Si le coeur vous en dit...

C'est une très jolie fic. Ce que j'ai le plus apprécier, est le faîtes qu'Oscar est atteint un âge "raisonnable". Toute les fics ou il y a eu un moment de tendresse entre Oscar et son père se passe lorsque celle-ci est encore enfant. (ça me donne une idée pour un défi )
J'ai apprécié le contact qu'il y a une entre le père et la fille. Une caresse, un baiser, pas de long discour, un simple mot "pardon"
On peut-être sur que tu n'as pas pris de pillule empoisonnées

Ta muse t'a inspiré un bien joli texte, assez inattendu. J'ai beaucoup apprécié son ancrage dans le quotidien et dans l'humanité, et ses multiples détails qui le rende très crédible. Comme Nicole, j'ai également apprécié le passage entre Oscar et son père, pudique, fait d'amour tu mais présent et sincère. Soudain le général prend la mesure du sacrifice qu'Oscar lui a consenti et elle se réfugit sans ses bras. C'est un texte très touchant. Merci à ta muse, même si elle est capricieuse

j'aime beacoup, pour une fois tout se concentrent sur la mère d'Oscar

Merci !

Nicole a écrit:

J'ai apprécié le contact qu'il y a une entre le père et la fille.

Je trouve intéressant le rapport fils-fille/père dans La Rose de Versailles. Il est intense, complexe, porteur d'ambiguïtés. Je n'ai sûrement pas fini de l'explorer. Ceci dit, a priori, malgré des rapports parfois difficiles et parfois de force, je ne doute pas d'un amour réciproque entre le Général de Jarjayes et Oscar.

Arlène a écrit:

J'ai également apprécié le passage entre Oscar et son père, pudique, fait d'amour tu mais présent et sincère.

Merci de cette analyse. Ils sont aussi incapables l'un que l'autre de se laisser aller à de grands débordements sentimentaux mais je voulais tout de même faire passer leur amour l'un pour l'autre.
Je suis heureuse d'y être parvenu.

C'est vraiment un texte sublime Mailys ^^

J'adore également qu'au début, tu insinues que Louise aurait perdu un fils au berceau ou à la naissance... Sa serait promis à de beaux dévellopement (ok ok je range mon esprit machiavélique lolllll)

Mais le fait qu'au début cela se passe dans une ambiance légère nous laisse la surprise de ce passage avec Oscar et son père, tout en douceur, sans mots, sans fla fla inutile... Seul quelques gestes qui disent beaucoup et un seul mot... Pardon... Qui veut tout dire ce que le général garde en lui...

Très beau texte je l'ai adoré Mailys bravo

Un grand merci, Marina !

Vu la mortalité infantile à cette époque, il m'a paru assez logique que Louise de Jarjayes ait perdu plusieurs enfants avant leurs deux ou trois ans. Alors pourquoi pas un petit garçon ? Je voulais, par cette remarque, souligner combien le général était attaché à Oscar. Une façon de préparer la seconde partie.

Le contraste entre les deux parties est bien entendu voulu et travaillé. Montrer la joie de la Comtesse de Jarjayes, c'était donner de la profondeur au désespoir d'Oscar.

J''ai beaucoup aimé ton histoire. Tu as montrer les gestes qui peuvent émouvoir une mère lors de cette journée même si ce sont de simples gestes mais qui ont toutes leur importance.

De plus, la relation entre le général et Oscar est ambigue mais quand il lui dit simplement "pardon", il lui dit tout en même à demi-mot. très touchant d'autant que l'on voit toujours le général comme un homme froid et intouchable aux émotions.

Merci, triste Fée.

Quand on est soi-même une maman, on sait bien que l'expression de l'amour d'un enfant passe par beaucoup de petits gestes, parfois anodins... et pas que le jour de la fête des mères ! Personnellement, j'apprécie beaucoup les quelques coutûmes familiales de ce jour-là : la brioche du matin, le bouquet de fleurs offert par mon mari, le dessin de l'aîné de mes fils qui me représente toujours... J'avoue y être très attachée.
C'est en les évoquant, et en songeant à ce qui me manquerait si je n'avais pas mes fils, que j'ai eu l'idée de cette fiction.

C'est vrai que l'amour se révèle davantage dans des petits gestes spontanés, des petits riens du quotidien que dans de grandes déclarations ou dans des gestes convenus. C'est pour ça que je n'aime pas la St Valentin ou la fête des mères ou la fête des grand-mères : c'est un peu, pour alors ce jour-là, au premier coup de siflet on aime untel et puis au dernier coup de sifflet quand le soir tombe on peut arrêter les frais .
J'ai utilisé une formulation volontairement radicale mais je pense que tu as compris ce que je voulais dire

Arlène a écrit:

C'est pour ça que je n'aime pas la St Valentin ou la fête des mères ou la fête des grand-mères : c'est un peu, pour alors ce jour-là, au premier coup de siflet on aime untel et puis au dernier coup de sifflet quand le soir tombe on peut arrêter les frais.

Je comprends ce que tu veux dire.

Depuis que je suis enfant, je souhaite la fête des mères qui est pour moi juste une occasion encore plus particulière de dire mon amour à la mienne, et de la remercier d'avoir été et d'être toujours présente. Même chose pour mon mari qui a spontanément instauré cette coutûme dans notre famille.

Par contre je n'ai jamais fêté la "fête des grands-mères". Je ne savais même pas qu'elle existait ! C'est le jour de leur anniversaire que nous fêtons nos grands-mères et grands-pères.
Pas de Saint-Valentin, non plus : nous trouvons cette fête trop commerciale et préférons célébrer le jour où mon mari m'a demandée en mariage, une fête plus privée et, surtout, beaucoup plus chargée de signification pour nous !

Voilà une fic extrêmement bien écrite, pleine d'émotions, qui m' énormément touchée (alors qu'il n'y avait même pas André dedans dis donc!!! :joker: )
J'aime beaucoup ton écriture et ton sens du verbe "d'époque", tout comme ta description du tableau familial, estampillé pur XVIIIème siècle. Je le voyais vraiment bien.

Je crois que tu as écrit d'autres fics. Je vais aller faire un petit tour...

Je suis très touchée de ton commentaire, Hermès. J'essaye en effet d'adopter un ton un peu XVIIIème, c'est l'un des défis intéressants de l'écriture de ces fictions.

J'espère que les autres fictions ne te décevront pas trop. Elles sont assez inégales pour tout dire.

Me décevoir? Non, ton écriture reflète trop l'atmosphère du DA pour cela. Maintenant, tout est une question de thème. Il y a des autrices qui écrivent vraiment bien, mais qui abordent des thèmes qui ne me parlent pas du tout. L'homosexualité supposée d'Oscar, par exemple, le couple Oscar/Fersen ou bien les sujets "dark". Les fics "ultra-classiques" (André-aime-Oscar-qui-ne-le-sait-pas-mais-elle-s'aperçoit-finalement-qu'elle-l'aime-aussi-etc.) remportent mes suffrages (si ça ne verse pas trop dans le culcul. Faut la juste dose! ), mais d'autres me plaisent aussi (la preuve! ).
Voilà. Au fait, en relisant mon post, j'ai relevé une erreur monumentale. Je parlais évidemment du tableau estampillé pur XVIIIème siècle, et non XVIIème...

Il est vrai que je "colle" assez au manga. Je n'ai pas l'audace exploratoire de certains auteurs. Pas encore du moins. Peut-être qu'un jour j'aurais envie de m'éloigner davantage du schéma de base. Je ne sais pas.
Quant au XVIIème, j'avais lu XVIIIème, figure-toi ! Mystère du cerveau...

Outch.

Je ne sais pas que dire, Maïlys, à part que cette fic, j'aurai aimé l'écrire moi même. Qu'elle est belle ! Elle est tout en finesse, tout en retenue. Les personnages de LO sont respectés, sublimés même par tes mots qui les dévoilent sans les dénaturer.
J'aime la tendresse de cette fic, tu nous montres un aspect du général bien trop souvent oublié, et qui sous ta plume est très émouvant. Ce père, aussi dur fut il, a passionnément aimé sa fille. Il porte sans doute le poids de ses erreurs, tout autant qu'elle, et cette culpabilité n'est pas sans le ronger ...

En bref, et parce que je ne saurais te dire combien cette fic a amené un sourire dans mes yeux, je te dirai tout bonnement qu'elle est superbe.

Merci, Silène. Je suis d'autant plus touchée que j'aime beaucoup ton style et la finesse que tu mets toi-même dans tes écrits.

Pourquoi faut-il que les journées n'aient que vingt-quatre heures ! J'aimerais avoir plus de temps pour lire et commenter. Et je recommence à avoir envie d'écrire ! (Je viens de subir un beau blocage de plusieurs mois.)

comme l occasion me le permet je commenterai donc ta fic Mailys ou à l époque ou je l avais lu m avait très ému (tu l as postée ailleurs non?)en tout cas je l ai relue et les sentiments éprouvées en la lisant sont d autant plus fort.
Comme Silène j aime ta façon d écrire, de montrer des moments d intimité dans une pudeur sans égale.
ces sentiments que tu montres si bien nous font monter les larmes aux yeux en imaginant ce que ressent Oscar.
J aime aussi cette façon que tu as de montrer un père autoritaire mais qui s inquiète de son enfant et qui sait les choses dont il a privé sa fille.

je n ai qu un mot: superbe!

A part la première, Le Secret d'Oscar, qui a aussi été publiée sur le site d'Elbereth, toutes mes fictions ont été créées pour le forum et y sont publiées exclusivement.

Je suis ravie que cette courte nouvelle t'ait plu, Amber Queen.
Je trouve le général de Jarjayes au moins aussi complexe qu'Oscar, sous des dehors carrés. Les relations père-fille me paraissent pouvoir donner lieu à pas mal de fictions. J'avoue être étonnée que ce filon n'ait pas été plus exploité. Mais il est sans doute moins porteur que d'autres.
En l'occurrence, c'est vraiment le sujet du concours de Lona qui m'a inspirée... largement trop tard pour y participer mais quelle importance !

Je l'ai relue pour le plaisir... Merci encore!

Hermès, tu as pris le temps de relire cette fiction alors qu'il y a tant de merveilles à lire actuellement sur le forum ?
Là, je me sens vraiment très flattée !

Tu sais Maïlys, que par les commentaires que tu sèmes un peu partout, j'ai pensé que tu avais une très belle plume. Ton texte Pardon confirme mon hypothèse.

Tu parsèmes ton texte de détails qui font que l'on visualise très bien le décor (par exemple, le portrait) et tu formules le tout de façon fluide.

Ce fut donc un réel délice de lire cette histoire qui met plus particulièrement en scène Louise de Jarjayes (fic pour la fête des mères, alors ce choix est tout à fait approprié, j'imagine ).

Mais j'ai beaucoup aimé le Général que tu as dépeint: un père qui se rend compte des privations que doit souffrir Oscar; un père qui brise, le temps d'un instant, son masque austère, pour baiser le front de son enfant; un père qui quémande le pardon de sa fille.

Très beau texte !

J'apprécie d'autant plus tes compliments sur mon style, Zalzal, que j'aime particulièrement le tien.

Que les textes que j'écris soient "visuels" ne m'étonne pas. Je visualise réellement les scènes dans ma tête avant de les rédiger. Ce qui a pour corollaire, et inconvénient !, de les rendre parfois trop descriptive et de les alourdir. Un écueil plus facile à éviter dans une nouvelle que dans un roman.

Quand Lona a proposé un sujet de concours autour de la fête des mères, je ne me suis pas senti inspirée. Ce n'est qu'en vivant cette journée avec mon mari et mes fils que m'est soudain venue à l'esprit cette idée de la mutilation que subit Oscar dans sa vie de femme, mutilation imposée par un père qui n'avait jamais envisagé cet aspect des choses. Cette fiction est partie de là.
Quant au général, il me paraît plus intéressant d'en faire un personnage complexe, enfermé, lui aussi, dans un carcan, et capable de profondeurs et de tendresses insoupçonnées.

Comme je l'ai écris à Silène en commentant son nouveau fanart, à partir de la semaine prochaine, j'aurais enfin plus de temps pour reprendre lecture et commentaire des fictions. J'ai vu que tu avais terminé Cycle et j'ai hâte de découvrir qui est l'homme de la quatrième saison.

Maïlys a écrit:

Citation :

Que les textes que j'écris soient "visuels" ne m'étonne pas. Je visualise réellement les scènes dans ma tête avant de les rédiger. Ce qui a pour corollaire, et inconvénient !, de les rendre parfois trop descriptive et de les alourdir.

Oh que je te comprends sur ce dernier point ! C'est toujours ma crainte. Je veux décortiquer un sentiment, mettre en scène un décor, décrire un regard (ça, c'est mon dada)...mais j'ai toujours peur que, plutôt que d'enrichir mon texte, cela l'affadisse et que le lecteur perde tout intérêt à poursuivre sa lecture

Maïlys a écrit:

Citation :

Quant au général, il me paraît plus intéressant d'en faire un personnage complexe, enfermé, lui aussi, dans un carcan, et capable de profondeurs et de tendresses insoupçonnées.

C'est effectivement les paradoxes constituant ce personnage qui le rendent très riche et tu as su, dans cette vignette, les exploiter. Chapeau !

P.S. Bah pour la quatrième saison de Cycles, j'ai choisi de traiter à mon tour d'un homme...méconnu disons. Je te réserve la surprise (mais croise mes doigts pour que tu aimes ).

Le week end va être assez pris avec le départ en vacances de mes trois lascars mais, à partir de lundi, je bénéficie d'une semaine de liberté. J'ai accumulé les heures de travail supplémentaire quand mon mari était à l'étranger et pas trop mal négocié (pour une fois) mon temps de récupération.

Et je vais pouvoir plonger avec délices dans toutes les fictions que j'ai délaissées depuis presque deux semaines !

*regard calculateur*


Mais heu .... Tu vas peut être même trouver du temps pour écrire, non ?

J'ai l'impression, ma chère Silène, qui tu as envie de faire reprendre le chemin de leur clavier à toutes les ficwrtieuses T'as raison, ça marche parfois

Silène a écrit:

Tu vas peut être même trouver du temps pour écrire, non ?

Disons que le long blocage que j'ai subi est enfin terminé. J'ai relu la fiction que j'avais commencée, mes diverses notes et les idées se bousculent à nouveau.
Mais je voudrais donner la priorité à la lecture de quelques fanfictions avant de me remettre vraiment à l'écriture.

De toutes manières, je ne livre une fiction qu'une fois terminée et cela peut prendre du temps (je suis une maniaque de la relecture). Alors je ne pense pas que vous voyez un nouveau texte dans l'immédiat. A la rentrée, peut-être...

Et merci de cette remarque, Silène. Il est encourageant de se sentir soutenue par un lectorat indulgent et conquis d'avance.

 me gusto mucho esta historia eres increible tienes mucho talento

Je suis très sensible à ce thème. Le texte est magnifique, on sent bien les émotions. 
Le final est bouleversant. Et j'ajoute que ce n'est pas le genre de thème que l'on retrouve souvent dans les fanfictions qui concernent Oscar. Je ne l'avais même jamais envisagé à vrai dire.
Cela pourrait faire l'objet d'un beau défi !

Ce moment entre le père et la fille - le fils, est beau.