Arlène a écrit:

Sinon dans un autre registre, je viens de commencer les premières pages du [i]Symbole Perdu de Dan Brown. J'avais bien aimé le Code da Vinci, donc why not ?

j'avais bien aimé "Da vinci code" aussi donc j'ai tout de suite dit "oui" quand une copine m'a proposé de me prêter "Anges et démons". Eh bien, j'ai tenu jusqu'à la page 300... ( lecture accélérée à partir de la page 200) mais là, je renonce, ça me gonfle vraiment de trop, je n'accroche pas du tout ! ( et autant j'avais aimé Robert Langdon, dans "Da vinci...", autant ici, je ne le supporte pas pourtant c'est le même bonhomme !!), allez comprendre ?

donc, je vais lire "Roméo et Juliette" à la place... un classique tellement classique qu'il ne m'est jamais venu à l'esprit de le lire pour n'en avoir que trop souvent entendu parler !! Il est temps que je vérifie si les "on dit" sont vrais !!

Tu nous parleras des ''on-dits'' ( pour nous, ça fera un "on-dit" de plus ), et je te dirais ce que je pense du Symbole Perdu. Parfois certains auteurs sont bons sur un seul livre et les autres livres sont de pâles imitations. Pour l'instant, je ne peux rien dire, je viens juste de commencer ^^

Je viens d'entamer le tome I de "Philosophie des sciences" de Daniel Andler, Anne Fagot-Largeault et Bertrand Saint-Sernin.

J'ai à peine lu une soixantaine de pages (le seul tome I en compte plus de 650 !) et je me demande vraiment si j'arriverai au bout. Non que cet ouvrage soit inintéressant, loin de là, mais je dois plonger dans le dictionnaire toutes les trois ou quatre phrases. Je manque nettement et de vocabulaire et de culture philosophiques pour le lire aisément.

Mais je m'accroche !

Courage

J'ai fini renaissance hier

bha koi yavait que 460 page facile à lire en 2 soir
jai aimé auitant que les chevaliers D'émeraude, vraiment c'est aussi bon
Et j'attends la suite avec impatience là ^^

Gloutonne va

Je suis toujours dans le tome I de "Phisolosphie des sciences" mais j'arrive presque à la moitié !

J'ai l'impression que, quand j'aurai fini le tome II, je serai bonne pour relire le tout afin de vraiment l'appréhender ! C'est un ouvrage passionnant, très dense, que je ne peux guère apprécier avec cette lecture hachée, coupée d'explorations régulières du Larousse en vingt volumes et de wikipédia.

Parfois, il y a des livres qu'il faut relire plusieurs fois

Personnellement, je ne me suis pas trop cassé la tête Je viens de terminer Le Symbole Perdu de Dan Brown. On met un peu de temps à rentrer dans l'intrigue, mais après on repart pour quelque chose qui joue avec les symboles, l'histoire, et l'architecture comme le fait le Code Da Vinci. Ce n'est pas de la grande littérature, mais ce n'est pas désagréable à lire. Mais il manque un je-ne-sais-quoi qui fait qu'à mon sens on ne retrouve pas le suspens du Code da Vinci. Peut-être parce que quand on a lu le CDV, on connaît les principes qu'utilise l'auteur et donc la surprise est moindre. Ceci dit, lecture agréable.

je lis actuellement fin de partie de Samuel Beckett.

c'est une pièce de théatre ecrite après la seconde guerre mondiale où l'on voit quatre personnages, peu vraisemblable, qui sont désabusés devant tant de cruauté et qui ne croix plus en rien, ni en l'homme, ni en la vie. c'est une pièce subtile dont la deuxieme lectuere permet de bien comprendre le contenue profond.
c'est aussi la deuxieme piece de samuel beckett, sa première etant en attendant Godot, que vous connaissez peut etre.

Je relis Le Mystère des Dieux de Bernard Werber

moi j'attends samedi, jour où l'on va me prêter Roméo et Juliette... en attendant je lis mes cours !

est-ce que quelqu'un connait les livres de l'américaine Elizabeth Peters ? parce qu'il n'existe qu'un seul forum français qui lui est consacré et... ce forum est plutôt mort et ne me donne pas envie de m'inscrire ! Il ne s'anime qu'une fois par an, apparemment, quand un nouveau roman sort... donc je voulais savoir si je pouvais en parler avec quelqu'un sur ce forum-là ( infiniment plus vivant et pourtant, ça fait des années que LO, c'est fini ! ) voire même poster la fic que j'avais écrite à ce sujet mais faut que je sache si je vais monologuer ou pas !

Je ne connais pas mais tu peux toujours nous en parler et poster ta fic : ça nous donnera peut-être envie de le lire .
En ce qui me concerne, pour l'instant, je vais me plonger dans Orgueil et Préjugés et Anges et démons. Et dans le registre enquête, je viens de finir Rapt de Nuit de Patricia Mac Donald. Pas de la grande littérature mais agréable pour se vider la tête, même s'il y a beaucoup de clichés et que l'intrigue ressemble assez à ce qu'elle a l'habitude d'écrire. Vi, vi, je sais, parfois je ne suis pas très critique ; j'avais envie d'être bon public

phanie a écrit:

je lis actuellement fin de partie de Samuel Beckett.

Fin de partie !
C'est une pièce dans laquelle j'ai joué le rôle de Nell il y a une dizaine d'années. J'avais un maquillage dans les tons gris avec plein de rides qui était plutôt long à réaliser et je passais toute la pièce dans une grande poubelle.
Un excellent souvenir et un superbe texte !

Je ne connais pas non plus Elysabeth Peters mais vas y!! fais nous partager, c'est toujours bien de découvrir!!

Heu... il faut que je corrige ce que mon dernier post, finalement, c'est L'attrape-coeurs ^^ Oui, je sais, shame on me, je ne l'ai pas lu.. Bah, on ne peut pas tout faire

Le reste, ce sera pour après ...

Sinon Maylïs, j'apprends avec plaisir que toi aussi tu as fait du théâtre. Moi aussi dans mes jeunes années, c'était une vraie passion.

maria a écrit:

est-ce que quelqu'un connait les livres de l'américaine Elizabeth Peters ?

Moi non plus, je ne connais pas cet auteur. Mais, comme Arlène et Mamzelle Rosalie, je suis toujours partante pour en découvrir de nouveaux.

Sinon, question lecture, j'entame le tome II de "Philosophie des sciences". Je crois que je vais finir par arriver au bout !

Toujours sur le même "Marc Lévy" pour le métro et à la maison "Interaction" de la Lionne! j'ai du retard!!! je ne suis qu'aux écrits de janvier 2009... si j'avis une imprimante, j'imprime tout pour lire dans le métro!! trop envie de savoir ce qui va se passer ensuite!! chut! chut! ne me dites rien!

voilà, alors je me suis fait un petit plaisir personnel à vous écrire quelques mots ( juste une mise en bouche aussi succincte que j'aie pu le faire... dur dur !!! )


Elizabeth Peters ou Barbara Michaels, (de son vrai nom Barbara Mertz !) un fameux écrivain des Etats-Unis initialement diplômée d’un doctorat d’égyptologie ( en 1952) qui a reçu des prix pour ses livres. Elle a écrit aussi bien de la documentation sérieuse ( sur l’Egypte et Rome) que de nombreux romans ( je les ai comptés : 66 exactement ) dont 2 séries traduites en français : la série des Amélia Peabody et la série des Vicky Bliss ( Vicky qui est une descendante d’Amélia, c’est révélé au 7ème tome de la saga ! ).

La série dont je veux vous parler est celle des Amélia Peabody ( bien que pour ma part, je préfère parler des « Ramsès », vous comprendrez si vous lisez un peu plus bas), traduite en 12 langues, qui est un moyen pour l’auteure de vulgariser l’égyptologie, sa grande passion. Amélia est le nom de son héroïne principale, que l’on suit sur 18 tomes ( bientôt 19 puisque le prochain volet sort le 10 avril aux Etats-Unis alors que tout le monde croyait que c’était fini !!! ) de sa rencontre avec son futur époux jusqu’à ses vieux jours en traversant les époques de la vie (elle devient mère puis grand-mère) et pas mal de péripéties !!!

Le cadre de la série c’est l’Angleterre victorienne ( premier tome se déroulant en 1885-1886) et l’égyptologie à son époque florissante( jusqu’en 1922 date de la découverte de la tombe de Toutânkhamon). Amélia épouse en effet un égyptologue ( et pas le moindre : le meilleur de tous les temps, tant qu’à faire !... et si je peux me permettre un commentaire, il n’y a pas qu’en égyptologie qu’il est le meilleur !!! ), le professeur Emerson qui va lui communiquer le goût de cette terre de sable, goût communiqué également à leur fils, Walter ( surnommé « Ramsès » et vous apprenez-là pourquoi ou POUR QUI je dévore ces romans !!! Parce que si Emerson est génial, vous n’avez pas encore vu quel genre d’homme va devenir son fils !!!!) et leur fille adoptive… ainsi qu’au meilleur ami de Ramsès, un autre enfant adopté. Et vous avez là l’équipe de fouilles au complet, aidée sur place pour les gros travaux d’excavation par des égyptiens recrutés sur le tas mais toujours commandés par le même raïs : Abdullah, vieux patriarche respectable et respecté des Emersons ( je ne vous raconte pas les torrents de larmes que j’ai versées quand il est mort !!!). Après il y a tous les personnages dits «secondaires » mais très importants et très attachants mais je vous épargne la liste… pour le moment !

Alors ces 18 tomes sont tous construits de la même manière : ils débutent à la saison des fouilles ( septembre-octobre) date à laquelle les Emersons quittent l’Angleterre pour le sîte égyptien de la saison ( pas toujours le même, bien qu’ils finissent par se fixer dans la vallée des rois dans laquelle il y a tant à faire ! ). Sur place, ils auront chaque année à affronter un ennemi différent – toujours un criminel – qui auront néanmoins la particularité d’être tous ( ou presque) liés à Sethos, l’ennemi juré d’Emerson puisque ce baron du crime commet le sacrilège de faire du trafic de fausses antiquités ( et en plus, il est amoureux d’Amélia lui aussi, donc cherche à la séduire sans arrêt, ce qui rend Emerson particulièrement jaloux !!). L’affaire dure en général toute la saison, jusqu’en avril, date du retour de la petite famille dans leur maison du Kent.

Ce sont des romans policiers, donc de l’action et du suspens mais qui réservent des passages très pointilleux sur tout l’aspect égyptologie- mise en scène de véritables égyptologues d’époque, explication de techniques de fouille ou mythologie ( agréable pour se cultiver) - et donne des informations historiques sur le vieux Caire et ses coutumes, les mœurs des habitants, et très poétique dans les descriptions données du pays notamment des couchers de soleil sur le désert… On a aussi du vocabulaire riche ( pour les amoureux des mots ! ) mais également beaucoup d’humour ( grâce à Emerson et son fichu caractère, Ramsès et son… pff non, Ramsès dans sa totalité !!, Amélia et ses aphorismes ). Comme on suit l’évolution d’une famille, on a bien évidemment une trame romanesque qui se développe aussi, les liens entre les personnages qui se tissent ou au contraire se distendent, on a des révélations insoupçonnées également et on suit les histoires de cœur des enfants qui grandissent ( ah mon dieu, l’histoire de cœur de Ramsès est pire que celle de Roméo et Juliette !!!).

Autre particularité et non des moindres, les romans sont présentés comme la réunion des journaux intimes qu’a tenus Amélia de son vivant donc le récit est de son point de vue interne. Mais, à partir du tome 9 ont été rajoutés des « manuscrits H », passages généralement peu longs, dans lesquels nous connaissons les pensées de Ramsès ( qui a atteint ses 16 ans) et ses agissements dont il se garde bien d’informer sa mère ( sinon elle aussi aurait développé le syndrome de Marie-Antoinette ! )

Voilà pour le cadre.

Je vais m’arrêter là, pour ne pas vous ennuyer si ça ne vous plait pas mais si ce descriptif sommaire ( ça fait une page word et pourtant je n’ai absolument rien dit encore !!) vous a attiré, je pourrais vous présenter les tous personnages la prochaine fois ? et vous donner les meilleurs citations de Ramsès pour que vous cerniez le personnage, vous parler d’Amélia (parce qu’elle est excentrique) et vous expliquer aussi les problèmes de la traduction française et des droits d’auteur, vous parler du titre introuvable, des chats, … ou pas, ce sera à vous de m’arrêter, moi une fois que je suis lancée...

Des romans policiers historiques ! J'adore !
Je suis passée complètement à côté de cette série. Et Dieu sait que j'en lis !
Merci, Maria, de nous avoir parlé de cet écrivain. Je vais essayer de me procurer ses livres.

Le dernier que j'ai lu dans ce genre est "Assassins et poètes", dans la série des enquêtes du Juge Ti, signé Robert van Gulik.

Moi j'essaye de me trouver "l'enfer de dante"

Maïlys, j'espère que tu vas les trouver mais je pense que tu devras les commander car c'est tellement peu connu en France qu'ils n'exposent que le dernier tome paru en général ( quand ils ont le nom de l'auteur en rayon et c'est pas évident !!).

C'est au rayon des romans policiers et le premier tome s'appelle " UN CROCODILE SUR UN BANC DE SABLE ". Faut que tu regardes l'ordre des tomes sur Wikipédia car les livres ne sont pas numérotés et sont présentés entre-eux par classement alphabétique des titres ( pas très intelligent !) donc les non-initiés n'ont aucun moyen de savoir quel tome se lit avant quel autre !
Mais le tome le mieux ( le N° 11 ) est introuvable, épuisé !! ( normal, il est trop génial !!!), ce qui fait de mon exemplaire une relique que je manipule avec vénération !! Mais le temps que tu lises les 10 premiers, il sera peut-être réédité ?

sinon, j'ai commencé " Richard III" de Shakespeare ( parce que c'était vendu dans le même tome que "Roméo et Juliette" et que cette pièce vient avant l'histoire de nos célèbres amants donc je lis dans l'ordre du livre ! dans la plus pure logique des choses... ou un esprit conventionnel le plus parfait... moins glorieux à avouer mais c'est la triste vérité !!! ) et donc, refermons cette parenthèse beaucoup trop longue (quoique j'ai déjà fait pire à une copine... une page et demi de parenthèses qui comportait elle-même d'autres parenthèses !!) je dois dire que ça m'a l'air pas mal du tout même si je n'en suis qu'au début !

maria a écrit:

Maïlys, j'espère que tu vas les trouver mais je pense que tu devras les commander car c'est tellement peu connu en France qu'ils n'exposent que le dernier tome paru en général ( quand ils ont le nom de l'auteur en rayon et c'est pas évident !!). [...]
Faut que tu regardes l'ordre des tomes sur Wikipédia car les livres ne sont pas numérotés et sont présentés entre-eux par classement alphabétique des titres ( pas très intelligent !) donc les non-initiés n'ont aucun moyen de savoir quel tome se lit avant quel autre !
Mais le tome le mieux ( le N° 11 ) est introuvable, épuisé !! ( normal, il est trop génial !!!), ce qui fait de mon exemplaire une relique que je manipule avec vénération !! Mais le temps que tu lises les 10 premiers, il sera peut-être réédité ?

Bon, je vais m'accrocher et écumer tous les sites. Un grand merci pour tes conseils.
de temps en temps, o,n se demande vraiment ce que les éditeurs ont dans la tête.

maria a écrit:

sinon, j'ai commencé " Richard III" de Shakespeare. [...] Je dois dire que ça m'a l'air pas mal du tout même si je n'en suis qu'au début !

Je dois dire que Shakespeare est l'un des auteurs qui me font regretter de ne pas lire couramment l'anglais dans le texte. Je rêverais de pouvoir apprécier dans leur langue, et ses grandes pièces, et ses sonnets.

Vais enfin prendre mon courage à deux mains et attaquer ce pavé de plus de 1200 pages qu'est "le comte de Monte Cristo".; vu que j'ai adoré les Trois mousquetaires et 20 ans après, ça devrait passer comme une lettre à la poste!

Ah ! Le Comte de Monte Cristo ! Je lui dois quelques belles nuits blanches de mon enfance !

J'ai terminé le tome II de "Philosophie des sciences" !
Je souffle jusqu'à la fin du mois puis je le relis tant que les notions que j'ai assimilées sont fraîches. Je pense que cette seconde lecture sera beaucoup plus aisée et profitable.

En ce moment, je lis deux livres un peu techniques :
- L'écrit web : traitement de l'information sur internet / J. Rosnez. - Paris : CFPJ éditions, 2007. - ISBN 978 2 3530 7005 3. - 126 p.
- Un point c'est tout ! : la ponctuation efficace, troisième édition / J.-P. Colignon. - Paris : Victoires éditions, 2004. - Coll. Métier journaliste. - ISBN 978 2 908056 80 1. - 132 p.
Le CFPJ est le Centre de Formation et de Perfectionnement du Journalisme.

Ils ont l'air un peu rébarbatifs mais ne le sont pas du tout. Ils se lisent facilement et sont très intéressants. Personnellement, j'ai une formation littéraire "classique" et écrire des articles, pour le web ou non, est totalement différent d'écrire un roman. J'apprends des tas de choses utiles.
Quant à la ponctuation : je savais que c'était un art difficile, mais j'étais loin de me douter de sa complexité !

purple velvet a écrit:

Vais enfin prendre mon courage à deux mains et attaquer ce pavé de plus de 1200 pages qu'est "le comte de Monte Cristo".; vu que j'ai adoré les Trois mousquetaires et 20 ans après, ça devrait passer comme une lettre à la poste!

oh que oui ! j'ai adoré autant l'un que l'autre ! tu es partie pour plus de 1200 pages de pur bonheur !! bonne lecture !


Maïlys

Citation :

J'ai terminé le tome II de "Philosophie des sciences" !
En ce moment, je lis deux livres un peu techniques :
- L'écrit web : traitement de l'information sur internet
- Un point c'est tout ! : la ponctuation efficace,

ce genre de livres, tu les ranges dans la catégorie "lectures plaisir" ou lectures utile" ? ou lectures proessionnelles ?

maria a écrit:

voilà, alors je me suis fait un petit plaisir personnel à vous écrire quelques mots ( juste une mise en bouche aussi succincte que j'aie pu le faire... dur dur !!! )(...)
...si ce descriptif sommaire vous a attiré, je pourrais vous présenter les tous personnages la prochaine fois ?

J'ai pris le temps de te lire, j'aime les policier mais je ne suis pas férue d'Egypte ou d'archéologie, et pourtant... ta manière de raconter me donne l'eau à la bouche!! alors moi je suis pour en savoir davantage sur l'histoire, les personnages...

maria a écrit:

Maïlys

Citation :

J'ai terminé le tome II de "Philosophie des sciences" !
En ce moment, je lis deux livres un peu techniques :
- L'écrit web : traitement de l'information sur internet
- Un point c'est tout ! : la ponctuation efficace,

ce genre de livres, tu les ranges dans la catégorie "lectures plaisir" ou lectures utile" ? ou lectures professionnelles ?

"Philosophie des sciences", je l'ai lu pour mon plaisir et aussi pour approfondir mes connaissances dans le domaine de la philosophie. J'ai beaucoup de choses à y découvrir.

Les deux autres sont au départ des lectures plutôt liées à ma vie professionnelle. Le premier appartient d'ailleurs à notre petit fonds interne sur l'infodocumentation. Le second est à moi. L'axe est journalistique mais l'art de la ponctuation me sera aussi utile dans mes écrits personnels. Même si le Grévisse, qui reste ma référence, est déjà une mine d'or en la matière.
Ceci dit, j'ai vraiment pris du plaisir à les lire. Comme quoi...

J'aime beaucoup mélanger les genres dans mes lectures, et apprendre, ce qui demande parfois un effort au début, comme pour "Philosophie des sciences".
Il ne m'est pas toujours facile de faire la distinction entre lectures "plaisir", "utile" et "professionnelle". Le mieux, c'est quand les deux dernière catégories rejoignent la première ! :flower:
Cela n'arrive pas toujours mais je regrette rarement de m'être plongée dans un domaine, même si je ne persévère pas. Quant aux lectures professionnelles, elles sont de toutes manières indispensables dans un métier en constante évolution, ne serait-ce que par son côté technique. Ce n'est qu'en maîtrisant celui-ci que l'on peut concevoir produits et services intéressants pour les utilisateurs de nos bases de données et de nos sites. Et ce type de réflexion et de création est passionnant !

Pour tout dire, je suis du genre à vraiment lire tout ce qui me tombe sous la main !

Vorace C'est bien d'arriver à rejoindre ''lectures plaisir'' et ''lectures professionnelles''.

Perso, je ne mentionne que mes lectures plaisir : je segmente plus. Là, je viens de commencer Orgueil et Préjugés. Et oui, encore un que je n'avais pas lu

Maïlys a écrit:

Pour tout dire, je suis du genre à vraiment lire tout ce qui me tombe sous la main !

au début, j'avais cet esprit là aussi et puis je me suis rendue compte que je n'appréciais pas lire un livre et découvrir que ça ne me plait pas car je n'aime pas ne pas lire un livre en entier... ça me perturbe !!! ( je me sens mal à chaque fois que je le fais... c'est comme si je commettais un crime !!! je suis parfois rongée par le remord, alors je re-ouvre le livre et me force à lire... un supplice tant ça ne me plait pas !!!

du coup, je passe parfois beaucoup de temps à lire les résumés, relire, m'intéroger sur la première page pour savoir si ça vaut le coup de me lancer dedans ou pas... pour tenter de savoir si je vais tenir jusqu'au bout ou pas... je me sens traitresse à la lecture quand je saute une page ou que je fais de la lecture rapide alors j'essaie de me renseigner avant pour savoir si je vais être loyale ou rebelle !!

maria a écrit:

je me suis rendue compte que je n'appréciais pas lire un livre et découvrir que ça ne me plait pas car je n'aime pas ne pas lire un livre en entier... ça me perturbe !!! ( je me sens mal à chaque fois que je le fais... c'est comme si je commettais un crime !!! je suis parfois rongée par le remord, alors je re-ouvre le livre et me force à lire... un supplice tant ça ne me plait pas !!!

Je comprends tout à fait, Maria. Pour moi aussi, un livre ouvert est un livre à terminer. Dans le cas où je n'accroche pas, j'essaie de comprendre au fur et à mesure de la lecture ce qui me rebute (le style, le fonds, les personnages, les situations convenues...) et de l'analyser. Je le considère vraiment comme un exercice profitable au métier d'écrivain. Cela "positive" le pensum et j'en retire assez souvent des enseignements très utiles.

Sinon, je viens de replonger dans la lecture de Britannicus.
Depuis quelque temps, me trotte dans la tête l'envie de mettre en scène cette pièce avec des comédiens ayant l'âge réel des personnages historiques, c'est-à-dire 15 ans pour Britannicus, 18 pour Néron et 39 pour Agrippine.
Je guigne bien sûr ce dernier rôle.
Je relis très régulièrement la pièce depuis quelques mois et ce projet mûrit lentement. Un certain nombre de choses se mettent en place mais il me reste beaucoup de travail et de réflexion avant de songer à passer à une éventuelle réalisation.
J'adore avoir ainsi des projets un peu fous...

Arlène a écrit:

Là, je viens de commencer Orgueil et Préjugés. Et oui, encore un que je n'avais pas lu

Je ne connaissais pas du tout Jane Austen (enfin, juste de nom) jusqu'à l'année dernière. Une amie m'a alors prêté tous ses livres que j'ai dévoré l'un après l'autre.
Le plus extraordinaire est que ces héroïnes se ressemblent beaucoup et que pourtant j'ai pris autant de plaisir à lire son premier roman que son dernier. Ses personnages secondaires sont savoureux et ses ouvrages fourmillent d'anecdotes que l'on sent vécues.

Tu me donnes envie de relire l'un ou l'autre.

Là je n'en suis vraiment qu'au tout début. Donc trop tôt pour donner un avis. Mais je suis contente de savoir que tu as adoré Jane Austen : ça promet

kelas let's dance instrumental de l'ost du film FMA

j'ai fini Richard III et j'ai commencé Roméo et Juliette. J'ai trouvé RIII beaucoup plus compliqué à comprendre, moins facile à suivre pourtant les répliques dans R&J sont tout aussi lyriques, ce n'est donc pas la faute du texte... peut-être parce que RIII parle de politique

j'avais entendu parler, je sais maintenant ce qu'est " la langue de Shakespeare" et c'est très plaisant ! :jjhtr:

:Star: :Star: :Star:

pour Mamzelle Rosalie, j'ai voulu faite une petite présentation des personnages des "Amélia Peabody" mais impossible de présenter les personnages en trois lignes parce qu'ils ont tous une personnalité complexe, ce qui les rend riches, attachants et fascinants, très vivants... ça fait donc tout ce qui suit... et encore, j'ai essayé de ne dire que des généralités !


Au niveau de l’histoire :
Chaque tome peut se lire indépendamment ( une mini présentation de la série et des personnages est toujours faite à chaque volet) puisqu’ils traitent tous d’une affaire criminelle particulière ( un cadavre, une antiquité volée, une pyramide secrète dont on veut éloigner les héros,… ).
Mais la chronologie c’est une affaire par année ( pas toujours le cas, mais le plus souvent c’est comme ça).

Présentation du tome 1 :
Un crocodile sur un banc de sable. 1887, assise sur une chaise longue dans le jardin de sa maison du kent, Amélia prend la plume pour nous raconter son histoire : Retour en 1884. C’est la rencontre entre les touristes Amélia et son amie Evelyn avec les frères Emersons qui font fonder « le clan Emerson ». Amélia rencontre son futur époux au musée de Boulaq, au Caire, rencontre détonnante, ce qui fait qu’elle prévoit de s’arrêter sur le sîte qu’il fouille quand elle passera à proximité au cours de sa croisière sur le Nil. Mais les deux femmes se retrouvent embarquées dans l’aventure criminelle que vivent les deux frères à Amarna. Comme ils vont tous frôler la mort à cause d’une momie-fantôme qui semble vouloir éloigner les égyptologues de leur sîte, les liens se tissent... A la fin du tome, on revient en 1887 et Amélia révèle qu'elle va bientôt accoucher.

Amélia Peabody-Emerson.
La narratrice. Riche bourgeoise de la deuxième moitié du XIXème siècle, elle n’est ni fleur bleue, ni conformiste ( elle ne suit pas la mode « stupide et inconfortable» des femmes du monde, elle dit ce qu’elle a à dire aux hommes même quand on ne lui demande pas son avis mais reste tout de même fidèle à son éducation : il faut aller à l’église, il faut bien se tenir en société, il ne faut pas faire d’esclandre devant les domestiques, etc.) : c’est une femme indomptable, qui a de l’audace, un sens de la répartie bien développé, un humour mordant… en bref, pour l’époque, c’est un homme !!
Munie d’un « esprit supérieur », elle en a parfaitement conscience et aime le faire savoir ! D’ailleurs, elle sait tout et mieux que tout le monde, ce qui, selon les situations, agace ou fait sourire mais grâce à cela, le récit n’est jamais plat ! Du coup, elle a rarement tort, ce qui ne l’empêche pas d’avoir des positions bien arrêtées, même des a-priori communs aux "Blancs" de son temps. Elle milite pour la reconnaissance des femmes avant l’heure ( pour celles qui sont compétentes, du moins ! ) et elle ne manque jamais de faire la morale à tout individu qu’elle croise…elle a donc peu d’amis !!!
Bien que petite, elle a un physique sévère (cheveux noirs retenus dans un chignon très serré et yeux gris acier) qui impressionne, ce qui fait que les femmes étouffées par leurs maris l’admirent, que les hommes imbus d’eux-mêmes la méprisent et que les faibles d’esprit en ont peur.
Elle est férue de psychologie, elle aime la poésie mais c’est avant tout une femme à l’esprit pratique ; sa sensibilité est très enfouie, sauf pour son mari, là, elle ne cache jamais son adoration (son adulation même !) pour lui.
Elle est connue pour ses ombrelles spéciales : avec une crosse en acier pour assommer les ennemis si besoin et une lame dissimulée dans la tige qui sert d’épée, en cas de besoin, également.
Possédant des notions médicales de premiers secours, elle est surnommée la « Sitt Hakim » par les Egyptiens, « la femme-docteur ». Les Egyptiens croient aussi que son ombrelle est magique, ce qu’elle ne démentira jamais !

Emerson
Le professeur Radcliffe Emerson, que vous appellerez toujours par son nom car il n’aime pas son prénom ! C’est le premier né d’un aristocrate mais son héritage est moindre que celui d’Amélia. L’argent de la dot de son épouse lui sera bien utile pour financer ses fouilles. Il publie une « histoire de l’Egypte » en plusieurs tomes et fait la course avec son plus grand rival, W.F.Pétrie ( égyptologue qui a réellement existé et dont Elizabeth Peters s’est inspirée pour créer le personnage d’Emerson, notamment en lui attribuant la découverte de sites que le véritable Pétrie a découverts !), pour publier ses rapports de fouilles chaque saison.
C’est un esprit brillant, passionné par son métier, pour lequel il renoncerait à presque tout ( Amélia dit que guerre mondiale ou pas, ce n’est pas le Kaiser et sa politique extensionniste qui empêcherait Emerson de déterrer des tombeaux ! ). Il n’aime pas les amateurs et déteste encore plus les touristes qui abîment tout.
Il est très bel homme, ce dont il n’a absolument pas conscience ( ou du moins, il s’en fiche), ce qui fait qu’il est toujours surpris quand les femmes viennent se pendre à son bras. En fait, il est même embarrassé car s’il a le courage et la force d’un lion envers ses ennemis, c’est un agneau devant les dames qui font de lui ce qu’elles veulent car son éducation le force à être galant en toute circonstance. Ce qui fait que c’est souvent Amélia qui les congédie sans ménagement.
C’est un homme charismatique qui a conscience qu’il en impose, il en retire une certaine fierté qui lui donne l’orgueil de croire qu’il peut agir à sa guise, puisque les autorités publiques (policière et étatique) tremblent devant lui ! Il est impétueux et irascible, il fait peur quand il s’énerve mais fait mille fois plus peur quand il murmure d’un air menaçant.
En Egypte, il est surnommé « Maître des imprécations » car il jure tout le temps, au plus grand dam d’Amélia ( car les enfants vont imiter le père !!) et les Egyptiens croient qu’il peut lancer des sortilèges et invoquer les mauvais djinns. Il est d’ailleurs humblement prié de pratiquer des exorcismes devant chaque tombeau qu’il trouve avant que les plus superstitieux de ses ouvriers acceptent d’y entrer. De manière générale, il est craint par la population locale et il est très connu.
Il a un caractère de cochon. Il est odieux avec tout le monde, bourru, de mauvaise foi, malpoli et intolérant. Exemple :
« une voiture s’arrêta en face de la maison, je ne pus réprimer un murmure de contrariété à l’idée de voir notre tranquillité dérangée.
Emerson protesta avec beaucoup plus d’énergie.
- Crénom ! Qui diable cela peut-il être ?
- Ca suffit, Emerson, ne jurez pas, dis-je en voyant une femme descendre de la voiture.
- Vous la connaissez ? demanda Emerson
- Non.
- Alors dites-lui de partir.
- Elle semble être en difficulté, dit Nefret, son regard de praticien ayant remarqué les mouvements nerveux et la marche hésitante. Ramsès, tu devrais peut-être aller voir si elle a besoin d’aide.
- Aidez-la surtout à remonter dans sa voiture, insista lourdement Emerson. »
Mais ce n’est qu’une façade qui cache plus ou moins bien un cœur d’or : en effet, il est aussi connu pour sa générosité et sa grandeur d’âme. En Egypte, on sait qu’il défend le miséreux (ses bakchichs sont larges), la veuve et l’orphelin (sa maison est, malgré lui, un territoire d’asile). Il est donc béni par tout le monde où qu’il aille.
Enfin, il est amoureux fou de sa femme qu’il considère comme son égale, au plan professionnel et social. En signe de respect et d’estime, il l’appelle même affectueusement par son nom de famille : Peabody, ainsi qu’il nommerait un homme, un ami, ne réservant le « Amélia » que pour les moments où il est fâché contre elle.

Ramsès
De son nom de baptême, Walter ( comme son oncle), il a reçu ce sobriquet dès sa première année de vie parce que l’expression de son visage de nourrisson et son attitude étaient empreintes de l’arrogance du plus célèbre des pharaons.
Enfant, il est précoce ( « voir Ramsès, à 14 mois plisser le front devant une phrase telle que « la théologie des Egyptiens était un amalgame de fétichisme, de totémisme et de syncrétisme » était un spectacle aussi terrifiant que comique. Plus terrifiants encore étaient les hochements de tête songeurs dont il ponctuait la lecture »). C’est un petit génie polyglotte (il parle toutes les langues vivantes européennes, l’arabe et toutes les langues mortes de la méditerranée), l’esprit aussi fin que ses parents avec la malice en plus.
A 10 ans il a lu Karl Marx et a tout compris, il a pratiqué la momification sur des rats, il a fumé l’opium parce « c’est une question d’expérimentation scientifique, maman ! Un savant ne doit pas s’en remettre à la description simple des résultats ! », il connait les jurons arabes dans tous les dialectes, connait les souks et les maisons closes, a comme son père tout un tas de veilles connaissances en Egypte mais dont beaucoup ne sont pas jugées recommandables par sa mère !
Il est sans arrêt en danger de mort parce que sa curiosité le pousse toujours à aller où il ne faut pas et qu’il est souvent pris comme cible par les ennemis de ses parents et adore parler.
Adulte, il a autant de charme que son père mais sait mieux comment réagir à cette galante compagnie, en général ( sauf la fois où une jeune fille commence à se déshabiller devant lui, il sort dans le couloir et demande à sa mère de venir !!!). Mais c'est un autre personnage. Il devient plus réservé, plus mystérieux, dissimulant ses sentiments sous un masque d’impassibilité, d’où l’utilité et la bouffée d’air que représentent les manuscrits H pour le percer à jour !
Il vit un amour à sens unique pour sa « sœur », le drame de sa vie, l’intrigue la plus plaisante de cette saga !!!
Ce qui le passionne dans l’égyptologie ce ne sont ni les pyramides ( le dada de sa mère), ni les antiquités ( le dada de son père), sa spécialité c’est le langage : il déchiffre les bas-reliefs.
Les égyptiens l’appellent «frère des démons» parce enfant, il avait l’esprit trop vif, la ruse trop fine pour que l’on puisse croire qu’il n’était qu’un enfant. Les egyptiens pensent que c'est un djinn.(« Il y a de bons djinns et de mauvais djinns (…) je n’avais pas cherché à savoir à quelle sous-catégorie Ramsès avait la réputation d’appartenir »). Adulte, il continue d’être respecté et craint pour son intelligence, son intuition, ses sens très développés ( il a l’agilité et la discrétion un chat, voit comme un faucon, entend comme un chien…).
On peut dire de lui que c’est l’homme parfait... sauf qu’il a deux gros défaut : son impassibilité et son trop grand sens des responsabilités : son orgueil le pousse à croire que lui seul peut protéger sa famille, donc prend trop de risques pour eux ( dans le dos de tout le monde) et n’accepte pas d’aide, ce qui fait qu’il le paie assez cher, assez régulièrement !

Nefret
« Sur mon insistance, elle avait mis une robe très stricte et un chapeau orné de fleurs et elle ressemblait tout à fait à ce qu’elle n’était pas : une jeune anglaise bien élevée » La jolie Miss Nefret Forth… c’est ainsi que tout le monde commence par la présenter. C’est vrai, elle est belle, d’ailleurs son nom même signifie « beauté » en vieil égyptien…
Pourtant Nefret est anglaise ! Une riche héritière britannique pure souche ! Seulement son père a trouvé un jour une oasis perdue dans le désert et il y est mort. Nefret a donc grandi parmi les autochtones, un peuple coupé du monde qui vivait encore avec les vieux rîtes de l’Egypte antique ( tout est expliqué en détail dans le tome 6 qui se déroule dans cette oasis)… d’où la difficulté pour Nefret de s’adapter au monde contemporain en étant ramenée en Angleterre par les Emerson, l’année de ses treize ans.
Pourtant elle est de bonne volonté : elle est intelligente, enthousiaste, volontaire…mais pas prête à n’importe quelle concession !!
Toute sa vie, elle gardera le goût de la liberté et de l’indépendance que son statut de prêtresse royale lui conférait, d’où son refus de se plier aux étiquettes de la vie mondaine ( porter de jolies robes, oui, Nefret est coquette mais baisser la tête et sourire alors qu’elle a un mot à dire, hors de question ! ).
En Egypte, elle est aimée de tous et surnommée « Nur Misur » ( = « lumière d’Egypte »). Militant pour la cause des femmes maltraitées, elle se bat pour faire des études de médecine ( son dada à elle, ce sont les momies ! ) afin de secourir les prostituées du Caire.
Lorsqu’elle est calme, Nefret est enjouée, charmante, agréable, taquine même mais lorsqu’elle est en colère… c’est la déesse guerrière qui l’habite ! Un peu comme une amazone : elle est formée au combat depuis l’enfance ( elle manipule l’arc et les flèches à la perfection et dort avec un poignard sous son oreiller !!), donc n’a pas peur d’affronter l’ennemi. Elle est prête à tout pour ceux qu’elle aime, n’hésite jamais à s’exposer pour les protéger. Comme elle est impulsive, Ramsès doit d’ailleurs souvent freiner ses ardeurs ( sauf quand elle lui échappe, ce pour quoi elle est douée également ! ).
Il existe entre elle et Ramsès un lien mystique et secret qui nous est dévoilé en partie au tome 11 et en totalité au tome 13 !!