Oui pourquoi pas. Ça sera une bonne idée. Allons y André.
_D'accord je vais prévenir Grand-mère, dit André.
Il commença à descendre les escaliers, mais il se ravisa, et décida de ne rien dire à Grand mère. André alla à l'écurie afin de préparer les deux chevaux en attendant qu’Oscar mette ses bottes. Il sella Appolline, le cheval de sa bien aimée, mais toujours il n’a pas pu chasser les paroles dures dites par sa grand-mère. Pourquoi lui avait elle dit cela? Cela se voyait tant qu'il l'aimait plus que sa vie? André secoua sa tête en arrière et ferma ses beaux yeux verts couleur émeraude.
Soudain, il entendit une voix cristalline qui le fit sortir de ses pensées amoureuses.
_ André !! André !! Tu rêves ou quoi ?
_Non non , je pensai juste a quelque chose. Rien d’important.
_Ah...une jolie fille peut-être? dit elle en riant.
André parla avec un voix triste
_ Oui, Oscar une belle fem… mais…
_Mais quoi André ... ?
_ Rien Oscar, rien alors et cette promenade dans la forêt on va le faire ?
_Oui ! répondit Oscar puis ils repartirent.
Oscar n’a pas voulu insister sur André ; elle n’a pas voulu l’intimider encore une fois.
Presque arriver à la forêt, André cria brusquement : OSCAR !!!
_ As- tu perdu la tête André. Vous allez effrayer les chevaux.
_Excuse moi...Mais, j'ai une question à te poser...
_Laquelle? dit elle en croisant les bras sur la poitrine.
André resta un peu silencieux. Il avait un peu peur, oui peur de perdre Oscar par cette simple question. Il n’a pas pu attendre puis il se retourna vers elle et lui dise :
_ Oscar ! Aimes-tu- Fersen ?
_Quoi???
_Oui, l'aimes tu toujours...demanda t il en levant les yeux vers elle.
_Quelle question André cela ne se pose pas ! et pour y répondre non .
_ Désolé Oscar je voulais tout simplement savoir
_Ca n'est rien mais pourquois cette question ?

André resta silencieux. Il n’a pas pu répondre à sa question. Il avait peur d’avouer ses sentiments envers elle. Oui envers la femme qui n’a pas cessé de l’aimer depuis toujours. Mais oscar a rompu ce silence.
_ Si tu ne veux pas me répondre tu peux me le dire.
_Oscar je ...je .... On est arrivé .
Oscar et Andre arrivèrent dans une petit auberge qu'ils connaissaient
Oscar jeta un regard à André, signifiant qu'elle n'avait pas dit son dernier mot, et ils entrèrent.

_Au fait André tout a l'heure tu n'avais pas fini ta phrase .
_ Oscar tu sais tu compte beaucoup pour moi. Je voulais te dire que je… je…
_ Quoi André?
_ Je ...
_ André!
Une jeune fille aux somptueux cheveux roux s'avança vers eux. Sa chevelure faisait penser à une queue de renarde, et ses yeux noirs, malicieux, étaient tout aussi déstabilisants que sont imposante mais envoûtante poitrine. Oscar se tourna vivement vers André:
_ Tu connais cette perronnelle? dit elle avec un ton cassant et glaciale.
_ Non, non je ne la connaît pas c’est la première fois que je le vois
_Pourtant, ELLE, elle semble très bien te connaître, et oh!! André!!!!
Ce qu'elle avait sous les yeux l'avait tellement choqué, qu'elle en était pétrifiée, figée sur place...
_C'est … c'est ma mère Oscar.
Oscar resta immobile par ces mots là; elle n’a pas gérée ce qui se passe.
—Non...réussi à articuler Oscar. Impossible...
Et pourtant c'était vrai, la dame qui se tenait devant eux était bel et bien la mère d'André. Elle s'approcha de son fils, et lui fit la bise sur la joue. Elle semblait elle même extrêmement troublée, qu'elle ne trouva rien d'autre à dire que:
"C'est ta fiancé mon chéri? vous fêtez un très beau couple en tous cas .
A ces paroles André et Oscar rougirent et restèrent bouches bés. André baissa les yeux vers le sol, imités de près par Oscar. Il venait de retrouver sa mère qu'il pensait morte, et alors qu'il était en train de croire au Seigneur, il fallait qu'elle les jette dans une situation de tout ce qu'il ya de plus embarrassant. Soudain, il sursauta, et tourna les pupilles vers la droite. Oscar avait tendrement saisit sa main... et réponde :
_Oui nous sommes fiancé depuis peut et nous allons nous marié.
André n’a pas dit un mot. Il était surpris par cette réponse. Lui qui attendait des années pour avouer son amour à Oscar et voilà il entend pour la première fois qu’oscar est sa fiancée. Il est toujours perturbé. Il parla à lui-même est ce que je rêve ? Où c’est la vérité. Il tourna vers Oscar pour chercher une réponse à ces questions. Oscar regarda André avec de grand yeux qui brillait et la André comprit qu'elle aussi l'aimait Oscar se jeta sur lui et l'embrassa à pleine bouche. Puis, elle lui chuchota au creux de l'oreille:
"Ecoute André. Cette folle croit être ta mère, il faut suivre son jeu si nous ne voulons pas avoir d'ennuis. André, tu m'écoutes?"
Tout est passé ci vite, André ne sait pas quoi faire. Il resta figé par ce baiser inattendu.
_ Hei ! André tu m’écoutes.
_ Oui Oscar. Je t’ai entendu très bien. Mais ce n'est pas une folle c'est bien ma mère !
_ Tu es sur mais ta mère est morte. C’est toi qui m’a dit que tu t’es élevé par ta grand-mère.
_Oui j'en suis sur que c'est ma mère , mais on m'a toujours dis que ma mère était morte je vais aller demandé des explications a Grand-mère .

Alors André Oscar et sa soi disante mère retournèrent a la demeure des Jarjayes pour en savoir plus.
André était vraiment furieux. Pourquoi grand-mère m’a caché ça. Il se dirigea vite vers la cuisine pour avoir des explications mais Oscar l’a retenu par son bras.
_ André attend. Il faut que tu te calmes. Je sais que c’est difficile pour toi mais…
_ Mais quoi… Toutes ces années j’ai vis dans un mensonge.
_Grand-mère a sûrement eu une bonne raison de ne rien te dire.
_Oui sûrement quand j'était petit mai le jour ou j'ai eu l'age de comprendre elle aurait put me révéler la vérité.
Grand-mère il faut que je te parle.
_ Oui André je t’écoute ça va ?
_ Pourquoi tu m’as menti ?
_ ANDRE !! Tu n’as pas honte.
_ Grand-mère pourquoi tu m’a dit que ma mère est morte ? et tu sais que ce n’est pas la vérité.
_ Euhh… à vrai dire c’est que …
_ Alors j’attends des explications !!!
_A la mort de ton père ta mère était devenue dépressive et elle n'arrivait plus à s'occuper de toi alors elle m’a demandé de te prendre car elle savait que tu serais bien comme elle n'arrivait pas à faire son deuil alors elle est partie dans un couvant pour s'isoler quelque temps voila toute l'histoire.
_Mais comment sait tu que ta mère n'est pas morte ?
_ Je l’ai vu aujourd’hui et elle m’a reconnu ci vite.
Oscar était là à les écouter sans dire un mot. Elle n’a pas voulu les interrompre. Mais elle était peinée pour André.
_André ta mère est-elle venue ici ?
_Oui grand-mère elle est avec Oscar.
_Je peut la voir ?
_Bien sur que oui elle vient.
Lorsque la mère d’André vus grand-mère elle s’est jetée sur elle. Elle était vraiment contente de la voir mais malheureusement la grand-mère était si froide avec elle.
_ Pourquoi tu es venue ?

Il était une fois, dans un pays endetté une
jeune fille blonde qui s'appelait Oscar et qui avait été élevée comme un
garçon. Son père, le Général de Jarjayes, était dur avec elle. Elle
n'avait qu'un ami qui s’appelait André Grandier. Ils étaient proches
et inséparables, dès leur enfance. André a été élevé par sa
Grand-mère qui était la nourrisse d'Oscar. Cette dernière la dernière fille des Jarjayes, aimait grand- mère et elle la considère membre de la famille.
Parfois, après avoir bu quelque verre avec André, grand -mère divaguait. Mais un jour elle dit à André qu’il ne devait plus regarder Oscar comme une future épouse ni même avouer ses sentiments envers elle car il ne fallait pas qu'André oublie qu'il n'était qu'un domestique, et elle fille de comte, et général par dessus le marché! André resta figé après ces paroles dures dites par sa grand-mère. Il n’a même pas géré ces mots. Il monta voir Oscar, qui était enfermée dans sa chambre toute la journée, et lui proposa d'aller faire une balade en forêt. Oscar était surprise par cette demande mais elle l’a bien caché mais elle accepta avec entrain.


_ Une balade en forêt ? Oui pourquoi pas. Ça sera une bonne idée. Allons y André.
_D'accord je vais prévenir Grand-mère, dit André.
Il commença à descendre les escaliers, mais il se ravisa, et décida de ne rien dire à Grand mère. André alla à l'écurie afin de préparer les deux chevaux en attendant qu’Oscar mette ses bottes. Il sella Appolline, le cheval de sa bien aimée, mais toujours il n’a pas pu chasser les paroles dures dites par sa grand-mère. Pourquoi lui avait elle dit cela? Cela se voyait tant qu'il l'aimait plus que sa vie? André secoua sa tête en arrière et ferma ses beaux yeux verts couleur émeraude.
Soudain, il entendit une voix cristalline qui le fit sortir de ses pensées amoureuses.
_ André !! André !! Tu rêves ou quoi ?
_Non non , je pensai juste a quelque chose. Rien d’important.
_Ah...une jolie fille peut-être? dit elle en riant.
André parla avec un voix triste
_ Oui, Oscar une belle fem… mais…
_Mais quoi André ... ?
_ Rien Oscar, rien alors et cette promenade dans la forêt on va le faire ?
_Oui ! répondit Oscar puis ils repartirent.
Oscar n’a pas voulu insister sur André ; elle n’a pas voulu l’intimider encore une fois.
Presque arriver à la forêt, André cria brusquement : OSCAR !!!
_ As- tu perdu la tête André. Vous allez effrayer les chevaux.
_Excuse moi...Mais, j'ai une question à te poser...
_Laquelle? dit elle en croisant les bras sur la poitrine.
André resta un peu silencieux. Il avait un peu peur, oui peur de perdre Oscar par cette simple question. Il n’a pas pu attendre puis il se retourna vers elle et lui dise :
_ Oscar ! Aimes-tu- Fersen ?
_Quoi???
_Oui, l'aimes tu toujours...demanda t il en levant les yeux vers elle.
_Quelle question André cela ne se pose pas ! et pour y répondre non .
_ Désolé Oscar je voulais tout simplement savoir
_Ca n'est rien mais pourquois cette question ?

André resta silencieux. Il n’a pas pu répondre à sa question. Il avait peur d’avouer ses sentiments envers elle. Oui envers la femme qui n’a pas cessé de l’aimer depuis toujours. Mais oscar a rompu ce silence.
_ Si tu ne veux pas me répondre tu peux me le dire.
_Oscar je ...je .... On est arrivé .
Oscar et Andre arrivèrent dans une petit auberge qu'ils connaissaient
Oscar jeta un regard à André, signifiant qu'elle n'avait pas dit son dernier mot, et ils entrèrent.

_Au fait André tout a l'heure tu n'avais pas fini ta phrase .
_ Oscar tu sais tu compte beaucoup pour moi. Je voulais te dire que je… je…
_ Quoi André?
_ Je ...
_ André!
Une jeune fille aux somptueux cheveux roux s'avança vers eux. Sa chevelure faisait penser à une queue de renarde, et ses yeux noirs, malicieux, étaient tout aussi déstabilisants que sont imposante mais envoûtante poitrine. Oscar se tourna vivement vers André:
_ Tu connais cette perronnelle? dit elle avec un ton cassant et glaciale.
_ Non, non je ne la connaît pas c’est la première fois que je le vois
_Pourtant, ELLE, elle semble très bien te connaître, et oh!! André!!!!
Ce qu'elle avait sous les yeux l'avait tellement choqué, qu'elle en était pétrifiée, figée sur place...
_C'est … c'est ma mère Oscar.
Oscar resta immobile par ces mots là; elle n’a pas gérée ce qui se passe.
—Non...réussi à articuler Oscar. Impossible...
Et pourtant c'était vrai, la dame qui se tenait devant eux était bel et bien la mère d'André. Elle s'approcha de son fils, et lui fit la bise sur la joue. Elle semblait elle même extrêmement troublée, qu'elle ne trouva rien d'autre à dire que:
"C'est ta fiancé mon chéri? vous fêtez un très beau couple en tous cas .
A ces paroles André et Oscar rougirent et restèrent bouches bés. André baissa les yeux vers le sol, imités de près par Oscar. Il venait de retrouver sa mère qu'il pensait morte, et alors qu'il était en train de croire au Seigneur, il fallait qu'elle les jette dans une situation de tout ce qu'il ya de plus embarrassant. Soudain, il sursauta, et tourna les pupilles vers la droite. Oscar avait tendrement saisit sa main... et réponde :
_Oui nous sommes fiancé depuis peut et nous allons nous marié.
André n’a pas dit un mot. Il était surpris par cette réponse. Lui qui attendait des années pour avouer son amour à Oscar et voilà il entend pour la première fois qu’oscar est sa fiancée. Il est toujours perturbé. Il parla à lui-même est ce que je rêve ? Où c’est la vérité. Il tourna vers Oscar pour chercher une réponse à ces questions. Oscar regarda André avec de grand yeux qui brillait et la André comprit qu'elle aussi l'aimait Oscar se jeta sur lui et l'embrassa à pleine bouche. Puis, elle lui chuchota au creux de l'oreille:
"Ecoute André. Cette folle croit être ta mère, il faut suivre son jeu si nous ne voulons pas avoir d'ennuis. André, tu m'écoutes?"
Tout est passé ci vite, André ne sait pas quoi faire. Il resta figé par ce baiser inattendu.
_ Hei ! André tu m’écoutes.
_ Oui Oscar. Je t’ai entendu très bien. Mais ce n'est pas une folle c'est bien ma mère !
_ Tu es sur mais ta mère est morte. C’est toi qui m’a dit que tu t’es élevé par ta grand-mère.
_Oui j'en suis sur que c'est ma mère , mais on m'a toujours dis que ma mère était morte je vais aller demandé des explications a Grand-mère .

Alors André Oscar et sa soi disante mère retournèrent a la demeure des Jarjayes pour en savoir plus.
André était vraiment furieux. Pourquoi grand-mère m’a caché ça. Il se dirigea vite vers la cuisine pour avoir des explications mais Oscar l’a retenu par son bras.
_ André attend. Il faut que tu te calmes. Je sais que c’est difficile pour toi mais…
_ Mais quoi… Toutes ces années j’ai vis dans un mensonge.
_Grand-mère a sûrement eu une bonne raison de ne rien te dire.
_Oui sûrement quand j'était petit mai le jour ou j'ai eu l'age de comprendre elle aurait put me révéler la vérité.
Grand-mère il faut que je te parle.
_ Oui André je t’écoute ça va ?
_ Pourquoi tu m’as menti ?
_ ANDRE !! Tu n’as pas honte.
_ Grand-mère pourquoi tu m’a dit que ma mère est morte ? et tu sais que ce n’est pas la vérité.
_ Euhh… à vrai dire c’est que …
_ Alors j’attends des explications !!!
_A la mort de ton père ta mère était devenue dépressive et elle n'arrivait plus à s'occuper de toi alors elle m’a demandé de te prendre car elle savait que tu serais bien comme elle n'arrivait pas à faire son deuil alors elle est partie dans un couvant pour s'isoler quelque temps voila toute l'histoire.
_Mais comment sait tu que ta mère n'est pas morte ?
_ Je l’ai vu aujourd’hui et elle m’a reconnu ci vite.
Oscar était là à les écouter sans dire un mot. Elle n’a pas voulu les interrompre. Mais elle était peinée pour André.
_André ta mère est-elle venue ici ?
_Oui grand-mère elle est avec Oscar.
_Je peut la voir ?
_Bien sur que oui elle vient.
Lorsque la mère d’André vus grand-mère elle s’est jetée sur elle. Elle était vraiment contente de la voir mais malheureusement la grand-mère était si froide avec elle.
_ Pourquoi tu es venue ?

Il était une fois, dans un pays endetté une
jeune fille blonde qui s'appelait Oscar et qui avait été élevée comme un
garçon. Son père, le Général de Jarjayes, était dur avec elle. Elle
n'avait qu'un ami qui s’appelait André Grandier. Ils étaient proches
et inséparables, dès leur enfance. André a été élevé par sa
Grand-mère qui était la nourrisse d'Oscar. Cette dernière la dernière fille des Jarjayes, aimait grand- mère et elle la considère membre de la famille.
Parfois, après avoir bu quelque verre avec André, grand -mère divaguait. Mais un jour elle dit à André qu’il ne devait plus regarder Oscar comme une future épouse ni même avouer ses sentiments envers elle car il ne fallait pas qu'André oublie qu'il n'était qu'un domestique, et elle fille de comte, et général par dessus le marché! André resta figé après ces paroles dures dites par sa grand-mère. Il n’a même pas géré ces mots. Il monta voir Oscar, qui était enfermée dans sa chambre toute la journée, et lui proposa d'aller faire une balade en forêt. Oscar était surprise par cette demande mais elle l’a bien caché mais elle accepta avec entrain.


_ Une balade en forêt ? Oui pourquoi pas. Ça sera une bonne idée. Allons y André.
_D'accord je vais prévenir Grand-mère, dit André.
Il commença à descendre les escaliers, mais il se ravisa, et décida de ne rien dire à Grand mère. André alla à l'écurie afin de préparer les deux chevaux en attendant qu’Oscar mette ses bottes. Il sella Appolline, le cheval de sa bien aimée, mais toujours il n’a pas pu chasser les paroles dures dites par sa grand-mère. Pourquoi lui avait elle dit cela? Cela se voyait tant qu'il l'aimait plus que sa vie? André secoua sa tête en arrière et ferma ses beaux yeux verts couleur émeraude.
Soudain, il entendit une voix cristalline qui le fit sortir de ses pensées amoureuses.
_ André !! André !! Tu rêves ou quoi ?
_Non non , je pensai juste a quelque chose. Rien d’important.
_Ah...une jolie fille peut-être? dit elle en riant.
André parla avec un voix triste
_ Oui, Oscar une belle fem… mais…
_Mais quoi André ... ?
_ Rien Oscar, rien alors et cette promenade dans la forêt on va le faire ?
_Oui ! répondit Oscar puis ils repartirent.
Oscar n’a pas voulu insister sur André ; elle n’a pas voulu l’intimider encore une fois.
Presque arriver à la forêt, André cria brusquement : OSCAR !!!
_ As- tu perdu la tête André. Vous allez effrayer les chevaux.
_Excuse moi...Mais, j'ai une question à te poser...
_Laquelle? dit elle en croisant les bras sur la poitrine.
André resta un peu silencieux. Il avait un peu peur, oui peur de perdre Oscar par cette simple question. Il n’a pas pu attendre puis il se retourna vers elle et lui dise :
_ Oscar ! Aimes-tu- Fersen ?
_Quoi???
_Oui, l'aimes tu toujours...demanda t il en levant les yeux vers elle.
_Quelle question André cela ne se pose pas ! et pour y répondre non .
_ Désolé Oscar je voulais tout simplement savoir
_Ca n'est rien mais pourquois cette question ?

André resta silencieux. Il n’a pas pu répondre à sa question. Il avait peur d’avouer ses sentiments envers elle. Oui envers la femme qui n’a pas cessé de l’aimer depuis toujours. Mais oscar a rompu ce silence.
_ Si tu ne veux pas me répondre tu peux me le dire.
_Oscar je ...je .... On est arrivé .
Oscar et Andre arrivèrent dans une petit auberge qu'ils connaissaient
Oscar jeta un regard à André, signifiant qu'elle n'avait pas dit son dernier mot, et ils entrèrent.

_Au fait André tout a l'heure tu n'avais pas fini ta phrase .
_ Oscar tu sais tu compte beaucoup pour moi. Je voulais te dire que je… je…
_ Quoi André?
_ Je ...
_ André!
Une jeune fille aux somptueux cheveux roux s'avança vers eux. Sa chevelure faisait penser à une queue de renarde, et ses yeux noirs, malicieux, étaient tout aussi déstabilisants que sont imposante mais envoûtante poitrine. Oscar se tourna vivement vers André:
_ Tu connais cette perronnelle? dit elle avec un ton cassant et glaciale.
_ Non, non je ne la connaît pas c’est la première fois que je le vois
_Pourtant, ELLE, elle semble très bien te connaître, et oh!! André!!!!
Ce qu'elle avait sous les yeux l'avait tellement choqué, qu'elle en était pétrifiée, figée sur place...
_C'est … c'est ma mère Oscar.
Oscar resta immobile par ces mots là; elle n’a pas gérée ce qui se passe.
—Non...réussi à articuler Oscar. Impossible...
Et pourtant c'était vrai, la dame qui se tenait devant eux était bel et bien la mère d'André. Elle s'approcha de son fils, et lui fit la bise sur la joue. Elle semblait elle même extrêmement troublée, qu'elle ne trouva rien d'autre à dire que:
"C'est ta fiancé mon chéri? vous fêtez un très beau couple en tous cas .
A ces paroles André et Oscar rougirent et restèrent bouches bés. André baissa les yeux vers le sol, imités de près par Oscar. Il venait de retrouver sa mère qu'il pensait morte, et alors qu'il était en train de croire au Seigneur, il fallait qu'elle les jette dans une situation de tout ce qu'il ya de plus embarrassant. Soudain, il sursauta, et tourna les pupilles vers la droite. Oscar avait tendrement saisit sa main... et réponde :
_Oui nous sommes fiancé depuis peut et nous allons nous marié.
André n’a pas dit un mot. Il était surpris par cette réponse. Lui qui attendait des années pour avouer son amour à Oscar et voilà il entend pour la première fois qu’oscar est sa fiancée. Il est toujours perturbé. Il parla à lui-même est ce que je rêve ? Où c’est la vérité. Il tourna vers Oscar pour chercher une réponse à ces questions. Oscar regarda André avec de grand yeux qui brillait et la André comprit qu'elle aussi l'aimait Oscar se jeta sur lui et l'embrassa à pleine bouche. Puis, elle lui chuchota au creux de l'oreille:
"Ecoute André. Cette folle croit être ta mère, il faut suivre son jeu si nous ne voulons pas avoir d'ennuis. André, tu m'écoutes?"
Tout est passé ci vite, André ne sait pas quoi faire. Il resta figé par ce baiser inattendu.
_ Hei ! André tu m’écoutes.
_ Oui Oscar. Je t’ai entendu très bien. Mais ce n'est pas une folle c'est bien ma mère !
_ Tu es sur mais ta mère est morte. C’est toi qui m’a dit que tu t’es élevé par ta grand-mère.
_Oui j'en suis sur que c'est ma mère , mais on m'a toujours dis que ma mère était morte je vais aller demandé des explications a Grand-mère .

Alors André Oscar et sa soi disante mère retournèrent a la demeure des Jarjayes pour en savoir plus.
André était vraiment furieux. Pourquoi grand-mère m’a caché ça. Il se dirigea vite vers la cuisine pour avoir des explications mais Oscar l’a retenu par son bras.
_ André attend. Il faut que tu te calmes. Je sais que c’est difficile pour toi mais…
_ Mais quoi… Toutes ces années j’ai vis dans un mensonge.
_Grand-mère a sûrement eu une bonne raison de ne rien te dire.
_Oui sûrement quand j'était petit mai le jour ou j'ai eu l'age de comprendre elle aurait put me révéler la vérité.
Grand-mère il faut que je te parle.
_ Oui André je t’écoute ça va ?
_ Pourquoi tu m’as menti ?
_ ANDRE !! Tu n’as pas honte.
_ Grand-mère pourquoi tu m’a dit que ma mère est morte ? et tu sais que ce n’est pas la vérité.
_ Euhh… à vrai dire c’est que …
_ Alors j’attends des explications !!!
_A la mort de ton père ta mère était devenue dépressive et elle n'arrivait plus à s'occuper de toi alors elle m’a demandé de te prendre car elle savait que tu serais bien comme elle n'arrivait pas à faire son deuil alors elle est partie dans un couvant pour s'isoler quelque temps voila toute l'histoire.
_Mais comment sait tu que ta mère n'est pas morte ?
_ Je l’ai vu aujourd’hui et elle m’a reconnu ci vite.
Oscar était là à les écouter sans dire un mot. Elle n’a pas voulu les interrompre. Mais elle était peinée pour André.
_André ta mère est-elle venue ici ?
_Oui grand-mère elle est avec Oscar.
_Je peut la voir ?
_Bien sur que oui elle vient.
Lorsque la mère d’André vus grand-mère elle s’est jetée sur elle. Elle était vraiment contente de la voir mais malheureusement la grand-mère était si froide avec elle.
_ Pourquoi tu es venue ?
_Ons'est rencontré dans une auberge André et sa fiancé .
_Comment sa sa FIANCE !!
_Ba oui grand-mére rapelle toi André et moi somme fiancé .
_A oui c'est vrai compte tu rester ?
_Non je ne veut pas vous deranger
_Ma..MAMAN reste je ne vux pas que tu parte j'ai besoin de te parler .
_OUI restez cela ne derangera pas mon pére grand-mére peut-tu lui préparez une chambre stp ? merci
_André Oscar il va falloir que je vous parle .
_Vient maman je vais te présenter aux parents d'Oscar .

Il était une fois, dans un pays endetté une
jeune fille blonde qui s'appelait Oscar et qui avait été élevée comme un
garçon. Son père, le Général de Jarjayes, était dur avec elle. Elle
n'avait qu'un ami qui s’appelait André Grandier. Ils étaient proches
et inséparables, dès leur enfance. André a été élevé par sa
Grand-mère qui était la nourrisse d'Oscar. Cette dernière la dernière fille des Jarjayes, aimait grand- mère et elle la considère membre de la famille.
Parfois, après avoir bu quelque verre avec André, grand -mère divaguait. Mais un jour elle dit à André qu’il ne devait plus regarder Oscar comme une future épouse ni même avouer ses sentiments envers elle car il ne fallait pas qu'André oublie qu'il n'était qu'un domestique, et elle fille de comte, et général par dessus le marché! André resta figé après ces paroles dures dites par sa grand-mère. Il n’a même pas géré ces mots. Il monta voir Oscar, qui était enfermée dans sa chambre toute la journée, et lui proposa d'aller faire une balade en forêt. Oscar était surprise par cette demande mais elle l’a bien caché mais elle accepta avec entrain.


_ Une balade en forêt ? Oui pourquoi pas. Ça sera une bonne idée. Allons y André.
_D'accord je vais prévenir Grand-mère, dit André.
Il commença à descendre les escaliers, mais il se ravisa, et décida de ne rien dire à Grand mère. André alla à l'écurie afin de préparer les deux chevaux en attendant qu’Oscar mette ses bottes. Il sella Appolline, le cheval de sa bien aimée, mais toujours il n’a pas pu chasser les paroles dures dites par sa grand-mère. Pourquoi lui avait elle dit cela? Cela se voyait tant qu'il l'aimait plus que sa vie? André secoua sa tête en arrière et ferma ses beaux yeux verts couleur émeraude.
Soudain, il entendit une voix cristalline qui le fit sortir de ses pensées amoureuses.
_ André !! André !! Tu rêves ou quoi ?
_Non non , je pensai juste a quelque chose. Rien d’important.
_Ah...une jolie fille peut-être? dit elle en riant.
André parla avec un voix triste
_ Oui, Oscar une belle fem… mais…
_Mais quoi André ... ?
_ Rien Oscar, rien alors et cette promenade dans la forêt on va le faire ?
_Oui ! répondit Oscar puis ils repartirent.
Oscar n’a pas voulu insister sur André ; elle n’a pas voulu l’intimider encore une fois.
Presque arriver à la forêt, André cria brusquement : OSCAR !!!
_ As- tu perdu la tête André. Vous allez effrayer les chevaux.
_Excuse moi...Mais, j'ai une question à te poser...
_Laquelle? dit elle en croisant les bras sur la poitrine.
André resta un peu silencieux. Il avait un peu peur, oui peur de perdre Oscar par cette simple question. Il n’a pas pu attendre puis il se retourna vers elle et lui dise :
_ Oscar ! Aimes-tu- Fersen ?
_Quoi???
_Oui, l'aimes tu toujours...demanda t il en levant les yeux vers elle.
_Quelle question André cela ne se pose pas ! et pour y répondre non .
_ Désolé Oscar je voulais tout simplement savoir
_Ca n'est rien mais pourquois cette question ?

André resta silencieux. Il n’a pas pu répondre à sa question. Il avait peur d’avouer ses sentiments envers elle. Oui envers la femme qui n’a pas cessé de l’aimer depuis toujours. Mais oscar a rompu ce silence.
_ Si tu ne veux pas me répondre tu peux me le dire.
_Oscar je ...je .... On est arrivé .
Oscar et Andre arrivèrent dans une petit auberge qu'ils connaissaient
Oscar jeta un regard à André, signifiant qu'elle n'avait pas dit son dernier mot, et ils entrèrent.

_Au fait André tout a l'heure tu n'avais pas fini ta phrase .
_ Oscar tu sais tu compte beaucoup pour moi. Je voulais te dire que je… je…
_ Quoi André?
_ Je ...
_ André!
Une jeune fille aux somptueux cheveux roux s'avança vers eux. Sa chevelure faisait penser à une queue de renarde, et ses yeux noirs, malicieux, étaient tout aussi déstabilisants que sont imposante mais envoûtante poitrine. Oscar se tourna vivement vers André:
_ Tu connais cette perronnelle? dit elle avec un ton cassant et glaciale.
_ Non, non je ne la connaît pas c’est la première fois que je le vois
_Pourtant, ELLE, elle semble très bien te connaître, et oh!! André!!!!
Ce qu'elle avait sous les yeux l'avait tellement choqué, qu'elle en était pétrifiée, figée sur place...
_C'est … c'est ma mère Oscar.
Oscar resta immobile par ces mots là; elle n’a pas gérée ce qui se passe.
—Non...réussi à articuler Oscar. Impossible...
Et pourtant c'était vrai, la dame qui se tenait devant eux était bel et bien la mère d'André. Elle s'approcha de son fils, et lui fit la bise sur la joue. Elle semblait elle même extrêmement troublée, qu'elle ne trouva rien d'autre à dire que:
"C'est ta fiancé mon chéri? vous fêtez un très beau couple en tous cas .
A ces paroles André et Oscar rougirent et restèrent bouches bés. André baissa les yeux vers le sol, imités de près par Oscar. Il venait de retrouver sa mère qu'il pensait morte, et alors qu'il était en train de croire au Seigneur, il fallait qu'elle les jette dans une situation de tout ce qu'il ya de plus embarrassant. Soudain, il sursauta, et tourna les pupilles vers la droite. Oscar avait tendrement saisit sa main... et réponde :
_Oui nous sommes fiancé depuis peut et nous allons nous marié.
André n’a pas dit un mot. Il était surpris par cette réponse. Lui qui attendait des années pour avouer son amour à Oscar et voilà il entend pour la première fois qu’oscar est sa fiancée. Il est toujours perturbé. Il parla à lui-même est ce que je rêve ? Où c’est la vérité. Il tourna vers Oscar pour chercher une réponse à ces questions. Oscar regarda André avec de grand yeux qui brillait et la André comprit qu'elle aussi l'aimait Oscar se jeta sur lui et l'embrassa à pleine bouche. Puis, elle lui chuchota au creux de l'oreille:
"Ecoute André. Cette folle croit être ta mère, il faut suivre son jeu si nous ne voulons pas avoir d'ennuis. André, tu m'écoutes?"
Tout est passé ci vite, André ne sait pas quoi faire. Il resta figé par ce baiser inattendu.
_ Hei ! André tu m’écoutes.
_ Oui Oscar. Je t’ai entendu très bien. Mais ce n'est pas une folle c'est bien ma mère !
_ Tu es sur mais ta mère est morte. C’est toi qui m’a dit que tu t’es élevé par ta grand-mère.
_Oui j'en suis sur que c'est ma mère , mais on m'a toujours dis que ma mère était morte je vais aller demandé des explications a Grand-mère .

Alors André Oscar et sa soi disante mère retournèrent a la demeure des Jarjayes pour en savoir plus.
André était vraiment furieux. Pourquoi grand-mère m’a caché ça. Il se dirigea vite vers la cuisine pour avoir des explications mais Oscar l’a retenu par son bras.
_ André attend. Il faut que tu te calmes. Je sais que c’est difficile pour toi mais…
_ Mais quoi… Toutes ces années j’ai vis dans un mensonge.
_Grand-mère a sûrement eu une bonne raison de ne rien te dire.
_Oui sûrement quand j'était petit mai le jour ou j'ai eu l'age de comprendre elle aurait put me révéler la vérité.
Grand-mère il faut que je te parle.
_ Oui André je t’écoute ça va ?
_ Pourquoi tu m’as menti ?
_ ANDRE !! Tu n’as pas honte.
_ Grand-mère pourquoi tu m’a dit que ma mère est morte ? et tu sais que ce n’est pas la vérité.
_ Euhh… à vrai dire c’est que …
_ Alors j’attends des explications !!!
_A la mort de ton père ta mère était devenue dépressive et elle n'arrivait plus à s'occuper de toi alors elle m’a demandé de te prendre car elle savait que tu serais bien comme elle n'arrivait pas à faire son deuil alors elle est partie dans un couvant pour s'isoler quelque temps voila toute l'histoire.
_Mais comment sait tu que ta mère n'est pas morte ?
_ Je l’ai vu aujourd’hui et elle m’a reconnu ci vite.
Oscar était là à les écouter sans dire un mot. Elle n’a pas voulu les interrompre. Mais elle était peinée pour André.
_André ta mère est-elle venue ici ?
_Oui grand-mère elle est avec Oscar.
_Je peut la voir ?
_Bien sur que oui elle vient.
Lorsque la mère d’André vus grand-mère elle s’est jetée sur elle. Elle était vraiment contente de la voir mais malheureusement la grand-mère était si froide avec elle.
_ Pourquoi tu es venue ?
_On s'est rencontré dans une auberge André et sa fiancée.
_Comment sa sa FIANCE !!
_Bain oui grand-mère rappelle toi André et moi somme fiancée.
_A oui c'est vrai compte tu rester ?
_Non je ne veut pas vous déranger
_Ma… MAMAN reste je ne veux pas que tu parte j'ai besoin de te parler.
_OUI restez cela ne dérangera pas mon père grand-mére peut-tu lui préparez une chambre stp ? merci
_André Oscar il va falloir que je vous parle .
_Vient maman je vais te présenter aux parents d’Oscar.
_ Oui André avec plaisir
Oscar, André et sa mère entrèrent dans le salon. La bas était assis le Général dans un fauteuil près de la chemine.
_ Monsieur, je vous présente ma mère.
_ Oh enfin te voilà tu as vu ton fils. Il y a longtemps.
_ PERE !!! Tu connais toi aussi.
_ Oui je sais et je crois que ta grand-mère t’as dit la cause de son absence.
_ Oui.
La mère d’André et le Général commencèrent à discuter. Tandis qu’oscar et André allèrent au jardin.

Il était une fois, dans un pays endetté une
jeune fille blonde qui s'appelait Oscar et qui avait été élevée comme un
garçon. Son père, le Général de Jarjayes, était dur avec elle. Elle
n'avait qu'un ami qui s’appelait André Grandier. Ils étaient proches
et inséparables, dès leur enfance. André a été élevé par sa
Grand-mère qui était la nourrisse d'Oscar. Cette dernière la dernière fille des Jarjayes, aimait grand- mère et elle la considère membre de la famille.
Parfois, après avoir bu quelque verre avec André, grand -mère divaguait. Mais un jour elle dit à André qu’il ne devait plus regarder Oscar comme une future épouse ni même avouer ses sentiments envers elle car il ne fallait pas qu'André oublie qu'il n'était qu'un domestique, et elle fille de comte, et général par dessus le marché! André resta figé après ces paroles dures dites par sa grand-mère. Il n’a même pas géré ces mots. Il monta voir Oscar, qui était enfermée dans sa chambre toute la journée, et lui proposa d'aller faire une balade en forêt. Oscar était surprise par cette demande mais elle l’a bien caché mais elle accepta avec entrain.


_ Une balade en forêt ? Oui pourquoi pas. Ça sera une bonne idée. Allons y André.
_D'accord je vais prévenir Grand-mère, dit André.
Il commença à descendre les escaliers, mais il se ravisa, et décida de ne rien dire à Grand mère. André alla à l'écurie afin de préparer les deux chevaux en attendant qu’Oscar mette ses bottes. Il sella Appolline, le cheval de sa bien aimée, mais toujours il n’a pas pu chasser les paroles dures dites par sa grand-mère. Pourquoi lui avait elle dit cela? Cela se voyait tant qu'il l'aimait plus que sa vie? André secoua sa tête en arrière et ferma ses beaux yeux verts couleur émeraude.
Soudain, il entendit une voix cristalline qui le fit sortir de ses pensées amoureuses.
_ André !! André !! Tu rêves ou quoi ?
_Non non , je pensai juste a quelque chose. Rien d’important.
_Ah...une jolie fille peut-être? dit elle en riant.
André parla avec un voix triste
_ Oui, Oscar une belle fem… mais…
_Mais quoi André ... ?
_ Rien Oscar, rien alors et cette promenade dans la forêt on va le faire ?
_Oui ! répondit Oscar puis ils repartirent.
Oscar n’a pas voulu insister sur André ; elle n’a pas voulu l’intimider encore une fois.
Presque arriver à la forêt, André cria brusquement : OSCAR !!!
_ As- tu perdu la tête André. Vous allez effrayer les chevaux.
_Excuse moi...Mais, j'ai une question à te poser...
_Laquelle? dit elle en croisant les bras sur la poitrine.
André resta un peu silencieux. Il avait un peu peur, oui peur de perdre Oscar par cette simple question. Il n’a pas pu attendre puis il se retourna vers elle et lui dise :
_ Oscar ! Aimes-tu- Fersen ?
_Quoi???
_Oui, l'aimes tu toujours...demanda t il en levant les yeux vers elle.
_Quelle question André cela ne se pose pas ! et pour y répondre non .
_ Désolé Oscar je voulais tout simplement savoir
_Ca n'est rien mais pourquois cette question ?

André resta silencieux. Il n’a pas pu répondre à sa question. Il avait peur d’avouer ses sentiments envers elle. Oui envers la femme qui n’a pas cessé de l’aimer depuis toujours. Mais oscar a rompu ce silence.
_ Si tu ne veux pas me répondre tu peux me le dire.
_Oscar je ...je .... On est arrivé .
Oscar et Andre arrivèrent dans une petit auberge qu'ils connaissaient
Oscar jeta un regard à André, signifiant qu'elle n'avait pas dit son dernier mot, et ils entrèrent.

_Au fait André tout a l'heure tu n'avais pas fini ta phrase .
_ Oscar tu sais tu compte beaucoup pour moi. Je voulais te dire que je… je…
_ Quoi André?
_ Je ...
_ André!
Une jeune fille aux somptueux cheveux roux s'avança vers eux. Sa chevelure faisait penser à une queue de renarde, et ses yeux noirs, malicieux, étaient tout aussi déstabilisants que sont imposante mais envoûtante poitrine. Oscar se tourna vivement vers André:
_ Tu connais cette perronnelle? dit elle avec un ton cassant et glaciale.
_ Non, non je ne la connaît pas c’est la première fois que je le vois
_Pourtant, ELLE, elle semble très bien te connaître, et oh!! André!!!!
Ce qu'elle avait sous les yeux l'avait tellement choqué, qu'elle en était pétrifiée, figée sur place...
_C'est … c'est ma mère Oscar.
Oscar resta immobile par ces mots là; elle n’a pas gérée ce qui se passe.
—Non...réussi à articuler Oscar. Impossible...
Et pourtant c'était vrai, la dame qui se tenait devant eux était bel et bien la mère d'André. Elle s'approcha de son fils, et lui fit la bise sur la joue. Elle semblait elle même extrêmement troublée, qu'elle ne trouva rien d'autre à dire que:
"C'est ta fiancé mon chéri? vous fêtez un très beau couple en tous cas .
A ces paroles André et Oscar rougirent et restèrent bouches bés. André baissa les yeux vers le sol, imités de près par Oscar. Il venait de retrouver sa mère qu'il pensait morte, et alors qu'il était en train de croire au Seigneur, il fallait qu'elle les jette dans une situation de tout ce qu'il ya de plus embarrassant. Soudain, il sursauta, et tourna les pupilles vers la droite. Oscar avait tendrement saisit sa main... et réponde :
_Oui nous sommes fiancé depuis peut et nous allons nous marié.
André n’a pas dit un mot. Il était surpris par cette réponse. Lui qui attendait des années pour avouer son amour à Oscar et voilà il entend pour la première fois qu’oscar est sa fiancée. Il est toujours perturbé. Il parla à lui-même est ce que je rêve ? Où c’est la vérité. Il tourna vers Oscar pour chercher une réponse à ces questions. Oscar regarda André avec de grand yeux qui brillait et la André comprit qu'elle aussi l'aimait Oscar se jeta sur lui et l'embrassa à pleine bouche. Puis, elle lui chuchota au creux de l'oreille:
"Ecoute André. Cette folle croit être ta mère, il faut suivre son jeu si nous ne voulons pas avoir d'ennuis. André, tu m'écoutes?"
Tout est passé ci vite, André ne sait pas quoi faire. Il resta figé par ce baiser inattendu.
_ Hei ! André tu m’écoutes.
_ Oui Oscar. Je t’ai entendu très bien. Mais ce n'est pas une folle c'est bien ma mère !
_ Tu es sur mais ta mère est morte. C’est toi qui m’a dit que tu t’es élevé par ta grand-mère.
_Oui j'en suis sur que c'est ma mère , mais on m'a toujours dis que ma mère était morte je vais aller demandé des explications a Grand-mère .

Alors André Oscar et sa soi disante mère retournèrent a la demeure des Jarjayes pour en savoir plus.
André était vraiment furieux. Pourquoi grand-mère m’a caché ça. Il se dirigea vite vers la cuisine pour avoir des explications mais Oscar l’a retenu par son bras.
_ André attend. Il faut que tu te calmes. Je sais que c’est difficile pour toi mais…
_ Mais quoi… Toutes ces années j’ai vis dans un mensonge.
_Grand-mère a sûrement eu une bonne raison de ne rien te dire.
_Oui sûrement quand j'était petit mai le jour ou j'ai eu l'age de comprendre elle aurait put me révéler la vérité.
Grand-mère il faut que je te parle.
_ Oui André je t’écoute ça va ?
_ Pourquoi tu m’as menti ?
_ ANDRE !! Tu n’as pas honte.
_ Grand-mère pourquoi tu m’a dit que ma mère est morte ? et tu sais que ce n’est pas la vérité.
_ Euhh… à vrai dire c’est que …
_ Alors j’attends des explications !!!
_A la mort de ton père ta mère était devenue dépressive et elle n'arrivait plus à s'occuper de toi alors elle m’a demandé de te prendre car elle savait que tu serais bien comme elle n'arrivait pas à faire son deuil alors elle est partie dans un couvant pour s'isoler quelque temps voila toute l'histoire.
_Mais comment sait tu que ta mère n'est pas morte ?
_ Je l’ai vu aujourd’hui et elle m’a reconnu ci vite.
Oscar était là à les écouter sans dire un mot. Elle n’a pas voulu les interrompre. Mais elle était peinée pour André.
_André ta mère est-elle venue ici ?
_Oui grand-mère elle est avec Oscar.
_Je peut la voir ?
_Bien sur que oui elle vient.
Lorsque la mère d’André vus grand-mère elle s’est jetée sur elle. Elle était vraiment contente de la voir mais malheureusement la grand-mère était si froide avec elle.
_ Pourquoi tu es venue ?
_On s'est rencontré dans une auberge André et sa fiancée.
_Comment sa sa FIANCE !!
_Bain oui grand-mère rappelle toi André et moi somme fiancée.
_A oui c'est vrai compte tu rester ?
_Non je ne veut pas vous déranger
_Ma… MAMAN reste je ne veux pas que tu parte j'ai besoin de te parler.
_OUI restez cela ne dérangera pas mon père grand-mére peut-tu lui préparez une chambre stp ? merci
_André Oscar il va falloir que je vous parle .
_Vient maman je vais te présenter aux parents d’Oscar.
_ Oui André avec plaisir
Oscar, André et sa mère entrèrent dans le salon. La bas était assis le Général dans un fauteuil près de la chemine.
_ Monsieur, je vous présente ma mère.
_ Oh enfin te voilà tu as vu ton fils. Il y a longtemps.
_ PERE !!! Tu connais toi aussi.
_ Oui je sais et je crois que ta grand-mère t’as dit la cause de son absence.
_ Oui.
La mère d’André et le Général commencèrent à discuter. Tandis qu’oscar et André allèrent au jardin.
_Oscar .
_Oui André qu'y a t-il ?
_Comment vas-t-on faire si ma mére parle de ton pére de nos fausse fiansailles ?
_Ah oui je n'y avait pas pensée andré vient vite tu va lui dire
_Commen sa tu
_vient et c'est tout.
_Pére André a quelque chose a vous demender ....

Il était une fois, dans un pays endetté une
jeune fille blonde qui s'appelait Oscar et qui avait été élevée comme un
garçon. Son père, le Général de Jarjayes, était dur avec elle. Elle
n'avait qu'un ami qui s’appelait André Grandier. Ils étaient proches
et inséparables, dès leur enfance. André a été élevé par sa
Grand-mère qui était la nourrisse d'Oscar. Cette dernière la dernière fille des Jarjayes, aimait grand- mère et elle la considère membre de la famille.
Parfois, après avoir bu quelque verre avec André, grand -mère divaguait. Mais un jour elle dit à André qu’il ne devait plus regarder Oscar comme une future épouse ni même avouer ses sentiments envers elle car il ne fallait pas qu'André oublie qu'il n'était qu'un domestique, et elle fille de comte, et général par dessus le marché! André resta figé après ces paroles dures dites par sa grand-mère. Il n’a même pas géré ces mots. Il monta voir Oscar, qui était enfermée dans sa chambre toute la journée, et lui proposa d'aller faire une balade en forêt. Oscar était surprise par cette demande mais elle l’a bien caché mais elle accepta avec entrain.


_ Une balade en forêt ? Oui pourquoi pas. Ça sera une bonne idée. Allons y André.
_D'accord je vais prévenir Grand-mère, dit André.
Il commença à descendre les escaliers, mais il se ravisa, et décida de ne rien dire à Grand mère. André alla à l'écurie afin de préparer les deux chevaux en attendant qu’Oscar mette ses bottes. Il sella Appolline, le cheval de sa bien aimée, mais toujours il n’a pas pu chasser les paroles dures dites par sa grand-mère. Pourquoi lui avait elle dit cela? Cela se voyait tant qu'il l'aimait plus que sa vie? André secoua sa tête en arrière et ferma ses beaux yeux verts couleur émeraude.
Soudain, il entendit une voix cristalline qui le fit sortir de ses pensées amoureuses.
_ André !! André !! Tu rêves ou quoi ?
_Non non , je pensai juste a quelque chose. Rien d’important.
_Ah...une jolie fille peut-être? dit elle en riant.
André parla avec un voix triste
_ Oui, Oscar une belle fem… mais…
_Mais quoi André ... ?
_ Rien Oscar, rien alors et cette promenade dans la forêt on va le faire ?
_Oui ! répondit Oscar puis ils repartirent.
Oscar n’a pas voulu insister sur André ; elle n’a pas voulu l’intimider encore une fois.
Presque arriver à la forêt, André cria brusquement : OSCAR !!!
_ As- tu perdu la tête André. Vous allez effrayer les chevaux.
_Excuse moi...Mais, j'ai une question à te poser...
_Laquelle? dit elle en croisant les bras sur la poitrine.
André resta un peu silencieux. Il avait un peu peur, oui peur de perdre Oscar par cette simple question. Il n’a pas pu attendre puis il se retourna vers elle et lui dise :
_ Oscar ! Aimes-tu- Fersen ?
_Quoi???
_Oui, l'aimes tu toujours...demanda t il en levant les yeux vers elle.
_Quelle question André cela ne se pose pas ! et pour y répondre non .
_ Désolé Oscar je voulais tout simplement savoir
_Ca n'est rien mais pourquois cette question ?

André resta silencieux. Il n’a pas pu répondre à sa question. Il avait peur d’avouer ses sentiments envers elle. Oui envers la femme qui n’a pas cessé de l’aimer depuis toujours. Mais oscar a rompu ce silence.
_ Si tu ne veux pas me répondre tu peux me le dire.
_Oscar je ...je .... On est arrivé .
Oscar et Andre arrivèrent dans une petit auberge qu'ils connaissaient
Oscar jeta un regard à André, signifiant qu'elle n'avait pas dit son dernier mot, et ils entrèrent.

_Au fait André tout a l'heure tu n'avais pas fini ta phrase .
_ Oscar tu sais tu compte beaucoup pour moi. Je voulais te dire que je… je…
_ Quoi André?
_ Je ...
_ André!
Une jeune fille aux somptueux cheveux roux s'avança vers eux. Sa chevelure faisait penser à une queue de renarde, et ses yeux noirs, malicieux, étaient tout aussi déstabilisants que sont imposante mais envoûtante poitrine. Oscar se tourna vivement vers André:
_ Tu connais cette perronnelle? dit elle avec un ton cassant et glaciale.
_ Non, non je ne la connaît pas c’est la première fois que je le vois
_Pourtant, ELLE, elle semble très bien te connaître, et oh!! André!!!!
Ce qu'elle avait sous les yeux l'avait tellement choqué, qu'elle en était pétrifiée, figée sur place...
_C'est … c'est ma mère Oscar.
Oscar resta immobile par ces mots là; elle n’a pas gérée ce qui se passe.
—Non...réussi à articuler Oscar. Impossible...
Et pourtant c'était vrai, la dame qui se tenait devant eux était bel et bien la mère d'André. Elle s'approcha de son fils, et lui fit la bise sur la joue. Elle semblait elle même extrêmement troublée, qu'elle ne trouva rien d'autre à dire que:
"C'est ta fiancé mon chéri? vous fêtez un très beau couple en tous cas .
A ces paroles André et Oscar rougirent et restèrent bouches bés. André baissa les yeux vers le sol, imités de près par Oscar. Il venait de retrouver sa mère qu'il pensait morte, et alors qu'il était en train de croire au Seigneur, il fallait qu'elle les jette dans une situation de tout ce qu'il ya de plus embarrassant. Soudain, il sursauta, et tourna les pupilles vers la droite. Oscar avait tendrement saisit sa main... et réponde :
_Oui nous sommes fiancé depuis peut et nous allons nous marié.
André n’a pas dit un mot. Il était surpris par cette réponse. Lui qui attendait des années pour avouer son amour à Oscar et voilà il entend pour la première fois qu’oscar est sa fiancée. Il est toujours perturbé. Il parla à lui-même est ce que je rêve ? Où c’est la vérité. Il tourna vers Oscar pour chercher une réponse à ces questions. Oscar regarda André avec de grand yeux qui brillait et la André comprit qu'elle aussi l'aimait Oscar se jeta sur lui et l'embrassa à pleine bouche. Puis, elle lui chuchota au creux de l'oreille:
"Ecoute André. Cette folle croit être ta mère, il faut suivre son jeu si nous ne voulons pas avoir d'ennuis. André, tu m'écoutes?"
Tout est passé ci vite, André ne sait pas quoi faire. Il resta figé par ce baiser inattendu.
_ Hei ! André tu m’écoutes.
_ Oui Oscar. Je t’ai entendu très bien. Mais ce n'est pas une folle c'est bien ma mère !
_ Tu es sur mais ta mère est morte. C’est toi qui m’a dit que tu t’es élevé par ta grand-mère.
_Oui j'en suis sur que c'est ma mère , mais on m'a toujours dis que ma mère était morte je vais aller demandé des explications a Grand-mère .

Alors André Oscar et sa soi disante mère retournèrent a la demeure des Jarjayes pour en savoir plus.
André était vraiment furieux. Pourquoi grand-mère m’a caché ça. Il se dirigea vite vers la cuisine pour avoir des explications mais Oscar l’a retenu par son bras.
_ André attend. Il faut que tu te calmes. Je sais que c’est difficile pour toi mais…
_ Mais quoi… Toutes ces années j’ai vis dans un mensonge.
_Grand-mère a sûrement eu une bonne raison de ne rien te dire.
_Oui sûrement quand j'était petit mai le jour ou j'ai eu l'age de comprendre elle aurait put me révéler la vérité.
Grand-mère il faut que je te parle.
_ Oui André je t’écoute ça va ?
_ Pourquoi tu m’as menti ?
_ ANDRE !! Tu n’as pas honte.
_ Grand-mère pourquoi tu m’a dit que ma mère est morte ? et tu sais que ce n’est pas la vérité.
_ Euhh… à vrai dire c’est que …
_ Alors j’attends des explications !!!
_A la mort de ton père ta mère était devenue dépressive et elle n'arrivait plus à s'occuper de toi alors elle m’a demandé de te prendre car elle savait que tu serais bien comme elle n'arrivait pas à faire son deuil alors elle est partie dans un couvant pour s'isoler quelque temps voila toute l'histoire.
_Mais comment sait tu que ta mère n'est pas morte ?
_ Je l’ai vu aujourd’hui et elle m’a reconnu ci vite.
Oscar était là à les écouter sans dire un mot. Elle n’a pas voulu les interrompre. Mais elle était peinée pour André.
_André ta mère est-elle venue ici ?
_Oui grand-mère elle est avec Oscar.
_Je peut la voir ?
_Bien sur que oui elle vient.
Lorsque la mère d’André vus grand-mère elle s’est jetée sur elle. Elle était vraiment contente de la voir mais malheureusement la grand-mère était si froide avec elle.
_ Pourquoi tu es venue ?
_On s'est rencontré dans une auberge André et sa fiancée.
_Comment sa sa FIANCE !!
_Bain oui grand-mère rappelle toi André et moi somme fiancée.
_A oui c'est vrai compte tu rester ?
_Non je ne veut pas vous déranger
_Ma… MAMAN reste je ne veux pas que tu parte j'ai besoin de te parler.
_OUI restez cela ne dérangera pas mon père grand-mére peut-tu lui préparez une chambre stp ? merci
_André Oscar il va falloir que je vous parle .
_Vient maman je vais te présenter aux parents d’Oscar.
_ Oui André avec plaisir
Oscar, André et sa mère entrèrent dans le salon. La bas était assis le Général dans un fauteuil près de la chemine.
_ Monsieur, je vous présente ma mère.
_ Oh enfin te voilà tu as vu ton fils. Il y a longtemps.
_ PERE !!! Tu connais toi aussi.
_ Oui je sais et je crois que ta grand-mère t’as dit la cause de son absence.
_ Oui.
La mère d’André et le Général commencèrent à discuter. Tandis qu’oscar et André allèrent au jardin.
_Oscar .
_Oui André qu'y a t-il ?
_Comment vas-t-on faire si ma mère parle de ton père de nos fausse fiançailles ?
_Ah oui je n'y avait pas pensée andré vient vite tu va lui dire
_Comment ça tu
_vient et c'est tout.
_Père André a quelque chose à vous demander.
_ Oui André je t’écoute.
_ A vrai dire je voulais vous dire que … que… que
_ Que quoi André ? As-tu perdu ta langue ?
_ Voilà je voulais te demander la main de ta fille monsieur.
Entrant dans le salon grand-mère laissa glisser le plateau de ses mais après ces paroles dites par André.
_ André exuse- toi vite et retire ses mots.
_ Non grand-mère. Je n’ai rien dit de mal j’ai seulement demander la main d’oscar. Est ce un crime ?
Le général se dirigea vers André furieux et le gifla.
_ Père pourquoi vous avez fait ça ?
_ Toi tu te taies et monte dans ta chambre vite !!! alors André comment tu oses…

Il était une fois, dans un pays endetté une
jeune fille blonde qui s'appelait Oscar et qui avait été élevée comme un
garçon. Son père, le Général de Jarjayes, était dur avec elle. Elle
n'avait qu'un ami qui s’appelait André Grandier. Ils étaient proches
et inséparables, dès leur enfance. André a été élevé par sa
Grand-mère qui était la nourrisse d'Oscar. Cette dernière la dernière fille des Jarjayes, aimait grand- mère et elle la considère membre de la famille.
Parfois, après avoir bu quelque verre avec André, grand -mère divaguait. Mais un jour elle dit à André qu’il ne devait plus regarder Oscar comme une future épouse ni même avouer ses sentiments envers elle car il ne fallait pas qu'André oublie qu'il n'était qu'un domestique, et elle fille de comte, et général par dessus le marché! André resta figé après ces paroles dures dites par sa grand-mère. Il n’a même pas géré ces mots. Il monta voir Oscar, qui était enfermée dans sa chambre toute la journée, et lui proposa d'aller faire une balade en forêt. Oscar était surprise par cette demande mais elle l’a bien caché mais elle accepta avec entrain.


_ Une balade en forêt ? Oui pourquoi pas. Ça sera une bonne idée. Allons y André.
_D'accord je vais prévenir Grand-mère, dit André.
Il commença à descendre les escaliers, mais il se ravisa, et décida de ne rien dire à Grand mère. André alla à l'écurie afin de préparer les deux chevaux en attendant qu’Oscar mette ses bottes. Il sella Appolline, le cheval de sa bien aimée, mais toujours il n’a pas pu chasser les paroles dures dites par sa grand-mère. Pourquoi lui avait elle dit cela? Cela se voyait tant qu'il l'aimait plus que sa vie? André secoua sa tête en arrière et ferma ses beaux yeux verts couleur émeraude.
Soudain, il entendit une voix cristalline qui le fit sortir de ses pensées amoureuses.
_ André !! André !! Tu rêves ou quoi ?
_Non non , je pensai juste a quelque chose. Rien d’important.
_Ah...une jolie fille peut-être? dit elle en riant.
André parla avec un voix triste
_ Oui, Oscar une belle fem… mais…
_Mais quoi André ... ?
_ Rien Oscar, rien alors et cette promenade dans la forêt on va le faire ?
_Oui ! répondit Oscar puis ils repartirent.
Oscar n’a pas voulu insister sur André ; elle n’a pas voulu l’intimider encore une fois.
Presque arriver à la forêt, André cria brusquement : OSCAR !!!
_ As- tu perdu la tête André. Vous allez effrayer les chevaux.
_Excuse moi...Mais, j'ai une question à te poser...
_Laquelle? dit elle en croisant les bras sur la poitrine.
André resta un peu silencieux. Il avait un peu peur, oui peur de perdre Oscar par cette simple question. Il n’a pas pu attendre puis il se retourna vers elle et lui dise :
_ Oscar ! Aimes-tu- Fersen ?
_Quoi???
_Oui, l'aimes tu toujours...demanda t il en levant les yeux vers elle.
_Quelle question André cela ne se pose pas ! et pour y répondre non .
_ Désolé Oscar je voulais tout simplement savoir
_Ca n'est rien mais pourquois cette question ?

André resta silencieux. Il n’a pas pu répondre à sa question. Il avait peur d’avouer ses sentiments envers elle. Oui envers la femme qui n’a pas cessé de l’aimer depuis toujours. Mais oscar a rompu ce silence.
_ Si tu ne veux pas me répondre tu peux me le dire.
_Oscar je ...je .... On est arrivé .
Oscar et Andre arrivèrent dans une petit auberge qu'ils connaissaient
Oscar jeta un regard à André, signifiant qu'elle n'avait pas dit son dernier mot, et ils entrèrent.

_Au fait André tout a l'heure tu n'avais pas fini ta phrase .
_ Oscar tu sais tu compte beaucoup pour moi. Je voulais te dire que je… je…
_ Quoi André?
_ Je ...
_ André!
Une jeune fille aux somptueux cheveux roux s'avança vers eux. Sa chevelure faisait penser à une queue de renarde, et ses yeux noirs, malicieux, étaient tout aussi déstabilisants que sont imposante mais envoûtante poitrine. Oscar se tourna vivement vers André:
_ Tu connais cette perronnelle? dit elle avec un ton cassant et glaciale.
_ Non, non je ne la connaît pas c’est la première fois que je le vois
_Pourtant, ELLE, elle semble très bien te connaître, et oh!! André!!!!
Ce qu'elle avait sous les yeux l'avait tellement choqué, qu'elle en était pétrifiée, figée sur place...
_C'est … c'est ma mère Oscar.
Oscar resta immobile par ces mots là; elle n’a pas gérée ce qui se passe.
—Non...réussi à articuler Oscar. Impossible...
Et pourtant c'était vrai, la dame qui se tenait devant eux était bel et bien la mère d'André. Elle s'approcha de son fils, et lui fit la bise sur la joue. Elle semblait elle même extrêmement troublée, qu'elle ne trouva rien d'autre à dire que:
"C'est ta fiancé mon chéri? vous fêtez un très beau couple en tous cas .
A ces paroles André et Oscar rougirent et restèrent bouches bés. André baissa les yeux vers le sol, imités de près par Oscar. Il venait de retrouver sa mère qu'il pensait morte, et alors qu'il était en train de croire au Seigneur, il fallait qu'elle les jette dans une situation de tout ce qu'il ya de plus embarrassant. Soudain, il sursauta, et tourna les pupilles vers la droite. Oscar avait tendrement saisit sa main... et réponde :
_Oui nous sommes fiancé depuis peut et nous allons nous marié.
André n’a pas dit un mot. Il était surpris par cette réponse. Lui qui attendait des années pour avouer son amour à Oscar et voilà il entend pour la première fois qu’oscar est sa fiancée. Il est toujours perturbé. Il parla à lui-même est ce que je rêve ? Où c’est la vérité. Il tourna vers Oscar pour chercher une réponse à ces questions. Oscar regarda André avec de grand yeux qui brillait et la André comprit qu'elle aussi l'aimait Oscar se jeta sur lui et l'embrassa à pleine bouche. Puis, elle lui chuchota au creux de l'oreille:
"Ecoute André. Cette folle croit être ta mère, il faut suivre son jeu si nous ne voulons pas avoir d'ennuis. André, tu m'écoutes?"
Tout est passé ci vite, André ne sait pas quoi faire. Il resta figé par ce baiser inattendu.
_ Hei ! André tu m’écoutes.
_ Oui Oscar. Je t’ai entendu très bien. Mais ce n'est pas une folle c'est bien ma mère !
_ Tu es sur mais ta mère est morte. C’est toi qui m’a dit que tu t’es élevé par ta grand-mère.
_Oui j'en suis sur que c'est ma mère , mais on m'a toujours dis que ma mère était morte je vais aller demandé des explications a Grand-mère .

Alors André Oscar et sa soi disante mère retournèrent a la demeure des Jarjayes pour en savoir plus.
André était vraiment furieux. Pourquoi grand-mère m’a caché ça. Il se dirigea vite vers la cuisine pour avoir des explications mais Oscar l’a retenu par son bras.
_ André attend. Il faut que tu te calmes. Je sais que c’est difficile pour toi mais…
_ Mais quoi… Toutes ces années j’ai vis dans un mensonge.
_Grand-mère a sûrement eu une bonne raison de ne rien te dire.
_Oui sûrement quand j'était petit mai le jour ou j'ai eu l'age de comprendre elle aurait put me révéler la vérité.
Grand-mère il faut que je te parle.
_ Oui André je t’écoute ça va ?
_ Pourquoi tu m’as menti ?
_ ANDRE !! Tu n’as pas honte.
_ Grand-mère pourquoi tu m’a dit que ma mère est morte ? et tu sais que ce n’est pas la vérité.
_ Euhh… à vrai dire c’est que …
_ Alors j’attends des explications !!!
_A la mort de ton père ta mère était devenue dépressive et elle n'arrivait plus à s'occuper de toi alors elle m’a demandé de te prendre car elle savait que tu serais bien comme elle n'arrivait pas à faire son deuil alors elle est partie dans un couvant pour s'isoler quelque temps voila toute l'histoire.
_Mais comment sait tu que ta mère n'est pas morte ?
_ Je l’ai vu aujourd’hui et elle m’a reconnu ci vite.
Oscar était là à les écouter sans dire un mot. Elle n’a pas voulu les interrompre. Mais elle était peinée pour André.
_André ta mère est-elle venue ici ?
_Oui grand-mère elle est avec Oscar.
_Je peut la voir ?
_Bien sur que oui elle vient.
Lorsque la mère d’André vus grand-mère elle s’est jetée sur elle. Elle était vraiment contente de la voir mais malheureusement la grand-mère était si froide avec elle.
_ Pourquoi tu es venue ?
_On s'est rencontré dans une auberge André et sa fiancée.
_Comment sa sa FIANCE !!
_Bain oui grand-mère rappelle toi André et moi somme fiancée.
_A oui c'est vrai compte tu rester ?
_Non je ne veut pas vous déranger
_Ma… MAMAN reste je ne veux pas que tu parte j'ai besoin de te parler.
_OUI restez cela ne dérangera pas mon père grand-mére peut-tu lui préparez une chambre stp ? merci
_André Oscar il va falloir que je vous parle .
_Vient maman je vais te présenter aux parents d’Oscar.
_ Oui André avec plaisir
Oscar, André et sa mère entrèrent dans le salon. La bas était assis le Général dans un fauteuil près de la chemine.
_ Monsieur, je vous présente ma mère.
_ Oh enfin te voilà tu as vu ton fils. Il y a longtemps.
_ PERE !!! Tu connais toi aussi.
_ Oui je sais et je crois que ta grand-mère t’as dit la cause de son absence.
_ Oui.
La mère d’André et le Général commencèrent à discuter. Tandis qu’oscar et André allèrent au jardin.
_Oscar .
_Oui André qu'y a t-il ?
_Comment vas-t-on faire si ma mère parle de ton père de nos fausse fiançailles ?
_Ah oui je n'y avait pas pensée andré vient vite tu va lui dire
_Comment ça tu
_vient et c'est tout.
_Père André a quelque chose à vous demander.
_ Oui André je t’écoute.
_ A vrai dire je voulais vous dire que … que… que
_ Que quoi André ? As-tu perdu ta langue ?
_ Voilà je voulais te demander la main de ta fille monsieur.
Entrant dans le salon grand-mère laissa glisser le plateau de ses mais après ces paroles dites par André.
_ André exuse- toi vite et retire ses mots.
_ Non grand-mère. Je n’ai rien dit de mal j’ai seulement demander la main d’oscar. Est ce un crime ?
Le général se dirigea vers André furieux et le gifla.
_ Père pourquoi vous avez fait ça ?
_ Toi tu te taies et monte dans ta chambre vite !!! alors André comment tu oses…
_Je vous en prie laissez moi épouser Oscar ,Oscar et moi s'aimon .
_Vas-tu te taire
_Mais André je croyait que vous étiez fiancé
_Comment en plus vous avez mentie a votre mére.

Il était une fois, dans un pays endetté une
jeune fille blonde qui s'appelait Oscar et qui avait été élevée comme un
garçon. Son père, le Général de Jarjayes, était dur avec elle. Elle
n'avait qu'un ami qui s’appelait André Grandier. Ils étaient proches
et inséparables, dès leur enfance. André a été élevé par sa
Grand-mère qui était la nourrisse d'Oscar. Cette dernière la dernière fille des Jarjayes, aimait grand- mère et elle la considère membre de la famille.
Parfois, après avoir bu quelque verre avec André, grand -mère divaguait. Mais un jour elle dit à André qu’il ne devait plus regarder Oscar comme une future épouse ni même avouer ses sentiments envers elle car il ne fallait pas qu'André oublie qu'il n'était qu'un domestique, et elle fille de comte, et général par dessus le marché! André resta figé après ces paroles dures dites par sa grand-mère. Il n’a même pas géré ces mots. Il monta voir Oscar, qui était enfermée dans sa chambre toute la journée, et lui proposa d'aller faire une balade en forêt. Oscar était surprise par cette demande mais elle l’a bien caché mais elle accepta avec entrain.


_ Une balade en forêt ? Oui pourquoi pas. Ça sera une bonne idée. Allons y André.
_D'accord je vais prévenir Grand-mère, dit André.
Il commença à descendre les escaliers, mais il se ravisa, et décida de ne rien dire à Grand mère. André alla à l'écurie afin de préparer les deux chevaux en attendant qu’Oscar mette ses bottes. Il sella Appolline, le cheval de sa bien aimée, mais toujours il n’a pas pu chasser les paroles dures dites par sa grand-mère. Pourquoi lui avait elle dit cela? Cela se voyait tant qu'il l'aimait plus que sa vie? André secoua sa tête en arrière et ferma ses beaux yeux verts couleur émeraude.
Soudain, il entendit une voix cristalline qui le fit sortir de ses pensées amoureuses.
_ André !! André !! Tu rêves ou quoi ?
_Non non , je pensai juste a quelque chose. Rien d’important.
_Ah...une jolie fille peut-être? dit elle en riant.
André parla avec un voix triste
_ Oui, Oscar une belle fem… mais…
_Mais quoi André ... ?
_ Rien Oscar, rien alors et cette promenade dans la forêt on va le faire ?
_Oui ! répondit Oscar puis ils repartirent.
Oscar n’a pas voulu insister sur André ; elle n’a pas voulu l’intimider encore une fois.
Presque arriver à la forêt, André cria brusquement : OSCAR !!!
_ As- tu perdu la tête André. Vous allez effrayer les chevaux.
_Excuse moi...Mais, j'ai une question à te poser...
_Laquelle? dit elle en croisant les bras sur la poitrine.
André resta un peu silencieux. Il avait un peu peur, oui peur de perdre Oscar par cette simple question. Il n’a pas pu attendre puis il se retourna vers elle et lui dise :
_ Oscar ! Aimes-tu- Fersen ?
_Quoi???
_Oui, l'aimes tu toujours...demanda t il en levant les yeux vers elle.
_Quelle question André cela ne se pose pas ! et pour y répondre non .
_ Désolé Oscar je voulais tout simplement savoir
_Ca n'est rien mais pourquois cette question ?

André resta silencieux. Il n’a pas pu répondre à sa question. Il avait peur d’avouer ses sentiments envers elle. Oui envers la femme qui n’a pas cessé de l’aimer depuis toujours. Mais oscar a rompu ce silence.
_ Si tu ne veux pas me répondre tu peux me le dire.
_Oscar je ...je .... On est arrivé .
Oscar et Andre arrivèrent dans une petit auberge qu'ils connaissaient
Oscar jeta un regard à André, signifiant qu'elle n'avait pas dit son dernier mot, et ils entrèrent.

_Au fait André tout a l'heure tu n'avais pas fini ta phrase .
_ Oscar tu sais tu compte beaucoup pour moi. Je voulais te dire que je… je…
_ Quoi André?
_ Je ...
_ André!
Une jeune fille aux somptueux cheveux roux s'avança vers eux. Sa chevelure faisait penser à une queue de renarde, et ses yeux noirs, malicieux, étaient tout aussi déstabilisants que sont imposante mais envoûtante poitrine. Oscar se tourna vivement vers André:
_ Tu connais cette perronnelle? dit elle avec un ton cassant et glaciale.
_ Non, non je ne la connaît pas c’est la première fois que je le vois
_Pourtant, ELLE, elle semble très bien te connaître, et oh!! André!!!!
Ce qu'elle avait sous les yeux l'avait tellement choqué, qu'elle en était pétrifiée, figée sur place...
_C'est … c'est ma mère Oscar.
Oscar resta immobile par ces mots là; elle n’a pas gérée ce qui se passe.
—Non...réussi à articuler Oscar. Impossible...
Et pourtant c'était vrai, la dame qui se tenait devant eux était bel et bien la mère d'André. Elle s'approcha de son fils, et lui fit la bise sur la joue. Elle semblait elle même extrêmement troublée, qu'elle ne trouva rien d'autre à dire que:
"C'est ta fiancé mon chéri? vous fêtez un très beau couple en tous cas .
A ces paroles André et Oscar rougirent et restèrent bouches bés. André baissa les yeux vers le sol, imités de près par Oscar. Il venait de retrouver sa mère qu'il pensait morte, et alors qu'il était en train de croire au Seigneur, il fallait qu'elle les jette dans une situation de tout ce qu'il ya de plus embarrassant. Soudain, il sursauta, et tourna les pupilles vers la droite. Oscar avait tendrement saisit sa main... et réponde :
_Oui nous sommes fiancé depuis peut et nous allons nous marié.
André n’a pas dit un mot. Il était surpris par cette réponse. Lui qui attendait des années pour avouer son amour à Oscar et voilà il entend pour la première fois qu’oscar est sa fiancée. Il est toujours perturbé. Il parla à lui-même est ce que je rêve ? Où c’est la vérité. Il tourna vers Oscar pour chercher une réponse à ces questions. Oscar regarda André avec de grand yeux qui brillait et la André comprit qu'elle aussi l'aimait Oscar se jeta sur lui et l'embrassa à pleine bouche. Puis, elle lui chuchota au creux de l'oreille:
"Ecoute André. Cette folle croit être ta mère, il faut suivre son jeu si nous ne voulons pas avoir d'ennuis. André, tu m'écoutes?"
Tout est passé ci vite, André ne sait pas quoi faire. Il resta figé par ce baiser inattendu.
_ Hei ! André tu m’écoutes.
_ Oui Oscar. Je t’ai entendu très bien. Mais ce n'est pas une folle c'est bien ma mère !
_ Tu es sur mais ta mère est morte. C’est toi qui m’a dit que tu t’es élevé par ta grand-mère.
_Oui j'en suis sur que c'est ma mère , mais on m'a toujours dis que ma mère était morte je vais aller demandé des explications a Grand-mère .

Alors André Oscar et sa soi disante mère retournèrent a la demeure des Jarjayes pour en savoir plus.
André était vraiment furieux. Pourquoi grand-mère m’a caché ça. Il se dirigea vite vers la cuisine pour avoir des explications mais Oscar l’a retenu par son bras.
_ André attend. Il faut que tu te calmes. Je sais que c’est difficile pour toi mais…
_ Mais quoi… Toutes ces années j’ai vis dans un mensonge.
_Grand-mère a sûrement eu une bonne raison de ne rien te dire.
_Oui sûrement quand j'était petit mai le jour ou j'ai eu l'age de comprendre elle aurait put me révéler la vérité.
Grand-mère il faut que je te parle.
_ Oui André je t’écoute ça va ?
_ Pourquoi tu m’as menti ?
_ ANDRE !! Tu n’as pas honte.
_ Grand-mère pourquoi tu m’a dit que ma mère est morte ? et tu sais que ce n’est pas la vérité.
_ Euhh… à vrai dire c’est que …
_ Alors j’attends des explications !!!
_A la mort de ton père ta mère était devenue dépressive et elle n'arrivait plus à s'occuper de toi alors elle m’a demandé de te prendre car elle savait que tu serais bien comme elle n'arrivait pas à faire son deuil alors elle est partie dans un couvant pour s'isoler quelque temps voila toute l'histoire.
_Mais comment sait tu que ta mère n'est pas morte ?
_ Je l’ai vu aujourd’hui et elle m’a reconnu ci vite.
Oscar était là à les écouter sans dire un mot. Elle n’a pas voulu les interrompre. Mais elle était peinée pour André.
_André ta mère est-elle venue ici ?
_Oui grand-mère elle est avec Oscar.
_Je peut la voir ?
_Bien sur que oui elle vient.
Lorsque la mère d’André vus grand-mère elle s’est jetée sur elle. Elle était vraiment contente de la voir mais malheureusement la grand-mère était si froide avec elle.
_ Pourquoi tu es venue ?
_On s'est rencontré dans une auberge André et sa fiancée.
_Comment sa sa FIANCE !!
_Bain oui grand-mère rappelle toi André et moi somme fiancée.
_A oui c'est vrai compte tu rester ?
_Non je ne veut pas vous déranger
_Ma… MAMAN reste je ne veux pas que tu parte j'ai besoin de te parler.
_OUI restez cela ne dérangera pas mon père grand-mére peut-tu lui préparez une chambre stp ? merci
_André Oscar il va falloir que je vous parle .
_Vient maman je vais te présenter aux parents d’Oscar.
_ Oui André avec plaisir
Oscar, André et sa mère entrèrent dans le salon. La bas était assis le Général dans un fauteuil près de la chemine.
_ Monsieur, je vous présente ma mère.
_ Oh enfin te voilà tu as vu ton fils. Il y a longtemps.
_ PERE !!! Tu connais toi aussi.
_ Oui je sais et je crois que ta grand-mère t’as dit la cause de son absence.
_ Oui.
La mère d’André et le Général commencèrent à discuter. Tandis qu’oscar et André allèrent au jardin.
_Oscar .
_Oui André qu'y a t-il ?
_Comment vas-t-on faire si ma mère parle de ton père de nos fausse fiançailles ?
_Ah oui je n'y avait pas pensée andré vient vite tu va lui dire
_Comment ça tu
_vient et c'est tout.
_Père André a quelque chose à vous demander.
_ Oui André je t’écoute.
_ A vrai dire je voulais vous dire que … que… que
_ Que quoi André ? As-tu perdu ta langue ?
_ Voilà je voulais te demander la main de ta fille monsieur.
Entrant dans le salon grand-mère laissa glisser le plateau de ses mais après ces paroles dites par André.
_ André exuse- toi vite et retire ses mots.
_ Non grand-mère. Je n’ai rien dit de mal j’ai seulement demander la main d’oscar. Est ce un crime ?
Le général se dirigea vers André furieux et le gifla.
_ Père pourquoi vous avez fait ça ?
_ Toi tu te taies et monte dans ta chambre vite !!! Alors André comment tu oses…
_Je vous en prie laissez moi épouser Oscar, Oscar et moi nous s’aimons.
_Vas-tu te taire
_Mais André je croyais que vous étiez fiancé
_Comment en plus vous avez mentie a votre mère.
_ Père non à vrai dire c’est ma faute c’est moi qui…
_ Tu es toujours là toi ; est ce que tu te désobéis à ton père. Je t’avais dit de monter dans ta chambre.
_ Non n’écoute pas Oscar Général
_ Mais attendez là ; je ne comprends pas mais la jeune femme m’a bien dit qu’elle est la fiancée d’André.
_ Non, mère tu te trempe. Tu n’as pas bien compris.

Il était une fois, dans un pays endetté une
jeune fille blonde qui s'appelait Oscar et qui avait été élevée comme un
garçon. Son père, le Général de Jarjayes, était dur avec elle. Elle
n'avait qu'un ami qui s’appelait André Grandier. Ils étaient proches
et inséparables, dès leur enfance. André a été élevé par sa
Grand-mère qui était la nourrisse d'Oscar. Cette dernière la dernière fille des Jarjayes, aimait grand- mère et elle la considère membre de la famille.
Parfois, après avoir bu quelque verre avec André, grand -mère divaguait. Mais un jour elle dit à André qu’il ne devait plus regarder Oscar comme une future épouse ni même avouer ses sentiments envers elle car il ne fallait pas qu'André oublie qu'il n'était qu'un domestique, et elle fille de comte, et général par dessus le marché! André resta figé après ces paroles dures dites par sa grand-mère. Il n’a même pas géré ces mots. Il monta voir Oscar, qui était enfermée dans sa chambre toute la journée, et lui proposa d'aller faire une balade en forêt. Oscar était surprise par cette demande mais elle l’a bien caché mais elle accepta avec entrain.


_ Une balade en forêt ? Oui pourquoi pas. Ça sera une bonne idée. Allons y André.
_D'accord je vais prévenir Grand-mère, dit André.
Il commença à descendre les escaliers, mais il se ravisa, et décida de ne rien dire à Grand mère. André alla à l'écurie afin de préparer les deux chevaux en attendant qu’Oscar mette ses bottes. Il sella Appolline, le cheval de sa bien aimée, mais toujours il n’a pas pu chasser les paroles dures dites par sa grand-mère. Pourquoi lui avait elle dit cela? Cela se voyait tant qu'il l'aimait plus que sa vie? André secoua sa tête en arrière et ferma ses beaux yeux verts couleur émeraude.
Soudain, il entendit une voix cristalline qui le fit sortir de ses pensées amoureuses.
_ André !! André !! Tu rêves ou quoi ?
_Non non , je pensai juste a quelque chose. Rien d’important.
_Ah...une jolie fille peut-être? dit elle en riant.
André parla avec un voix triste
_ Oui, Oscar une belle fem… mais…
_Mais quoi André ... ?
_ Rien Oscar, rien alors et cette promenade dans la forêt on va le faire ?
_Oui ! répondit Oscar puis ils repartirent.
Oscar n’a pas voulu insister sur André ; elle n’a pas voulu l’intimider encore une fois.
Presque arriver à la forêt, André cria brusquement : OSCAR !!!
_ As- tu perdu la tête André. Vous allez effrayer les chevaux.
_Excuse moi...Mais, j'ai une question à te poser...
_Laquelle? dit elle en croisant les bras sur la poitrine.
André resta un peu silencieux. Il avait un peu peur, oui peur de perdre Oscar par cette simple question. Il n’a pas pu attendre puis il se retourna vers elle et lui dise :
_ Oscar ! Aimes-tu- Fersen ?
_Quoi???
_Oui, l'aimes tu toujours...demanda t il en levant les yeux vers elle.
_Quelle question André cela ne se pose pas ! et pour y répondre non .
_ Désolé Oscar je voulais tout simplement savoir
_Ca n'est rien mais pourquois cette question ?

André resta silencieux. Il n’a pas pu répondre à sa question. Il avait peur d’avouer ses sentiments envers elle. Oui envers la femme qui n’a pas cessé de l’aimer depuis toujours. Mais oscar a rompu ce silence.
_ Si tu ne veux pas me répondre tu peux me le dire.
_Oscar je ...je .... On est arrivé .
Oscar et Andre arrivèrent dans une petit auberge qu'ils connaissaient
Oscar jeta un regard à André, signifiant qu'elle n'avait pas dit son dernier mot, et ils entrèrent.

_Au fait André tout a l'heure tu n'avais pas fini ta phrase .
_ Oscar tu sais tu compte beaucoup pour moi. Je voulais te dire que je… je…
_ Quoi André?
_ Je ...
_ André!
Une jeune fille aux somptueux cheveux roux s'avança vers eux. Sa chevelure faisait penser à une queue de renarde, et ses yeux noirs, malicieux, étaient tout aussi déstabilisants que sont imposante mais envoûtante poitrine. Oscar se tourna vivement vers André:
_ Tu connais cette perronnelle? dit elle avec un ton cassant et glaciale.
_ Non, non je ne la connaît pas c’est la première fois que je le vois
_Pourtant, ELLE, elle semble très bien te connaître, et oh!! André!!!!
Ce qu'elle avait sous les yeux l'avait tellement choqué, qu'elle en était pétrifiée, figée sur place...
_C'est … c'est ma mère Oscar.
Oscar resta immobile par ces mots là; elle n’a pas gérée ce qui se passe.
—Non...réussi à articuler Oscar. Impossible...
Et pourtant c'était vrai, la dame qui se tenait devant eux était bel et bien la mère d'André. Elle s'approcha de son fils, et lui fit la bise sur la joue. Elle semblait elle même extrêmement troublée, qu'elle ne trouva rien d'autre à dire que:
"C'est ta fiancé mon chéri? vous fêtez un très beau couple en tous cas .
A ces paroles André et Oscar rougirent et restèrent bouches bés. André baissa les yeux vers le sol, imités de près par Oscar. Il venait de retrouver sa mère qu'il pensait morte, et alors qu'il était en train de croire au Seigneur, il fallait qu'elle les jette dans une situation de tout ce qu'il ya de plus embarrassant. Soudain, il sursauta, et tourna les pupilles vers la droite. Oscar avait tendrement saisit sa main... et réponde :
_Oui nous sommes fiancé depuis peut et nous allons nous marié.
André n’a pas dit un mot. Il était surpris par cette réponse. Lui qui attendait des années pour avouer son amour à Oscar et voilà il entend pour la première fois qu’oscar est sa fiancée. Il est toujours perturbé. Il parla à lui-même est ce que je rêve ? Où c’est la vérité. Il tourna vers Oscar pour chercher une réponse à ces questions. Oscar regarda André avec de grand yeux qui brillait et la André comprit qu'elle aussi l'aimait Oscar se jeta sur lui et l'embrassa à pleine bouche. Puis, elle lui chuchota au creux de l'oreille:
"Ecoute André. Cette folle croit être ta mère, il faut suivre son jeu si nous ne voulons pas avoir d'ennuis. André, tu m'écoutes?"
Tout est passé ci vite, André ne sait pas quoi faire. Il resta figé par ce baiser inattendu.
_ Hei ! André tu m’écoutes.
_ Oui Oscar. Je t’ai entendu très bien. Mais ce n'est pas une folle c'est bien ma mère !
_ Tu es sur mais ta mère est morte. C’est toi qui m’a dit que tu t’es élevé par ta grand-mère.
_Oui j'en suis sur que c'est ma mère , mais on m'a toujours dis que ma mère était morte je vais aller demandé des explications a Grand-mère .

Alors André Oscar et sa soi disante mère retournèrent a la demeure des Jarjayes pour en savoir plus.
André était vraiment furieux. Pourquoi grand-mère m’a caché ça. Il se dirigea vite vers la cuisine pour avoir des explications mais Oscar l’a retenu par son bras.
_ André attend. Il faut que tu te calmes. Je sais que c’est difficile pour toi mais…
_ Mais quoi… Toutes ces années j’ai vis dans un mensonge.
_Grand-mère a sûrement eu une bonne raison de ne rien te dire.
_Oui sûrement quand j'était petit mai le jour ou j'ai eu l'age de comprendre elle aurait put me révéler la vérité.
Grand-mère il faut que je te parle.
_ Oui André je t’écoute ça va ?
_ Pourquoi tu m’as menti ?
_ ANDRE !! Tu n’as pas honte.
_ Grand-mère pourquoi tu m’a dit que ma mère est morte ? et tu sais que ce n’est pas la vérité.
_ Euhh… à vrai dire c’est que …
_ Alors j’attends des explications !!!
_A la mort de ton père ta mère était devenue dépressive et elle n'arrivait plus à s'occuper de toi alors elle m’a demandé de te prendre car elle savait que tu serais bien comme elle n'arrivait pas à faire son deuil alors elle est partie dans un couvant pour s'isoler quelque temps voila toute l'histoire.
_Mais comment sait tu que ta mère n'est pas morte ?
_ Je l’ai vu aujourd’hui et elle m’a reconnu ci vite.
Oscar était là à les écouter sans dire un mot. Elle n’a pas voulu les interrompre. Mais elle était peinée pour André.
_André ta mère est-elle venue ici ?
_Oui grand-mère elle est avec Oscar.
_Je peut la voir ?
_Bien sur que oui elle vient.
Lorsque la mère d’André vus grand-mère elle s’est jetée sur elle. Elle était vraiment contente de la voir mais malheureusement la grand-mère était si froide avec elle.
_ Pourquoi tu es venue ?
_On s'est rencontré dans une auberge André et sa fiancée.
_Comment sa sa FIANCE !!
_Bain oui grand-mère rappelle toi André et moi somme fiancée.
_A oui c'est vrai compte tu rester ?
_Non je ne veut pas vous déranger
_Ma… MAMAN reste je ne veux pas que tu parte j'ai besoin de te parler.
_OUI restez cela ne dérangera pas mon père grand-mére peut-tu lui préparez une chambre stp ? merci
_André Oscar il va falloir que je vous parle .
_Vient maman je vais te présenter aux parents d’Oscar.
_ Oui André avec plaisir
Oscar, André et sa mère entrèrent dans le salon. La bas était assis le Général dans un fauteuil près de la chemine.
_ Monsieur, je vous présente ma mère.
_ Oh enfin te voilà tu as vu ton fils. Il y a longtemps.
_ PERE !!! Tu connais toi aussi.
_ Oui je sais et je crois que ta grand-mère t’as dit la cause de son absence.
_ Oui.
La mère d’André et le Général commencèrent à discuter. Tandis qu’oscar et André allèrent au jardin.
_Oscar .
_Oui André qu'y a t-il ?
_Comment vas-t-on faire si ma mère parle de ton père de nos fausse fiançailles ?
_Ah oui je n'y avait pas pensée andré vient vite tu va lui dire
_Comment ça tu
_vient et c'est tout.
_Père André a quelque chose à vous demander.
_ Oui André je t’écoute.
_ A vrai dire je voulais vous dire que … que… que
_ Que quoi André ? As-tu perdu ta langue ?
_ Voilà je voulais te demander la main de ta fille monsieur.
Entrant dans le salon grand-mère laissa glisser le plateau de ses mais après ces paroles dites par André.
_ André exuse- toi vite et retire ses mots.
_ Non grand-mère. Je n’ai rien dit de mal j’ai seulement demander la main d’oscar. Est ce un crime ?
Le général se dirigea vers André furieux et le gifla.
_ Père pourquoi vous avez fait ça ?
_ Toi tu te taies et monte dans ta chambre vite !!! Alors André comment tu oses…
_Je vous en prie laissez moi épouser Oscar, Oscar et moi nous s’aimons.
_Vas-tu te taire
_Mais André je croyais que vous étiez fiancé
_Comment en plus vous avez mentie a votre mère.
_ Père non à vrai dire c’est ma faute c’est moi qui…
_ Tu es toujours là toi ; est ce que tu te désobéis à ton père. Je t’avais dit de monter dans ta chambre.
_ Non n’écoute pas Oscar Général
_ Mais attendez là ; je ne comprends pas mais la jeune femme m’a bien dit qu’elle est la fiancée d’André.
_ Non, mère tu te trempe. Tu n’as pas bien compris.
_En vrai Oscar et moi voulon nous fiancé mais l'onnavait rien dit a personne et Oscar ta dit oui car elle ne voulait surement pas te ...

Il était une fois, dans un pays endetté une
jeune fille blonde qui s'appelait Oscar et qui avait été élevée comme un
garçon. Son père, le Général de Jarjayes, était dur avec elle. Elle
n'avait qu'un ami qui s’appelait André Grandier. Ils étaient proches
et inséparables, dès leur enfance. André a été élevé par sa
Grand-mère qui était la nourrisse d'Oscar. Cette dernière la dernière fille des Jarjayes, aimait grand- mère et elle la considère membre de la famille.
Parfois, après avoir bu quelque verre avec André, grand -mère divaguait. Mais un jour elle dit à André qu’il ne devait plus regarder Oscar comme une future épouse ni même avouer ses sentiments envers elle car il ne fallait pas qu'André oublie qu'il n'était qu'un domestique, et elle fille de comte, et général par dessus le marché! André resta figé après ces paroles dures dites par sa grand-mère. Il n’a même pas géré ces mots. Il monta voir Oscar, qui était enfermée dans sa chambre toute la journée, et lui proposa d'aller faire une balade en forêt. Oscar était surprise par cette demande mais elle l’a bien caché mais elle accepta avec entrain.


_ Une balade en forêt ? Oui pourquoi pas. Ça sera une bonne idée. Allons y André.
_D'accord je vais prévenir Grand-mère, dit André.
Il commença à descendre les escaliers, mais il se ravisa, et décida de ne rien dire à Grand mère. André alla à l'écurie afin de préparer les deux chevaux en attendant qu’Oscar mette ses bottes. Il sella Appolline, le cheval de sa bien aimée, mais toujours il n’a pas pu chasser les paroles dures dites par sa grand-mère. Pourquoi lui avait elle dit cela? Cela se voyait tant qu'il l'aimait plus que sa vie? André secoua sa tête en arrière et ferma ses beaux yeux verts couleur émeraude.
Soudain, il entendit une voix cristalline qui le fit sortir de ses pensées amoureuses.
_ André !! André !! Tu rêves ou quoi ?
_Non non , je pensai juste a quelque chose. Rien d’important.
_Ah...une jolie fille peut-être? dit elle en riant.
André parla avec un voix triste
_ Oui, Oscar une belle fem… mais…
_Mais quoi André ... ?
_ Rien Oscar, rien alors et cette promenade dans la forêt on va le faire ?
_Oui ! répondit Oscar puis ils repartirent.
Oscar n’a pas voulu insister sur André ; elle n’a pas voulu l’intimider encore une fois.
Presque arriver à la forêt, André cria brusquement : OSCAR !!!
_ As- tu perdu la tête André. Vous allez effrayer les chevaux.
_Excuse moi...Mais, j'ai une question à te poser...
_Laquelle? dit elle en croisant les bras sur la poitrine.
André resta un peu silencieux. Il avait un peu peur, oui peur de perdre Oscar par cette simple question. Il n’a pas pu attendre puis il se retourna vers elle et lui dise :
_ Oscar ! Aimes-tu- Fersen ?
_Quoi???
_Oui, l'aimes tu toujours...demanda t il en levant les yeux vers elle.
_Quelle question André cela ne se pose pas ! et pour y répondre non .
_ Désolé Oscar je voulais tout simplement savoir
_Ca n'est rien mais pourquois cette question ?

André resta silencieux. Il n’a pas pu répondre à sa question. Il avait peur d’avouer ses sentiments envers elle. Oui envers la femme qui n’a pas cessé de l’aimer depuis toujours. Mais oscar a rompu ce silence.
_ Si tu ne veux pas me répondre tu peux me le dire.
_Oscar je ...je .... On est arrivé .
Oscar et Andre arrivèrent dans une petit auberge qu'ils connaissaient
Oscar jeta un regard à André, signifiant qu'elle n'avait pas dit son dernier mot, et ils entrèrent.

_Au fait André tout a l'heure tu n'avais pas fini ta phrase .
_ Oscar tu sais tu compte beaucoup pour moi. Je voulais te dire que je… je…
_ Quoi André?
_ Je ...
_ André!
Une jeune fille aux somptueux cheveux roux s'avança vers eux. Sa chevelure faisait penser à une queue de renarde, et ses yeux noirs, malicieux, étaient tout aussi déstabilisants que sont imposante mais envoûtante poitrine. Oscar se tourna vivement vers André:
_ Tu connais cette perronnelle? dit elle avec un ton cassant et glaciale.
_ Non, non je ne la connaît pas c’est la première fois que je le vois
_Pourtant, ELLE, elle semble très bien te connaître, et oh!! André!!!!
Ce qu'elle avait sous les yeux l'avait tellement choqué, qu'elle en était pétrifiée, figée sur place...
_C'est … c'est ma mère Oscar.
Oscar resta immobile par ces mots là; elle n’a pas gérée ce qui se passe.
—Non...réussi à articuler Oscar. Impossible...
Et pourtant c'était vrai, la dame qui se tenait devant eux était bel et bien la mère d'André. Elle s'approcha de son fils, et lui fit la bise sur la joue. Elle semblait elle même extrêmement troublée, qu'elle ne trouva rien d'autre à dire que:
"C'est ta fiancé mon chéri? vous fêtez un très beau couple en tous cas .
A ces paroles André et Oscar rougirent et restèrent bouches bés. André baissa les yeux vers le sol, imités de près par Oscar. Il venait de retrouver sa mère qu'il pensait morte, et alors qu'il était en train de croire au Seigneur, il fallait qu'elle les jette dans une situation de tout ce qu'il ya de plus embarrassant. Soudain, il sursauta, et tourna les pupilles vers la droite. Oscar avait tendrement saisit sa main... et réponde :
_Oui nous sommes fiancé depuis peut et nous allons nous marié.
André n’a pas dit un mot. Il était surpris par cette réponse. Lui qui attendait des années pour avouer son amour à Oscar et voilà il entend pour la première fois qu’oscar est sa fiancée. Il est toujours perturbé. Il parla à lui-même est ce que je rêve ? Où c’est la vérité. Il tourna vers Oscar pour chercher une réponse à ces questions. Oscar regarda André avec de grand yeux qui brillait et la André comprit qu'elle aussi l'aimait Oscar se jeta sur lui et l'embrassa à pleine bouche. Puis, elle lui chuchota au creux de l'oreille:
"Ecoute André. Cette folle croit être ta mère, il faut suivre son jeu si nous ne voulons pas avoir d'ennuis. André, tu m'écoutes?"
Tout est passé ci vite, André ne sait pas quoi faire. Il resta figé par ce baiser inattendu.
_ Hei ! André tu m’écoutes.
_ Oui Oscar. Je t’ai entendu très bien. Mais ce n'est pas une folle c'est bien ma mère !
_ Tu es sur mais ta mère est morte. C’est toi qui m’a dit que tu t’es élevé par ta grand-mère.
_Oui j'en suis sur que c'est ma mère , mais on m'a toujours dis que ma mère était morte je vais aller demandé des explications a Grand-mère .

Alors André Oscar et sa soi disante mère retournèrent a la demeure des Jarjayes pour en savoir plus.
André était vraiment furieux. Pourquoi grand-mère m’a caché ça. Il se dirigea vite vers la cuisine pour avoir des explications mais Oscar l’a retenu par son bras.
_ André attend. Il faut que tu te calmes. Je sais que c’est difficile pour toi mais…
_ Mais quoi… Toutes ces années j’ai vis dans un mensonge.
_Grand-mère a sûrement eu une bonne raison de ne rien te dire.
_Oui sûrement quand j'était petit mai le jour ou j'ai eu l'age de comprendre elle aurait put me révéler la vérité.
Grand-mère il faut que je te parle.
_ Oui André je t’écoute ça va ?
_ Pourquoi tu m’as menti ?
_ ANDRE !! Tu n’as pas honte.
_ Grand-mère pourquoi tu m’a dit que ma mère est morte ? et tu sais que ce n’est pas la vérité.
_ Euhh… à vrai dire c’est que …
_ Alors j’attends des explications !!!
_A la mort de ton père ta mère était devenue dépressive et elle n'arrivait plus à s'occuper de toi alors elle m’a demandé de te prendre car elle savait que tu serais bien comme elle n'arrivait pas à faire son deuil alors elle est partie dans un couvant pour s'isoler quelque temps voila toute l'histoire.
_Mais comment sait tu que ta mère n'est pas morte ?
_ Je l’ai vu aujourd’hui et elle m’a reconnu ci vite.
Oscar était là à les écouter sans dire un mot. Elle n’a pas voulu les interrompre. Mais elle était peinée pour André.
_André ta mère est-elle venue ici ?
_Oui grand-mère elle est avec Oscar.
_Je peut la voir ?
_Bien sur que oui elle vient.
Lorsque la mère d’André vus grand-mère elle s’est jetée sur elle. Elle était vraiment contente de la voir mais malheureusement la grand-mère était si froide avec elle.
_ Pourquoi tu es venue ?
_On s'est rencontré dans une auberge André et sa fiancée.
_Comment sa sa FIANCE !!
_Bain oui grand-mère rappelle toi André et moi somme fiancée.
_A oui c'est vrai compte tu rester ?
_Non je ne veut pas vous déranger
_Ma… MAMAN reste je ne veux pas que tu parte j'ai besoin de te parler.
_OUI restez cela ne dérangera pas mon père grand-mére peut-tu lui préparez une chambre stp ? merci
_André Oscar il va falloir que je vous parle .
_Vient maman je vais te présenter aux parents d’Oscar.
_ Oui André avec plaisir
Oscar, André et sa mère entrèrent dans le salon. La bas était assis le Général dans un fauteuil près de la chemine.
_ Monsieur, je vous présente ma mère.
_ Oh enfin te voilà tu as vu ton fils. Il y a longtemps.
_ PERE !!! Tu connais toi aussi.
_ Oui je sais et je crois que ta grand-mère t’as dit la cause de son absence.
_ Oui.
La mère d’André et le Général commencèrent à discuter. Tandis qu’oscar et André allèrent au jardin.
_Oscar .
_Oui André qu'y a t-il ?
_Comment vas-t-on faire si ma mère parle de ton père de nos fausse fiançailles ?
_Ah oui je n'y avait pas pensée andré vient vite tu va lui dire
_Comment ça tu
_vient et c'est tout.
_Père André a quelque chose à vous demander.
_ Oui André je t’écoute.
_ A vrai dire je voulais vous dire que … que… que
_ Que quoi André ? As-tu perdu ta langue ?
_ Voilà je voulais te demander la main de ta fille monsieur.
Entrant dans le salon grand-mère laissa glisser le plateau de ses mais après ces paroles dites par André.
_ André exuse- toi vite et retire ses mots.
_ Non grand-mère. Je n’ai rien dit de mal j’ai seulement demander la main d’oscar. Est ce un crime ?
Le général se dirigea vers André furieux et le gifla.
_ Père pourquoi vous avez fait ça ?
_ Toi tu te taies et monte dans ta chambre vite !!! Alors André comment tu oses…
_Je vous en prie laissez moi épouser Oscar, Oscar et moi nous s’aimons.
_Vas-tu te taire
_Mais André je croyais que vous étiez fiancé
_Comment en plus vous avez mentie a votre mère.
_ Père non à vrai dire c’est ma faute c’est moi qui…
_ Tu es toujours là toi ; est ce que tu te désobéis à ton père. Je t’avais dit de monter dans ta chambre.
_ Non n’écoute pas Oscar Général
_ Mais attendez là ; je ne comprends pas mais la jeune femme m’a bien dit qu’elle est la fiancée d’André.
_ Non, mère tu te trempes. Tu n’as pas bien compris.
_En vrai Oscar et moi voulons nous fiancé mais l'on n’avait rien dit a personne et Oscar t’a dit oui car elle ne voulait sûrement pas te ...
_ Oui mère tu as compris. Alors Général je vous en supplie je veux épousé Oscar je voulais qu’elle soit ma femme.
_ Tu me fais rire là André. As-tu oublié qui tu es ?
_ Non monsieur mais…
_ Alors tu as toujours le temps de retirer ta demande.
_

Il était une fois, dans un pays endetté une
jeune fille blonde qui s'appelait Oscar et qui avait été élevée comme un
garçon. Son père, le Général de Jarjayes, était dur avec elle. Elle
n'avait qu'un ami qui s’appelait André Grandier. Ils étaient proches
et inséparables, dès leur enfance. André a été élevé par sa
Grand-mère qui était la nourrisse d'Oscar. Cette dernière la dernière fille des Jarjayes, aimait grand- mère et elle la considère membre de la famille.
Parfois, après avoir bu quelque verre avec André, grand -mère divaguait. Mais un jour elle dit à André qu’il ne devait plus regarder Oscar comme une future épouse ni même avouer ses sentiments envers elle car il ne fallait pas qu'André oublie qu'il n'était qu'un domestique, et elle fille de comte, et général par dessus le marché! André resta figé après ces paroles dures dites par sa grand-mère. Il n’a même pas géré ces mots. Il monta voir Oscar, qui était enfermée dans sa chambre toute la journée, et lui proposa d'aller faire une balade en forêt. Oscar était surprise par cette demande mais elle l’a bien caché mais elle accepta avec entrain.


_ Une balade en forêt ? Oui pourquoi pas. Ça sera une bonne idée. Allons y André.
_D'accord je vais prévenir Grand-mère, dit André.
Il commença à descendre les escaliers, mais il se ravisa, et décida de ne rien dire à Grand mère. André alla à l'écurie afin de préparer les deux chevaux en attendant qu’Oscar mette ses bottes. Il sella Appolline, le cheval de sa bien aimée, mais toujours il n’a pas pu chasser les paroles dures dites par sa grand-mère. Pourquoi lui avait elle dit cela? Cela se voyait tant qu'il l'aimait plus que sa vie? André secoua sa tête en arrière et ferma ses beaux yeux verts couleur émeraude.
Soudain, il entendit une voix cristalline qui le fit sortir de ses pensées amoureuses.
_ André !! André !! Tu rêves ou quoi ?
_Non non , je pensai juste a quelque chose. Rien d’important.
_Ah...une jolie fille peut-être? dit elle en riant.
André parla avec un voix triste
_ Oui, Oscar une belle fem… mais…
_Mais quoi André ... ?
_ Rien Oscar, rien alors et cette promenade dans la forêt on va le faire ?
_Oui ! répondit Oscar puis ils repartirent.
Oscar n’a pas voulu insister sur André ; elle n’a pas voulu l’intimider encore une fois.
Presque arriver à la forêt, André cria brusquement : OSCAR !!!
_ As- tu perdu la tête André. Vous allez effrayer les chevaux.
_Excuse moi...Mais, j'ai une question à te poser...
_Laquelle? dit elle en croisant les bras sur la poitrine.
André resta un peu silencieux. Il avait un peu peur, oui peur de perdre Oscar par cette simple question. Il n’a pas pu attendre puis il se retourna vers elle et lui dise :
_ Oscar ! Aimes-tu- Fersen ?
_Quoi???
_Oui, l'aimes tu toujours...demanda t il en levant les yeux vers elle.
_Quelle question André cela ne se pose pas ! et pour y répondre non .
_ Désolé Oscar je voulais tout simplement savoir
_Ca n'est rien mais pourquois cette question ?

André resta silencieux. Il n’a pas pu répondre à sa question. Il avait peur d’avouer ses sentiments envers elle. Oui envers la femme qui n’a pas cessé de l’aimer depuis toujours. Mais oscar a rompu ce silence.
_ Si tu ne veux pas me répondre tu peux me le dire.
_Oscar je ...je .... On est arrivé .
Oscar et Andre arrivèrent dans une petit auberge qu'ils connaissaient
Oscar jeta un regard à André, signifiant qu'elle n'avait pas dit son dernier mot, et ils entrèrent.

_Au fait André tout a l'heure tu n'avais pas fini ta phrase .
_ Oscar tu sais tu compte beaucoup pour moi. Je voulais te dire que je… je…
_ Quoi André?
_ Je ...
_ André!
Une jeune fille aux somptueux cheveux roux s'avança vers eux. Sa chevelure faisait penser à une queue de renarde, et ses yeux noirs, malicieux, étaient tout aussi déstabilisants que sont imposante mais envoûtante poitrine. Oscar se tourna vivement vers André:
_ Tu connais cette perronnelle? dit elle avec un ton cassant et glaciale.
_ Non, non je ne la connaît pas c’est la première fois que je le vois
_Pourtant, ELLE, elle semble très bien te connaître, et oh!! André!!!!
Ce qu'elle avait sous les yeux l'avait tellement choqué, qu'elle en était pétrifiée, figée sur place...
_C'est … c'est ma mère Oscar.
Oscar resta immobile par ces mots là; elle n’a pas gérée ce qui se passe.
—Non...réussi à articuler Oscar. Impossible...
Et pourtant c'était vrai, la dame qui se tenait devant eux était bel et bien la mère d'André. Elle s'approcha de son fils, et lui fit la bise sur la joue. Elle semblait elle même extrêmement troublée, qu'elle ne trouva rien d'autre à dire que:
"C'est ta fiancé mon chéri? vous fêtez un très beau couple en tous cas .
A ces paroles André et Oscar rougirent et restèrent bouches bés. André baissa les yeux vers le sol, imités de près par Oscar. Il venait de retrouver sa mère qu'il pensait morte, et alors qu'il était en train de croire au Seigneur, il fallait qu'elle les jette dans une situation de tout ce qu'il ya de plus embarrassant. Soudain, il sursauta, et tourna les pupilles vers la droite. Oscar avait tendrement saisit sa main... et réponde :
_Oui nous sommes fiancé depuis peut et nous allons nous marié.
André n’a pas dit un mot. Il était surpris par cette réponse. Lui qui attendait des années pour avouer son amour à Oscar et voilà il entend pour la première fois qu’oscar est sa fiancée. Il est toujours perturbé. Il parla à lui-même est ce que je rêve ? Où c’est la vérité. Il tourna vers Oscar pour chercher une réponse à ces questions. Oscar regarda André avec de grand yeux qui brillait et la André comprit qu'elle aussi l'aimait Oscar se jeta sur lui et l'embrassa à pleine bouche. Puis, elle lui chuchota au creux de l'oreille:
"Ecoute André. Cette folle croit être ta mère, il faut suivre son jeu si nous ne voulons pas avoir d'ennuis. André, tu m'écoutes?"
Tout est passé ci vite, André ne sait pas quoi faire. Il resta figé par ce baiser inattendu.
_ Hei ! André tu m’écoutes.
_ Oui Oscar. Je t’ai entendu très bien. Mais ce n'est pas une folle c'est bien ma mère !
_ Tu es sur mais ta mère est morte. C’est toi qui m’a dit que tu t’es élevé par ta grand-mère.
_Oui j'en suis sur que c'est ma mère , mais on m'a toujours dis que ma mère était morte je vais aller demandé des explications a Grand-mère .

Alors André Oscar et sa soi disante mère retournèrent a la demeure des Jarjayes pour en savoir plus.
André était vraiment furieux. Pourquoi grand-mère m’a caché ça. Il se dirigea vite vers la cuisine pour avoir des explications mais Oscar l’a retenu par son bras.
_ André attend. Il faut que tu te calmes. Je sais que c’est difficile pour toi mais…
_ Mais quoi… Toutes ces années j’ai vis dans un mensonge.
_Grand-mère a sûrement eu une bonne raison de ne rien te dire.
_Oui sûrement quand j'était petit mai le jour ou j'ai eu l'age de comprendre elle aurait put me révéler la vérité.
Grand-mère il faut que je te parle.
_ Oui André je t’écoute ça va ?
_ Pourquoi tu m’as menti ?
_ ANDRE !! Tu n’as pas honte.
_ Grand-mère pourquoi tu m’a dit que ma mère est morte ? et tu sais que ce n’est pas la vérité.
_ Euhh… à vrai dire c’est que …
_ Alors j’attends des explications !!!
_A la mort de ton père ta mère était devenue dépressive et elle n'arrivait plus à s'occuper de toi alors elle m’a demandé de te prendre car elle savait que tu serais bien comme elle n'arrivait pas à faire son deuil alors elle est partie dans un couvant pour s'isoler quelque temps voila toute l'histoire.
_Mais comment sait tu que ta mère n'est pas morte ?
_ Je l’ai vu aujourd’hui et elle m’a reconnu ci vite.
Oscar était là à les écouter sans dire un mot. Elle n’a pas voulu les interrompre. Mais elle était peinée pour André.
_André ta mère est-elle venue ici ?
_Oui grand-mère elle est avec Oscar.
_Je peut la voir ?
_Bien sur que oui elle vient.
Lorsque la mère d’André vus grand-mère elle s’est jetée sur elle. Elle était vraiment contente de la voir mais malheureusement la grand-mère était si froide avec elle.
_ Pourquoi tu es venue ?
_On s'est rencontré dans une auberge André et sa fiancée.
_Comment sa sa FIANCE !!
_Bain oui grand-mère rappelle toi André et moi somme fiancée.
_A oui c'est vrai compte tu rester ?
_Non je ne veut pas vous déranger
_Ma… MAMAN reste je ne veux pas que tu parte j'ai besoin de te parler.
_OUI restez cela ne dérangera pas mon père grand-mére peut-tu lui préparez une chambre stp ? merci
_André Oscar il va falloir que je vous parle .
_Vient maman je vais te présenter aux parents d’Oscar.
_ Oui André avec plaisir
Oscar, André et sa mère entrèrent dans le salon. La bas était assis le Général dans un fauteuil près de la chemine.
_ Monsieur, je vous présente ma mère.
_ Oh enfin te voilà tu as vu ton fils. Il y a longtemps.
_ PERE !!! Tu connais toi aussi.
_ Oui je sais et je crois que ta grand-mère t’as dit la cause de son absence.
_ Oui.
La mère d’André et le Général commencèrent à discuter. Tandis qu’oscar et André allèrent au jardin.
_Oscar .
_Oui André qu'y a t-il ?
_Comment vas-t-on faire si ma mère parle de ton père de nos fausse fiançailles ?
_Ah oui je n'y avait pas pensée andré vient vite tu va lui dire
_Comment ça tu
_vient et c'est tout.
_Père André a quelque chose à vous demander.
_ Oui André je t’écoute.
_ A vrai dire je voulais vous dire que … que… que
_ Que quoi André ? As-tu perdu ta langue ?
_ Voilà je voulais te demander la main de ta fille monsieur.
Entrant dans le salon grand-mère laissa glisser le plateau de ses mais après ces paroles dites par André.
_ André exuse- toi vite et retire ses mots.
_ Non grand-mère. Je n’ai rien dit de mal j’ai seulement demander la main d’oscar. Est ce un crime ?
Le général se dirigea vers André furieux et le gifla.
_ Père pourquoi vous avez fait ça ?
_ Toi tu te taies et monte dans ta chambre vite !!! Alors André comment tu oses…
_Je vous en prie laissez moi épouser Oscar, Oscar et moi nous s’aimons.
_Vas-tu te taire
_Mais André je croyais que vous étiez fiancé
_Comment en plus vous avez mentie a votre mère.
_ Père non à vrai dire c’est ma faute c’est moi qui…
_ Tu es toujours là toi ; est ce que tu te désobéis à ton père. Je t’avais dit de monter dans ta chambre.
_ Non n’écoute pas Oscar Général
_ Mais attendez là ; je ne comprends pas mais la jeune femme m’a bien dit qu’elle est la fiancée d’André.
_ Non, mère tu te trempes. Tu n’as pas bien compris.
_En vrai Oscar et moi voulons nous fiancé mais l'on n’avait rien dit a personne et Oscar t’a dit oui car elle ne voulait sûrement pas te ...
_ Oui mère tu as compris. Alors Général je vous en supplie je veux épousé Oscar je voulais qu’elle soit ma femme.
_ Tu me fais rire là André. As-tu oublié qui tu es ?
_ Non monsieur mais…
_ Alors tu as toujours le temps de retirer ta demande
_Non Générale jamais j'aimerait une autres femme qu'Oscar et cela méme si vous nous empécherez et c'est pareil pour Oscar .

Le Générale laissa passer la nuit pour réfléchir a tou ce qui sétait passer puis aprés longue réfléxion il accepta qu4andré prennent la main d'Oscar et cela aux bonheur des deux tourteraux de sa femme de la mére d'André et bien sur sans-oublié Grand-mére .

Il était une fois, dans un pays endetté une
jeune fille blonde qui s'appelait Oscar et qui avait été élevée comme un
garçon. Son père, le Général de Jarjayes, était dur avec elle. Elle
n'avait qu'un ami qui s’appelait André Grandier. Ils étaient proches
et inséparables, dès leur enfance. André a été élevé par sa
Grand-mère qui était la nourrisse d'Oscar. Cette dernière la dernière fille des Jarjayes, aimait grand- mère et elle la considère membre de la famille.
Parfois, après avoir bu quelque verre avec André, grand -mère divaguait. Mais un jour elle dit à André qu’il ne devait plus regarder Oscar comme une future épouse ni même avouer ses sentiments envers elle car il ne fallait pas qu'André oublie qu'il n'était qu'un domestique, et elle fille de comte, et général par dessus le marché! André resta figé après ces paroles dures dites par sa grand-mère. Il n’a même pas géré ces mots. Il monta voir Oscar, qui était enfermée dans sa chambre toute la journée, et lui proposa d'aller faire une balade en forêt. Oscar était surprise par cette demande mais elle l’a bien caché mais elle accepta avec entrain.


_ Une balade en forêt ? Oui pourquoi pas. Ça sera une bonne idée. Allons y André.
_D'accord je vais prévenir Grand-mère, dit André.
Il commença à descendre les escaliers, mais il se ravisa, et décida de ne rien dire à Grand mère. André alla à l'écurie afin de préparer les deux chevaux en attendant qu’Oscar mette ses bottes. Il sella Appolline, le cheval de sa bien aimée, mais toujours il n’a pas pu chasser les paroles dures dites par sa grand-mère. Pourquoi lui avait elle dit cela? Cela se voyait tant qu'il l'aimait plus que sa vie? André secoua sa tête en arrière et ferma ses beaux yeux verts couleur émeraude.
Soudain, il entendit une voix cristalline qui le fit sortir de ses pensées amoureuses.
_ André !! André !! Tu rêves ou quoi ?
_Non non , je pensai juste a quelque chose. Rien d’important.
_Ah...une jolie fille peut-être? dit elle en riant.
André parla avec un voix triste
_ Oui, Oscar une belle fem… mais…
_Mais quoi André ... ?
_ Rien Oscar, rien alors et cette promenade dans la forêt on va le faire ?
_Oui ! répondit Oscar puis ils repartirent.
Oscar n’a pas voulu insister sur André ; elle n’a pas voulu l’intimider encore une fois.
Presque arriver à la forêt, André cria brusquement : OSCAR !!!
_ As- tu perdu la tête André. Vous allez effrayer les chevaux.
_Excuse moi...Mais, j'ai une question à te poser...
_Laquelle? dit elle en croisant les bras sur la poitrine.
André resta un peu silencieux. Il avait un peu peur, oui peur de perdre Oscar par cette simple question. Il n’a pas pu attendre puis il se retourna vers elle et lui dise :
_ Oscar ! Aimes-tu- Fersen ?
_Quoi???
_Oui, l'aimes tu toujours...demanda t il en levant les yeux vers elle.
_Quelle question André cela ne se pose pas ! et pour y répondre non .
_ Désolé Oscar je voulais tout simplement savoir
_Ca n'est rien mais pourquois cette question ?

André resta silencieux. Il n’a pas pu répondre à sa question. Il avait peur d’avouer ses sentiments envers elle. Oui envers la femme qui n’a pas cessé de l’aimer depuis toujours. Mais oscar a rompu ce silence.
_ Si tu ne veux pas me répondre tu peux me le dire.
_Oscar je ...je .... On est arrivé .
Oscar et Andre arrivèrent dans une petit auberge qu'ils connaissaient
Oscar jeta un regard à André, signifiant qu'elle n'avait pas dit son dernier mot, et ils entrèrent.

_Au fait André tout a l'heure tu n'avais pas fini ta phrase .
_ Oscar tu sais tu compte beaucoup pour moi. Je voulais te dire que je… je…
_ Quoi André?
_ Je ...
_ André!
Une jeune fille aux somptueux cheveux roux s'avança vers eux. Sa chevelure faisait penser à une queue de renarde, et ses yeux noirs, malicieux, étaient tout aussi déstabilisants que sont imposante mais envoûtante poitrine. Oscar se tourna vivement vers André:
_ Tu connais cette perronnelle? dit elle avec un ton cassant et glaciale.
_ Non, non je ne la connaît pas c’est la première fois que je le vois
_Pourtant, ELLE, elle semble très bien te connaître, et oh!! André!!!!
Ce qu'elle avait sous les yeux l'avait tellement choqué, qu'elle en était pétrifiée, figée sur place...
_C'est … c'est ma mère Oscar.
Oscar resta immobile par ces mots là; elle n’a pas gérée ce qui se passe.
—Non...réussi à articuler Oscar. Impossible...
Et pourtant c'était vrai, la dame qui se tenait devant eux était bel et bien la mère d'André. Elle s'approcha de son fils, et lui fit la bise sur la joue. Elle semblait elle même extrêmement troublée, qu'elle ne trouva rien d'autre à dire que:
"C'est ta fiancé mon chéri? vous fêtez un très beau couple en tous cas .
A ces paroles André et Oscar rougirent et restèrent bouches bés. André baissa les yeux vers le sol, imités de près par Oscar. Il venait de retrouver sa mère qu'il pensait morte, et alors qu'il était en train de croire au Seigneur, il fallait qu'elle les jette dans une situation de tout ce qu'il ya de plus embarrassant. Soudain, il sursauta, et tourna les pupilles vers la droite. Oscar avait tendrement saisit sa main... et réponde :
_Oui nous sommes fiancé depuis peut et nous allons nous marié.
André n’a pas dit un mot. Il était surpris par cette réponse. Lui qui attendait des années pour avouer son amour à Oscar et voilà il entend pour la première fois qu’oscar est sa fiancée. Il est toujours perturbé. Il parla à lui-même est ce que je rêve ? Où c’est la vérité. Il tourna vers Oscar pour chercher une réponse à ces questions. Oscar regarda André avec de grand yeux qui brillait et la André comprit qu'elle aussi l'aimait Oscar se jeta sur lui et l'embrassa à pleine bouche. Puis, elle lui chuchota au creux de l'oreille:
"Ecoute André. Cette folle croit être ta mère, il faut suivre son jeu si nous ne voulons pas avoir d'ennuis. André, tu m'écoutes?"
Tout est passé ci vite, André ne sait pas quoi faire. Il resta figé par ce baiser inattendu.
_ Hei ! André tu m’écoutes.
_ Oui Oscar. Je t’ai entendu très bien. Mais ce n'est pas une folle c'est bien ma mère !
_ Tu es sur mais ta mère est morte. C’est toi qui m’a dit que tu t’es élevé par ta grand-mère.
_Oui j'en suis sur que c'est ma mère , mais on m'a toujours dis que ma mère était morte je vais aller demandé des explications a Grand-mère .

Alors André Oscar et sa soi disante mère retournèrent a la demeure des Jarjayes pour en savoir plus.
André était vraiment furieux. Pourquoi grand-mère m’a caché ça. Il se dirigea vite vers la cuisine pour avoir des explications mais Oscar l’a retenu par son bras.
_ André attend. Il faut que tu te calmes. Je sais que c’est difficile pour toi mais…
_ Mais quoi… Toutes ces années j’ai vis dans un mensonge.
_Grand-mère a sûrement eu une bonne raison de ne rien te dire.
_Oui sûrement quand j'était petit mai le jour ou j'ai eu l'age de comprendre elle aurait put me révéler la vérité.
Grand-mère il faut que je te parle.
_ Oui André je t’écoute ça va ?
_ Pourquoi tu m’as menti ?
_ ANDRE !! Tu n’as pas honte.
_ Grand-mère pourquoi tu m’a dit que ma mère est morte ? et tu sais que ce n’est pas la vérité.
_ Euhh… à vrai dire c’est que …
_ Alors j’attends des explications !!!
_A la mort de ton père ta mère était devenue dépressive et elle n'arrivait plus à s'occuper de toi alors elle m’a demandé de te prendre car elle savait que tu serais bien comme elle n'arrivait pas à faire son deuil alors elle est partie dans un couvant pour s'isoler quelque temps voila toute l'histoire.
_Mais comment sait tu que ta mère n'est pas morte ?
_ Je l’ai vu aujourd’hui et elle m’a reconnu ci vite.
Oscar était là à les écouter sans dire un mot. Elle n’a pas voulu les interrompre. Mais elle était peinée pour André.
_André ta mère est-elle venue ici ?
_Oui grand-mère elle est avec Oscar.
_Je peut la voir ?
_Bien sur que oui elle vient.
Lorsque la mère d’André vus grand-mère elle s’est jetée sur elle. Elle était vraiment contente de la voir mais malheureusement la grand-mère était si froide avec elle.
_ Pourquoi tu es venue ?
_On s'est rencontré dans une auberge André et sa fiancée.
_Comment sa sa FIANCE !!
_Bain oui grand-mère rappelle toi André et moi somme fiancée.
_A oui c'est vrai compte tu rester ?
_Non je ne veut pas vous déranger
_Ma… MAMAN reste je ne veux pas que tu parte j'ai besoin de te parler.
_OUI restez cela ne dérangera pas mon père grand-mére peut-tu lui préparez une chambre stp ? merci
_André Oscar il va falloir que je vous parle .
_Vient maman je vais te présenter aux parents d’Oscar.
_ Oui André avec plaisir
Oscar, André et sa mère entrèrent dans le salon. La bas était assis le Général dans un fauteuil près de la chemine.
_ Monsieur, je vous présente ma mère.
_ Oh enfin te voilà tu as vu ton fils. Il y a longtemps.
_ PERE !!! Tu connais toi aussi.
_ Oui je sais et je crois que ta grand-mère t’as dit la cause de son absence.
_ Oui.
La mère d’André et le Général commencèrent à discuter. Tandis qu’oscar et André allèrent au jardin.
_Oscar .
_Oui André qu'y a t-il ?
_Comment vas-t-on faire si ma mère parle de ton père de nos fausse fiançailles ?
_Ah oui je n'y avait pas pensée andré vient vite tu va lui dire
_Comment ça tu
_vient et c'est tout.
_Père André a quelque chose à vous demander.
_ Oui André je t’écoute.
_ A vrai dire je voulais vous dire que … que… que
_ Que quoi André ? As-tu perdu ta langue ?
_ Voilà je voulais te demander la main de ta fille monsieur.
Entrant dans le salon grand-mère laissa glisser le plateau de ses mais après ces paroles dites par André.
_ André exuse- toi vite et retire ses mots.
_ Non grand-mère. Je n’ai rien dit de mal j’ai seulement demander la main d’oscar. Est ce un crime ?
Le général se dirigea vers André furieux et le gifla.
_ Père pourquoi vous avez fait ça ?
_ Toi tu te taies et monte dans ta chambre vite !!! Alors André comment tu oses…
_Je vous en prie laissez moi épouser Oscar, Oscar et moi nous s’aimons.
_Vas-tu te taire
_Mais André je croyais que vous étiez fiancé
_Comment en plus vous avez mentie a votre mère.
_ Père non à vrai dire c’est ma faute c’est moi qui…
_ Tu es toujours là toi ; est ce que tu te désobéis à ton père. Je t’avais dit de monter dans ta chambre.
_ Non n’écoute pas Oscar Général
_ Mais attendez là ; je ne comprends pas mais la jeune femme m’a bien dit qu’elle est la fiancée d’André.
_ Non, mère tu te trempes. Tu n’as pas bien compris.
_En vrai Oscar et moi voulons nous fiancé mais l'on n’avait rien dit a personne et Oscar t’a dit oui car elle ne voulait sûrement pas te ...
_ Oui mère tu as compris. Alors Général je vous en supplie je veux épousé Oscar je voulais qu’elle soit ma femme.
_ Tu me fais rire là André. As-tu oublié qui tu es ?
_ Non monsieur mais…
_ Alors tu as toujours le temps de retirer ta demande
_Non Générale jamais j'aimerait une autres femme qu'Oscar et cela même si vous nous empêcherez et c'est pareil pour Oscar.

Le Générale laissa passer la nuit pour réfléchir a tout ce qui s’était passé puis après une longue réflexion il accepta qu’André prenne la main d'Oscar et cela aux bonheur des deux tourtereaux de sa femme de la mère d'André et bien sur sans oublié Grand-mère.

Oscar et André voulait s’en aller en Arras loin pour être tranquilles loin de ce monde dur plein de misère et de complot. Ils ont resté là bas un mois mais ils se sont obligés à retourner car le général jarajays a demandé Oscar de venir tout de suite.

Il était une fois, dans un pays endetté une
jeune fille blonde qui s'appelait Oscar et qui avait été élevée comme un
garçon. Son père, le Général de Jarjayes, était dur avec elle. Elle
n'avait qu'un ami qui s’appelait André Grandier. Ils étaient proches
et inséparables, dès leur enfance. André a été élevé par sa
Grand-mère qui était la nourrisse d'Oscar. Cette dernière la dernière fille des Jarjayes, aimait grand- mère et elle la considère membre de la famille.
Parfois, après avoir bu quelque verre avec André, grand -mère divaguait. Mais un jour elle dit à André qu’il ne devait plus regarder Oscar comme une future épouse ni même avouer ses sentiments envers elle car il ne fallait pas qu'André oublie qu'il n'était qu'un domestique, et elle fille de comte, et général par dessus le marché! André resta figé après ces paroles dures dites par sa grand-mère. Il n’a même pas géré ces mots. Il monta voir Oscar, qui était enfermée dans sa chambre toute la journée, et lui proposa d'aller faire une balade en forêt. Oscar était surprise par cette demande mais elle l’a bien caché mais elle accepta avec entrain.


_ Une balade en forêt ? Oui pourquoi pas. Ça sera une bonne idée. Allons y André.
_D'accord je vais prévenir Grand-mère, dit André.
Il commença à descendre les escaliers, mais il se ravisa, et décida de ne rien dire à Grand mère. André alla à l'écurie afin de préparer les deux chevaux en attendant qu’Oscar mette ses bottes. Il sella Appolline, le cheval de sa bien aimée, mais toujours il n’a pas pu chasser les paroles dures dites par sa grand-mère. Pourquoi lui avait elle dit cela? Cela se voyait tant qu'il l'aimait plus que sa vie? André secoua sa tête en arrière et ferma ses beaux yeux verts couleur émeraude.
Soudain, il entendit une voix cristalline qui le fit sortir de ses pensées amoureuses.
_ André !! André !! Tu rêves ou quoi ?
_Non non , je pensai juste a quelque chose. Rien d’important.
_Ah...une jolie fille peut-être? dit elle en riant.
André parla avec un voix triste
_ Oui, Oscar une belle fem… mais…
_Mais quoi André ... ?
_ Rien Oscar, rien alors et cette promenade dans la forêt on va le faire ?
_Oui ! répondit Oscar puis ils repartirent.
Oscar n’a pas voulu insister sur André ; elle n’a pas voulu l’intimider encore une fois.
Presque arriver à la forêt, André cria brusquement : OSCAR !!!
_ As- tu perdu la tête André. Vous allez effrayer les chevaux.
_Excuse moi...Mais, j'ai une question à te poser...
_Laquelle? dit elle en croisant les bras sur la poitrine.
André resta un peu silencieux. Il avait un peu peur, oui peur de perdre Oscar par cette simple question. Il n’a pas pu attendre puis il se retourna vers elle et lui dise :
_ Oscar ! Aimes-tu- Fersen ?
_Quoi???
_Oui, l'aimes tu toujours...demanda t il en levant les yeux vers elle.
_Quelle question André cela ne se pose pas ! et pour y répondre non .
_ Désolé Oscar je voulais tout simplement savoir
_Ca n'est rien mais pourquois cette question ?

André resta silencieux. Il n’a pas pu répondre à sa question. Il avait peur d’avouer ses sentiments envers elle. Oui envers la femme qui n’a pas cessé de l’aimer depuis toujours. Mais oscar a rompu ce silence.
_ Si tu ne veux pas me répondre tu peux me le dire.
_Oscar je ...je .... On est arrivé .
Oscar et Andre arrivèrent dans une petit auberge qu'ils connaissaient
Oscar jeta un regard à André, signifiant qu'elle n'avait pas dit son dernier mot, et ils entrèrent.

_Au fait André tout a l'heure tu n'avais pas fini ta phrase .
_ Oscar tu sais tu compte beaucoup pour moi. Je voulais te dire que je… je…
_ Quoi André?
_ Je ...
_ André!
Une jeune fille aux somptueux cheveux roux s'avança vers eux. Sa chevelure faisait penser à une queue de renarde, et ses yeux noirs, malicieux, étaient tout aussi déstabilisants que sont imposante mais envoûtante poitrine. Oscar se tourna vivement vers André:
_ Tu connais cette perronnelle? dit elle avec un ton cassant et glaciale.
_ Non, non je ne la connaît pas c’est la première fois que je le vois
_Pourtant, ELLE, elle semble très bien te connaître, et oh!! André!!!!
Ce qu'elle avait sous les yeux l'avait tellement choqué, qu'elle en était pétrifiée, figée sur place...
_C'est … c'est ma mère Oscar.
Oscar resta immobile par ces mots là; elle n’a pas gérée ce qui se passe.
—Non...réussi à articuler Oscar. Impossible...
Et pourtant c'était vrai, la dame qui se tenait devant eux était bel et bien la mère d'André. Elle s'approcha de son fils, et lui fit la bise sur la joue. Elle semblait elle même extrêmement troublée, qu'elle ne trouva rien d'autre à dire que:
"C'est ta fiancé mon chéri? vous fêtez un très beau couple en tous cas .
A ces paroles André et Oscar rougirent et restèrent bouches bés. André baissa les yeux vers le sol, imités de près par Oscar. Il venait de retrouver sa mère qu'il pensait morte, et alors qu'il était en train de croire au Seigneur, il fallait qu'elle les jette dans une situation de tout ce qu'il ya de plus embarrassant. Soudain, il sursauta, et tourna les pupilles vers la droite. Oscar avait tendrement saisit sa main... et réponde :
_Oui nous sommes fiancé depuis peut et nous allons nous marié.
André n’a pas dit un mot. Il était surpris par cette réponse. Lui qui attendait des années pour avouer son amour à Oscar et voilà il entend pour la première fois qu’oscar est sa fiancée. Il est toujours perturbé. Il parla à lui-même est ce que je rêve ? Où c’est la vérité. Il tourna vers Oscar pour chercher une réponse à ces questions. Oscar regarda André avec de grand yeux qui brillait et la André comprit qu'elle aussi l'aimait Oscar se jeta sur lui et l'embrassa à pleine bouche. Puis, elle lui chuchota au creux de l'oreille:
"Ecoute André. Cette folle croit être ta mère, il faut suivre son jeu si nous ne voulons pas avoir d'ennuis. André, tu m'écoutes?"
Tout est passé ci vite, André ne sait pas quoi faire. Il resta figé par ce baiser inattendu.
_ Hei ! André tu m’écoutes.
_ Oui Oscar. Je t’ai entendu très bien. Mais ce n'est pas une folle c'est bien ma mère !
_ Tu es sur mais ta mère est morte. C’est toi qui m’a dit que tu t’es élevé par ta grand-mère.
_Oui j'en suis sur que c'est ma mère , mais on m'a toujours dis que ma mère était morte je vais aller demandé des explications a Grand-mère .

Alors André Oscar et sa soi disante mère retournèrent a la demeure des Jarjayes pour en savoir plus.
André était vraiment furieux. Pourquoi grand-mère m’a caché ça. Il se dirigea vite vers la cuisine pour avoir des explications mais Oscar l’a retenu par son bras.
_ André attend. Il faut que tu te calmes. Je sais que c’est difficile pour toi mais…
_ Mais quoi… Toutes ces années j’ai vis dans un mensonge.
_Grand-mère a sûrement eu une bonne raison de ne rien te dire.
_Oui sûrement quand j'était petit mai le jour ou j'ai eu l'age de comprendre elle aurait put me révéler la vérité.
Grand-mère il faut que je te parle.
_ Oui André je t’écoute ça va ?
_ Pourquoi tu m’as menti ?
_ ANDRE !! Tu n’as pas honte.
_ Grand-mère pourquoi tu m’a dit que ma mère est morte ? et tu sais que ce n’est pas la vérité.
_ Euhh… à vrai dire c’est que …
_ Alors j’attends des explications !!!
_A la mort de ton père ta mère était devenue dépressive et elle n'arrivait plus à s'occuper de toi alors elle m’a demandé de te prendre car elle savait que tu serais bien comme elle n'arrivait pas à faire son deuil alors elle est partie dans un couvant pour s'isoler quelque temps voila toute l'histoire.
_Mais comment sait tu que ta mère n'est pas morte ?
_ Je l’ai vu aujourd’hui et elle m’a reconnu ci vite.
Oscar était là à les écouter sans dire un mot. Elle n’a pas voulu les interrompre. Mais elle était peinée pour André.
_André ta mère est-elle venue ici ?
_Oui grand-mère elle est avec Oscar.
_Je peut la voir ?
_Bien sur que oui elle vient.
Lorsque la mère d’André vus grand-mère elle s’est jetée sur elle. Elle était vraiment contente de la voir mais malheureusement la grand-mère était si froide avec elle.
_ Pourquoi tu es venue ?
_On s'est rencontré dans une auberge André et sa fiancée.
_Comment sa sa FIANCE !!
_Bain oui grand-mère rappelle toi André et moi somme fiancée.
_A oui c'est vrai compte tu rester ?
_Non je ne veut pas vous déranger
_Ma… MAMAN reste je ne veux pas que tu parte j'ai besoin de te parler.
_OUI restez cela ne dérangera pas mon père grand-mére peut-tu lui préparez une chambre stp ? merci
_André Oscar il va falloir que je vous parle .
_Vient maman je vais te présenter aux parents d’Oscar.
_ Oui André avec plaisir
Oscar, André et sa mère entrèrent dans le salon. La bas était assis le Général dans un fauteuil près de la chemine.
_ Monsieur, je vous présente ma mère.
_ Oh enfin te voilà tu as vu ton fils. Il y a longtemps.
_ PERE !!! Tu connais toi aussi.
_ Oui je sais et je crois que ta grand-mère t’as dit la cause de son absence.
_ Oui.
La mère d’André et le Général commencèrent à discuter. Tandis qu’oscar et André allèrent au jardin.
_Oscar .
_Oui André qu'y a t-il ?
_Comment vas-t-on faire si ma mère parle de ton père de nos fausse fiançailles ?
_Ah oui je n'y avait pas pensée andré vient vite tu va lui dire
_Comment ça tu
_vient et c'est tout.
_Père André a quelque chose à vous demander.
_ Oui André je t’écoute.
_ A vrai dire je voulais vous dire que … que… que
_ Que quoi André ? As-tu perdu ta langue ?
_ Voilà je voulais te demander la main de ta fille monsieur.
Entrant dans le salon grand-mère laissa glisser le plateau de ses mais après ces paroles dites par André.
_ André exuse- toi vite et retire ses mots.
_ Non grand-mère. Je n’ai rien dit de mal j’ai seulement demander la main d’oscar. Est ce un crime ?
Le général se dirigea vers André furieux et le gifla.
_ Père pourquoi vous avez fait ça ?
_ Toi tu te taies et monte dans ta chambre vite !!! Alors André comment tu oses…
_Je vous en prie laissez moi épouser Oscar, Oscar et moi nous s’aimons.
_Vas-tu te taire
_Mais André je croyais que vous étiez fiancé
_Comment en plus vous avez mentie a votre mère.
_ Père non à vrai dire c’est ma faute c’est moi qui…
_ Tu es toujours là toi ; est ce que tu te désobéis à ton père. Je t’avais dit de monter dans ta chambre.
_ Non n’écoute pas Oscar Général
_ Mais attendez là ; je ne comprends pas mais la jeune femme m’a bien dit qu’elle est la fiancée d’André.
_ Non, mère tu te trempes. Tu n’as pas bien compris.
_En vrai Oscar et moi voulons nous fiancé mais l'on n’avait rien dit a personne et Oscar t’a dit oui car elle ne voulait sûrement pas te ...
_ Oui mère tu as compris. Alors Général je vous en supplie je veux épousé Oscar je voulais qu’elle soit ma femme.
_ Tu me fais rire là André. As-tu oublié qui tu es ?
_ Non monsieur mais…
_ Alors tu as toujours le temps de retirer ta demande
_Non Générale jamais j'aimerait une autres femme qu'Oscar et cela même si vous nous empêcherez et c'est pareil pour Oscar.

Le Générale laissa passer la nuit pour réfléchir a tout ce qui s’était passé puis après une longue réflexion il accepta qu’André prenne la main d'Oscar et cela aux bonheur des deux tourtereaux de sa femme de la mère d'André et bien sur sans oublié Grand-mère.

Oscar et André voulait s’en aller en Arras loin pour être tranquilles loin de ce monde dur plein de misère et de complot. Ils ont resté là bas un mois mais ils se sont obligés à retourner car le général jarajays a demandé Oscar de venir tout de suite.Pour organiser le mariage d'André et d'Oscar.
_Me voila pére .Pourquoi nous avoir fait demender ?
_Parfait ! je voulais vous voir pour parler du mariage ,car c'est bien beau de se fiancé mais aprés ya le mariage ahahahahah.Ma trés cher Oscar je suis content de votre mariage .
_Avez-vous penser a une date Générale ?demenda André .
_Pour l'été sa sera parfait !! nous feront le plus beau mariage Oscar aura la plus belle robe de marié !!