Je ne sais pas si cette courte fic appelle des commentaires, mais au cas où...

Je dois être nulle là mais he...... Je trouve pas ta fic

Tu peux me dire où elle est postée????

Moi non plus je ne la trouve pas

Oups !
Il y en effet un raté quelque part !
Je ne sais pas trop ce que j'ai fabriqué. Je suis allée un peu vite ce matin pour poster la fiction et j'ai dû faire une erreur quelconque. Je ne pense pas l'avoir postée ailleurs que dans le "Jardin des écrivains en cours d'éclosion". J'ai plutôt dû confondre prévisualisation et message posté.

Je commencerai par ça demain matin et je vérifierai que je ne fais pas de bêtise !

Cela a été laborieux mais cette fois-ci, je crois que c'est bon !

oui c'est bon ^^

J'aime bien cette idée ^^
Je suis d'ailleurs d'accord avec ton raisonnement, sur le fait qu'une femme n'aurait jamais pu aller si loin dans ce monde d'homme en ces temps-là, ce qui avait poussé bien des réflexions dans ma première fic d'ailleurs

J'aime beaucoup le trouble de Girodelle devant ''le jeune homme'', et la révélation du secret.

Merci d'avoir partagé cette première vignette avec nous ^^

Merci à toi, Marina. Je le répète, j'aime cette idée que mes fics sur Lady Oscar soient rassemblées sur ce forum qui a pris pas mal de place dans mon quotidien.

Beaucoup de choses sont invraisemblables et impossibles dans La Rose de Versailles. Mais est-ce que la vérité et la vraisemblance sont si importantes en fin de compte ?

Bon nombre d'oeuvres artistiques en général et littéraires en particulier n'existeraient pas ou seraient banales sans ce grain d'originalité.
Certains livres ne sauraient se passer d'un ancrage dans la réalité. C'est leur propre. Mais je trouve qu'en moyenne, les romans qui me font rêver n'hésitent pas, à un moment ou à un autre, à prendre des libertés avec la réalité ou carrément verser dans l'imagination.

Après tout, une oeuvre de fiction n'est pas un documentaire et l'important est le plaisir que l'on prend à la lire... quitte à souligner ensuite que tel ou tel aspect relève de l'impossible.

C'est une bien belle vignette que tu nous proposes là, pleine d'émotion et de retenue. J'aime beaucoup ce Girodelle tout en finesse, attiré par Oscar sans comprendre pourquoi qui découvre la vérité, accepte de l'aimer de loin, pour conserver son estime, pour la préserver. Si souvent je me moque de Girodelle, en réalité, je le vois plutôt tel que tu nous le dépeinds.
Si tu as d'autres textes comme ça qui se promènent allègrement sur d'autres sites, n'hésite pas. C'est un pur délice !

Merci, Arlène.
Il est vrai que j'ai un petit faible pour le personnage de Girodelle et son amour si vrai et si désintéressé pour Oscar. Dans le manga, Oscar va jusqu'à se laisser embrasser par lui tant elle est émue par la découverte de cet amour profond.

Quant à d'autres fictions... Eh non ! Je ne suis pas si prolifique. J'ai un texte en cours et des idées pour un suivant mais le temps que je les écrive !

C'est bien ce qui me semblait... C'est vraiment superbe, cette écriture, cette sensibilité des personnages! Tu as su conserver les caractères originaux et rendre ainsi cet épisode très plausible. Une vignette très touchante, qui dore un peu le blason de Girodelle...
Une bien belle vignette...

Tu es bien indulgente. Cette toute première fiction autour de La Rose de Versailles est un peu simpliste mais, bon... je l'aime bien. Sans doute justement parce qu'il s'agit de la première.

Oh Maylis.... >_< Arlène a raison, émotion et retenue, je suis littéralement (hé hé le cas de le dire) amoureuse de ton style... j'aime beaucoup la paix et la distinction qui émane des tes lignes, aux phrases qui se déploient d'elles-même avec la délicatesse d'un papillon (ouah, je m'égare!)..

Non sérieusement, il faut que je lise d'autres écrits de ta main ! Je suis séduite (c'est bon, Petrina, on a compris!!)...
Ton style correspond exactement à l'image qu'en donne tes commentaires (dont je suis également fan) : finesse et tact.

Et puis, ça me fait penser un petit peu à Jane Austen, sans vouloir m'embarquer dans des comparaisons trop ardues pour moi looool....

Enfin bref,
^^

Alors, là, Petrina, je...
Je ne sais vraiment plus quoi dire...

J'ai eu la chance d'avoir d'excellents professeurs (de vrais professeurs de littérature et tous les écrivains que je lis et relis). J'admire la langue française et essaie de la servir. Je prends plaisir à écrire. J'apprécie, bien sûr, quand mes lecteurs aiment ce que je raconte. Mais je n'ai vraiment pas d'autres prétentions.

Que vous passiez un bon moment : le principal est là.
Mais si vous mettez la barre si haut, je ne vais plus oser poster une fiction de peur de vous décevoir.

Oh non.... surtout ne rougis pas et ne te mets pas la pression... Je me sentirais coupable !

^^ J'ai commencé un autre fic de ta plume, et je commente une fois celle-ci intégralement lue

Nous décevoir Maïlys ? Tsss... je n'y croirai que la preuve sous les yeux, et encore j'y regarderai à deux (trois, quatre ... mille) fois avant de dire que ce n'est pas bon, parce que tu es un peu comme La Lionne (dans un autre registre), tu n'es pas du genre à planter une fic

C'est bizarre. J'ai commencé à sortir les affaires d'hiver (il faut bien ) et j'ai essayé ma faluche. Je trouve qu'elle me serre un peu. Aurais-je attrapé la grosse tête ? Je me demande bien comment...

Ah oui, ça, on se demande vraiment comment

Citation :

Le Lieutenant de Girodelle tira machinalement sur les basques de sa veste d’uniforme

:mmlkjh: Que j’aime cette phrase !! pas pour ce qu’elle décrit mais pour ce qu’elle est. J’aime ta manière d'écrire, Maïlys, y’a pas à dire !!




Les premiers instants du réveil laisseraient-ils encore endormie la vigilance méfiante d’Oscar ? Elle accorde rapidement sa confiance , ce qui, en fait, m’arrange bien( ), puisque comme ça, Girodelle par le secret qu’il portera loyalement va, je pense ( et j’espère encore plus fort !! ) monter vite et très joliment dans l’estime, la sympathie ( et j’ai envie de rajouter "le cœur" même si la fin de ton histoire m’indique que je fais fausse route :aaqzaq: !) d’Oscar.




un gros pincement de cœur ( mais là, on parle du mien, zut !!) à la fin pour l’amertume qui vient de naitre en Girodelle et qui restera !!
:sszazq: :sszazq: :sszazq: Ah, cette corde sensible que tu fais vibrer en fin d'histoire produit en moi ce merveilleux effet qui me fait te dire :




:lkioujy: bravo Maïlys !! :lkioujy:

Merci, Maria, pour ce commentaire flatteur.
Je suis contente que tu aimes mon style. J'essaie de retrouver quelques expressions XVIIIème pour donner une couleur d'époque à mon texte. Et je travaille toujours mes textes. Trop parfois : le maniérisme guette à la porte !

Quant au personnage de Girodelle, je le dis et le redis, j'ai un faible pour ce jeune homme chevaleresque, si profondément amoureux d'Oscar qu'il est capable, lui plutôt rigide, de contrevenir à un ordre hiérarchique et de risquer sa carrière pour l'épargner.

ben moi, j'adore ce travail que tu fournis pour nous offrir des textes estampillés XVIIIème siècle! Je l'ai dit à Méridienne, qui fait cet effort-là elle aussi. Pour moi, c'est un vrai plus!!!

Merci, Hermès. J'adore Marivaux et Voltaire, ce qui me fournit deux bonnes sources !

Tiens, tiens, tiens... Deux auteurs que je lis de temps à autre pendant que j'écris des fics, en plus de Laclos, histoire de me plonger dans l'esprit dix-huitième. Marivaux pour les dialogues et Voltaire et Laclos pour le récit.
Je vois qu'on a les mêmes astuces!

petit Gigi qui joue les voyeurs.... excellent
merci pour cet instant où on se prendrait pour une petite souris :hytuty:

c est donc toi qui avait écrit cette fic, je ne sais plus ou je l ai lu, sur pas sur ce forum, mais j avais bcp aimé la façon dont Victor découvrait la nature d Oscar.


une fois je me suis dit qu il faudrait que je commente toute les fic ici présentent que j ai lu sur d autre site, mais il y en a tellement et il y a tellement de nvll fic que je me suis dit, comme je le fais maintenant, je les commenterai qd l occasion se présentera!

Je crois que je peux dire déjà, au bout de deux fics, que j'aime ta manière d'écrire.
Comme c'est, une fois encore, finement ciselé ! Tu nous entraine dans ton décors, pour un peu on aurait l'impression de sentir le souffle de tes protagoniste par dessus notre épaule. Tu dois bien t'en douter, celle ci m'a énormément plu, puisqu'elle parle du beau comte de Girodelle. En deux fics tu traites des deux personnages (hors Oscar) que j'affectionne le plus dans la série !
Et ta première fic était sur Girodelle !! quelle femme de goût ..

Victor, comme dans ta précédente fic, est traité avec beaucoup de justesse. Et je suis tombée amoureuse de ta dernière phrase, tellement en accord avec le beau comte. Evidemment il souffrira à vie de cet amour ... Evidemment ...

Merci à toutes les trois pour vos commentaires.
J'ai un petit faible pour cette fiction qui est la toute première que j'ai écrite.

Une petite souris ? Pas plus gros, Myminette, pour ne pas troubler cette scène que j'ai voulu quasi intime.

Amber Queen, j'avais posté cette fiction sur le site d'Elbereth avant d'être inscrite sur le forum. Je suis heureuse que tu t'en sois souvenu et que tu l'aies aimée.

Silène, encore une fois tes compliments me font rougir.
Victor de Girodelle, même si je n'ai pas pour lui la passion de Krapagnou ou de toi-même, est un personnage que je trouve très attachant, trop discret, et que l'animé a sacrifié. Je pense en particulier à la si belle scène où il renonce à Oscar. Ecrire sur lui était lui rendre hommage. Et puis, comme je l'ai souligné dans mon introduction, cette contradiction flagrante dès le début de l'animé m'a choquée. Mon imagination a fait le reste...

Je viens de terminer la lecture de cette vignette et maintenant je me traite de sotte: "Mais pourquoi n'ai-je jamais lu ce texte avant ?!" Oh par habitude sans doute: Zalzal, la fureteuse, emprunte continuellement le même chemin...et est passée à côté de cette perle de délicatesse, bon sang !!!

Pour un premier texte que tu qualifiais de simpliste, c'est vraiment réussi Tu possèdes un style d'écriture tellement...raffiné.

Par exemple:

Maïlys a écrit:

Citation :

Les cheveux dorés bouclaient sur le front bombé. Les cils jetaient une ombre sur la joue doucement arrondie. Les lèvres s’entrouvraient sur un souffle imperceptible. Le cou frêle émergeait de la dentelle mousseuse du jabot dégrafé.

Une description superbe et tellement évocatrice (j'ai un faible pour l'expression "émergeait de la dentelle mousseuse du jabot dégrafé" ) !

Ton texte est parsemé de ces menus détails (tout comme dans Pardon d'ailleurs) qui lui confèrent un véritable cachet historique: l'Horloge de la Cour d'Honneur, la porte blanche moulurée d'or, la chemise de nuit garnie de ce jabot de dentelle,...

Quant à l'histoire, elle est racontée tout en délicatesse, tout en subtilités de sorte qu'il s'en dégage une douce impression de féérie.

J'aime la façon dont tu as dépeint Girodelle, si beau dans ses tourments, si noble dans cet amour qu'il éprouve (déjà) pour son Capitaine.

Franchement, je n'ai pas d'autres mots qui me viennent si ce n'est que "Bravo !". Un magnifique texte

Je suis touchée, Zalzal, de ton appréciation sur ce texte. J'ai un petit faible pour lui qui est le premier écrit autour de Versailles no bara.

Je travaille beaucoup mes écrits. "Cent fois sur le métier..."
Mon style est donc plutôt élaboré ; l'envers du décor étant qu'il en devient parfois précieux, voire lourd. J'ai tendance à abuser des descriptions, des adjectifs et des adverbes. Mon travail de relecture consiste d'abord à élaguer pour alléger.
Je m'amuse à parsemer mes fictions de termes d'époque ou de détails pour leur donner un petit cachet dix-huitième siècle. Ce qui, là encore, peut alourdir le style et nuire au rythme du récit. Avec les thèmes que j'ai choisi pour l'instant, ce n'est pas un gros problème. Mais si je me lançais dans une histoire d'aventure, ce serait un écueil.

Ce que j'aime surtout, en particulier dans ces textes courts, c'est fixer les sentiments ds personnages autour d'un instant.

J'ai subi ces derniers temps un long blocage et je viens à peine de retrouver, avec quelles délices !, mes facultés d'écriture. Je me lance dans une fiction plus longue dont déjà, au bout d'une dizaine de pages, je ne suis pas satisfaite ! Quand verra-t-elle le jour ?

Encore merci pour ton analyse délicate et ton commentaire.

Je remarque qu'une fois encore, bien que j'ai lu ta fic, Maïlys, jai omis le commentaire. 
J'y remédie : J'ai trouvé cette fic très jolie. Girodelle troublé qui ne sait plus quoi et qu'est-ce. IL hésite,cherche, réfléchit et même devant le fait accompli il continue de se poser des questions.
Néanmoins, on retrouve sa fidélité lors de sa promesse à ne rien révéler.
Eh oui, Girodelle, tu vas connaître les mêmes douleurs qu'André...

J'ai beaucoup aimé cette histoire. Toute en délicatesse, l'on retient son souffle de peur de réveiller Oscar puis de les déranger
Ce pauvre Girodelle :'(

Wow j’adore. Une de mes petites histoires préférées et tellement bien écrite. J’aimerais tellement voir une suite du futur....s’il se passe quelque chose si la situation se reproduit dison s dans 5 ou 10 ans. Victor retourne la réveiller, mais là, ils sont plus mature.....grrrrr! Merci encore je ne me lasse pas de la lire et relire.