J'ai posté un de mes vieux fics, qui est peut être celui auquel je suis le plus attachée.
Je l'avais posté à l'époque après une longue période de silence, suis un pseudo autre que celui avec lequel on me connaissait à l'époque.

J'avais pris du recul face à Oscar et j'avais envie de marquer un certain détachement. On était à une époque ou seul le couple Oscar André avait droit de citer. Les fics tournaient toutes autour de ça, et j'avais parfois l'impression de ne plus reconnaitre la Oscar de l'anime (ou du manga) qui se travestissait en ... En quelque chose qu'elle n'était pas. D'où le Mythe ...

Aujourd'hui j'y vois quelques maladresse, quelques passages un peu gnan gnan, et à la fin quelques tournures de phrase qui me déplaisent (j'avais bataillé dessus, surtout l'histoire du chien, et ça se sent). Cependant fidèle à mon habitude je n'y toucherai pas.
Il se peut que je le reprenne par contre, le Mythe ayant toujours eu une suite possible dans ma tête.

Oh oui reprend là (enfin celle là aussi!!! tu sais si tu t'ennui pendant que j'écris... tu peux écrire tout ce que j'attends avec impatience! )

J'adore! J'adore! J'adore!!! (mais comment ne pas être fan?)

Celle-là aussi je la connaissais, tout comme lettres de guerre et mariage blanc; Superbement écrit comme d'hab.

Je la connais, mais je l'ai relu avec plaisir, elle est superbe de douceur.

Et bien merci à vous trois !
En la relisant (c'est pas bien, ça, c'est pas bien ! Par votre faute j'ai passé la journée en compagnie de Victor au lieu e faire mes cartons !) j'ai vu s'inscrire la suite de manière fort clair.
Bref, il faudrait que je l'écrive ...

Oh oui! Oh Oui! Oh Oui!!!!! :mmlkjh: :mmlkjh: :mmlkjh: :mmlkjh:

Silène, pardonne moi du retard mais je m'y mets maintenant
et je crois que je ne vais pas le regretter.
Bien que le début me paraissait sombre et commémoratif, donc triste en ressassant de vieux souvenirs envers une personne, je crois que qq ch va sortir de tout cela.

4 hommes qui ont admiré et aimé en secret Oscar réunis à la même table...
Et cette femme, un peu sosie, avec un fils qui aurait pu être le fruit de l'amour entre Oscar et André...

Voyons voir la suite...

Le récit de Fersen est empreint d'émotion et de regrets. Trop nombreux, il me semble pour qu'il puisse accueillir le bonheur en son coeur.

Par contre, l'attitude de la jeune femme est étrange... A mon avis, je rêve mais je pencherais pour Oscar qui a eu un enfant d'André mais qui a fui sa vie passée complètement et qui se retrouve au même endroit. Peut-être accidentellement... ou peut-être pas... Car Girodelle a invité tout le monde mais semble toujours aussi calme et ne parle que par moment, et à des moments vraiment importants. Je m'interroge...

Le récit d'Alain est un témoignage d'amitié et d'amour silencieux.
Il la respecte, en tant qu'officier, militaire et femme. Il lui reconnait des valeurs qu'il ne pensait jamais reconnaitre à une femme.
Mais il joue les gros durs comme le souligne justement Bernard pour se cacher, pour cacher sa fragilité. Quand on abrège ainsi le condensé de sa vie c'est qu'on veut cacher qq ch, surtout du coeur, surtout face à des personnes qui ressentent la même chose.
Et finalement, il se livre... Grâce à Bernard ? Grâce à Oscar ? Grâce à cette femme qui lui ressemble et qui semble le troubler plus que de raison ?
Sincèrement cette femme m'intrigue sérieusement.

Donc Bernard s'est plus ou moins senti obligé d'écrire son livre sur >Oscar bien qu'il lui manquât certains éléments.
Mais il reconnait qu'elle a marqué sa vie de manière indélébile.

Mais franchement, cette femme...
Et maintenant, Girodelle qui annonce simplement qu'il a un fils...

Ho, triste fée, quel plaisir de lire tes reviews chapitre par chapitre !!
Je ne t'ai pas répondu plus tôt car j'étais en plein déménagement, je viens de retrouver le net il y a deux heures à peine.

Je trouve ton analyse diablement pertinente, à moi qui connais la fin de la fic, et du coup je me demande si tu as lu les derniers chapitre depuis le 3 Mai
J'avais, à l'époque, vraiment essayé de retrouver le caractère de ces 4 hommes qui ont, à mon sens, tous aimé Oscar à leur manière. Ils ne pouvaient pas avoir traversé les années sans dommage, je n'arrivais pas à imaginer qu'on puisse survivre à Oscar sans en garder une cicatrice.

Ils ont donc chacune là leur, qui apparaissait au fil de la fic

Superbe descente en spirale dans les souvenirs, la nostalgie, le passé, les erreurs, les souffrances, à la recherche d’une ombre lumineuse, morte depuis dix ans.

C’est une idée passionnante d’avoir réuni ainsi, autour d’un hommage à Oscar François de Jarjayes, quatre hommes si différents dans leurs conditions sociales, leurs idées, leurs choix de vie. Quatre hommes qui passent sur leurs oppositions pour évoquer la femme exceptionnelle qu’ils ont connue.
Qu’ils ont aimée, comme ils finissent tous par l’avouer, car un seul ne s’en est jamais caché.

Et, pendant ce temps, écoute la silhouette d’un double, dont on comprend très vite qu’elle est Oscar, qu’elle est liée à Victor de Girodelle, qu’elle est la femme dont il parle et la mère de son fils.

Mais il faut la belle scène finale entre Oscar et Victor pour que l’on saisisse l’objectif de cette rencontre. Même s’il a pensé à la souffrance de ces hommes, souffrance qu’il a assez vécue pour la comprendre, je suis persuadée que c’est à Oscar qu’a d’abord songé Girodelle. Elle a besoin de faire le lien entre le passé et le présent, entre le colonel qu’elle a été et la femme qu’elle est devenue. Entre le mythe et la réalité.
On a l’impression qu’elle a en partie renié son ancienne vie. Et c’était peut-être un temps nécessaire pour s’adapter à la nouvelle. Mais Victor aime les deux facettes d’Oscar. Il la voit une et lui fait très tendrement comprendre que, sous les jupes et l’apparence douce de la femme, l'orgueilleux cavalier est toujours présent.

J’aime beaucoup cette fin ouverte, Silène, et cette discrétion d’auteur. Tu nous laisses deviner une rencontre nocturne où trois hommes vont retrouver leur amie-amour passée. Tu nous laisse espérer que, pour au moins deux d’entre eux, bloqués dans le passé, la vie pourra prendre un nouveau départ. Tu esquisses, avec le geste d’Oscar, une nouvelle étape dans sa vie et celle de Victor. Mais tu ne nous le donnes pas à voir. Et tant mieux. L’imaginaire de chacun de tes lecteurs peut se donner ainsi libre cours.

J’ai beaucoup aimé cette fiction originale, toute en finesse psychologique, toute en retenue, en non-dits finalement dits. Je l’ai lu d’une traite avec grand plaisir, entraîné par la fluidité de ton style, savourant les nuances des caractères masculins, la subtilité d’une Oscar différente et même.
Ce Mythe me donne très envie de continuer la lecture des quelques fictions que tu as postées sur ce forum. Si j'ai bien compris, Lettres de guerre est en cours d'écriture et s'intercale dans Mariage blanc. Finie ou non, cette dernière fiction ?

J’aurais juste une question à propos du Mythe. L’enfant... Une dizaine d’années, les cheveux de sa mère et les yeux verts... De quel vert ? De quel père ?
Je me suis demandé...
Mais peut-être n’as-tu pas la réponse toi-même.

Je viens de répondre à Mariage Blanc, je te réponds ici plsu tard dans la soirée. Mon Evidence m'attend ...

Donc, je disais

J'avais effectivement fais une fin ouverte, en ce sens, voilà des années. Mais on me demande régulièrement la suite et j'avoue me laisser tenter. C'est effectivement une rencontre en clair obscure qui s'annonce, car Oscar ne serait pas Oscar si elle renonçait. Quelle serait leur réaction, à eux ? Je me suis souvent posée la question, sans en connaitre moi même la réponse (le comble du ficwritter, j'imagine...)
J'ai aimé travailler sur ces quatre caractères, à l'époque, en essayant de ne pas tomber dans les clichés. Et j'ai aimé passionnément la faire survivre de la manière, je l'espérai du moins, la plus crédible possible. Je crois que c'est le défis dont je ne me lasse pas : la faire survivre, trouver des astuces des moyens, et la faire replonger dans l'Histoire. Sa mort m'a semblé tellement injuste à l'époque !

Pour répondre à ta question, avec un peu de retard "Lettre de Guerre" s'intercale bien dans "Mariage Blanc", et j'indique dans la fic le moment ou se passent les lettres de guerre si les lecteurs ont envie de lire "dans l'ordre".
C'est un peu ma fic fleuve, qui n'est pas terminée pour le moment. Les lettres de guerre non plus, d'ailleurs, bien qu'elles s'approchent doucement de leur terme. C'est, je crois à ce jour, la fic que j'aime le plus écrire. Plonger successivement dans l'esprit de Girodelle, puis d'Oscar, et essayer de rendre créscendo la douleur due à leur séparation. C'est en les lisant, je crois, qu'on se rend compte combien l'Oscar de Mariage Blanc aime Girodelle.
Une seconde fournée de "Lettres de Guerre" est prévue d'ailleurs et je me désespère moi même d'être si lente à les écrire.

Enfin, je garde le meilleurs pour les dernières lignes. Sais tu que tu es la première à relever les yeux verts de cet enfant ? Le Girodelle que j'écris a toujours eu les yeux gris (contrairement à celui de Krapagnou, qui a les yeux verts ) ...
Je crois dire dans la fic qu'il tient ses yeux verts de son père
Tu l'as sans doute deviné. Ce fils dont Victor est si fier est le fils d'André. Il l'élève en toute connaissance de cause, il l'aime profondément et l'enfant qu'Oscar porte sera le premier à être réellement de son sang.

nan poulette tout le monde se doute bien que yeux vert = rime avec André... enfin sauf pour moi et bon j'ai fini par semer le trouble dans quelques esprits. Je pense que les autres ont immédiatement associé ce gosse au fruit de l'amour entre Oscar et André.

Tiens en parlant d'écriture moi j'attends impatiemment une suite de beaucoup de chose!!! (lettre de guerre... bien évidemment... la nuque... également... etc etc etc!)

Bon tu me manques mon petit papillon, il faudra dire à ton Evidence de te relacher dans une semaine car moi aussi je serai de retour et avide de continuer nos collaborations!

tu vas avoir du boulot avec moi, tu ne ferrais pas une joilie petite suite au mythe, je pense que l'on en a déjàs parlee, mais c'est cette histoire qui ma redonnee de l'espoire alors s'il te plaît , au booulot, pour nous tous.