Maïlys a écrit:

J'aurais préféré que Saint-Just poignarde un vrai méchant, genre le Duc de Saint-Germain. .

Il s'appelait Germain ou Saint-Germain ?

Celui sur Jeanne m'a trasnportée. Les mots justes sur une situation qui ne l'est pas...

Innocence injustement fauchée par l'absurdité de combats fratricides.

Petrina a écrit:

Maïlys a écrit:

J'aurais préféré que Saint-Just poignarde un vrai méchant, genre le Duc de Saint-Germain. .

Il s'appelait Germain ou Saint-Germain ?

Après vérification, Germain, tu as raison, Petrina : Germain dans l'animé et Guéménée dans le manga.
Je devais penser au château quand j'ai écrit.

Merci de vos coms: ils me touchent beaucoup ...

J'ai encore un quasi-inconnu à évoquer, et puis les "très grosses pointures" vont arriver (nota: je n'écrirai rien sur MA et Fersen: trop de poètes autrement plus renommés et meilleurs que moi s'en sont déjà et souvent autrement mieux chargés que je ne le pourrais)...

Une autre demain si j'ai l'inspiration...

Une autre dispo (et je me suis trompé: il y en aura encore une avant les "cracks" ...) .. (la musique est cette fois-ci plus un complément qu'une inspiration directe [ou alors par défaut])

Citation :

Mais t'avait condamné à haïr sans retour
Quasiment sans colère et toujours sans amour...

j'aime beaucoup la sonorité de cette phrase... elle est vraiment trés chouette!

pour l'ode, je me répète et je manque de style dans le compliment: mais BRAVO!

Belle épitaphe pour "l'homme à la cicatrice"...

Mais t'avait condamné à haïr sans retour
Quasiment sans colère et toujours sans amour...

Un personnage qui respire trop la brutalité à l'état pur pour être sympathique, contrairement à bien d'autres Gardes-françaises, le parfait homme de mains...

Une autre disponible !




Des aspects vous paraissent surprenants? Trop "réalistes"? Je serais heureux d'y répondre...

La charge désespérée et sublime de Lasalle...
Un Garde-française dont on sait finalement fort peu de choses, même si on le repère assez vite. J'aime que tu lui inventes un fils, aussi intrépide et courageux que son père ; j'aime que l'idée de leurs compagnons d'armes soient présente dans leurs actes fous.

J'apprécie de plus en plus cette série de poèmes qui a mis en valeur plus d'un obscur personnage de l'animé.

Maïlys, déja merci pour ton com , et ensuite pour le fils... Je me suis référé à mes livres d'histoire (je mange de l'Empire jusqu'à plus soif ces derniers temps [et je ne suis pas rassasié... ]) et je me suis rendu compte qu'un certain Lasalle faisait partie des divisions qui ont chargé à Essling pour préserver ce qui pouvait l'être en 1809 en tant que capitaine (bataille tragique où Lannes a trouvé la mort): que me fallait-il de plus pour me souvenir de ce personnage et pour imaginer son fils à Lobau se souvenant de lui avant Wagram?..

Le parallèle entre leurs attitudes était en tous cas très tentant, et cet écho de l'Histoire me convient tout à fait.

bel hommage a lazarre

"Lazarre"... c'est délibéré Krapo (le prénom du personnage peut-être). Et merci ! Je continue ces odes mais maintenant il faut VRAIMENT que je sois inspiré: les trois derniers le méritent particulièrement selon moi ...

Une autre ode ...



(j'avoue que pour la fin je me suis inspiré en grande partie du destin de l'auteur de cette chanson fabuleuse...)

L'ode à André est superbe et fort émouvante.

"Et qui te tourmentait, et qui était ta paix."
J'ai particulièrement goûté ce vers, très racinien (j'ai une passion pour Racine).

J'ai apprécié l'évocation de l'amour d'André, de son ouverture aux idées nouvelles ; celle du soir où Oscar le gifle et où l'homme et l'amoureux réagissent brutalement ; celle de l'amitié entre Alain et lui ; celle du grand bonheur qu'Oscar lui donne.

La strophe qui évoque directement sa mort est très belle.
Et ces derniers vers qui laissent transparaître en filigrane la désespérance et la mort d'Oscar.

Un grand bravo. La mort d'André n'était pas facile à évoquer et tu as magnifiquement réussi ce pari, Sudena.

, Maïlys! Ton compliment mme touche beaucoup ...

Qu'il est agréable de lire tes écrits!
Tu sais rendre unique chaque personnage, même qui a été peu consideré.
Toutes tes odes sont très belles et touchantes, mais cette sur la mort d'André est particulièrement émouvante...
Bravo, Sudena

Une autre dispo ! Je me demandais vraiment si j'allais la faire mais bon je mala suis sentie: j'espère que la prose ne vous gènera pas...

La prose ne me gêne pas, surtout quand elle est aussi musicale.
Je me demandais si tu avais sciemment laissé passer le dauphin ou si tu l'avais oublié. Il est vrai que son évocation n'est pas simple. Parler de la mort d'un enfant peut facilement virer au pathos.
Mais j'aime la pudeur avec laquelle tu évoques son agonie (si élégante, dans le manga comme dans l'animé, alors qu'elle a dû être horrible et toute de souffrance), soulignant, en touches légères, et ses rêves qui ne verront jamais le jour, et son inquiétude, tant pour son pays que pour sa mère.

J'avoue que, même si elle est un peu facile, j'aime l'image de petit prince marqué par le destin que Riyoko Ikeda donne à Louis Joseph. Et cette tendresse avec laquelle elle le dessine, tu la distilles à travers tes mots.

Et une autre ode une! La dédicace musicale est pour toi Aurore et tu comprends aisément pourquoi ...

En partie . Mais aussi à une de tes créations graphiques mêlant les deux artistes (l'imaginaire et le réel)...

ah oui, le parallèle Balavoine/Accordéoniste

J'ai rajouté quelques vers à ma dernière ode qui a enfin un semblant de beauté et de dignité (comment ais-je OSE l'éditer sous sa première forme ?!!)...

c'est vrai queu ces quelques vers sont très bien et finissent mieux à mon gout ton ode.

, l'accordéoniste s'en va avec une belle dédicace, c'est un perso que l'on ne voit pas beaucoup, mais il laisse son empreinte.
Il redonne le goût de vivre à André et une belle leçon de morale.

C'est vrai que redonner le goût de vivre à André est le seul acte "visible" de l'accordéoniste, mais il est un personnage incontournable et le seul je trouve qui a un rôle exclusivement positif... Je me demande vraiment, s'il avait été là, ce qu'aurait fait Javert...

Voilà mon dernier pari... J'espère que vous apprécierez ...

Merci Aurore! Il me manque une "aide" musicales: la voici...

Toutes ces odes étaient superbes, mais j'ai quand eu une préférence pour celle des deux héros.
C'était beau et mais sans être pathétiques

Tes vers dècrivent très bien les différents aspects de la vie d'Oscar...
Son sentiment du devoir et de l'honneur, sa détermination à combattre pour une juste cause...
La douceur de son amour immense pour André, le désespoir pout la perte de son homme qui était aussi son soutien...sans lui elle est perdue.
Elle ne veux que le rejoindre et quand elle est frappée, elle sourit à la mort qui lui permettra de retrouver son amour...
Enfin, elle a choisi la liberté.
La liberté d'aimer, la liberté de se battre contre les injustices, la liberté de mourir pour se réunir à André...
BRAVO,SUDENA!J'ai adoré tes odes

Très poignant . J'ai hâte de lire ce que tu réserves à André. Bravo Sudena.

Celle à André est déja écrite Liberta ...

J'ai raté celle-là ??