Lady Oscar - André
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 Fic 7 : 14 Février 1789 de jarjayes80

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Nicole
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Nicole

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Fic 7 : 14 Février 1789 de jarjayes80 Empty
MessageSujet: Fic 7 : 14 Février 1789 de jarjayes80   Fic 7 : 14 Février 1789 de jarjayes80 EmptyMar 12 Fév 2019 - 9:07

14 Février 1789
de jarjayes80




Les soldats de la caserne des gardes françaises étaient déjà prêts pour la revue des troupes du matin, ils attendaient leur colonel.
 
Le soldat Alain De Soissons était parti le prévenir.
 
Al : Sergent Soissons mon colonel, les hommes sont prêts pour la revue. 
O : Merci Sergent. J’arrive dans 5 minutes.
 
Oscar finit le rapport sur lequel elle travaillait et alla donc rejoindre ses hommes dans la cour.
 
Al : Garde à vous !
 
Oscar inspecta les uniformes de ses soldats et vérifia d’un œil expert que leurs armes étaient bien entretenues. Elle en corrigea quelques-uns, car comme son général de père, elle était intransigeante sur la discipline militaire.
 
O : Repos Messieurs. Aujourd’hui, la moitié d’entre vous s’entraînera à l’épée dans la cour de la caserne avec le sergent Alain de Soissons et l’autre moitié partira en patrouille dans Paris avec le lieutenant d’Alembert. En fin de matinée, je vous communiquerai les noms des soldats qui seront en repos à partir de ce soir.
 
Oscar retourna donc dans son bureau pour finir quelques rapports. Pendant ce temps, le lieutenant d’Alembert procéda à la répartition des deux groupes. Entre deux rapports, elle jetait un petit coup d’œil par la fenêtre pour surveiller le bon déroulement de l’entraînement.
 
Dans la matinée, un soldat vint chercher le colonel.
 
S : Colonel, une personne vous demande à l’entrée de la caserne.
O : Quel est son nom ?
S : Je ne sais pas Colonel, elle a juste dit que si je ne me dépêchais de vous prévenir, qu’elle me frapperait avec sa louche.
O : Elle sourit. Merci Soldat.
 
Oscar alla donc à la rencontre de cette charmante dame qu’elle avait toujours appelé Grand-mère.
 
O : Bonjour Grand-mère.
GM : Bonjour Oscar. Tu as l’air fatigué, tu devrais rentrer à Jarjayes te reposer un peu ça te ferait le plus grand bien.
O : Que fais-tu ici Grand-mère ?
GM : Je suis venue apporter des vêtements propres à mon garnement de petit fils mais un soldat m’a dit qu’il n’était pas là.
O : Effectivement, il est parti en patrouille dans Paris, il devrait rentrer en fin de matinée.
GM : Je suis déçue, je voulais le voir mais je ne peux pas l’attendre, je dois aller récupérer du tissu pour confectionner une robe pour ta mère. Quand sera-t-il en permission ?
O : Bientôt Grand-mère. Donne-moi son linge, je lui ferais parvenir à son retour.
GM : J’espère qu’il viendra me voir. A bientôt Oscar
O : A bientôt Grand-mère.
 
Oscar jeta un œil sur l’entraînement de ses hommes, elle donna quelques conseils puis retourna dans son bureau afin de finir la paperasse avant le retour de ses hommes en patrouille.
En fin de matinée, tous les hommes étaient rentrés à la caserne. Ils attendaient impatiemment l’arrivée de leur colonel car ils espéraient être en repos ce soir afin de rejoindre leur dulcinée pour la Saint Valentin.
 
Sur l’ordre du lieutenant d’Alembert, le soldat Alain De Soissons parti chercher le colonel.
 
Al : Sergent Soissons mon colonel, les hommes sont réunis dans la cour de la caserne et attendent vos ordres mon colonel. 
O : Merci Sergent.
 
Oscar pris un papier sur lequel était inscrit les noms des soldats en repos pour les deux prochains jours.
 
Al : Garde à vous !
O : Repos Messieurs. Cet après-midi, le groupe B s’entraînera à l’épée dans la cour et le groupe A partira en patrouille dans Paris.
 
O : Avant de vous laisser partir déjeuner, je vais vous communiquer le nom des hommes en repos ce soir à partir de 18h.
 
Oscar commença à donner les noms lorsqu’un homme à cheval fit éruption à toute vitesse dans la cour. En descendant, il trébucha par terre. Il se releva difficilement et il avait l’air de tituber.
 
F : Ze vou zaime Oscar hic ! Ze veux vou zepouser hic ! Vous zetes …
 
Il ne put finir sa phrase car il se prit un coup de point magistral dans le visage par Alain. Il tomba raide mort sur le sol.
 
Oscar n’en revenait pas, Fersen, bourré, qui faisait irruption dans sa caserne pour lui faire une déclaration d’amour devant tous ses hommes. Elle était totalement médusée.
 
Un brouha commença à s’installer dans les rangs des soldats.
 
S : Vous aimez les hommes Colonel ?
 
Cette question réveilla Oscar de sa léthargie. Tous les hommes étaient tellement focalisés sur leur colonel que personne ne s’était aperçu de l’état d’André. Celui-ci était tout blanc, il n’en revenait pas. Le suédois réapparaissait dans sa vie de bien mauvaise façon. Et si Oscar tombait à nouveau amoureuse de lui ?
 
O : Comment ?  Que dites-vous ?
S : Vous aimez les hommes Colonel ?
Al : Bien sûr que non, le colonel n’est pas homosexuel.
S : Qui est cet homme ?
O : Axel de Fersen, il appartient à une compagnie qui assure la sécurité de sa majesté la reine.
 
Un brouha se fit à nouveau entendre dans les rangs des soldats.
 
S : C’est l’amant de la reine mon colonel ?
O : Suffit soldat, je ne tolèrerai aucun manque de respect à l’encontre de sa majesté.
S : Il est bizarre celui-là, un coup il aime la reine, un coup il aime notre colonel.
Al : C’est impossible de comprendre les poudrés. Que faisons nous de lui mon colonel ?
O : Alain, prenez deux hommes avec vous et emmenez-le dans une pièce fermée à clef et occupez-vous de lui.
Al : Bien mon colonel.
 
Les soldats emmenèrent Fersen sans ménagement dans une pièce au fond de l’armurerie puis se rendirent à la cantine de la caserne. Alain resta quelques minutes avec lui.
 
O : Silence et garde à vous soldats ! Je reprendrais la liste des noms avant l’entraînement de cet après-midi. Je vous laisse aller déjeuner.
 
Oscar alla vers André et lui demanda de bien vouloir venir la rejoindre dans son bureau après le déjeuner. Il acquiesça d’un signe de tête.
 
Oscar alla directement dans son bureau, elle n’avait pas du tout envie de manger et encore moins d’entendre ses hommes parler d’elle dans son dos. Elle se demandait comment Fersen avait pu faire une chose aussi stupide et en plus devant ses hommes. Si Alain ne l’avait pas assommé, il aurait pu trahir son secret si bien gardé.
 
Comme convenu, André alla rejoindre Oscar dans son bureau après le déjeuner. Les hommes l’avaient harcelé de question sur le passé du colonel pendant tout le repas. Alain était intervenu plusieurs fois afin de le sortir de situations bien périlleuses. Il toqua à la porte puis entra dans le bureau.
 
A : Soldat Grandier mon colonel.
O : Tu n’es pas obligé de te mettre au garde à vous devant moi André lorsque l’on n’est que tous les deux.
A : Tu voulais me parler Oscar.
O : Oui. Je me demande pourquoi Fersen est venu jusqu’ici pour me faire une déclaration devant tous mes hommes.
A : Je ne sais pas Oscar. Je ne l’ai jamais vu ivre auparavant.
O : Moi non plus, ce n’est ni le lieu ni le bon moment d’ailleurs.
A : Cette déclaration t’a troublée Oscar ?
O : Oui et non.
A : Tu peux développer ?
O : Oui car il m’a surpris, je ne m’attendais pas à le voir, encore moins dans ces conditions. Mais non sa déclaration ne m’a pas troublée, je ne suis pas amoureuse de lui si tu veux tout savoir. 
A : En es-tu sûre ?
O : Oui
A : Vraiment sûre ?
O : Totalement sûre
A : Pourquoi
O : Parce que …
A : Parce que quoi ?
O : Parce que je te le dis
A : Et je dois te croire ?
O : Oui
A : Non
O : Pourquoi ?
A : Parce que …
O : Parce que quoi ?
A : Parce que je te connais
O : Tu te trompes
A : Non
O : Si
A : Non
O : Si je te dis
A : Prouve-le
O : Non
A : Si
O : Tu m’ennuies
A : Pourquoi fuies-tu ?
O : Je ne fuie pas
A : Si
O : Non
A : Je croyais qu’un Jarjayes ne fuyait jamais devant le danger.
O : Quel danger ?
A : Celui de faire face à tes propres sentiments.
O : N’importe quoi
A : Tu l’aimes encore
O : Non
A : Si
O : Je te dis que non
A : Si tu l’aimes
O : Non, non et non
A : Pourquoi ?
O : Parce que …
A : Parce que quoi
O : Parce que je t’aime !
 
André resta bouche bée. Il avait mal entendu. Même dans ses rêves les plus fous, il ne s’imaginait pas une telle révélation. Il décida de ne pas laisser passer une telle occasion et il se ressaisit.
 
A : Répètes
O : Quoi ?
A : Ce que tu viens de dire
O : Quoi ?
A : Non avant
O : Je ne me rappelle plus
A : Tu en es sûre
O : Oui …, non …, peut-être.
 
Il s’approcha d’elle doucement et la fixa amoureusement. Oscar était hésitante, il ne l’avait jamais vu comme cela auparavant. C’était comme si le colonel avait perdu sa carapace pour laisser place à cette femme qui sommeillait en elle. Il regarda avec un air attendri ses yeux bleus et se rapprocha pour l'embrasser. Oscar allait fermer les yeux quand Alain frappa à la porte et interrompit ce qui aurait pu être leur premier baiser.
 
Al : Colonel ? J’ai besoin de vous parler, c’est urgent.
 
Oscar prit place à son bureau et reprit ses esprits. André essaya d’en faire autant.
 
O : Entrez Sergent. André, merci de prévenir le lieutenant d’Alembert de rassembler les soldats dans la cour, il est bientôt l’heure de reprendre.
 
A : A vos ordres, Colonel.
O : Qu’y a-t-il de si urgent Sergent ?
Al : Vous avez déjà oublié ? Dois-je vous rappeler la présence d’un certain officier de la reine dans une pièce au fond de l’armurerie, Colonel.
O : Ah Fersen. Allons-y, j’aimerais bien avoir une discussion sérieuse avec lui.
 
Alain suivi d’Oscar se rendirent donc à la rencontre de l’officier. Avant d’ouvrir la porte, Alain semblait hésiter. Il se demandait s’il ne devait pas prévenir son colonel avant d’entrer puis se ravisa.
 
O : C’est une plaisanterie !
Al : Il a l’air en bon état.
O : Je suis en plein cauchemar Sergent ! Je vous avais dit de vous occuper de lui.
Al : C’est ce que j’ai fait Colonel ! Il continuait à divaguer alors j’ai dû le faire taire. Je ne pouvais pas le laisser parler de vous ainsi devant des hommes de la garnison.
O : Qu’est-ce qu’il vous a dit ?
Al : Je préfère ne pas répéter Colonel.
O : Admettons. Je fais quoi maintenant ?
Al : Je ne sais pas.
O : Je vais expliquer comment à la reine que son officier préféré est …
Al : Mal en point.
O : Si peu, il va lui falloir des jours pour s’en remettre. Il saigne, il a de nombreuses contusions sur le visage et ce serait un véritable miracle s’il n’avait pas quelques côtes cassées.
Al : Je n’ai pas vraiment tapé fort… Juste un peu.
O : Vous croyez ?
Al : Parfois, il m’arrive de ne pas contrôler ma force Colonel.
O : C’est indéniable.
 
Fersen se mit à gémir et a essayé de bouger. Alain prit de panique et ne sachant pas trop quoi faire, lui asséna un autre coup de poing dans le visage digne d’un Mike Tyson. Oscar ne put l’en empêcher et constata le résultat.
 
O : Ah bravo, maintenant il est reparti pour quelques heures dans les bras de Morphée.
Al : Ça devrait lui plaire puisqu’il semble aimer les hommes.
O : Ce n’est pas drôle Alain. Que faisons-nous de lui ?
Al : Puisque je suis responsable de son état, c’est à moi de régler le problème. Je vais m’occuper de lui Colonel.
O : Encore ? Que comptez-vous faire pour cela ?
Al : Je vais l’emmener à l’extérieur de Paris.
O : Et ?
Al : Je vais le mettre à terre à côté de son cheval et attendre qu’il se réveille.
O : Et à son réveil ?
Al : Je lui dirais qu’il s’est fait attaquer par des hommes sur la route et sans mon intervention il serait peut-être mort.
O : Il vaut mieux entendre ça que d’être sourd. Débrouillez-vous, c’est votre faute après tout.
 
Oscar alla rejoindre le reste de ses hommes dans la cour de la caserne. Elle termina de lister les hommes en repos pour les deux prochains jours. André était dans la liste, elle avait décidé de faire plaisir à Grand-mère. Elle avait envie de retourner à Jarjayes avec André et de passer un peu de temps auprès de son soldat préféré. Et puis, si Alain n’était pas venu les interrompre …
 
En fin de journée, Oscar et André partirent pour Jarjayes. Grand-mère sauta de joie lorsqu’elle aperçut André aux côtés d’Oscar. Elle le serra très fort dans ses bras puis elle partit dans la cuisine, elle avait envie de préparer un bon petit plat pour son petit-fils.
 
André et Oscar mangèrent ensemble ce soir-là. Le général était de sortie avec sa femme, la reine donnait un bal à Versailles pour la Saint Valentin. Toutefois, celle-ci fut fort déçue d’apprendre qu’Axel de Fersen serait absent à ce bal car il avait été agressé par des voleurs sur la route le menant à Versailles.
 
André, comme à son habitude, alla porter un chocolat chaud à Oscar dans ses appartements. Celle-ci était en train de jouer au piano, cela faisait des semaines qu’elle n’avait plus joué.
 
A : As-tu pu parler à Axel de Fersen ?
O : Non
A : Pourquoi ?
O : Je n’en ai pas eu l’occasion.
A : Tu comptes le revoir pour lui demander ?
O : Non
A : Pourquoi ?
O : Je n’ai rien à lui dire. Je n’ai pas compris son comportement. Le pire a été évité grâce à l’intervention d’Alain.
A : Je ne l’ai pas revu de la journée.
O : Je l’ai envoyé en mission.
A : En mission ? J’avais cru comprendre qu’il devait être en repos, il était dans la liste des noms avant l’interruption de Fersen.
O : Il m’a demandé de changer son repos avec un autre soldat.
A : Vraiment !
O : Je ne t’en dirais pas plus André. Je n’ai plus envie de parler de lui ou de Fersen.
 
Oscar, pour donner une bonne leçon à Alain, décida de lui retirer sa permission. Il avait amplement dépassé les bornes.
 
A : Que dirais-tu d’aller faire une balade à cheval tous les deux demain Oscar.
O : C’est une excellente idée. J’ai envie de passer un peu de temps avec toi André.
A : Comme au bon vieux temps.
O : Oui … mais pas seulement.
 
André s’approcha d’Oscar. Il la regardait avec un regard doux et tendre. Oscar le regarda aussi tendrement. Le jeune homme l'attira à lui et l'embrassa avec plein de douceur. Oscar passa ses bras autour de son cou pour approfondir le baiser. André la serra plus contre lui puis mit fin à ce câlin. Il hésitait. Il repensait à ce jour où il avait perdu le contrôle de lui-même, il s’en voulait encore.
Le voyant hésité, Oscar prit les devants.


O : Je t’aime André. Est-ce que tu as . . . envie . . . de faire l'amour avec moi ce soir ? Osa-t-elle lui demander gênée.
A : Moi aussi je t’aime Oscar . . .  Oui, mais si tu n'en as pas envie, j'attendrai. Ce n'est pas un problème pour moi Oscar. Avoua le jeune homme.
O : Je le sais mais moi aussi, j'en ai envie, seulement . . .
A : Tu veux qu'on attende ?
O : Je ne sais pas. J’ai envie de me donner à toi mais j'ai peur de changer d'avis au moment où …
A : . . .  Oscar. Si tu veux, on peut essayer et si tu changes d'avis ou que je fais quelque chose qui ne te plaît pas, tu me le dis et on arrêtera.
O : Je ne peux pas te faire ça. Ce serait cruel alors que tu m'aimes depuis si longtemps.
A : Ne te préoccupe pas de moi. Il ne faut pas que tu aies peur. Aie confiance en moi. Je t'aime Oscar. Mon bonheur ne peut être complet que si tu es heureuse. La seule question dont tu dois te soucier c'est de savoir si tu veux être à moi ce soir ou si tu veux attendre.
O : . . . André. Passons la nuit ensemble. J'en ai envie. Allons dans ma chambre.

Oscar l'embrassa passionnément. Arrivés dans la pièce, il la posa sur le lit et s'allongea près d'elle. Il l'embrassa avec douceur tout en déboutonnant sa chemise. La jeune femme se laissa faire et déboutonna la chemise du jeune homme. Il avait un torse de rêve, musclé et doux. André l'embrassa dans le cou puis descendit jusqu'à ses seins. Oscar n'y opposa aucune résistance. Elle avait envie qu'André l'aime. Elle voulait l'aimer elle aussi. André posa ses lèvres sur la poitrine d’Oscar.
 
André finit de dévêtir sa belle et Oscar délaça le pantalon d’André. La jeune femme fut assez impressionnée de voir André dévêtu.  C'était la première fois qu'elle voyait un homme nu et elle eut l'agréable surprise de voir que le corps d'André était parfait de chez parfait. Il avait des fesses bien musclées, elle prenait plaisir à les caresser. Oscar se concentrait un maximum sur André. Le jeune homme toucha chaque parcelle de sa peau avec délicatesse et ne faisait aucun geste brusque. Il descendit ses lèvres de la nuque jusqu'au nombril qu'il taquina avec la pointe de sa langue. La jeune femme sentit le désir monter chez André qui embrassait désormais son ventre.  La jeune femme se détendait au fur et à mesure.  Le jeune homme commença alors à caresser l'intérieur des cuisses d'Oscar qui ne résista pas. Elle commença à respirer plus rapidement et à pousser de petites plaintes. Elle était prête. Quand André lui écarta les jambes, Oscar se sentit un peu inquiète.

A : Tu es sûre ?
O : Certaine.
 
André l'embrassa passionnément et au moment de la posséder, il regarda Oscar dans les yeux afin d’avoir sa totale approbation. La jeune femme se cambra. Son amant commença un mouvement de va et vient de plus en plus rapide. Au début, Oscar ressentit une petite douleur puis plus rien car à force de sentir André bouger en elle et de sentir sur sa peau les lèvres et les mains de l'homme de sa vie, elle s'abandonna totalement au plaisir. Ils restèrent dans les bras l’un de l’autre une bonne partie de la nuit.
 
O : Je t’aime.
A : Je t’aime. Joyeuse Saint Valentin mon amour.
 
Fin.

*** Lady Oscar Lady Oscar ***

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