Merci Falbala J'avais envie de mettre l'accent petit à petit sur les automatismes de confiance entre André et Oscar qui reprennent leur juste place Et aussi, j'avais envie qu'Alain le constate et soit surpris, finalement il n'y a pas tant de différence de comportement entre les nobles et les autres :p La curiosité est juste humaine.

Je me suis toujours imaginée que dans l'intimité de la vraie amitié, Marie-Antoinette devait être "simple".

J'ai hâte de vous mettre le prochain chapitre car il y a une scène qui me plait beaucoup et qui est écrite depuis longtemps mais il fallait broder autour pour en faire un vrai chapitre

Ce qui m'ennuie c'est qu'ensuite la muse m'abandonne : j'ai un bout de fin, j'ai tout un chapitre en tête à écrire mais page blanche pour le démarrer ... et entre la page blanche et la fin : rien. Elle me pousse vers une autre histoire tsk tsk tsk!

Ah là là ! Vilaine muse !
Mais tu as quand même été très prolifique cet été ! Pour notre plus grand plaisir 
Moi : deux histoires commencées, mais je n’arrive pas à écrire en ce moment.
Falbala 



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Je ne t'oublie pas, je pensais pouvoir commencer à lire cette fic au travail mais cette semaine ça a été impossible, agenda trop lourd.

Alain a tous les talents, il fait sortir Oscar de sa zone de confort et franchement, il est doué. Après avoir déridé André, maintenant Oscar... Que feraient-ils sans lui ??? Parce-que là, c'est du grand Alain, avec quelques phrases, il tape là où ça fait et j'ajouterais qu'il fallait au moins pour secouer une Jarjayes. André aussi n'ait pas en reste, il se fâche, c'est rare de le voir comme ça, mais j'ai bien aimé, ça montre tout l'amour qu'il a pour Oscar.... Super chapitre !

Je savais que cette scène te plairait Ça fait des semaines qu'elle est écrite, elle est sortie pratiquement juste après la toute première partie publiée et c'est limite juste pour "lier" entre les deux que j'ai continué l'histoire :p

Il a clairement le chic pour lire les gens et appuyer là où ça fait mal.

Et André, j'avoue que j'ai beaaaaucoup de mal avec un André qui s’aplatit systématiquement devant Oscar, il l'aime, elle l'aime, ok, mais ils sont égaux et personnellement si l'homme que j'aime me cachait un truc de cette ampleur, y'aurait moyen que je pique ma crise aussi une fois le choc passé.

Citation :

Aujourd’hui, ils devaient aller plus loin, Alain trépignait, ils étaient sur le point de lui mettre le coup de grâce : André allait lui annoncer son intention de la demander en mariage. Il n’y avait aucune possibilité pour qu’elle reste indifférente à une telle annonce, elle allait réagir, c’était obligé !

Pourquoi , POURQUOI ? Je sens venir gros comme une maison que ça ne peut QUE mal finir? 

Citation :

Oscar sanglotait. André fut chaviré par la détresse qui ressortait d’elle. Alain ne comprenait décidément rien à cette femme, elle n’avait jamais la réaction qu’il pensait avoir anticipée. 

Bravo... ><

Citation :

Elle commença alors à tousser, une toux grasse et profonde qui ne cessa pas. Les quintes de toux plus puissantes les unes que les autres la submergèrent, sans pitié. D’Alembert qui passait par là entra dans le bureau, alarmé.

ça non plus j'aime pas, ça sent le sapin ! 

Citation :

André était pétrifié, était-elle malade ? Pourquoi le lui avoir caché ?

Bah pourquoi toi tu lui caches ta cécité imminente   
En fait ça va être déprimant cette histoire, j'ai pas besoin de ça moi   

Citation :

« Oh la vache ! » ne put-il s’empêcher de dire, à la limite de siffler d’admiration.

C'est vraiment le moment , tiens 

Citation :

« Il n’y aura pas de mariage, il n’y a jamais eu de mariage, je voulais juste te rendre jalouse, » avoua-t-il. 

Bon... ça n'a pas eu le temps de mal tourner. Je pensais que l'intrigue allait tourner autour de ça, tu m'as bien eue !

Citation :

Il s’était donné pour mission de les mettre ensembles ces deux drôles et foi d’Alain, il y arriverait.

Tiens, il est du voyage, lui ? ça me plait !

Citation :

La deuxième étape c’était de la remplumer de toute urgence. Elle avait dépassé le stade de la minceur, elle était maigre, presque creuse. On aurait dit l’une de ses femmes du peuple qui manquait de nourriture

Je me demande qui va cuisiner pour elle ? 

Citation :

Alain était toujours là, il était en train de verser du vin dans un verre. 

Pourquoi ça ne m’étonne pas ?   

Citation :

Elle n’osait se l’avouer mais c’était sa chaleur à lui qui lui manquait, ça en devenait ridicule. 

Rhooo, mais c'est meugnon !!!

Citation :

Elle avait trébuché en traversant la cour et il l’avait rattrapée in extremis. 

Il y en a qui n'ont pas eu cette chance   

Citation :

 « Je t’expliquerai, » lui glissa André, prenant conscience de l’air interrogatif de son ami.

Longue histoire, oué....

Citation :

C’était totalement incongru et elle se demanda un instant comment ils en étaient arrivés là ;

Moi aussi... Aurais-je sauté un chapitre?

Citation :

 mais son objectif final était de mourir en le sachant heureux

ça va être dur 

Citation :

« La Reine est en route pour Jarjayes ! » Grand-Mère faillit en lâcher sa louche, la Reine ? Chez le commun des mortels ? Mais quelle mouche l’avait piquée ?

ça c'est une surprise !

Citation :

« Eh bien, quand je pense que tu t’es scandalisé de mon grenier ! » se moqua Alain en chuchotant.

mouhahaha !

Citation :

A l’image de ma maladie, si vous vous décidez à prendre le chemin pour la combattre, peut-être n’est-il pas trop tard pour sauver la France de la ruine. » 

C'est sans doute dejà trop tard mais bon 

Citation :

Maintenant que vous avez compris tout ce qu’il est pour vous, vous jouez à la grande romantique qui s’ignore et on sait très bien que les romantiques ça aime la tragédie, ça court après le sacrifice.

Bien vu !

Citation :

Elle ne savait même pas pourquoi elle avait fait signe à André de quitter l’alcôve à cet instant précis. Ce nom était-il toujours tabou entre eux deux ? Ou avait-elle voulu éviter qu’Alain n’entende le reste de la conversation ? Les deux peut-être ?

Bonne question

Citation :

ensuite, je veux vous voir partir et guérir, m’entendez-vous, c’est un ordre Royal doublé d’un ordre de votre amie. »

Bien joué ! Elle est obligée de partir maintenant !


Bien, maintenant la suite !

Waouh quel commentaire Contente de voir que finalement j'ai réussi à te surprendre, l'opération Georgette n'avait aucune chance de réussite ha ah :p
Ah et dans mon monde de bisounours, l’œil d'André se porte comme un charme (j'ai consenti à parler de la tuberculose faudrait voir à pas pousser mémé dans les orties : ça pique!).
Moui, sauver la France de la ruine à ce stade c'est un peu comme espérer sauver Oscar de la tuberc, oh wait!

En lisant la suite hier soir, je me disais que finalement Alain faisait un bon "love coach"  Il est doué pour lire les gens et les faire réagir ! 
Et dans ce chapitre, nous avons une scène rare : André qui s'énerve parce qu'Oscar lui a caché sa maladie ! ça m'a surpris davantage que la venue de Marie-Antoinette tant c'est rare mais pertinent. On comprend très bien sa réaction parce que la personne que l'on aime qui cache une chose pareille, il y a de quoi réagir fortement, à la mesure de l'amour qu'on lui porte. Cela, dit, au début, je me suis dit : hé oh, mais toi tu ne lui dis rien et ça passe ?! Il ne nous ferait pas deux poids deux mesures notre ami André ? Et puis, j'ai réalisé que dans ton histoire André ne perdait pas la vue. Et je me suis dit que tu allais peut-être nous les sauver. ça m'a mise en joie !!   J'ai beaucoup aimé ce chapitre ! 

Un de ces quatre je vais vous pondre un drama et vous n'allez pas le voir venir :p

Ça pour savoir faire réagir les gens, il sait faire réagir les gens le bougre contente de voir que cette scène avec Alain a marché pour toi, j'ai adoré l'écrire.

Et André fâché, j'ai envie de dire que c'est mérité.

Loufiction a écrit:

Un de ces quatre je vais vous pondre un drama et vous n'allez pas le voir venir :p

Bon la muse dans sa grande bonté a consenti à ce qu'un chapitre arrive Il est en cours de polissage mais devrait arriver aujourd'hui ou demain.

Merci Lady Victoire. Oui, Oscar a frappé un grand coup, il fallait au moins ça, toucher la corde sensible, faire voir et entendre. Comme Alain avec elle finalement.

C'est très original cette idée de vouloir faire ouvrir les yeux à la Reine, je ne crois pas avoir déjà lu ça dans une autre fic. En tout cas, j'aime beaucoup et j'ai vraiment hâte de voir où cela va mener.
En tout cas, André ne se gêne pas pour faire comprendre à Oscar qu'il n'approuve pas tout le mal qu'elle se donne au détriment de sa santé, et on peut le comprendre !

C'est très intéressant d'ajouter à la romance Oscar x André une histoire de France réinventée.

Sabrina a écrit:

C'est très original cette idée de vouloir faire ouvrir les yeux à la Reine, je ne crois pas avoir déjà lu ça dans une autre fic. En tout cas, j'aime beaucoup et j'ai vraiment hâte de voir où cela va mener.
En tout cas, André ne se gêne pas pour faire comprendre à Oscar qu'il n'approuve pas tout le mal qu'elle se donne au détriment de sa santé, et on peut le comprendre !

J'en sais rien   la muse s'amuse avec moi sur cette fic, à la base c'était un one-shot :p
J'aime bien les André qui s'affirment moi :p

Comtesse du Blabla a écrit:

C'est très intéressant d'ajouter à la romance Oscar x André une histoire de France réinventée.

C'est amusant mais c'est dangereux parce qu'en fait la muse m'a soufflé ça et maintenant que c'est là, je ne sais pas du tout quoi en faire :p tsss les muses hein ...

Loufiction a écrit:

Sabrina a écrit:

C'est très original cette idée de vouloir faire ouvrir les yeux à la Reine, je ne crois pas avoir déjà lu ça dans une autre fic. En tout cas, j'aime beaucoup et j'ai vraiment hâte de voir où cela va mener.
En tout cas, André ne se gêne pas pour faire comprendre à Oscar qu'il n'approuve pas tout le mal qu'elle se donne au détriment de sa santé, et on peut le comprendre !

J'en sais rien   la muse s'amuse avec moi sur cette fic, à la base c'était un one-shot :p
J'aime bien les André qui s'affirment moi :p

On se laissera donc surprendre par les décisions de ta Muse !
Et j'approuve totalement pour André !

Loufiction a écrit:

Comtesse du Blabla a écrit:

C'est très intéressant d'ajouter à la romance Oscar x André une histoire de France réinventée.

C'est amusant mais c'est dangereux parce qu'en fait la muse m'a soufflé ça et maintenant que c'est là, je ne sais pas du tout quoi en faire :p tsss les muses hein ...

  j'aime pas quand ça me fait ça. Trop de pression !

J'ai bien une petite idée mais trop facile, à voir comment je l'aborde.

Une idée c'est déjà une idée !

Et avec une piste comme ça, fallait en trouver une :p sacrée muse!

André devient le dominant dans le couple Oscar/André, pour la sauver il est prêt à tout, quitte à se montrer plus dure avec elle. Et en même temps, il veille au point de voir sa défaillance à l'orphelinat et la suivre dans sa chambre.

MA est ds de bonnes conditions et pourtant elle ne peut s'empêcher de reprendre son rôle de souveraine, elle voit enfin la misère du peuple.... après a voir ce que cela va donner. Ce n'est pas en donnant quelques sous qui vont changer grand chose, là c'est tout un monde qu'il faut remettre à jour et je ne crois pas que certains sont prêt à perdre tous leurs pouvoirs....

André est prêt à tout pour la sauver, quitte à l'affronter.
Marie-Antoinette a vu, a constaté, maintenant a-t-elle le pouvoir d'agir? Elle est reine mais à cette époque, avait-elle un réel pouvoir?

J'ai particulièrement aimé la partie où la Reine prend conscience de ce que vivent ses sujets. La scène de l'orphelinat en particulier. J'aime bien me dire que ça aurait pu se passer comme ça. Ensuite la question est : malgré sa prise de conscience, la Reine peut elle encore empêcher qqc ? Il y a beaucoup d'intérêts et de logiques en jeu. Je suis curieuse de voir ce que tu vas en faire
Sinon, en lisant la partie sur Oscar, je n'ai pas pu m'empêcher de faire le lien avec ce que tu as vécu avec le virus. 
En très bon chapitre, comme toujours

Lénie a écrit:

J'ai particulièrement aimé la partie où la Reine prend conscience de ce que vivent ses sujets. La scène de l'orphelinat en particulier. J'aime bien me dire que ça aurait pu se passer comme ça. Ensuite la question est : malgré sa prise de conscience, la Reine peut elle encore empêcher qqc ? Il y a beaucoup d'intérêts et de logiques en jeu. Je suis curieuse de voir ce que tu vas en faire
Sinon, en lisant la partie sur Oscar, je n'ai pas pu m'empêcher de faire le lien avec ce que tu as vécu avec le virus. 
En très bon chapitre, comme toujours

Pour être tout à fait honnête, la scène de l'orphelinat est inspirée d'un téléfilm que j'ai regardé, une petite pépite que je ne pouvais pas laisser passer. La muse m'a soufflé ça et maintenant elle se marre façon "eh oh j'ai soufflé l'idée, tu l'as écrite maintenant tu te débrouilles". Ingrate.

J'avoue que oui, la scène d'Oscar est très fortement inspirée de ma propre expérience. Pas du tout la même maladie mais je me suis dit que les impressions devaient être assez proches.

Je viens de lire toute ta fic aujourd'hui. C'est le calme avant la tempête mais ça a du du bon de ne m'occuper que de moi. le téléphone sonne, ce n'est pas le mien je ne m'en occupe pas.

J'adore cette histoire, surtout l'idée qu'Oscar a pleine conscience de ses sentiments et qu'elle souffre de voir André avec d'autres femmes. Quand se décidera t-elle a enfin parler à coeur ouvert avec André ? elle envoie des signaux, André est réceptif mais il reste sur la réserve.

J'ai bien aimé cette visite de la reine en tant qu'amie à Jarjayes et aussi la visite des bas quartiers avec Oscar afin de voir de ses propres yeux la souffrance de son peuple.

J'ai hâte de lire la suite.

J'essais de rattraper un peu de mon retour alors qu'avons-nous là? Une jolie petite lecture en ce jeudi matin. La muse t'a joué un sacré tour il faut croire hahaha.

J'aime bien la place que tu as donné à Alain et la couleur que tu donnes à André dans cette histoire. Il prend sa place c'est beau à voir, et il s'exprime. La scène où il est en colère sur le balcon est particulièrement parlante.

La visite de Paris par la reine va donner un sentiment de mission accompli à Oscar maintenant, elle le dit elle pourra partir en paix. (Partir en Provence hein pas partir au sens large lollll haha  ) 

J'attends la suite avec impatience

Merci Marina, contente de te voir découvrir cette histoire Oui la muse est un sacré numéro.
Là elle me souffle plein d'idées mais je suis tellement lessivée que le soir je me force à manger et j'expédie ma fille pour pouvoir aller dormir :/
Hier j'étais au lit avant 22h.

Sinon, bon bah Alain, comment dire quoi, c'est plus vraiment une surprise que je lui déniche un rôle sympa dans beaucoup de mes histoires :p

André, c'est comme ça que je l'aime, il m'agace l'André qui s’aplatit et n'ose rien dire. Je me suis toujours dit qu'il prenait ses libertés avec elle, encore plus une fois à "égalité". La scène où il se fâche j'ai eu peur d'être trop "il lui apporte une rose et dans la seconde qui suit pète les plombs, est-ce que c'est réaliste?" Finalement ça semble être cohérent

La Reine, bah voilà, c'était une lubie de la muse :p jsais pas ce qu'elle prend mais m'en faudrait

Je suis coincée, j'ai un morceau de la suite, un morceau de la fin et rien entre. Vraiment trop fatiguée pour continuer, les douleurs articulaires sont de retour et mes doigts morflent saleté de virus de mes fesses!!!

 pour le covid !

Allons y en chœur contre ce    Covid 

Z'êtes des choux à la crème

Loufiction a écrit:

A peine arrivée dans ses appartements, elle avait détaché le fourreau supportant son épée les laissant se fracasser au sol, puis s’était dirigée vers sa chambre, se laissant lourdement tomber sur son lit, ne prenant même pas le soin d’ôter sa veste ou ses bottes tant elle était lasse. Et pourtant elle mourait d’envie de la déboutonner cette veste car elle se sentait oppressée dedans. Elle avait l’impression que ses respirations ne lui suffisaient plus pour retrouver son souffle. Elle pouvait suivre le circuit de l’air qu’elle inspirait car tout n’était que douleur, brûlure et inconfort. Et si jamais il lui venait l’idée de respirer plus profondément, cela se terminait invariablement par une quinte de toux. Et si elle toussait, elle risquait à tout moment de revoir le sang qui la terrorisait et ce goût métallique caractéristique qui lui donnait la nausée.

Il ne fallait pas dormir c’était pourtant simple. Dormir, c’était prendre le risque qu’il n’y ait plus de lendemain, dormir c’était laisser le champ libre à la maladie. Si elle dormait elle baissait sa garde, elle ne pouvait pas combattre en dormant. Si elle fermait les yeux, ne risquait-elle pas de ne jamais les rouvrir ? Si elle se laissait aller à la faiblesse d’un sommeil qu’on lui promettait réparateur, qu’en serait-il vraiment ? Il lui semblait au contraire que le sommeil était fourbe, qu’il l’assassinait à petite dose nuit après nuit tant elle se réveillait abattue de fatigue.

Ce passage est particulièrement réaliste et bien écrit et je crois savoir pourquoi...

Loufiction a écrit:

Devrait-il se faire passer pour son frère ? C’était le plus simple après tout,

Hmmmm mauvaise idée, s'ils se mettent ensemble ça risque de faire glauque lol

Loufiction a écrit:

Et lui, bienheureux receveur de ce corps contre lui, se devait-il le lui rappeler au risque qu’elle ne s’écarte avant même qu’il n’ait eu le temps d’en profiter suffisamment ? Après tout, le repas pourrait bien attendre quelques divines minutes de plus, pourquoi s’en priver alors qu’elle le lui offrait bien volontiers. Enhardi, il passa un bras autour de sa taille, lorsqu’il la sentit entourer la sienne de ses bras, la tête posée sur son torse.

« Merci André, grâce à toi j’ai vraiment pu me reposer, » annonça-t-elle finalement, avant de s’écarter, le regardant avec un sourire. « Je suppose que nous devons descendre dîner sans quoi Grand-Mère va venir nous chercher à grands coups de louche et je n’y tiens pas. » Elle venait de passer ses jambes dans le vide du côté du lit et se leva d’un coup, présumant largement de ses forces. Elle voulut se raccrocher au baldaquin qui était sur sa gauche le temps que le vertige qui s’était saisi d’elle passe mais se retrouva à nouveau contre le corps d’André. Il s’était évidemment précipité à sa rescousse dès qu’il l’avait vue vaciller.

« Ne te lève pas trop vite Oscar, tu as beau être une personne très forte, ton corps est affaibli en ce moment, » la gronda-t-il gentiment.

C'est très attendrissant cette façon qu'il a de prendre soin d'elle.

André est vraiment trop mignon et dévoué dans ce chapitre , j'adore !

J'ai lu hier soir avant de dormir, je ne commente que maintenant. J'ai trouvé très réaliste et concrète la première partie sur la maladie d'Oscar. 
Ensuite j'ai surtout été frappée par l'amour entre elle et André. Ils sont beaux. J'aime la façon dont elle s'endort sitôt qu'il lui prend la main. J'aime également les interrogations d'André sur la façon dont ils vont se présenter aux autres, sur le fait de trouver un médecin qui accepte de garder le secret etc. 
On a très envie de voir Oscar vivre  !

Je suis tout à fait d'accord sur le réalisme de ce chapitre. On partage l'angoisse d'Oscar, tout ce qu'elle ressent est très tangible.
J'aime beaucoup la façon dont André se rend compte qu'oscar est loin de faire un caprice, mais qu'elle a réellement besoin de lui.
Et j'aime aussi beaucoup toutes ces réminiscences de leur enfance, ça donne un doux parfum de nostalgie.
En tout cas j'ai vraiment envie qu'elle se batte pour vivre, et bien sûr tant qu'à faire, qu'elle gagne la bataille !