Si vous voulez me , me , ou juste me jeter des tomates (j'esquive ), c'est ici ^^

c'est vraiment un superbe chapitre, c'est vrai qui a-t-il de mieux que de sourire pour faire souffrir au lieu de haïr^^ J'attend la suite

Te ?
Non mais tu plaisantes !!!

Du Pétrina pur jus, avec ce qu'il faut d'écorchures et de "sourire" pour nous accrocher...

Pourtant, à ta manière, tu n'épargnes pas les héros, toi non plus. C'est moins cynique, plus "vicieux" mais terriblement efficace.
La douleur d'Oscar derrière le masque et le silence, entrainant celle d'André derrière la culpabilité et la conscience.

Bravo !

Wouah !! C'est excellent !!! Cette cruauté souriante, c'est très bien vu ! Et très tordu ^^ Et cet André qui réclame d'Oscar qu'elle le punisse parce qu'il ne peut avoir de regrets.... J'ai le droit d'écrire '' je ne prétends pas concurrencer Petrina'' ?
Je suis ravie parce qu'on va proposer des versions différentes l'une de l'autre .

whaaaaaa j'aime aussi je dirais, c'est différent de ce que j'imagine moi-même et de ce que j'ai commencé sur papier, donc je trouve cela très intéressant cette façon de sourire méchament à la vie....

C'est si vrai qu'il est facile de réagir à la haine, à la colère, à la violence... Mais comment réagir à un sourire même S'il est feint...

J'ai très hâte de lire la suite de ta version ^^

Tout d'abord, je suis ravie que la fic connaisse un si bel accueil

Hi hi, ô joie !!!


Merci, Angelsking, "superbe chapitre", ça me fait rougir, la suite arrive aussi vite que possible ^^!

Lionne, hiiiii, merci tu vas pas me pendre (me trouvais jeune pour mourir ^^) Je suis super contente que ce chapitre plaise à une lectrice aussi avertie que toi ! "vicieux" hé hé, quel beau compliment
Merci de ton commentaire (et de ta clémence^ ^)


Arlène... Tes compliments me touchent droit au coeur surtout le "très tordu" Et surtout de ta part, qui nous as ouvert la voie avec ta vignette génialissime !!
Pour ce qui est d'écrire, écris ce que tu veux, Arlène, du moment que c'est des fics géniales mouarrrff !


Marina je suis contente que ça te plaise, et que ce soit différent de ce que tu es en train d'écrire, ça va nous faire un sujet bien riche, tout ça, moi j'ai hâte de lire le début de ta version !!! ^ ^

Bisous à toutes et à tous

Bonjour Pétrina

Je trouve que tu as trouvé la parade idéale pour ce genre de crime ! Sadique mais sans trace !! Il n'y a rien de pire que l'indifférence et ce sourire qui tue de l'intérieur ! Et tu le montres bien par le fait qu'André réclame un geste même radical plutôt que cette situation.
J'aime beaucoup ce chapitre et cette tournure d'évènement.

Hi hi n'est-ce pas que c'est sans trace ?

^^ je suis ravie que le texte t'ait plu


J'avais l'intention d'installer une ambiance nauséabonde et moisie, où les haines fermentent et les amours se désagrègent, et visiblement, ça a marché...

Wouah ! C'est diablement bien pensé et efficace de ta part et de celle d'André !
J'ai beaucoup aimé le ''je suis une ombre'' et le moment où il la force à le poignarder. Là, elle change et éprouve ce qu'il souhaite : de la peur.
Et ton André est bien barré : il est heureux de souffrir par la main d'Oscar parce qu'il pense que le geste qu'il lui a forcé à faire va l'amener à lui.
Franchement, chapeau !

J'aime bien la direction de ta fic. Mais André est tout de même cruelle d'imposé cela à Oscar. Il n'avait cas se tailler les veines tout seul, si ça lui plaiser. Ou à moins que se soit pour faire sortir Oscar de sa torpeur.
Tu nous as bien évidement caché le geste qu'avait fait Oscar....
J'attends avec impatience le troisième chapitre.

Comme je te l'ai dit sur excess, j'ai beaucoup les expressions que tu utilises, qui plantent un décor à la fois douloureux et amoureux...

Citation :

Mortellement drôle

Toute l'ambiguité de leur relation s'y retrouve...

Citation :

Son rire mourut comme il était né : dans l'absurdité.

Qui a dit que la mort du coeur était la pire ?...

Citation :

c'était pathétique.

Décidément, André est condamné à être pathétique...
Eh bien tant pis, on pourra écrire sur ma pierre tombale que j'aurai été pathétique. Par revendication !

Citation :

Il souriait.

C'est chacun leur tour ? Quand elle sourit, il est furieux. Quand il sourit, elle tremble.
Ben ils vont aller loin comme ça ! Mouarf !

Citation :

la chaleur de sa fièvre se répandait dans son corps comme des ondes de plaisir

Faudrait faire quelque chose, il délire là !!! Et Marina qui n'est même pas là pour le soigner. Alala !

Citation :

C’est par toi que je souffre et c’est toi qui m’ensanglantes...

C'est ce qu'on appelle un retour de bâton !!

Marina n'est pas là, c'est vrai, mais on a le stock de pilulles bisounoursées, on lui en donne une ou on le laisse souffrir ? Mais nan, je n'ai pas viré psychopathe depuis quelques temps, mais quelle idée !

Mdrrrrr Arlène, bien pensé entre sadiques, André et moi on s’entend !!!! (Je devrais p’t’être pas en être fière, je crois…). Oui, il est totalement barré, et mais je crois qu’il a des rivaux et rivales qui ne sont pas en reste… RDV au troisième chapitre !! loool
Merci de ton commentaire, en tout cas ^^ ton chapeau me fait plaisir (en plus j’aime les chapeaux !)



Nicole, je suis contente que tu aimes la direction de la fic ! J’avoue que j’étais inquiète quant à cela. Mais je vois qu’il y a des lecteurs prêts à me suivre dans mes délires…. Nihihihi nyark nyark, on se comprend n’est-ce pas ? Mais quel a été le geste d’Oscar ?!?!?
Le troisième chapitre, je vous le livre aussi vite que possible !


Bisous les filles !!

Arlène a écrit:

on a le stock de pilulles bisounoursées, on lui en donne une ou on le laisse souffrir ?

Ma foi ! C'est un choix plus cornélien qu'il n'y parait au premier abord...

André aime et souffre ---> il est pathétique.
André aime et ne souffre plus ---> il est cruel, ou/et sadique.
André n'aime plus ---> Riyoko Ikeda risque de nous poursuivre pour détournement abusif de personnage....

Bref, cela promet une belle prise de tête !
Je vais donc choisir judicieusement mes pilules bisounoursées et...laisser quelqu'un d'autre se pencher sur le problème.

Je crois que pour le détournement abusif de personnage, on a déjà pris le risque

Pour les deux autres alternatives, ça demande réflexion . Et si on attendait le troisième chapitre pour trancher ?
Comment ça je me défile ? Mais pas du tout !!! Quoi que... cette éventualité n'est pas à exclure

Bon, j'ai trouvé, on laisse Jeanne trancher la question. Je suis certaine qu'elle fera ça très bien... enfin qu'elle le fera, à sa façon

Futé quand même le bel André ! Lui qui voulait abréger ses souffrances par la main de son aimée !! Qui a le contrôle de tout ça finalement ? on finit par se le demander. Qui fait souffrir l'autre plus que lui-même ? Leurs souffrances sont différentes et se traduisent par différentes manières.
L'amour est un sentiment bien compliqué !!
J'aime le retournement de ton histoire. j'imagine que le 3ème chapitre va me surprendre autant :o

le général va devoir defendre sa fille qui se transforme en assassin,achever de ses mains André qui a violé Oscar et grand mère elle va se transformée en "pétroleuse",prête à tuer ,le reste de la famille,au secours,dis moi,que tout n'est pas noire dans cette fic,si alors je vais prendre un euphorisant en attendant la suite ,bonne soirée.

Mdr j'adore vos commentaires à toutes !

Effectivement, Lionne, je comprends ce que tu veux dire maintenant que tu as cité (et admirablement commenté ) les passages qui te plaisaient.

Si il y a une histoire de plainte pour détournement abusif, nos têtes à Arlène et moi vont sauter directement


Quant aux pilules bisounoursées... Ah on verra bien (Alain transformé en dealer ?!?) Défilez vous donc, mes amies, je me charge du sale boulot (J'aime le sale boulot)

Triste fée, tu attends un retournement au troisième chapitre ???? Mais dis donc à force de se retourner ses deux -là vont avoir mal au ventre.... xD

Agnès....... T-T prends un euphorisant ^ ^ (et s'il te plaît, ne me frappe pas T-T, j'ai rien fait moi
)

Petrina a écrit:

Si il y a une histoire de plainte pour détournement abusif, nos têtes à Arlène et moi vont sauter directement

Je crois bien


Et sinon, oui, oui, Alain en dealer de pilulles bisounoursées !!!

Chapitre 1
Une suite très différente de celle d’Arlène mais tout aussi captivante. :gyguy:

Ce sourire qui finit par glacer, non seulement André, mais le lecteur, possède quelque chose qui évoque les meilleures nouvelles d’horreur. Du moins à mon sens. Un univers où, au premier abord, tout a l’air normal, et où l’on se rend compte peu à peu que l’un des éléments, l’un des plus ordinaires, glisse peu à peu vers l’extraordinaire et le terrifiant.

Ce sourire machinal, qui n’a plus rien de « souriant », qui sert d’armure à Oscar, je comprends tout à fait qu’il pétrifie et exaspère tout à la fois André. Celui-ci préfèrerait sans aucun doute de la colère, de la haine, un désir de vengeance. Pourtant, ne se rend-il pas compte que cette réaction de la jeune fille est aussi forte. Je veux dire qu’Oscar est visiblement marquée au fer rouge par ce qui lui est arrivé, par ce qu’il lui a fait subir. C’est juste la forme que prend ce « marquage » qui est déroutante.
D’autant plus déroutante pour lui qu’il cherche visiblement un châtiment. Pour une double raison : son acte, son manque de regret.
« Œil pour œil, sang pour sang, c'est ainsi. Je t'en supplie, mon amour, envoie-moi en enfer... Tu le dois car ce que j'ai fait, je ne peux le regretter.... »

Attitude d’ailleurs fort ambiguë. Je veux dire, même si la réaction de ton André est fort différente de celle que lui a prêté Arlène, lui aussi retire une certaine satisfaction à avoir enfin possédé Oscar.

« Elle le traitait comme un frère, comme ce lui qu'il avait toujours été et qu'il n'était plus. »
Une autre déroutante et superbe manière de nier ce qui s'est passé.
Comme je commente au fur et à mesure de ma lecture, je ne sais pas ce qu’il va arriver à tes héros mais, à la fin du premier chapitre, je dirais qu’une telle attitude de la part d’Oscar ne peut pas durer. Le déni n’est jamais une solution à long terme. La vérité trouve toujours un chemin en l’être humain pour s’exprimer d'une manière ou d'une autre, et les armures les plus solides finissent par se fissurer.

Le tout est de savoir quand et comment !

Chapitre 2
Eh bien ! Oscar possède un sacré sang-froid ! Elle découvre soudain que son violeur l’épie dans le noir et elle reste calme ! Ce que c’est qu’une éducation militaire !

Les paroles d’André me paraissent très ambivalentes.
« Non, je serai ton ombre. »
Une ombre un peu au sens de Fersen avec Marie-Antoinette, c’est-à-dire protectrice, comme une forme d’expiation de la part d‘André ?
Ou une ombre qui vous suit dans la nuit, c’est-à-dire menaçante ? D’autant plus qu’il s’agit d’une ombre qui est déjà passé à l’acte, dont Oscar sait ce dont elle est capable et ce qu’il lui en a coûté.

Eh non ! Une ombre qui incite Oscar à réagir, qui la « réveille » en quelque sorte, qui va l’aider à briser l’armure.
Je ne m’attendais pas à cela de la part d’André.
Ceci dit, pourquoi provoque-t-il Oscar ainsi ? Pourquoi l’aide-t-il même à se venger en l’agressant à son tour ? La réponse ne me paraît pas si simple quand je lis : « Maintenant, mon amour, tu vas retrouver ce sentiment qui t’allait si bien… La peur... » ou « Dieu ce qu’il se sentait bien. Il était même ivre de plaisir. »

Mais la phrase qui m’interpelle le plus est celle-ci : « Elle était à lui, elle lui appartenait, elle le craignait et ne tarderait pas à l’aimer. »
Craindre implique aimer dans l'esprit d'André ?
La conclusion de ce raisonnement m’échappe un peu et j’ai l’impression que cet André-là n’a pas fini de nous étonner.
Il a l’air, a priori, plus doux et moins haineux que celui d’Arlène, mais sans doute nous réserve-t-il quelques surprises.
Tant mieux pour tes lectrices, Petrina, et vivement la suite !

Juste un détail :
« ...des notes de piano s'élevaient. Un requiem de Mozart, qu'elle jouait tous les soirs depuis quelques semaines, à tel point qu'elle le connaissait par cœur, sans même avoir besoin de partition ni de concentration pour le jouer à la perfection. Et tous les soirs, c'était en l'honneur d'une femme morte qu'elle prenait l'archet. »

Maylis, j'ai dévoré ton commentaire ^ ^ J'aime bien quand c'est clair, bien expliqué et réfléchi ^ ^


Alors, pour ce qui est de l'instrument utilisé, c'est bien un violon, merci de m'avoir fait remarquer cette petite bourde qui avait échappé à mon oeil de lynx mdr... (j'ai -100 aux deux yeux )

Pour le reste, ce que tu évoques à propos de l'horreur de ce sourire m'a bien fait rougir merciiii

ensuite, je dois dire que ta manière de ressentir les choses est très intéressante, étant donné que tu analyses des choses avec un point de vue qui n'aurait pas forcément été le mien en tant que lectrice, mais qui me paraît très pertinent en tant qu'auteure.

Mais bon, si je me mets à décrire toute ça je m'arrêterai pas et des éléments des chapitres suivants s'échapperaient accidentellement



En tout cas, merci Maylis, bisous ^ ^

Bon.... le chapitre 3 est posté...

Celui-là, l'est vraiment bien vicieux et moche...



Je sens que je vais me prendre des tomates.... et si c'est pas les gentils lecteurs.... ça va être La Ikeda...

Je la vois d'ici m'attacher à une roue et se bander les yeux avant de me jeter des couteaux....

En tout cas, j'espère que ça va vous plaire (ne me tueeeeez pas j'ai une femme et des enfants.... tuez-les eux!!!!)


bisous à toutes et à tous !

Tss.. on ne tuera personne et on te défendra si Ikéda veut te faire du mal... enfin... au moins jusqu'à ce qu'on ait lu la fin de la fic

Un chapitre fort avec une Oscar qui semble veiller André alors qu'elle le torture avec une sorte de distance scientifique, et Grand-Mère n'y voit que du feu. Ensuite, un André plein de colère et de désir de possession qui veut reprendre son pouvoir sur Oscar et lui arrache son masque d'impassibilité en lui faisant hurler sa haine et un autre aveu que tu nous masques mais que l'on devine un peu (enfin, que l'on croit deviner). Donc la main est à André ! Et dans le chapitre 4, comment les positions et les sentiments vont-ils évoluer ? La suiiiite

Mouarf !

Il est exécrable André en ce moment, entre Arlène, Marina, toi !!

Ca change de temps en temps.

Bon ! Où sont les petits zoziaux, que je ne perde pas tout espoir dans l'espèce humaine ???

Cette fois, c'est au tour d'Oscar d'être cruelle. Prochain chapitre : Grand-mère ? ( qui va finir par ouvrir les yeux et les punir tous les deux ! ) Arf !

La Lionne a écrit:

Mouarf !

Il est exécrable André en ce moment, entre Arlène, Marina, toi !!

Ca change de temps en temps.

Bon ! Où sont les petits zoziaux, que je ne perde pas tout espoir dans l'espèce humaine ???

Cette fois, c'est au tour d'Oscar d'être cruelle. Prochain chapitre : Grand-mère ? ( qui va finir par ouvrir les yeux et les punir tous les deux ! ) Arf !

"Chère Lionne,

Afin de vous assurer de notre présence, nous vous proposons de venir assister à notre concert annuel. Ainsi, vous pourrez passer du baume sur votre coeur meurtri par ces trois épouvantables auteurs que sont Arlène, Marina et Petrina. Rien que l'idée de ce qu'elles se permettent d'écrire nous a fait perdre nos belles plumes. Quel travail pour les remettre en place et être fin prêts pour notre récital ! Rassurez-vous le mal est réparé et vous pourrez nous admirer dans nos plus belles parures.

Bien à vous,

L'orchestre d'oiseaux de la forêt enchantée"

Très beau chap. Tu te plaît de faire passer André pour "une victime" si je puis dire, et dans faire un monstre quelques instants aprés. Très beau contraste. Tu fais de même avec Oscar.
Sur d'elle, comme si tout lui était indifférent, elle devient tout à coup fragile est craque. Que vat-il ce passé maintenant?

j'ai l'impression d'être une spectatrice, je veux dire que je suis devant la fic,comme si je regardais se dérouler le drame,et je ne peux pas intervenir; je dois laisser André devenir encore plus monstrueux et regarder souffrir Oscar sans l'aider c'est bizarre comme impression, mais je continuerais à lire ,peut être un peu moins "sadique" la suite bonne soirée.

A faire passer des frissons dans le dos, ce chapitre trois !

Oscar elle-même… Le moment où elle contemple André blessé, et blessé par elle, impuissant, à sa merci, m’a presque étonnée par son gentil dénouement. Je veux dire, certes, elle exerce le pouvoir que lui donne l’état d’André pour le faire saigner (comme il l’a fait saigner) mais pas plus. Elle est capable de rester près de lui, de le soigner même. J’ai l’impression qu’elle est complètement déboussolée, qu’elle vit l’instant présent sans le relier à rien, sans se projeter et sans réfléchir. Elle n’a même plus une attitude cohérente. Ceci, joint au « sourire » m’évoque une lente bascule vers le délire et la folie.

Ce chapitre m’est difficilement supportable car j’y vois une Oscar totalement « chosifiée », devenue quasi un jouet entre les mains d’André, une marionnette qu’il actionne à sa guise pour l’amener exactement là où il le veut et dans l’état d’esprit qu’il désire.
J’ai du mal avec cette image d’un André manipulateur, pervers et sadique, tout empreint d‘une vraie volonté de puissance. Quel plaisir peut-il retirer à écraser et à terrifier ainsi cette jeune femme ?
Je n’écris pas, je ne peux pas écrire, celle qu’il aime. Il est évident qu’il ne l’aime plus… s’il l’a jamais aimée. Je me pose sérieusement la question.

« Ainsi, il devenait à nouveau cette espèce de carpette qui servait à essuyer les pieds du colonel en cas de coup dur ? De nouveau, il était l’aliéné condamné à aimer sans retour, sans même avoir le droit d’exister aux yeux de celle qui représentait toute sa vie ? Cette colère nourrie de dizaines d’années d’amertume et de souffrance, cette colère venait de se réveiller à nouveau… »

Ce genre de discours me paraît de l’ordre de la fausse excuse et du bon prétexte pour justifier une attitude injustifiable. Nous sommes nettement sur le versant haine. Et comment l’amour tendre d’André a-t-il pu se transformer en une telle haineuse envie de détruire celle qu’il a adorée ?
Peut-être parce qu’il n’aimait pas réellement une femme, une femme de chair et de sang, mais une icône, une statue qui, une fois tombée à bas de son piédestal, ne vaut plus que de servir d’exutoire à ses frustrations ?

Je trouve aussi étrange cette appellation soudaine de « petite fille » qu’André adresse à Oscar. Parce qu’il la voit désormais comme une poupée ? Parce, si elle est adulte par beaucoup de côté, en ce qui concerne les sentiments, les relations homme-femme et la féminité d’une manière générale, elle n’est qu’une enfant à ses yeux ?

Bref, un texte de plus en plus difficile, avec des personnages dont la psychologie se développent vers des sphères ténébreuses. Des personnages dont je me demande bien comment vont évoluer maintenant leurs relations. La situation me paraît explosive et ne pouvant guère aboutir qu’à une impasse tragique.

J’ai hâte de connaître la suite ! :bounce:

Arlène, merci je me sens en sécurité maintenant !!! (enfin, je vais tâcher de ne pas terminer la fic pour que tu continues à me défendre... )...Quant à ce chapitre, c'est vrai qu'il est intense, et le suivant sera certainement du même crû, et probablement le 5e aussi, qui sera, si Dieu le veut, le dernier. 'Fin bref, ça va pas être de tout repos, cette fic c'est moi que j'vous l'dis !! Il y a encore quelques petits mystères pas très cathos à lever...

Agnès, ce que tu ressens, ce sentiment d'être une spectatrice.... je l'ai ressenti tellement de fois en tant que lectrice que ça me fait tout drôle de le faire ressentir à quelqu'un !!! Je vais tâcher d'écrire la suite aussi vite que possible, ^ ^.

Lionne... tu peux pas t'imaginer comme je m'en veux lol. Tous le soirs je regarde un peu l'animé ou le papier et je me sens coupable envers André de l'avoir vitriolé ainsi dans ma fic... Et quand je le vois darder des regards mélancoliques, j'ai l'impression qu'il me regarde, l'air de dire "Pourquoi t'as fait ça?"... André je suis désoléééééééé...
Je crois que tu devrais aller au concert des Zoziaux, Arlène a des places gratos il paraît, parce que dans cette fic, ils sont carrément absents;.. T-T la prochaine fic que j'écris sera moins noire, promis !!

Nicole... Tu sais apprécier l'horreur, toi, n'est-ce pas ? En effet, le passage de monstre à victime chez nos deux protagonistes est la clé de cette fic... ^ ^ j'ai hâte que tu lises le chapitre 4 !!

Maylis... comme d'habitude, tu as remarqué les subtilités de la fic... Oscar qui soigne André... mais l'a-t-elle vraiment soigné ? Elle a rouvert sa plaie, et l'a refermée..... Et surtout... elle pouvait faire tellement plus.... alors pourquoi ? Ah la la la, le chapitre 4 répondra-t-il à cette question ? En tout cas, j'ai très hâte que tu le lises, car tu soulèves des questions qui vont y être traitées... et d'une manière !!
D'ailleurs, pour ce que tu dis du discours d'André, qui résonne comme une mauvaise excuse, c'est tout à fait l'escompté !! ^ ^


Merci pour vos commentaires les filles !!!!

Gros bisous

Alors, apparemment, l'aureure en moi a décidé que le mot d'ordre de cette fic serait "surenchère"...

Un chapitre plus tordu encore que les autres....
:ttzc41:
Je m'excuse auprès de tout un tas de personnes (si vous avez mystérieusement envie de me buter après avoir lu, c'est que vous en êtes mes p'tits bouchons !)

Bonne lecture tout de même !!

Et surtout, laissez plein de commentaires ! (même si ce sont des menaces de mort :jklm98: )

Bisous tout le monde !!!

je sais que la vengeance d'une femme est toujours plus grande que celle d'un homme, maintenant qu'Oscar se considère comme femme j'ai bien peur que tu ne fasse en sorte que André soit désormais une sorte de proie pour Oscar^^

avec "sa faute" sous le nez,si je peux m'exprimer ainsi,il va voir le ventre d'Oscar s'arrondir;et elle va enfin dire qu' elle est femme;le général va devenir fou de voir sa fille enceinte sans mari,il va chercher qui est le père, et André risque de mourir sous la main du Général,où alors Oscar ne dit rien ,et André va passer son temps à trembler d'être découvert,il va finir par se suicider de peur d'être découvert.Aquand la suite.

Elle s'accepte femme mais elle perd l'enfant qu'elle porte, non ?

La chaleur ralentit mes.... pardon, mon neurone.

Va falloir que je compense par des pilules.

J'ai compris la même chose que toi, La Lionne : Oscar perd l'enfant qu'elle porte et par là même a le sentiment qu'elle expulse toute trace de virilité en elle. Elle revendique alors sa féminité et décide d'en faire une arme de vengeance.

Non, non, ça va Petrina, pas d'envie de meurtre de mon côté. Juste envie de connaître la suite. C'est un bon retournement de situation !

et relire cette fic,effectivement elle perds l'enfant qu'elle porte, mais je suis curieuse de voir (avec des lunettes propres) comment elle va se venger,elle va être terrible cette nouvelle "femme", tremble André ,tremble,Oscar nouveau est née.