Vous pouvez me laisser vos coms ici sur ce poème assez perso et me dire si vous l'aimez ou non.

définitivement, j'aime beaucoup plus tes poèmes perso...

Ils sont poignant, douloureux ou passionné selon le cas.
Torture lancinant de l'âme, j'entends le murmure sourd de ton combat intérieur. (j'aime beaucoup tes poèmes natures qui sont un peu le reflet de tes humeurs...mais ceux là, miroir de ton univers personnel... sont ceux qui me parlent le plus)

merci de nous les avoir fait partager

Merci Krapagnou, cela me touche.
Oui,, mais ce sont les moins faciles à partager.
Cela ne m'étonne pas tant que cela que tu préfères ceux-là, car tu aimes Baudelaire, (comme moi) ce qui montre que tu aimes les poémes douloureux, dialoguant avec la mort, l'âme...

en effet, Baudelaire et moi c'est une grande histoire d'amour... si j'avais vécu à son époque j'aurais voulu être sa maitresse ou son disciple!

comme t'a pu le voir sur les miens... je n'ai pas un registre joyeux non plus (les poèmes heureux sont assez rare chez moi... peut être pour cela que j'ai arrêté d'écrire... je n'ai plus de douleur suffisamment forte pour avoir besoin de l'exprimer dans un poème (j'en ai trop eu... je suis vacciné... pour me replonger dans le spleen... faudrait un vrai cataclysme)... le bonheur est un peu dans mon cas la mort du poète)

Je suis d'accord avec toi. Je suis un peu dans le même cas, je ne peux écrire que lorsque je ne me sens pas bien. Mais c'est un peu normal, on a plus de choses à donner avec plus de sentiments.
Oui, je l'ai remarqué dans tes poèmes, d'ailleurs ils m'ont beaucoup plu.

Lutte intérieure contre l'irréel, les préjugés, les idées reçues peut-être. prendre des résolutions fermes contre la résignation.
C'est mon interprétation bien sûr.

Pas de problème Liberta.
Effectivement, il s'agit d'une lutte contre les idées établies, les contraintes... qui empêchent de vivre librement, d'être soi-même.
Perso, je devais me relever, me battre comme je l'ai toujours fait. Il me fallait donc retrouver mes marques.
Mais je devais surtout me battre contre les souvenirs, moi-même, l'emprise, et les contraintes extérieures auxquelles j'avais du mal à m'acclimater.
Merci pour vos commentaires les filles.

tu te débats avec tes démons, ils sont tjrs présent attendant le moment propice pr fraper mais tu ne te résigne pas, tu ne rendras pas les armes sans te battre et tu sortiras vainqueur de ce mal être intérieur.

J aime bcp, comme les autres c'est mon interprétation personnel.Poème poignant et fort.
Merci de nous le faire partager.

J'aime à dire que les poèmes sont comme des baumes que l'on met sur nos blessures et qui l'espace d'un instant les rend moins aigres car coucher ces mots sur le papier c'est en qq sorte en prendre conscience, l'accepter et se confier.

Oui Amber, c'est bien dit : les poèmes sont les mots (maux) couchés sur le papier pour en prendre conscience et peut-être même les effacer.
Parfois on croit qu'il suffit d'effacer les mots du papier pour qu'ils s'envolent de notre mémoire.
La mémoire et les souvenirs sont parfois tenaces et quand ils nous quittent on le regrette.
Parfois je voudrais tout oublier et en même temps, je me dis que perdre la mémoire cela doit être affreux.
Merci pour ton com

J'ai aimé ton texte pour le constraste entre la douleur solitaire du début et la résolution de la fin. Et, une parallèle m'a toublé et je me suis dit que finalement le début obscur n'était pas si loin de la lumière de la fin --> "Je serais libre enfin,
Comme l'air, comme l'obscurité"

Bref, :hyret:

Merci Arlène
Oui, j'aime beaucoup associé les images opposées pour donner plus de force aux sentiments éprouvés. J'aime les images superposées aux sentiments.

Contente que cela vous ait plu.