Oscar était dans sa chambre et lisait un livre, elle avait désormais l'habitude de lire des livres de philosophes comme Voltaire ou encore Diderot. Son choix s'était cette fois portée sur La nouvelle Héloïse de Rousseau. Plus elle avançait dans sa lecture, plus elle sentait ses larmes couler.

Oscar avait une main posée sur ses lèvres qui tremblaient légérement.
Son regard emplit d'eau fixait les pages du livre qu'elle avait en main. Ce livre éexpliquait bien la dure réalité qu'était la vie de noble et de roturier...Et le pire de tout....C'est que ce roman ressemblait à sa vie et à celle d'André....

La jeune noble était elle....Le jeune maitre amoureux aurait pu être André et le futur époux Girodel puisque son père lui avait annoncé la demande en mariage de ce dernier, elle ne s'était pas encore prononcée......Un soupir s'échappa de ses lèvres alors qu'elle posait le livre sur ses jambes....

Un détail cependant différait....André ne l'aimait pas....Cela la désolait presque.....Elle sentait son coeur vivre lorsqu'il était là, mais depuis quelques temps, il était plus distant et son coeur mourrait doucement...

Ele eut un sursaut en entendant quelqu'un entrer sans frapper et leva les yeux. Elle vit Andrét porta sa main à ses yeux, essuyant ses larmes.

Oh c'est toi André...

Elle se leva, ses larmes coulant toujours et posa son livre sur son bureau, laissant sa main dessus.

Je ne sais pas pourquoi......Mais mes larmes coulent sans que je puisse les arrêter....

André examina le livre posé sur les genoux de la jeune femme. Il s'agissait de la nouvelle Héloïse de Jean-Jacques Rousseau, ce même livre qui l'avait décidé de commettre cet acte...
Il cachait son trouble derrière un masque de froideur, les rôles étaient inversés...

"Je t'ai apporté du vin, je peux le boire avec toi?"

Elle posa sa main sur ses larmes et les effaça.

Bien sur, pourquoi demandes-tu?

La jeune feme prit le verre tendu par son ami et l'observa, une alrme revenant.

On dit que c'est quand l'homme va mourir que ses erreurs ressurgissent....

Elle ferma doucement les yeux et sourit tristement.

Je me rend compte maintenant que je n'ai jamais été sincère avec personne en ce qui concerne mes sentiments...J'ai toujours mentis sur ce que je ressentais au point de blesser les autres....Et toi le premier André...J'espère que tu me le pardonnera...

André, qui s'était assit en face d'Oscar, l'observait. La phrase prononcé par ces lèvres mortellement cherry, prenait petit à petit un sens.
Lorsque qu'il crue comprendre le double sens de sa déclaration, elle avait déjà porté le verre à ses lèvres.

" OSCAR NON! NE BOI PAS CA!!!!!!"

Il s'était élancé,entraînant la jeune femme avec lui dans sa chute, du verre au fatal nectar, il ne restait que des débris.

" Je suis désoler Oscar, je ne sais pas ce qui m'a prie, je... qu'as-tu dis à l'instant?"

Sa phrase terminé, elle regarda le liquide contenu dans le verre.
Cette couleur si rouge, comme le sang sombre. Devait-elle noyer son chagrin dans un tel breuvage..sans doute.

Doucement, elle porta le verre à ses lèvres mais elle entendit André crier. Rapidement, elle se retrouva au sol, dans un bruit de verre brisé. Pourquoi l'avait-il empêché de boire?? Est-ce qu'il....

André..que..pourquoi m'empêcher de boire? Que contenait ce verre?

Elle resta surprise de sa question.

Ce que..j'ai dit? Que..que je n'avouais jamais mes sentiments, que je les masquais..mais pourquoi une telle question?

André avait ignoré la première question d'Oscar, ou plutôt ne l'avait pas écouté, trop bouleversé par ce qui pouvait être un aveu. Il restait au dessus de la jeune femme, ses larmes coulaient et mouillaient le visage d'elle.

"Oscar! Sois plus claire je t'en prie?!"

Les yeux d'Oscar s'écarquillèrent de surprise.
André pleurait...Mais pourquoi, elle ne comprenait pas....Pourquoi pleurait-il?? Qu'avait-elle fait? Elle se sentait soudain gênée de cette situation. Elle ne pouvait pas lui dire, elle allait peut-être perdre son ami, son frère en disant cela. Elle détourna les yeux.

André.....je t'en prie laisse-moi......s'il te plait...

André posa sa tête au creux de son cou pour cacher ses larmes, et noyer ses sanglots naissants.

"....Je t'en prie...Oscar... c'est très important pour moi."

M’aime t’elle? Oscar il faut que je sache!!! M'aime-tu?

Cette fois, il n'y avait aucun doute, enfin il osait l'espérer; Oscar partageait ses sentiments, elle l'avait embrassé, et quand il lui avait répondu, elle s'était complètement abandonnée dans ses bras.
Leur étreinte se fit passionnée, leurs baisers langoureux.
André était aux anges, mais il calma ses ardeurs pour essayer d'articuler quelques mots entre leurs baisers.

« Oscar ?...il faut...que tu sache... »

Oscar ne bougeait plus, comme si elle refusait de le lâcher. Ce qui était compréhensible. Une fois qu'elle l'aurait lâché, il allait sûrement partir, lui émettre son refus....Son coeur serait alors irrémédiablement brisé...

Certes il avait répondu à son étreinte...Mais André n'était qu'un homme, quand une femme embrasse un homme et récirpoquement cela ne veut pas dire qu'on l'aime, la preuve en était des amants et maitresses..

Finalement, André se recula la jeune femme garda ses bras autour de son cou et le regarda. Il fallait qu'elle sache...Mais quoi...Son refus, le fait qu'il la considère comme une soeur? Non...Pas avant qu'elle ne lui ai au moins dit une chose...Elle détacha une de ses mains et posa ses doigts sur ses lèvres, elle murmura doucement, les larmes aux yeux.

Pardonne-moi André......Mais je t'aime.....

Oscar avait posé ses doigts sur ses lèvres, et lui avait dit:

"Pardonne-moi André......Mais je t'aime....."

André avait lâché un petit rire de soulagement empreint de larmes de joie. Il resserra son étreinte et lui dit à l'oreille:

"Pourquoi veux-tu que je te pardonne?..."

Elle l'avait regardé avec crainte, peux rassurée.

" Il n'y à rien à pardonner, puisque moi aussi je t'aime."

Le rire d'André la peina. Elle avait imaginée toutes les possibilités mais pas qu'André se moque d'elle.....de ses sentiments....Elle détourna les yeux et entendit soudain qu'il murmurait quelque chose à son oreille.

Mais....enfin tu..nous sommes amis et...

Le reste de sa phrase resta bloquée dans sa gorge. Il venait de dire.....il venait bien de dire qu'il l'aimait!!!! Elle tourna la tête et le regarda dans les yeux.

André ne te joue pas de moi je t'en prie! Tu.....Tu m'aime vraiment.....comme on peut aimer..une femme?

"Non, je t'aime comme je peux t'aimer, toi, Oscar de Jarjayes, femme soldat aux beaux cheveux dorés, et aux yeux magnifiques où, semble t’il, se reflètes les étoiles."

Il la serait toujours plus, comme si elle n'était qu'un rêve.

"Je t’aime, d’un amour puissant..."

Il se mit à sangloter en repensent aux verres de vin.

"...Si puissant, qu'il à faillit me faire commettre la pire folie qu’un homme amoureux puisse être poussé à faire."

Ses mots...Jamais elles ne les avaient entendus de quiconque et pourtant ils les lui disaient, avec amour et sincèrité. Ses larmes se mirent alors à couler tels des torrents alors qu'elle voyait André sangloter en la serrant contre lui. Elle se redressa un peu et glissa ses bras autour de lui, enfouissant son visage dans ses cheveux. Caressant doucement son dos.

Mon amour je t'en prie ne pleure pas.....Maintenant que je t'ai enfin trouvé je ne veux plus que tes larmes coulent...

Son regard se posa sur le vin. Ce verre brisé lui en rappelait un autre. Mais oui! Lorsque la du Barry avait essayé de comploter contre sa mère! Le vin était alors empoisonné....Elle aurait du être révoltée....Mas..elle comprenait on geste....

Mon André....cette fin aurait été digne de l'oeuvre de Shakespeare.....Mais nos familles ne se détestent pas....et je t'aime.....alors j'userais de mon influence pour nous garantir un meilleur avenir que celui de Julie et de son amour dans la nouvelle Heloise......Jamais personne ne me ménera à l'autel...si ce n'est toi pour faire de moi ta femme...

André la regarda dans les yeux, il avait bien comprit? Elle ferait tout pour qu'ils aient la possibilité de s'unir aux yeux de tous.

Il lui sourit et l'embrassa doucement, rien avoir avec les baiser féroce quelque instant auparavant.

"Oscar, je serais heureux d’être ton mari. Ce serait pour moi, un grand bonneur, je t'aime."

Doucement, elle ferma les yeux et l'embrassa en retour. Peu importe ce qu'elle devrait faire pour qu'ils soient heureux, elle le ferait, elle se le jurait.

Devenir ta femme est tout c que je veux.....Même si je dois renoncer à mes titres et à mon rang je le ferais. Ces biens matériels de sont rien comparés à nous, à notre avenir.

Elle sourit doucement et caressa la joue de son compagnon, son regard ne quittant pas le sien.

Il lui sourit, et se leva.

"Il faut que je nettoie ça, sinon grand-mère va piquer une crise."

Il ramassa les débris de verres, les mains tremblantes. Même s'il savait qu'Oscar avait compris ce qu'il s'apprêtait à faire et qu'elle lui pardonnait, il avait besoin de réfléchir à tout cela.

"A plus tard Oscar."

Il partit assez vite, pour éviter les questions de la jeune femme.

Ce que j'ai faillis faire me torture trop pour l'instant Oscar, ne m'en veux pas, mais il faut que je réfléchisse un peux, tout va si vite...

Oscar arriva finalement devant Notre-Dame. Elle arrêta son cheval et en descendit avant de pénétrer en silence dans l'immense demeure du Seigneur. Elle baissa sa capuche, laissant apparaître son visage et ses cheveux blonds avant de s'avancer d'un pas régulier et lent vers l'autel. Elle alla vers la gauche et s'agenouilla devant la Sainte Vierge, joignant ses mains et fermant les yeux, priant de tout son coeur.

Sainte Vierge, si vous ne pouvez pardonner mes fautes alors faites en sorte que je puisse trouver un moyen de les racheter. Ma vie ne fut que mensonge et hypocrisie, aidez-moi maintenant à faire son bonheur, à ne plus le voir souffrir....Je vous en prie donnez-moi la force de le faire....

Elle resta ainsi une demi-heure, confiant ses peines à une femme en qui elle avait confiance. Finalement, elle se releva et se signa avant de ressortir, le coeur allégé. elle prit son cheval par la bride et marcha ainsi dans Paris, profitant de l'air du soir. Passant devant une auberge où elle entendit du bruit, elle jeta un oeil. Elle fut si surprise que durant un long moment elle ne dit rien, seul un son sortit.

An....dré.....

André était à l'auberge de "la bonne chopine", il s'était enfiler cinq verres d'eau de vie et commençait à divaguer.

" Pour sûr! Elle est belle mon amour…suuuuuuper…belle! elle est tout pour moi… hip! Mais t'sais c'est quoi la bonne blague?"

Il parlait à l'aubergiste, le doigt en avant, en clignant des yeux.

"... La bonne blague, c'est que j'ai voulus la tuer parce qu'elle allait en épouser un autre! hick! Alors quand fait...en fait..."

Il s'avançait en titubant vers l'homme, ne remarquant pas la jeune femme qui l'observait d'assez loin.

"...en fait elle est amoureuse hick!! de moi... HAHA! c'est drôle hein?!!"

Oscar était tétanisée. Mais qu'est e qu'il faisait ici!!!! Et en plsu il devait être complétement ivre vu avec quel vigueur il criait!!! Alors qu'elle allait se boucher les oreilles pour les protéger de ses cris, la colère prit le dessus. Non seulement il se saoûlait mais en plus c'était pour crier ça sur tout les toits!!!! Mais cela ne regardait personne!! C'était à eux, seulement à eux, comme un secret précieux qu'elle voulait garder, une chose qui les liaient, mais non lui il le criait partout!

La porte de l'auberge s'ouvrit violement, claquant contre le mur. LEs yeux d'Oscar étincellaient de rage contenue, d'un pas rapide et sec, elle s'avança vers andré et arrivé devant lui elle lui donna le plus beau coup de poing qu'il ai jamais reçu en pleine figure.

Si tu préfére te saoûler et raconter ton amour au lieu de le vivre eh bien fais le!!! Mais alors ne compte pas sur moi pour t'attendre!! Je pensais que tu avais compris que ton geste représentait pour moi un acte d'amour venant de toi et pas un acte de mort! Mais je crois qu'une fois de plus.....je me suis mentis toute seule.

Elle sentait son coeur saigner douloureusement dans sa poitrine. Sans un mot elle fit demi-tour et sortit rapidement de l'auberge, des larmes plein les yeux avant d'enfourcher son cheval, le lançant au galop vers Jarjayes.

André était par terre les yeux écarquillés. Une apparition, oui c'était ça, il avait vu Oscar surgir de dieu sais où pour lui balancer son point en pleine figure non sans lui reprocher sa conduite.

L'aubergiste se moqua du jeune saoulard:

"Et ben mon gas, c'est une belle furie ta chère et tendre, j'crois qu't'a besoin d'un tit remontant, allez, c'est moi qui l'offre!"

André, dont le coup reçut lui avait fait reprendre ses esprits, ne fit pas attention à lui et partie en courant.

"Oscar!!!"

Il prit à son tour sa monture, et galopa vers le château.
Arrivez au château, il vit qu'Oscar avait abandonner son cheval dans la cour, il fit de même, et courrut jusqu'à sa chambre.

TOCK! TOCK! TOCK!

"Oscar ouvre-moi s'il-te plais?!

Pas de reponce.
BOUM! BOUM!

"Oscar laisse moi au moin m'espliquer!"

Oscar avait galopé aussi vite qu'elle le pouvait jusqu'à Jarjayes. Une fois arrivé elle avait sauté de son cheval, courant jusqu'à sa chambre et s'y enfermant avant de se jeter sur son lit pour éclater en sanglot. Pourquoi pleurait-elle? Elle n'en savait trop rien, mais cela lui faisait du bien.

Elle entendit soudain un bruit contre sa porte, puis ce fut les paroles d'André qui la forcèrent à écouter. S'expliquer? Il n'y avait rien à expliquer, il avait craqué, pour oublier il avait bu et avait trop parlé, point final. Qu'il aille voir ailleurs. De longues minutes s'écoulèrent, ses larmes se tarirent finalement. Elle se releva et ôta sa cape qu'elle posa sur un siège, passant devant son miroir, elle effaça ses larmes.

Ses yeux étaient encore un peu rouge malgré tout....Elle se détourna, son visage se ferma, devenant glacé. Elle déverrouilla sa porte et le fit entrer avant de la refermer. Une unique chandelle était allumée, laissant la majeure partie de la chambre das l'obscurité, éclairant faiblement l'antichambre.

Je te donne 5 minutes André, pas plus. Va à l'essentiel.

Même sa voix était glacée. Il ne s'agissait pas là d'un ordre du maitre de Jarjayes, mais du coeur brisé de la femme. elle croisa les bras et s'adossa au mur, attendant.

" Oscar, je suis désolé, je..."

Son aire grave l'intimidait un peut, il cherchait ses mot, et avait peur de la perdre. Il soupira, pris une grande inspiration et lui dit:

" J'était partis là-bas par ce que je n'arrivais pas à me pardonner, qu'importe que toi tu m'ai pardonné pour ce que j'allais faire. J'ai la sensation d'être un monstre. J'ai été égoïste, non... J'ai toujours été égoïste. Pour moi, tu ne pouvais appartenir à personne, si ce n’est moi. Je ne m'en suis aperçu que ce soir et c’est cette sensation fait barrage à mes sentiments. Tu sais, j'ai si peur de te faire du mal, je suis fou Oscar, tu me rends fou.
C'est pour ça que j'ai bus autant, je conçois que tu ne veuille pas que j'étale nos sentiments, au premier bougre venu, mais... l’alcool a eu raison de moi... Je suis désolé...
Bien sûr, tu n'est pas obliger de me croire que je te dis que je t'aime, que je veux être toujours à tes cotés...ni de me comprendre… Mais je t'en supplie ne me force pas à renoncer à toi... Oscar je t'..."

Oscar s'était approchée et ne lui avait pas laissé le temps de finir, elle l'avait giflé fortement avant d'aggriper le col et sa chemise pour plaquer ses lèvres contre les siennes. Elle resta un moment comme cela avant de se reculer, gardant son col dans ses mains, son visage près du sien.

L'amour a des hauts et des bas, je le sais aussi bien que toi c'est pourquoi ton geste a été normal. Mais toi tu as eu la chance de me faire dire ce que je ne voulais pas dire, tu as eu la chance de m'empêcher de boire ce poison. Alors cesse de gâcher ainsi le temps, il est trop précieux pour que l'on s'amuse ainsi avec lui. Je ne veux pas non plus que tu renonce à moi, maintenant que je sais que tu m'aime je serais moi-même incapable de le faire.

Elle lacha son col pour glisser ses bras autour de son cou et se serra contre lui, murmurant doucement.

Quand à oublier quelque chose dans l'alcool....la prochaine fois vient directement me voir et parle-moi.....c'est sous mes baisers et mes caresses que je noierais ton chagrin, je retrouverais ton sourire et te le ferais garder.

[NT kia: Houuuuuu jolie! bien répliqué!^^]

Il l'entoura de ses bras puissant et la serra cotre lui, ces mot lui avait redonner confiance en lui, ils avaient besoins l'un de l'autre, et partageraient tous sur tout jusqu'à la fin.

"Merci..." lui avait-il murmuré.

Cette simple étreinte dura longtemps... très longtemps, ils s'étaient murmurés des mots doux, s'était sourient, se caressaient...
André pris alors la parole:

"Je te promet Oscar de Jarjayes de te chérir, de te choyer, jusqu'à ce que la mort nous sépares."

[Isis: Merci!!! Suis fiere de moi lol]

La jeune femme resta blottit contre lui, rattrappant les longues années qu'ils avaient perdus. Elle ferma les yeux, s'entourant de sa chaleur, répondant doucement aux paroles d'André. Les larmes étaient revenues.

André Grandier, je te promet sur mon honneur de t'aimer et faire tout ce qui est en mon pouvoir pour te donner la vie que tu mérite, et ce jusqu'à ma mort

Elle se serra un peu plus contre lui. Bouleversée par les paroles qu'ils venaient d'échanger.

Alors André releva son menton et l'embrassa amoureusement, ne la lâchant plus. Ses doutes, ses remords et ses craintes avaient disparus, laissant place à l'envie de tout vivre au présent. Seul importait, le bonheur d'Oscar.
Il la regarda, bouleversé par son propre baiser et, sans lâcher son regard, lui dit:

"Oscar François de Jarjayes, accepte-tu de prendre pour époux, moi André Grandier ici présent."



[SOS Je prête les plombs!!! ]

Oscar ferma doucement les yeux et l'embrassa à son tour, essayant de lui transmettre un peu de son courage qui semblait lui faire défaut en cet instant. elle se serra contre lui et le regarda doucement, un sourire aux lèvres. Mais soudain, son regarda fut surpris.

Par...Pardon???? Tu..viens bien..de me demander en mariage????

elle en resta muette. André venait de lui faire une demande en mariage!!! Elle lui sauta littéralement au cou.

Oui!!! Bien sur que oui idiot!!!

[Ah bah alors Kia, oublie pas tes calmants^^]

[Pas grave micka^^]