Oscar s'est remise de sa blesssure. Ce matin est un matin éprouvant pour elle car elle est prise de nausées, elle a des vertiges.Meme grand-mère l'a remarqué.
"Seigneur que m'arrive t'il est-ce une autre facette de ma maladie. Que faire? Je dois être forte."
Oscar s'en va rejoindre andré dans l'écurie sans meme prendre son petit déjeûner. Soudain elle est prise de vertiges et elle s'écroule au seuil de la porte de l'écurie sur de la paillle sèche.André n'as pas le temps d'agir , il accourt vers elle. Oscar est inconsciente. Que faire?

"Oscar que t'arrive t'il reveille toi je t'en pris!" Elle est restée la inconsciente. Je l'ai porté jusqu'a sa chambre. J'ai demandé qu'on ailla acquérir un docteur dans l'immédiat. Grand-mère m'as rejointe elle était inquiète elle s'est mise à me poser de tas de questions mais j'était incapable de lui repondre. Le docteur est venu il à examiné Oscar toujours inconsciente. Il nous à annoncer qu'elle attendait un enfant. J'étais heureux mais grand-mère n'était pas ravie elle était meme choquée par la nouvelle. Plus tard elle me demanda si j'avais une idée sur le nom du père de l'enfant je lui ai dit que je l'ignorait. C'est vrai j'ai menti mais je dois attendre que Oscar se reveille et je vais rester à son chevet jusqu'a son reveil. Elle est si belle quand elle dort, on dirait un ange.

Quand je me suis reveillée j'avais mal à la tête André était à mon chevet. Il tenait ma main.
-Oscar mon amour tu est reveillée? Comment te sens tu?
-bien André je suis juste fatigué j'ai mal à la tête. Que m'et-il arrivé?
-Oscar je doit te le dire le docteur a fait un daignostic tu est enceinte Oscar.
Ces paroles resonaient dans ma tête je ne trouvait rien à dire c'était trop dure à coNcevoir pour moi.

Oscar restait figée. Je ne comprenait pas sa réaction.
-Alors Oscar tu ne dit rien? Tu as des vertiges ou alors tu...........
-André s'il te plait je voudrais un verre d'eau.
- Que-y'a -t'il Oscar? Cette nouvelle ne semble pas t'enthousiasmer tu devrait être heureuse cet enfant est le fruit de nôtre amour. C'est la preuve incontestable que nous nous ailons à la folie! S'il ta plait dis quelque chose.
-André! je t'en pris arrête. Tu sembles ignorer ce que fera mon père s'il l'apprenait et quel conséquences cela aurait sur toute ma famille.
-mais mon amour tu.......
-Je t'en pris André vas-t'en j'ai besoin de rester seule.
-comme tu voudras!
Je l'ai laissé là le coeur peiné. Je la comprennait mais je me sentais exclu car j'étais aussi concerné qu'elle. Quand j'ai fermer la porte je l'ai suivi pleurer cela ne m'as qu'attristé d'avantage.

Quand André est parti je me suis mise à pleurer. Je me sentais piègée par les circomstances. Plus tard dans la journée mon père est venu me voir L'entretien fut court mais insupportable.
-Mademoiselle j'ai appris la nouvelle. qu'est ce qui vous ai passé par la tête.Vous vous rendez compte de l'embarras dans lequel vous me mettez?
- Oui père j'en suis consciente et croyez que j'en suis profondément désolé.
-Assez! Oscar si ce n'était votre piteux état et mon amour pour vous je vous aurez frapper à mort. Je vous previent cela ne s'arrêteras pas la. Dès que vous irez mieux on en reparlera. Sur ce adieu!
Mon père est parti furieux. Je l'entendait appeler André dans le couloir. Cette situation était une agonie qui me tuait un peu plus chaque minute qui passait. Je n'avais aucun controle sur celle-ci

Le Général a voulu s'entretenir avec moi sur la situation actuelle il ignore qu'Oscar et moi sommes amants.
-André mon brave je voudrais que vous m'éclairiez de vos lumières sur un sujet qui me tracasse. Connaissez vous l'identité du père de l'enfant que porte ma fille.
-Monsieur en toute modestie je crois que vous devriez le lui demander quand elle se sentira apte à repondre à vos questions. Car je suis dans l'incapacité de vous renseigner sur ce propos.
-Mais que me dites-vous!? Vous êtes comme son ombre mais pourtant vous ne savez rien. Qui qu'il soit je trouverais son nom et il devras repondre de ses actes devant moi.
Le Général s'est en aller. Cette situation ne doit plus durer.

En début de soirée je me sentais mieux. Je suis allé m'assoeir à côte de la fenêtre. André est venu me voir.
-Tu te sent mieux Oscar?
-Oui merci André. André je te prie de m'excuser pour tout à l'heure, j'étais choquée et..........
_Ce n'est pas grave mon ange. Pour résoudre ce problème nous devons faire face à ton père tout les deux.
-Il pourrait te tuer s'il l'apprennais je ne voudrais pas qu'il t'arrive de mal.
-tôt ou tard nous devrons y faire face alors faisons le maintenant.
-Tu as sans doute raison mon amour. Mais je ne peux m'empêcher d'être inquiète.
-Ne t'en fais pas Oscar nous le ferons tout les deux.
Sur ce je me suis jettée dans ces bras je voulais profiter de nos derniers instants ensemble car pour moi mon père allait mettre fait à nos jours dans un futur proche

mettre fin plutôt non ?

Oscar était très inquiète, André fit de son mieux pour la dérider. Il l'emmena faire une ballade dans les bois.
- C'est une belle journée.
- Oui, tu as raison.
- Mon amour regarde ce soleil magnifique.
-André je sius fatiguée, je voudrais qu'on s'arrête un moment.
- D'accord.
Ils s'arrêtèrent et ils s'assirent sous un grand chène. Oscar se blottit dans les bras d'André. Il sentit son angoisse croissante il lui déposa un baiser sur le front.
- Ne t'en fais tout s'arrangera. J'irais tout dire au Général ce soir.
- Non! Ne fais pas ca il pourrait te tuer où te faie du mal.
- Je sais maissi je ne le fais pas c'est à toi qu'il fera du mal. Je ne pourrais pas supporter ça.
- Mais chéri pense à notre enfant ...
- C'est aussi en pensant à lui que j'ai prit cette resolution. Mon ange, je n'aime pas vivre dans le mensonge et toi non plus je le lis dans tes yeux. Ai confiance en moi tout ira bien.
- D'accord mais promet moi de faire attention quand tu t'entretiendras avec lui.
- Promis!
Ils s'embrassent passionément. C'est au coucher du soleil qu'ils se résolurent à rentrer. Le Général étant là les deux tourtereaux ne dînèrent pas ensemble.Père et fille n'échangèrent ni mots ni regards durant la longue heure que dura le repas. A la fin de celui-ci tout deux se séparèrent. L'un alla s'enfermer dans son étude et l'autre alla rejoindre son bien-aimé pour le convaincre de laisser tomber l'idée risquée qu'il avait eu plus tôt. Sa manoeuvre fut vaine quelques minutes plus tard sa moitié alla rejoindre son père.
- Ah! André c'est vous. En juger votre air grave vous avez quelque chose d'une importance capitale à me dire. Serai-ce au sujet de l'état de ma fille?
- A ce propos Monsieur , ne chercher plus le responsable de cette situation.
- Pourquoi donc?
- Vous l'avez devant vous.
André dit cette phrase avec soulagement car cette vérité kui pesait trop sur la conscience. Pour sa part son interlocuteur resta transi pendant quelques secondes après lesquelles i lui ordonna de sortir. L'ordre exécuté il resta dans sonbureau. L e matin le trouva dans cet état second sans qu'il ne s'en apercoive.

Le matin trouva le Général dans son étude. Durant la nuit il prit le temps de réfléchir à la situation. Sa dernière-née avait toujours été disposé à faire ses volontés. Il ne lui avait jamais laisser décide de sa propre vie sauf quand celle-ci avait prit la décision de prendre les commandement des Gardes Françaises. De plus la question d'un héritier après Oscar le préoccupait car Girodelle même s'il avait le profil du gendre idéale n'allait pas accepter la condition que lui poserais son beau-père pour épouser sa fille. En effet il n'aurai jamais accepter de donner le nom des Jarjayes au premier fils qu'il aurai avec Oscar. Sa décision il le savait surprendrait beaucoup de monde mais s'il le faisait c'était pour sa fille et pour la survie du nom des Jarjayes. Après le petit déjeuner il souhaita s'entretenir avec les "futurs parents".

- Jeunes gens si je vous ai convoqué dans mon bureau c'est pour vous faire part de la décision que j'ai prise vous concernant.En raison du fait que je vous aime beaucoup Oscar j'ai décidé que l'enfant que vous portez sera le bienvenu parmi nous. Pour que sa venue au monde ne soit pas compromise je voudrais que vous quittiez l'arméé. Mais je souhaiterais qu'au cas ou ce serai un garçon on lui donne le nom des Jarjayes.
Les concernés sont ahuris par son calme troublant Et cette nouvelle inattendue. Cet élan de gentillesse n'était pas propre au Comte de Jarjayes ; cel prouvait à quel point la question d'un héritier pour les Jarjayes après Oscar le troublait.
- Naturellement tout éventualité d'un mariage avec le Comte de Girodelle est écarté.Par conséquent je voudrais que vous vous marriez après la naissance de votre enfant.
- Père je suis heureuse que vous n'opposiez pas notre union mais qu'adviendra t'il de Monsieur le Comte?
- Je l'informerais de la situation tout comme j'informerais leurs Majestés. Pour l'instants ma fille pensez à vous et votre bébé. André je compte sur vous pour veiller sur eux.
- Oui Général vous pouvez me faire confiance pour ça.
- Autre chose Oscar à compté de ce jour vous serais Mademoiselle de Jarjayes. Il va de soi que vous ne vous vê^tirais plus de la sorte.Je vous léguerais le Chateau d'Arras après votre mariage. André vous deviendrez alors le posseseur d'une part de ma fortune. Je sais à quel point vous aimez la vie simple donc vous pourrez profiter de celle-ci jusqu'a votre mariage avec ma fille. Cela vou convient-il?
- Oui parfaitement.
-Dans e cas je suis heureux.
Girodelle fut informer de la nouvelle. Il compris le choix d'Oscar et il n'en voulait ni à elle ni à André Les amoureux savouraient ces moments de bonheur. A ce moment plus rien n'avait d'importance à leurs yeux.

J adore mais c est etrange la reaction du general!?