Voilà, j'ouvre la section commentaires pour ma participation au concours de l'été 2019, si le cœur vous en dit ! La fameuse fic au titre pourri^^
Encore un grand merci à toutes celles qui m'ont fait l'honneur de voter pour moi !

O rage ô désespoir, ô mojito ennemi

J'aurais presque pu rajouter ça !

Félicitations!

On peut continuer en disant que ton titre est inspiré du Cid(re), non  ?

Ah je ne suis pas d'accord j'ai beaucoup aimé le titre moi! C'est d'ailleurs ce qui a fait que j'ai lu la tienne en premier et coup de cœur direct

Je file chercher ma blondinette à l'école pour l'amener à sa première séance d'escrime et je reviens plus en détail

Mais juste BRAVO !!! Score et résultat amplement mérité !!

Texte magnifique et bouleversant qui restera dans les annales...encore une fois

Une tente, un anniversaire, un jeu et surtout un orage pour qu'Oscar mette un nom sur ses sentiments. Sur qu'André ne devait pas s'attendre à cette surprise. J'ai aimé l'intervention d'Alain c'est un peu grâce à lui, que tout s'enclenche. Lassalle et son air légèrement benêt, ça lui va bien. J'ai adoré la déclaration d'Oscar, ces " je t'aime" d'André et cette scène dans la cuisine.... Très belle fic.

 
 

Ce texte est mon coup de cœur absolu de ce concours. J'en ai aimé la grâce, la douceur et la sensualité. 
Bien sûr, je me suis beaucoup amusée avec le passage sur le sucre dans le pop-corn et sur le mojito, mais très vite tout cela s'est estompé avec la révélation d'André de la journée qu'il souhaiterait changer dans sa vie. Il aurait pu choisir le soir au le Masque Noir lui a entamé l'oeil, mais non, il choisit celui de rouge ou blanche, une rose reste une rose. Il la fait passer elle avant tout. C'est touchant et superbe à la fois. 
Puis vient la scène de la cuisine où la grâce monte d'un cran (j'ai dit la "grâce", pas autre chose  ). Le moment où il lui essuie les cheveux est si beau, tout en douceur et en prévenance. Elle s'y oublie. Jusqu'au moment où il s'aperçoit que sa chemise est mouillée et lui dévoile la poitrine d'Oscar. A son trouble, elle s'en aperçoit aussi, et n'en éprouve pas la gêne ou le malaise que l'on pourrait attendre. Un peu comme si l'orage avant ouvert une parenthèse entre eux. 
Mais il ne fallait pas que ce soit trop simple non plus. Donc le charme se rompt, Oscar part dans sa chambre. Mais, ô miracle, la fenêtre s'ouvre et casse un vase (décidément, j'adore le vent !!). André entend le bruit, s'inquiète d'Oscar et ... c'est la nuit des révélations. On a un lemon subtile, doux, tendre, romantique à souhait, respectueux, passionné. J'ai adoré les voir comme ça. 
Et puis le réveil, le premier matin, l'estomac qui gargouille, la chemise que l'on promet d'enlever. Retour dans la cuisine, la confiture de Grand-Mère, le gâteau que Rosalie fait tomber. Leur relation qui devient évidente pour tous et la chemise qui, comme promis, tombe, tout en laissant au lecteur le soin d'imaginer la suite autant dans la chambre que parmi les autres protagonistes qui ne vont pas manquer de sujets de conversation. 
Il y a dans tout ce texte une magie, une grâce qui prend au cœur, guide tout au long du texte et fait regretter qu'il s'arrête. Je l'ai vraiment trouvé magnifique. Un grand merci pour ce moment de bonheur 

Marina Grandier-Jarjayes a écrit:

Félicitations!

Merci beaucoup !

Lady Victoire a écrit:

On peut continuer en disant que ton titre est inspiré du Cid(re), non  ?

Décidément tu es très en forme aujourd'hui !

Loufiction a écrit:

Ah je ne suis pas d'accord j'ai beaucoup aimé le titre moi! C'est d'ailleurs ce qui a fait que j'ai lu la tienne en premier et coup de cœur direct

Je file chercher ma blondinette à l'école pour l'amener à sa première séance d'escrime et je reviens plus en détail

Mais juste BRAVO !!! Score et résultat amplement mérité !!

Merci de ton indulgence envers mon titre !
J'ai hâte de lire ton avis, mais en tout cas merci beaucoup !

Selen a écrit:

Texte magnifique et bouleversant qui restera dans les annales...encore une fois

C'est très gentil, merci à toi !

cath a écrit:

Une tente, un anniversaire, un jeu et surtout un orage pour qu'Oscar mette un nom sur ses sentiments. Sur qu'André ne devait pas s'attendre à cette surprise. J'ai aimé l'intervention d'Alain c'est un peu grâce à lui, que tout s'enclenche. Lassalle et son air légèrement benêt, ça lui va bien. J'ai adoré la déclaration d'Oscar, ces " je t'aime" d'André et cette scène dans la cuisine.... Très belle fic.

Oui heureusement qu'Alain est là !
La scène dans la cuisine, j'ai failli ne pas la mettre, j'ai bien fait du coup ! 
Merci beaucoup pour ton commentaire !

jarjayes80 a écrit:

A l’orage n’a pas que du mauvais, il a permis à Oscar de trouver la force d’avouer enfin ses sentiments à André. Alain et Lassale l’ont bien aidé grâce au jeu de la bouteille.

 

J’ai adoré la scène de la cuisine avec Rosalie qui fait tomber le gâteau puis GM qui surgit, Alain et Lassale. Une vraie mise en scène. En plus j’ai eu le droit à un lemon, je suis aux anges. Tu m'as bluffé car il était vraiment top.

 

J’adore le prénom de Lassale, tu l’as gâté  Anastase quand même le pauvre mais il fallait bien ça pour comprendre pourquoi tout le monde l’appelait par son nom.

  Sabrina tu as bien mérité ta victoire.

Merci Jarjayes !
En particulier ton compliment sur mon lemon, venant de toi, ça fait encore plus plaisir, il faut croire que je m'améliore !^^
Et oui le prénom de Lassalle, je me suis lâchée !
En fait ça me faisait bizarre que les autres s'appellent tous par leur prénom sauf lui, je me suis donc demandé quelle pouvait en être la raison, et je me suis dit que ça pourrait être sympa de lui inventer un prénom improbable ^^
Ravie que tu aies aimé en tout cas !

Lénie a écrit:

Ce texte est mon coup de cœur absolu de ce concours. J'en ai aimé la grâce, la douceur et la sensualité. 
Bien sûr, je me suis beaucoup amusée avec le passage sur le sucre dans le pop-corn et sur le mojito, mais très vite tout cela s'est estompé avec la révélation d'André de la journée qu'il souhaiterait changer dans sa vie. Il aurait pu choisir le soir au le Masque Noir lui a entamé l'oeil, mais non, il choisit celui de rouge ou blanche, une rose reste une rose. Il la fait passer elle avant tout. C'est touchant et superbe à la fois. 
Puis vient la scène de la cuisine où la grâce monte d'un cran (j'ai dit la "grâce", pas autre chose  ). Le moment où il lui essuie les cheveux est si beau, tout en douceur et en prévenance. Elle s'y oublie. Jusqu'au moment où il s'aperçoit que sa chemise est mouillée et lui dévoile la poitrine d'Oscar. A son trouble, elle s'en aperçoit aussi, et n'en éprouve pas la gêne ou le malaise que l'on pourrait attendre. Un peu comme si l'orage avant ouvert une parenthèse entre eux. 
Mais il ne fallait pas que ce soit trop simple non plus. Donc le charme se rompt, Oscar part dans sa chambre. Mais, ô miracle, la fenêtre s'ouvre et casse un vase (décidément, j'adore le vent !!). André entend le bruit, s'inquiète d'Oscar et ... c'est la nuit des révélations. On a un lemon subtile, doux, tendre, romantique à souhait, respectueux, passionné. J'ai adoré les voir comme ça. 
Et puis le réveil, le premier matin, l'estomac qui gargouille, la chemise que l'on promet d'enlever. Retour dans la cuisine, la confiture de Grand-Mère, le gâteau que Rosalie fait tomber. Leur relation qui devient évidente pour tous et la chemise qui, comme promis, tombe, tout en laissant au lecteur le soin d'imaginer la suite autant dans la chambre que parmi les autres protagonistes qui ne vont pas manquer de sujets de conversation. 
Il y a dans tout ce texte une magie, une grâce qui prend au cœur, guide tout au long du texte et fait regretter qu'il s'arrête. Je l'ai vraiment trouvé magnifique. Un grand merci pour ce moment de bonheur 

Un immense merci pour ces compliments sur mon écriture, surtout venant de toi dont j'admire tellement le style !
Je suis ravie que mon texte t'ai touchée, je ne suis pas sûre de mériter tout ça, mais ça fait extrêmement plaisir.
Oui, j'ai voulu cet orage comme une parenthèse, un moment hors du temps où tombent les masques, et au fil de l'écriture, ça m'a semblé "naturel" que ça finisse en lemon, l'ambiance s'y prêtait bien, et pour une fois, je n'ai pas eu de mal à écrire cette scène, j'ai pris ça comme un signe. ^^
Encore mille mercis à toi !

Sabrina a écrit:

Lady Victoire a écrit:

On peut continuer en disant que ton titre est inspiré du Cid(re), non  ?

Décidément tu es très en forme aujourd'hui !

A défaut de commenter le lemon (je ne sais pas plus les commenter que les écrire, décidément), je commente le titre  J'ai apprécié la douceur du texte, la manière dont les sentiments se révèlent et l'idée de cette parenthèse hors du temps. Merci pour cette jolie histoire

Je m'y attèle enfin Et j'en profite, petit bonbon sucré du soir, je me la relis et je commente en même temps

Rah cet Alain, quel poil à gratter ! Malheureusement pour lui, Oscar le connait et sait le maîtriser

Pauvre Lassalle qui en fait les frais, on comprend son hésitation sachant que c'est Alain aux commandes :p  Anastase ha ha première rigolade de l'histoire :p Et Oscar, pas dupe pour un sou qui lui fait remarquer.

On s'amuse on s'amuse, gentiment, jusqu'au moment où CLAC le monde s'arrête de tourner pour deux personnes et les autres n'y comprennent rien. Et forcément je fais le parallèle avec mon histoire car j'ai utilisé plus ou moins le même moment avec une question très similaire. Dingue, des fois c'est juste fou de voir ces similitudes. Si j'avais le moindre doute sur l'auteur de cette histoire avant d'en arriver à ce point de lecture (ce qui n'était pas vraiment le cas), ça m'a définitivement confirmé que c'était toi :p
J'ai trouvé très intéressant que tu mettes en avant les sens, le touché, l’ouïe, c'était vraiment chouette de parler de la scène comme ça.

Tiens donc, Alain qui se promet de découvrir la vérité :p Ah ah :p on ne le refera pas celui-là

Et là, deuxième arrêt sur image, en posant ce qu'il pensait être une question innocente, Lassalle achève Oscar, elle était déjà déstabilisée par le flashback suscité par la question d'Alain et la réponse d'André, et là, c'est le drame, elle fuit! Alors qu'au final, la question était vraiment innocente, c'est elle qui en a fait une montagne, car finalement ça a titillé son vilain petit secret : elle est amoureuseuh!

Et le grand final : l'orage

Et notre pauvre André qui pour l'instant à tout faux. Meuh nan ce n'est pas à Fersen qu'elle pense, du tout du tout du tout!

Une fois dans la cuisine, l'opposition que tu nous donnes entre le temps qui se déchaine et le calme olympien d'André est saisissante.

Et comme souvent avec ces deux là, les mots sont superflus, ils communiquent d'un regard, se connaissant depuis toujours, ils maîtrisent cette forme de communication.
Et finalement, André retrouve son Oscar, celle de toujours, celle d'avant. J'aime beaucoup cette interprétation de l'orage que tu fais. Ça tombe sous le sens en te lisant.

Et l'on passe à l'arrêt sur image d'André. Et en ce moment suspendu, il est incapable de ne pas laisser la nature faire son œuvre parce qu'il était écrit que cette femme était faite pour cet homme.

Et elle réagit enfin, retour sur Terre. Et fuite en avant à la faveur du tonnerre.

Notre pauvre André terrassé par la honte et la colère contre lui-même. Il pense avoir tout perdu. Mais l'orage n'a pas dit son dernier mot, il les aura ces deux là! On dirait au final qu'il cherche à les rapprocher depuis toujours.

Et là, on dirait que l'éclair touche André, elle se jette sur lui!

Mais sa foudre à lui veut lui faire entendre et reprendre raison. Ce fou de la raison qui ne comprend pas, sûrement parce que c'est trop beau, trop soudain, trop fou, trop impulsif et tellement Oscar finalement!

Et enfin, il les entend ces trois mots qu'il a attendus toute sa vie. Et les vannes sont ouvertes Ils sont libres et s'aiment.

Et cet aveu qu'il lui fait, ce vœu secret annuel, c'est tellement lui.

Ah l'estomac traitre et fourbe! Il fout tout en l'air :p

Et après le tomber de culottes de Marina, tu nous invites au tomber de chemises

C'est beau de les voir si heureux

Ah le plaisir des confitures de Grand-Mère couplé au premier matin amoureux

Et voici que l'innocente Rosalie arrive d'un côté et que notre poil à gratter national se pointe de l'autre, accompagné :p

Et Oscar assume

Vraiment j'ai adoré cette histoire, c'était rondement mené, subtilement écrit, bravo !!!

Lady Victoire a écrit:

Sabrina a écrit:

Lady Victoire a écrit:

On peut continuer en disant que ton titre est inspiré du Cid(re), non  ?

Décidément tu es très en forme aujourd'hui !

A défaut de commenter le lemon (je ne sais pas plus les commenter que les écrire, décidément), je commente le titre  J'ai apprécié la douceur du texte, la manière dont les sentiments se révèlent et l'idée de cette parenthèse hors du temps. Merci pour cette jolie histoire

Merci beaucoup à toi pour ton commentaire !

Loufiction a écrit:

Je m'y attèle enfin Et j'en profite, petit bonbon sucré du soir, je me la relis et je commente en même temps

Rah cet Alain, quel poil à gratter ! Malheureusement pour lui, Oscar le connait et sait le maîtriser

Pauvre Lassalle qui en fait les frais, on comprend son hésitation sachant que c'est Alain aux commandes :p  Anastase ha ha première rigolade de l'histoire :p Et Oscar, pas dupe pour un sou qui lui fait remarquer.

On s'amuse on s'amuse, gentiment, jusqu'au moment où CLAC le monde s'arrête de tourner pour deux personnes et les autres n'y comprennent rien. Et forcément je fais le parallèle avec mon histoire car j'ai utilisé plus ou moins le même moment avec une question très similaire. Dingue, des fois c'est juste fou de voir ces similitudes. Si j'avais le moindre doute sur l'auteur de cette histoire avant d'en arriver à ce point de lecture (ce qui n'était pas vraiment le cas), ça m'a définitivement confirmé que c'était toi :p
J'ai trouvé très intéressant que tu mettes en avant les sens, le touché, l’ouïe, c'était vraiment chouette de parler de la scène comme ça.

Tiens donc, Alain qui se promet de découvrir la vérité :p Ah ah :p on ne le refera pas celui-là

Et là, deuxième arrêt sur image, en posant ce qu'il pensait être une question innocente, Lassalle achève Oscar, elle était déjà déstabilisée par le flashback suscité par la question d'Alain et la réponse d'André, et là, c'est le drame, elle fuit! Alors qu'au final, la question était vraiment innocente, c'est elle qui en a fait une montagne, car finalement ça a titillé son vilain petit secret : elle est amoureuseuh!

Et le grand final : l'orage

Et notre pauvre André qui pour l'instant à tout faux. Meuh nan ce n'est pas à Fersen qu'elle pense, du tout du tout du tout!

Une fois dans la cuisine, l'opposition que tu nous donnes entre le temps qui se déchaine et le calme olympien d'André est saisissante.

Et comme souvent avec ces deux là, les mots sont superflus, ils communiquent d'un regard, se connaissant depuis toujours, ils maîtrisent cette forme de communication.
Et finalement, André retrouve son Oscar, celle de toujours, celle d'avant. J'aime beaucoup cette interprétation de l'orage que tu fais. Ça tombe sous le sens en te lisant.

Et l'on passe à l'arrêt sur image d'André. Et en ce moment suspendu, il est incapable de ne pas laisser la nature faire son œuvre parce qu'il était écrit que cette femme était faite pour cet homme.

Et elle réagit enfin, retour sur Terre. Et fuite en avant à la faveur du tonnerre.

Notre pauvre André terrassé par la honte et la colère contre lui-même. Il pense avoir tout perdu. Mais l'orage n'a pas dit son dernier mot, il les aura ces deux là! On dirait au final qu'il cherche à les rapprocher depuis toujours.

Et là, on dirait que l'éclair touche André, elle se jette sur lui!

Mais sa foudre à lui veut lui faire entendre et reprendre raison. Ce fou de la raison qui ne comprend pas, sûrement parce que c'est trop beau, trop soudain, trop fou, trop impulsif et tellement Oscar finalement!

Et enfin, il les entend ces trois mots qu'il a attendus toute sa vie. Et les vannes sont ouvertes Ils sont libres et s'aiment.

Et cet aveu qu'il lui fait, ce vœu secret annuel, c'est tellement lui.

Ah l'estomac traitre et fourbe! Il fout tout en l'air :p

Et après le tomber de culottes de Marina, tu nous invites au tomber de chemises

C'est beau de les voir si heureux

Ah le plaisir des confitures de Grand-Mère couplé au premier matin amoureux

Et voici que l'innocente Rosalie arrive d'un côté et que notre poil à gratter national se pointe de l'autre, accompagné :p

Et Oscar assume

Vraiment j'ai adoré cette histoire, c'était rondement mené, subtilement écrit, bravo !!!

Quel commentaire ! Je crois que c'est le plus long qu'on m'ait laisse, merci !

Alain le poil à gratter :mdrmor:j'adore l'image, c'est vraiment bien trouvé !
En effet, il y a quand même des similitudes plutôt troublantes entre nos deux histoires, je me suis bien amusée à les relever  Les grands esprits se rencontrent, dit-on ! 
C'est décidément très facile d'utiliser Alain pour permettre à nos deux héros de se bouger un peu, il amène toujours du Pep's à l'histoire.
Ça fait un bout de temps que je voulais écrire une histoire qui se rapporte à l'orage, et comme c'était un mot imposé, j'en ai profité. Contente que ça ne fasse pas trop cliché comme j'avais un peu peur...

Oui le tombé de chemises !  heureusement, elles sont tombées plus vite que les culottes chez Marina !

Encore merci à toi, je suis vraiment contente que tu aies aimé, même si, je le redis, après avoir lu ta fic, j'ai trouvé plein de petits défauts en plus à la mienne ^^

Merci Aurore pour ton commentaire !
J'avoue que je me suis bien amusée avec les petits détails style le prénom de Lassalle ou le ventre d'André
J'ai hésité pour la fin avec Rosalie qui les surprend et Grand mère qui débarque, à la base je voulais arrêter l'histoire avant, je crois que j'ai bien fait de continuer !

Sabrina a écrit:

Lénie a écrit:

Ce texte est mon coup de cœur absolu de ce concours. J'en ai aimé la grâce, la douceur et la sensualité. 
Bien sûr, je me suis beaucoup amusée avec le passage sur le sucre dans le pop-corn et sur le mojito, mais très vite tout cela s'est estompé avec la révélation d'André de la journée qu'il souhaiterait changer dans sa vie. Il aurait pu choisir le soir au le Masque Noir lui a entamé l'oeil, mais non, il choisit celui de rouge ou blanche, une rose reste une rose. Il la fait passer elle avant tout. C'est touchant et superbe à la fois. 
Puis vient la scène de la cuisine où la grâce monte d'un cran (j'ai dit la "grâce", pas autre chose  ). Le moment où il lui essuie les cheveux est si beau, tout en douceur et en prévenance. Elle s'y oublie. Jusqu'au moment où il s'aperçoit que sa chemise est mouillée et lui dévoile la poitrine d'Oscar. A son trouble, elle s'en aperçoit aussi, et n'en éprouve pas la gêne ou le malaise que l'on pourrait attendre. Un peu comme si l'orage avant ouvert une parenthèse entre eux. 
Mais il ne fallait pas que ce soit trop simple non plus. Donc le charme se rompt, Oscar part dans sa chambre. Mais, ô miracle, la fenêtre s'ouvre et casse un vase (décidément, j'adore le vent !!). André entend le bruit, s'inquiète d'Oscar et ... c'est la nuit des révélations. On a un lemon subtile, doux, tendre, romantique à souhait, respectueux, passionné. J'ai adoré les voir comme ça. 
Et puis le réveil, le premier matin, l'estomac qui gargouille, la chemise que l'on promet d'enlever. Retour dans la cuisine, la confiture de Grand-Mère, le gâteau que Rosalie fait tomber. Leur relation qui devient évidente pour tous et la chemise qui, comme promis, tombe, tout en laissant au lecteur le soin d'imaginer la suite autant dans la chambre que parmi les autres protagonistes qui ne vont pas manquer de sujets de conversation. 
Il y a dans tout ce texte une magie, une grâce qui prend au cœur, guide tout au long du texte et fait regretter qu'il s'arrête. Je l'ai vraiment trouvé magnifique. Un grand merci pour ce moment de bonheur 

Un immense merci pour ces compliments sur mon écriture, surtout venant de toi dont j'admire tellement le style !
Je suis ravie que mon texte t'ai touchée, je ne suis pas sûre de mériter tout ça, mais ça fait extrêmement plaisir.
Oui, j'ai voulu cet orage comme une parenthèse, un moment hors du temps où tombent les masques, et au fil de l'écriture, ça m'a semblé "naturel" que ça finisse en lemon, l'ambiance s'y prêtait bien, et pour une fois, je n'ai pas eu de mal à écrire cette scène, j'ai pris ça comme un signe. ^^
Encore mille mercis à toi !

Je suis touchée de ce que tu me dis sur mon style. Dès que la scène dans la cuisine a commencé, je me suis dit que j'aurais aimé l'avoir écrite

Merci ça me fait d'autant plus plaisir !
Quand je lis tes histoires, je trouves toujours que tu arrives à leur donner une ambiance particulière, qui fait qu'on rentre tout de suite dedans. Les mots que tu utilises,v très tournures de phrases, sont très belles sans être lourdes, ça "parle" tout de suite au lecteur je trouve. C'est ce qui rend ton style tellement unique !

Merci