André sourit et la fit tournoyer en l'aire. Il la garda dans ses bars puis se dit à lui même:

"André Grandier, veux-tu prendre pour épouse mademoiselle Oscar de Jarjayes dans tes bras présente?"

Elle attendait la réponse le sourire aux lèvres.

"Mais bien sûr que oui je le veux!!!"

Et ils s'embrassèrent à en perdre alène, comme des assoiffés. tout en ce caressant.

Oups j'ai oublier "tu peux embrasser la mariée".

[Là je dois avouer que vraiment je pête un cable, même les calmants n'y ferons rien^^ :ttzc41: ]

Oscar rit franchement à ce petit remake de mariage et en profita par contre pour l'embrasser à pleine bouche. Il avait oublier quoi?? Ah oui...oh ben temps pis....on irait plus vite comme cela..

Pas grave....on va directement pouvoir passer à la nuit de noce!!

Oscar eut un sourire en coin et le poussa d'un coup. en effet, cette dernière avait lentement fait reculer André le temps qu'ils s'embrassaient pour qu'il arrive jute devant le lit, lorsqu'elle le poussa il s'y affala donc avant qu'elle n'arrive rapidement sur lui, se mettant à califourchon sur son bassin.

Eh bien.....pas bien méfiant hein?

[Pas grave, délirons!!!!!!]

"Attends tu vas voir!"

Il la retourna, l'emprisonnant ainsi de son poids. Il s’empara de ses lèvre en un baiser fougueux, et commença à déboutonner sa chemise, lentement… il la cherchait. La chemise fut lancée au sol, il ne restait que ces bandes qui cachaient la femminitée d'Oscar.
A chaque fois que la jeune femme émettait le moindre geste pour prendre le dessus il resserrait ses jambes davantage autour de ses reins, pour qu’elle soit dans l’impossibilité de bouger.

" Alors? Pas bien méchant, hein?"

Oscar souriait mais se retrouva bientôt sous André. Mais ce n'était pas si désagréable, sa fougue était des plus délicieuse, surtout dans ses baisers. La jeune femme laissa échapper un soupir et sourit lorsqu'il lacha ses lèvres. Sentant sa chemise être enlevé, elle rougit un peu. Elle n'avait encore jamais été ainsi devant un homme...

Mais elle oublia ce détail et se concentra pour échapper à ce joli piège. elle ne pouvait pas s'échapper? Très bien! Elle se redressa et glissa ses mains dans son dos, alors que son visage se nichait dans son cou. Ses mains retirèrent sa chemise et glissèrent sur sa peau. Seulement ses mains étaient très froides, elle eut un sourire en coin au vu du sursaut qu'il venait de faire.

Vengeance personnelle mon cher..

Elle déposa un baiser dans son cou, souriant toujours.

Il rit doucement et lui pris les mains, ces instruments de douces tortures qui pour l'heur étaient glacées. Il la regarda d'un air coquin et lui dit:

"Je vais te les réchauffer mon amour."

Devant les yeux intéressés de son "épouse" il se munit une à une de ses mains, et en suça les fins doigts en la regardant dans les yeux, guettant la moindre petite réaction de sa part. La sentant fébrile il abandonna les doigts, pour lécher la paume, et remonter jusqu’à son coup, où il y suça cette peau au goût sucrée. Il remonta un peut et lui mordit le lobe d’oreille pour en suite lui souffler :

"Elles sont assez chaudes comme ça?"


[GRRRRRRRRRRRRRR]

Oscar le regarda faire, un peu rouge. i sentit bientôt les lèvres d'André remonter jusqu'à son cou. elle laissa échapper un soupir et ferma les yeux, rejetant son visage en arrière pour s'offrir entièrement à ses lèvres. il n'y avat pas à dire...André avait trouvé une excellente solution....Non seulement ses mains étaient réchauffées mais en plus son corps était brûlant.

Elle laissa échapper un petit gémissement en le sentant mordre le lobe de son oreille et glissa de nouveau ses mains sur lui pour lui retirer sa chemise.

Oui.....Mais maintenant tout mon corps a chaud...

Elle sourit en coin et embrassa son cou, jetant sa chemise dans la pièce, ses maisn maintenant chaudes glissant sur la peau de son amant, caressant en de lentes arabesques sa poitrine musclée et son dos.

[Mdrrr ca va pas??]

[ XD!!! laisse c'est l'heure de ma piqûre^^]

André faisait de même pour Oscar. Il caressa tout d’abord son ventre ferme et musclé, amena ses mains dans son dos et remonta en une douce caresse, tout le long de son corps, pour y détacher les bandes, lui prodiguant au passage un frisons des plus agréable.
Lorsqu’il eu dégraffé le morceau de tissue, la jeune femme se tendit incertaine. André suspendit son geste.

"Oscar ?"

[XD l'oublie pas surtout!!]

[Mmm...c'est qu'il me donne des envies ce dédé.....le voudrait bien en 4H]

Oscar frissonnait sous les caresses délicieuses de son amant. Mais elle se crispa involontairement lorsqu'elle sentit ses bandes ses desserrer et découvrir son buste. Elle se serra un peu plus contre André, rouge de gêne.

Ce..Ce n'est rien mais....je...je n'aime pas mon corps....et j'ai...un peu peur....de te déplaire...

Oscar baissa la tête, un peu honteuse. N'osant plus rien ajouter. Elle aait provoqué totu ça mais elle n'avait même pas pensée...bah qu'elle se retrouvait nue pour faire cela...sur le coup cela ne l'avait même pas effleurée...

[Et là, Isis moins coincée qu'Oscar lui chipe André XDDDD]

Le jeune homme lui susurra à l'oreille.

"Pourquoi ça, tu es magnifique, tu es parfaite, ne me dis pas que tu aime ton corps avec ses affreuse bandes? Oscar ai confiance en moi..."

Elle ce détendit un peut, il l'embrassa doucement pour lui donner confiance et balança loin l'affreux tissu.
Il la regarda la faisant rougir tant son regards était insistant. Oscar avait fermé les yeux en l'attente d'une quelconque sentence.

André posa sa main sur la joue de sa bien aimée et souffla:

"Oscar, je peux t'assurer que tu à tout pour me plaire."


[Mais c’est ça mange-moi je suis fais pour ça ^^]
[XDD voilà un petit temps more^^]

Non..je..avec mes bandes je peux me cacher....mais là...

Elle rougit violement en voyant André jeter es bandes bien loin. Là elle n'avait plus d'issu, elle était bel et bien coincée! Elle tenta de se détendre, sachant qu'elle ne risquait rien avec André, mais elle restait tout de même crispée.

Finalement, elle le sentit se reculer et ferma les yeux. Elle voulait mettre ses mains devant sa poitrine, pour masquer son buste, mais s'éfforçait de ne rien faire pour ne pas décevoir André. elle ouvrt les yeux et le regarda, surprise par ses paroles.

Tu...Tu es sincère? Mais je....je ne suis pas....uen jolie femme....je ne suis qu'un androgyne....

[Ouais!!!! chope Dédé!]
[XDDDD]

[olala tu va le frustrer le Dédé]

" Fffff Mais bien sûr, si tu étais ce que tu dis, crois-tu que je te mentirais en te disant que tu est parfaite. Et puis d’abord, cesse de me contredire sans arrêt! Evidement que tu te trouve androgyne face à ces Didon aux gros seins, mais, toi tu est parfaite telle que tu es, crois moi beaucoup d’homme seraient ravis d’avoir une femme comme toi !"

Il essayait de ne pas en dire trop, pour ne pas la mettre mal à l’aise.


[dsl j'avais pas vu que tu avais déjà posté. Bon! moi je te laisse je dois partir, mais je re dans 1 heure et demi/ 2heures maxi^^.]

[mdrr]

Plus il parlait plus Oscar était rouge de gêne, finalement ce fut le drap qui la sauva puisqu'elle le tira devant elle et masqua son buste, baissant la tête. Il en faisait pas un peu trop là....si à son goût, cela ne devenait gênant...

Tu exagère....je ne suis pas si bien que cela...la seule personne s'étant intéressé à moi est Girodel!!! Tu vois le tableau!! J'ai l'impression que tu me valorises un peu trop....

Oscar se replia un peu, elle ne savait vraiment plus où se mettre avec tout ça.

J'ai tout appris...le maniement des armes...tenir un commandement...me battre...tout..sauf à maitriser et dompter mon corps...

murmura t'elle tout bas.

[pas de pb^^ je sais pas si je serais encore là, alors je te dis bonne nuit d'avance!!]

[ walawaya!! N'en je me connecte, et que vois-je? non mais qu'elle Oscar frustrante !!!! Pauvre Dédé! non mais tu n'as pas honte?]

André était désabusé, il bascula sur le coté pour s'allonger sur le lit, de façon à tourner le dos à Oscar.

" Pff! Très bien si tu veux! Ca se vois que tu n'écoute pas tout ce que disent tes cher soldats! Mais bon ( Soupir! )... moi qui pensais que nous allions nous amuser, bah! Il faut croire que je m'étais trompé! Bonne nuit MA BELLE! "

Et c'est sur cette dernière provocation qu'il se tue, laissant là un long silence, plutôt pesant.

[Na! tu l'a cherchez!]

[Nan j'ai pas honte je joue Oscar comme elle l'aurait sentit.]

Oscar sentit ses larmes revenir, ses bras serrèrent un peu plus le drap autour d'elle avant de se relever.

Et dire que je croyais que tu me comprendrais....Mais vous les hommes c'est toujours pareil, dès qu'on ne couche pas c'est qu'on est coincée et bonne à rien. Bon, j'ai compris. Va donc te trouver une catin pour sustenter ton côté dominant et oublie-moi!

Elle ramassa sa chemise et l'enfila rapidement, lachant le drap avant de sortir de sa chambre et de descendre au salon. elle s'assit dans un fauteuil, observant les flammes rougeoyantes entre ses larmes.

[Toi aussi....]

[ Et bah! si je m'attendais à ça! chapeau! tu m'à bien eu :dffred: ]

Il s'imaginait déjà, faisant croire à sa belle qu'il dormait pour en suite lui faire peur, tout cela dans le but de détendre l'atmosphère. Mais lorsqu'il l'entendit déballer son discours plein de triste colère, il se traita de tous les noms.
Et elle avait pourtant tort sur un certain point, car, aillant compris qu'Oscar n'avait pas assez confiance en elle même pour passer à l'acte, il avait décider de ne rien faire avant qu'elle ai compris le pouvoir de son corps. Après tout, il avait attendu un peu moins de 20 ans, alors un peut plus...

"Quel imbécile !"

Ce traita-t-il avant de mettre sa chemise à toute hâte, et poursuivre, une fois de plus, son amour.

Tout de même qu’elle susceptible !
Ne put-il s’empêcher de penser.

Il la vit disparaître dans le salon.

Mauvais signe.

Le jeune homme la rejoignit tout de même sur ses garde.

[ Vingt minute, à cause de ta réplique, j'ai mit vingt minutes à trouver cette simple réponce, tu rend compte :vvxwww: ]
[n'enpèche que je me suis bien fais avoir!:gyguy: ]

[Ouai!!!! *fiere de son coup mdrrrrr*]

Oscar n'avait pas bougée, son regard devenant aussi flamboyant que les flammes. Elle avait pensé qu'André la comprendrait! Qu'il comprendrait que, aillant passée une vie à masquer sa féminité, à l'oublier et à en avoir honte elle n'allait pas l'exposer d'un seul coup comme ça avec fierté alors qu'elle n'y connaissait rien! Mais non...il avait agit comme tout les autres.

De rage, elle essuya ses larmes. rien ne servait de pleurer! Elle se leva et s'avança vers la desserte où elle prit un verre et une bouteille de vin. Elle s'en servit un verre et en bu une gorgée. Alors qu'elle allait retourner à son fauteuil, elle s'arrêta et tourna la tête, ayant aperçu André. Son regard se ferma, devenant glacial avant qu'elle ne se rasseoit.

Que faire pour occuper cette soirée fichue par deux fois.....Elle attrappa un livre non loin et l'ouvrit à la première page, commençant sa lecture. Autant se noyer dans une histoire triste et un bon verre de vin!

[Comment embeter Kia avec seulement deux petites lignes mdrrr]

[Bah je me suis dit qu'Oscar réagirait comme ca si on la comprenait pas! André ne voyait pas son probleme elle se dit qu'il veut juste coucher avec elle^^]

[alala...... On à deux incompris abor^^ Mais je rêve où tu fais exprès de me poser des tuiles?......mmmmmmmm comment je vais réagir moi?...Je sais!]

Ce regard... Après les remords, cette fois venait la colère. Elle le regardait avec une froideur... Ce regard voulais dire beaucoup de choses, mais exigeait surtout le silence.

Fou de rage cette fois, André imita la jeune femme et prit un verre de vin qu'il but cul sec. Il pris un livre, sous le regard, toujours glaciale de la jeune femme, qui avait arrêté la lecture son roman (qu’elle tenait sans le savoir à l’envers) pour reporté son attention sur les moindre geste du jeune homme. Sauf que cette fois-ci, André, qui en avait plus qu’assez de toujours se soumettre à cette femme, soutint son regard, avec une froideur toute aussi insoutenable.

Une fois, tu ne m’as pas comprit, et on à mit tout cela au clair, parce que je suis venu vers toi, et cette fois quand c’est moi qui, selon-toi, ne te comprends pas, ce qui est faut, c’est encor moi qui doit arranger les chose, mais tu n’est pas toute blanche non plus, tu veux jouer sur les reproches ? J’en ai un tas pour toi, ne t’en fais pas. Tu sais Oscar, si tu veux jouer à ce jeu là, je doute que tu en sortes aussi facilement, vas-y je suis prêt.

Pensa-t'il énervé au plus haut point par cette attitude absurde.

[Je veux me venger! lol! Alors? que vas-tu faire mamzelle?^^ ça va me dégouter si tu trouve en moin de 40 minutes par ce que moi j'ai mi... bah 40 minutes^^]

[lol attention Oscar s'énerve]

Oscar se releva et envoya littéralement son livre sur André qui le prit en pleine figure.

Tu es la personne la plus écoeurante que j'ai vue de ma vie André! Je me demande maintenant si mon coeur ne m'a pas tout simplement trahi une fois de plus en te choisissant! Tu crois que je ne suis pas consciente de tout le mal que je t'ai fait depuis 10 ans! tu crois que ça ne me fait pas mal de repenser à toute les douleurs que j'ai du t'infliger à cause de mon aveuglement sur mes sentiments!!

Mais ça cela doit surement te dépasser, ou peut-être que tu t'en fiche éperduement! A partir de maintenant garde tes distances avec moi! C'est terminé! Trouve toi une femme qui t'obeira au doigt et à l'oeil, soumis à son époux et qui a des formes généreuses et qui n'en aura pas honte!

Son regard était toujours de glace. Elle venait de déverser tout ce que son coeur portait de souffrances et de haine sur lui. Lui qu'elle croyait connaitre, à qui elle croyait pouvoir se fier et être comprise. Mais même là elle avait été trompée. Elle se détourna. Cette fois la conversation était close.

Adieu.

Sur ce mot lourd, très lourd de sens, elle remonta dans sa chambre et s'y enferma à clef avant de se jeter toute habillée sur son lit, serrant son oreiller contre son visage. Elle ferma les yeux, attendant le sommeil.

[Vengeance perdue.....Oscar: 1-0, lol 10 min!!!! Gagné^^]

[RAHHHHH chui dégoûtée! Je perd tout le temps avec toi c'est pas juste ]

Toute sa rage avait disparu sous la douleur, il venait de se faire broyer le coeur par celle qui le jour même lui avait avouée son amour, alors qu'il avait voulus l'emporter avec lui dans la mort.

C'était tout Oscar ça; si l'intimidation ne fonctionnait pas, il fallait passer à l'attaque, ne cédant aucune réplique.
André avait écouté ces mots qu'elle lui avait lancés à la figure, sans même cligner des yeux. Là encor, il gardait cette expression de froideur qui ne l’avait pas quitté depuis sa tentative de provocation, mais pourtant à l'intérieur...

Sans plus de cérémonie, il baissa les bras et partit sur paris, pour la deuxième fois en cette soirée plutôt instable. Pour la deuxième fois encor il partit se saouler, dans un estaminet cette fois, sans pour autant quitter se masque froid et impénétrable.

Quelle égoïste, elle croit savoir tout ce que je récents, je n’aurais pas pus tombé de plus haut. Toucher le rêve amoureux du bout des doigts pour ensuite se réveiller en une claque des plus cruelle. J’aurais dû le boire ce poison ! Ha ! quel imbécile ! Croire en l’amour pff !

[euh...si ça continue comme ça y en a un des deux qui va se suicider!^^ Dsl mais j'ai des envies de meurtre, j'ai carrément bouffé ma fourchette tellement j'avais les nerf! Nan je lol ]

[Lol me donne pas des idées de suicide....]

Oscar se tournait et se retournait dans ses draps. Le sommeil semblait la fuir et cela ne l'étonnait pas. Elle avouait son amour et par deux fois elle parvenait à le briser dans la même soirée! Il y avait de quoi devenir vraiment folle! Elle se leva et jeta ses draps dans la pièce avant de se lever, son regard croisa alors la bouteille de vin empoisonné. Celle avaec lequel André avait tenté de la tuer.

Elle s'en approcha et l'observa longuement. Finalement...oui. Pourquoi subir encore une vie de mensonge qui, même lorsque l'on tente de dire la vérité blesse ceux qu'on aime...Elle prit le verre restant, celui d'andré que ce dernier n'avait pas bu et le regarda, fixant son regard sur le liquide rouge. son autre main se porta à la médaille qu'elle avait au cou. doucement, elle posa ses lèvres sur cette dernière.

Mère protégez-moi. Peu importe si l'on me trouve lâche, peu importe si je fais souffrir, puisque cette souffrance sera la dernière que je cause....Mais e ne supporte plus cette vie où tout ce que je touche ou j'effleure se terni ou se brise. Mère permettez-moi de faire, une fois dans ma vie, un geste d'honneur.

Elle relacha la médaille et approcha doucement le verre de ses lèvres avant de l'avaler. elle le lacha, le verre se brisant sur le sol en un éclat froid. Elle posa sa main sur sa gorge, sentant l'air lui manquer, un malaise la prendre. Elle tomba sur le sol, inanimée.

[..sinon voilà ce que ça donne. Bon suis gentille c'est un poison lent, avec un peu de chance une servante peu encore la trouver loooll pas sadique de tout hein!!]

[Bon vais me coucher, à demain]

[Haaaaaaaaaaaaaa!!!!!! mais je rigolaitEUHHH!!!! A bah là j'ai envie de dire: Joyeuses fête! à celles et ceux qui lirons ce délire^^Bref! Chacha tu m'a chercher, maintenant tu en subis les conséquence, voilà un beau roman pour toi XDD!]

André ses pensées noires et sa sobriété retrouvée, était rentré bien décidé à parler à Oscar.
Arrivé au château, il mena chevalier à l'écurie et partit directement à la fenêtre d'Oscar, là où il avait l'habitude de venir, petit, quand Oscar lui faisait la tête. Il grimpa jusqu’au balcon et s’introduisit dans la pièce, car la fenêtre était miraculeusement [Un vrai miracle !!] ouverte.
Son regard parcouru la chambre, son cœur fit un bon quand il vit Oscar à même le sol, son propre verre de vin empoisonné à ses cotées, inerte.

"Oscar !!!"

Il courut jusqu’à elle pour la soulever un peut.

"Seigneur Oscar mais qu’as-tu fais ?!"

Il la prit dans ses bras tremblants, et ouvrit la porte de sa chambre, pour l’emmener rapidement vers la sienne, où il la déposa sur le lit.

Heureusement, il lui restait une chance, que le jeune homme ne laisserait [évidemment] pas filer. Il fouilla dans son tiroir et en sortit la boite qui contenait le poison, et en sortie… l’antidote !!! [Wah ! attention 2eme miracle !!^^]
Il versa la poudre jaune dans un verre d’eau, qui était apparue comme ça sans prévenir [Un 3eme ??], et le fit boire a l’empoisonnée. Il resta quelque temps à la regarder, et quand le soleil montra ses premiers rayons, il vit que la jeune femme reprenait des couleurs, alors il décida de la laisser là, et de prévenir Grand-mère qu’il fallait la surveille, lui disant qu’elle était malade.

Il partie une troisième fois sur Paris mais cette fois-ci pour rendre visite à un certain monsieur, qui habitait un hôtel particulier dans un cartier aisé.

Il frappa à la porte et un vieil homme lui ouvrit.

" Oui monsieur ? que désirez-vous ?

- Je souhaiterais parlez au maître des lieux est-il présent ?

- Qui le demande ?

- Je suis André Grandier, vieil ami.

- Je vais vous annoncer, veuillez entrer monsieur.

Le vieil homme disparu pour quelques minutes après réapparaître aux cotés d’un autre homme.

- André !!!

- Fersen ! [ 4eme miracle !!! non d’ac, je le classe pas dans les miracle… ]

- Que me vaux l’honneur de ta visite ?

- Il s’agit d’Oscar…

Après deux heurs de débat André revint à Jarjayes, monta dans sa chambre, où dormait paisiblement Oscar. Il dit à Grand-mère d’aller se reposer et prit place sur la chaise au bort du lit.
Il regarda la jeune femme et se rappela de son entretien avec Fersen…

Après un long discourt sur les derniers évènements qu’avaient vécus André et Oscar, il lui avait tout raconté; le vin, l’aveu, la 1ere crise, le semblant de mariage, puis la pudeur d’Oscar, la dernière crise, puis la tentative de suicide d’Oscar.

[Aussi bizarre que cela puisse sembler] Fersen avait avoué à André qu’il n’aimait pas la Reine, mais Oscar!!! [4eme miracle décidémant!], et cela depuis le début!!!. André avait sourit et lui avait dit qu’il aurait sa chance avec elle car il partait en Normandie à jamais. Fersen lui avait demander pourquoi il faisait cela, et André lui avait dit qu’au fond Oscar ne devait pas vraiment l’aimer, qu’elle s’était crée une chimère pour oublier le jeune compte qui lui avait brisé le cœur, et qu’au vue de l’échec de leurs relations [à Dédé et Oscar^^] elle en avait conclu que l’amour ne voulait d’elle [et la suite on connais…n'est-ce pas mamzelle?].
Puis Fersen avait serré la main d’André et lui avait promit d’allez voir la jolie folle [oui c’est tout à fait le mot^^] le jour qui suivrait son départ.


André regarda la jeune endormie avec douceur, puis prépara ses affaires. Au moment de partir il vola à Oscar un dernier baiser, laissant couler librement ses larmes.

Il partie donc pour la Normandie en laissant un mot à Grand-mère, et quand Oscar ce réveilla, il venait de franchir les grilles.

Il lui avait laissé un mot sous l’oreiller de sa chambre [à elle] , cela disait ;

Navré de t’avoir fais perdre du temps, soit heureuse avec l’homme que tu aime vraiment, car crois le où non, lui aussi t’aime, comme moi j’aurais aimé avoir le droit de t’aimer; d’un amour pur et sincère.



[ Voilà, j'ai mis à peine 15 minute à rédiger ça tant la vengeance me brûlait les babines (avoue que je t'es eu là!)...crcr Alors mi amor? tu choisi Fersen où tu cour vers moi? et essaye pas de te suicider encor une fois parce que de toute façon je trouverais toujours un miracle pour te sauver MDR! ! Quoi, j'ai VRAIMENT pété un câble? Bah quoi c'est un délire non :jjhtr: ]

[J'uis toute contante de moi. Pour le moment...]

[Joli roman, j'espère que tu aimera le mien!]

Oscar n’avait pas bougé depuis plus de deux jours. Son état s’était cependant amélioré au fur et à mesure depuis qu’André lui avait administré l’antidote. Elle ouvrit finalement doucement les yeux aux bruits des sabot d’un cheval s’éloignant de Jarjayes. Elle ne se sentait pas très bien mais elle se rendit compte que malheureusement elle n’était pas morte ! Un soupir de lassitude lui échappa. Même le ciel ne voulait pas d’elle……Une larme lui échappa, elle serait condamnée à errer dans son monde encore quelques années alors…..Temps pis, elle subirait. Elle vit Grand-Mère entrer dans sa chambre.

Oh ma petite Oscar tu es enfin réveillée !

Grand-Mère…tu…tu es au courant ?

Au courant ? Mais bien sur que je suis au courant ! André m’a prévenu que tu étais malade ! Ma petite tu dois faire plus attention à toi !

Malade…je….oui….

Oscar n’osa rien lui. Après tout à quoi est-ce que cela aurait servi. Une fois de plus personne n’avait compris son geste, personne ne comprenait rien…..Son père avait-il réussi à faire d’elle un androgyne inhumain ? Sans doute puisqu’elle subissait sans pouvoir agir. Elle laissa Grand-Mère s’occuper d’elle en silence, sans rien dire. La vieille femme ressortit et Oscar regarda par la fenêtre. Son amour pour André leur faisait mal à tout les deux.. Pourquoi alors que la dernière fois, à l’église elle n’avait souhaité que le rendre heureux et tout faire pour pardonner les douleurs qu’elle lui avait infligée ? Elle n’aurait jamais la réponse……Ses peurs étaient sûrement trop fortes pour être si facilement brisées.

La jeune femme se redressa et se leva. Elle fit quelques pas et s’avança vers la fenêtre. Elle vit arriver un cavalier. Fersen ! Mais…elle le croyait en Suède ! Que faisait-il ici ! Elle sortit de la chambre et commença à descendre vers le hall quand elle l’aperçu à l’entrée.

Oscar !

Fersen, quelle surprise ! Si je m’attendais à vous voir !

Je suis heureux de vous voir mon amie ! Car j’ai à vous parler de choses importantes.

Ah ? Eh bien, venez allons au salon.

Ils allèrent au salon, chacun s’asseyant dans un fauteuil.

Alors, de quoi voulez-vous me parler ?

Eh bien…André m’a tout raconté…..à propos de vous deux…vos problèmes….entre autre.

Pardon ??An…André est venu vous voir….hier soir ?

Oui….Et il m’a avoué une chose qui m’a rendu plus heureux que n’importe qui ! Oscar je vous aime moi aussi, je vous prie devenez ma femme !

Quoi !

Disant cela, le conte s’était agenouillé près d’elle et avait pris sa main. Elle ne pouvait répondre, paralysée par ses aveux. André….l’avait littéralement jetée dans les bras du conte parce qu’il ne voulait plus d’elle ! Comme son père l’avait fait pour Girodel ! Voyant son manque de réaction, Fersen prit cela pour un oui et l’enlaça. Oscar réagit aussitôt et le gifla de toutes ses forces au visage, laissa trois griffures sur sa joue.

AHHH !!! Mais enfin…je….je ne comprends pas…

Silence ! De quel droit osez-vous me toucher ! Peu importe ce qu’André vous aura dit ce n’est pas vous que j’aime ! Certes j’ai cru vous aimer parce que vous sembliez être le prince charant dont toute princesse peu rêver, mais je me trompais lourdement sur vous, car je n’avais pas vu cet homme qui a toujours été là pour moi, qui m’a toujours veillé et qui a failli donné sa vie pour me sauver ! Et cet homme c’est André que vous le vouliez ou non !

Oscar se leva et le toisa avant de rentrer dans sa chambre. Soudain, un bout de papier attira son attention. Elle le prit et le lu, ses mains tremblèrent légèrement et elle ferma doucement les yeux.

Très bien André…..je vais suivre ton conseil ou plutôt ton ordre à la lettre.

Elle jeta ce papier au feu, afin que personne ne le trouve et descendit aux cuisines rapidement, elle s’aperçu que Fersen était repartit.

Grand-Mère ! Grand-Mère !

Oui ma petite qui a t’il ?

Tu sais où est parti André ? Grand-Mère je t’en prie si tu le sais dis-le moi je dois le retrouver !

Eh bien….oui je le sais mais….mais il ne voulait vraiment plus te voir.

Je m’en doute….mais j’ai besoin de lui parler, de mettre tout au clair sur nous après je te promet de partir et de le laisser.

Bon…eh bien, il est à votre demeure en Normandie, mais sois prudente, il n’avait pas l’air…

Je sais…

Elle embrassa sa nourrice et remonta dans sa chambre, attrapant une simple cape noir qu’elle mit, elle baissa la capuche sur son visage avant de redescendre sceller son cheval et de partir. Elle arriva en Normandie 2 jours plus tard, elle demanda aussitôt une entrevue avec un certain André Grandier et on la fit patienter dans le salon, alors qu’on prévenait ce dernier que quelqu’un voulait lui parler.

[Moi ausi je suis assez contente de moi^^ Ma fois reste à voir ce que je te prépare ensuite.....]

[ Ohoh, que me réserve-tu, je ne t’ai pas donner d’ordre !! oula ça sent pas bon ! aïe ! aïe ! aïe ! Oké oké, je vais maître mon esprit requin au repos pour le moment.^^ Regarde ça :]


André était dans les écuries, il s’occupait de chevalier, la tête dans les nuages.

Ahh.....Oscar, si j'ai fais cela ce n'est pas seulement pour que tu te rende compte d'un quelconque amour que tu aurais omit éprouver pour ce cher Fersen.
Vois-tu, je sais que ce que je lui ai dis est mal. Il t'aime, et si tu refuse son amour, il en sera bouleversé... Je crois que j'ai surtout fait cela pour, en quelque sorte me prouver que cet amour est possible...Non pas que je ne te croie pas lorsque tu dis m'aimer, ou peut être un peu... je ne sais pas, mais quelque chose en moi me dis que peut-être, je ne pourrais jamais te rendre heureuse.

Tout à ces pensés, le jeune homme fut appelé par Sophie, la servante.

" André quelqu'un t'attends en bas.

- Qui est-ce?

- C'est mademoiselle Oscar, dépêche toi! "

Il se leva, elle était donc venue. Mais étais-ce pour lui dire de rester avec elle, ou plutôt pour lui enfoncer une nouvelle fois le couteau dans la plaie?
Il décida de ne montrer aucun sentiment à son égard, il resterait de marbre.

Quand il pénétra dans le salon, il vit la jeune femme, toujours vêtue de sa longue cape noire.

Elle n’a pas l’aire de vouloir s’éterniser.

Pensa-t-il tristement avant de prendre parole.

" Que me veux-tu Oscar ? "


[Quand dis-tu ? Et surtout que vas-tu lui faire à mon Dédé ???]

[Et vila....]

Oscar attendait, debout devant la fenêtre du salon, observant les jardins. En entendant quelqu’un pénétrer dans la pièce, elle se retourna doucement et baissa la capuche qui masquait son visage, faisant face à celui qui venait d’entrer. Elle entendit sa question et baissa doucement son visage, fermant les yeux. Ce qu’elle allait dire allait être très important et déciderait de leur avenir, à tout les deux. Durant son voyage, elle avait eut le temps d’y réfléchir, elle avait trouvé soigneusement les mots qui exprimeraient au mieux ses sentiments.

Elle ne bougea pas pendant un long moment avant de finalement commencer à parler.

Je ne te dérangerai pas longtemps André. Mais e devais te parler après ce que tu m’as fait. En une nuit, nous avons réussi à nous aimer et à nous briser…..J’ai réfléchis à cela, j’ensuis arrivée à la conclusion que peut-être, malgré la prière que j’avais formulée à l’église, Dieu ne me permettait pas d’avoir l’orgueil de prétendre à pouvoir de rendre heureux. J’ai donc préféré mourir plutôt que de te blesser à nouveau.

Cependant, d’après ce que j’ai compris tu m’en a empêché. Non content de faire cela tu m’as en plus jeté dans les bras d’un parfait inconnu pour te donner bonne conscience après m’avoir repoussée et t’être enfuit. Mais malgré tout je t’en remercie, car cela m’a permis de comprendre à quel point je venais d’agir avec lâcheté, je me trouvais des excuses pour laisser mes peurs me contrôler et ne pas avoir à les affronter comme j’aurais dû le faire. Mais après avoir lu ton message, j’ai pris une décision.

Elle ouvrit les yeux et releva la tête, fixant son regard au sien avec calme.

Tu m’as demandé ce que je te voulais André ? Je vais te répondre, je veux vivre avec l’homme que j’aime. Je suis prête à renoncer à mes titres, mon rang, mes grades et même à cesser de fuir au moindre problème si cela me permet de rester pour toujours auprès de lui et de devenir sa femme.

Elle marqua une pause, lui laissant le temps d’assimiler ses paroles avant de reprendre.

La décision te revient André, j’ai fais mon choix, à toi de faire le tien. Néanmoins je comprendrais qu’après cela tu refuse, dans ce cas je ne t’importunerais plus.

[Oh pas grand chose...un mariage c'est pas beaucoup!]

[intéressant en effet^^]

André sourit tendrement à la jeune femme, il savait qu'elle se rendrait compte de la stupidité de ces colères, même si elle se trompait sur les réelles intentions de ses actes.

" Oscar, je te l'ai déjà dis, je te l'ai même promis; je te chérirais, jusqu'à ce que la mort nous sépares.
Tu me dis seul maître de notre destin, mais perdes tout ce que tu as ne me rendra pas heureux. Le bonheur ne marche pas à sens unique Oscar, il doit être partagé. Si tu veux me rendre heureux, sois heureuse. Je ne veux pas que tu renonce à ce qui te tien à cœur pour moi, car crois le ou non, il n’y à que ton bonheur qui compte à mes yeux, et cela depuis toujours.
Tu veux une réponse Oscar ? Oui je t’aime, oui je veux plus que tout au monde être ton époux. "

Il ne l’avait pas quittée des yeux, et attendait une réponse, n’osant faire un geste.


[ Je ne savais pas quoi dire, je ne suis pas noon plus très fier de moi ^^.]

Oscar le regardait toujours.

Etre heureuse? Une seule et unique chose me rendra heureuse: être avec toi.
Mes titres, mon rang, jusqu'à mon destin de soldat, tout cela ne fait que s'opposer à notre bonheur. Je suis noble, tu es roturier, sans mon rang, nous devenons égaux. On me voit comme un homme, je redeviendrais alors femme. Mon bonheur est de ne plus avoir d'entraves pour pouvoir vivre auprès de celui que j'aime, à lui seul, il réuni mon corps, mon âme, mon coeur et ma vie. Tout ce dont j'ai besoin pour vivre en somme.

Oscar se tu, elle s'avança doucement et en silence, elle se mit face à lui et leva les yeux pour le regarder.

Cela te convient-il?

[Bah moi je trouve ça bien jol^^]

Il restait tout de même un point d'ombre pour le jeune homme.

"Mais, et ton père, ta famille? Grand-mère et les autres? Tu es sur de vouloir renoncer à eux ?"

Si ils m'aiment, si ils nous aiment vraiment ils prendront la bonne décision. Sinon temps pis, mon père me haïra. Cela ne sera pas la première fois.

Elle repensa à toutes les fois où il l'avait frappé. Oui, de toute façon, pour son père elle n'était qu'un jouet.

Il lui prit les mains en regardant le sol.

" Ils comprendront Oscar. Tu n'es pas un jouet pour ton père, je crois au contraire que tu es son enfant le plus précieux."

Il releva la tête et lui sourit doucement.

Elle serra doucement ses mains et sourit faiblement.

Tu vois...Même l'amour entre un enfant est son père n'est pas si simple chez les nobles...encor emoins vec une femme devenant un homme aux yeux de tous.....

André lui fit un baiser sur le front. Il la regarda intensément puis lui offrit un grand et magnifique sourire

"Allez viens! Tu dois avoir faim avec ta longue chevauchée! Et retires-moi cette horrible cape, tu dois avoir chaud!"

Elle voulu protester, surprise par cette soudaine gaîté, mais il la tira par la main jusqu’à la salle à manger.

Oscar fut surprise par ses paroles et son changement d'attitude.

Euh..André je ne sais pas si...

Elle retira cependant sa cape et le suivit jusqu'à la salle à manger.

Il la fit s'asseoir à une petite table ronde, là où ils avaient l'habitude de boire leurs chocolats.

"Attends moi là veux-tu, je vais nous concocter quelque chose!"

Quelques minutes plus tard il revint un vrai festin en main, et dit à la jeune femme en une révérence.

"Madame est servit!"

Oscar s'assit, se demandant s'il n'avait pas prit un coup sur la tête...

André tu es sur que ca va..

Oscar sourit en le voyant revenir.

Tu sais que je ne mange pas beaucoup!

Il souris et lui répondit tout naturellement.

"Tu ne croyais quand même pas que tu allais manger ça toute seule! Et puis, ce n'est pas tout les jour que l'on mange à l'italienne!"

Il posa l'unique assiette au milieux de la petite table, et enfonça sa fourchette dans... des pâtes à l'huile d’olive! [ je n’ai pas pus m'en empêcher.]

"Allez goûte tu vas voir, c'est super bon!"

[Allez, un petit remaque de la belle et le clochard ??? (on oublie la sauce bolognaise, à cette époque on utilisait pas encore la tomate pour les pâtes^^)]