Des fanfics Lady Oscar notamments celles de ce site j'en ais pour un moments avant d'en avoir fait le tour.

ça, c'est certain ! Bonne lecture

J'ai fini le manga la rose de Versailles!!! je suis en train de lire le 3ème tome qui me fait penser à vos fanfics! j'ai donc fait la connaissance de Loulou!! j'adore cette chipie!
J'ai vraiment adoré lire cette histoire que je ne connaissais qu'en animé! c'est assez différents sous certains aspects, j'avais déjà parlé de l'humour, mais il y a aussi des passages qui me semble plus détaillé et l'histoire d'amour entre Oscar et André m'a semblé arriver plus vite et plus en douceur, je me trompe? en tout cas, c'était génial!! et je sais que j'aurais le plaisir de le relire!!
Donc, je suis en train de lire le 3ème tome, je viens de finir la première histoire La poupée de Loulou.

En même temps je lis "La communauté du Sud" de Charlaine Harris une histoire de vampires, le roman qui a inspiré la série "True Blood" pour ceux qui connaissent. j'ai vu la série d'abord et pour l'instant (je ne suis qu'au tout début ) ça ressemble beaucoup.

Et avant j'ai lu "Vers chez les blancs" de Philippe Djian, un de mes auteurs favoris. (lecteurs avertis!!)

ça se passe en Chine vers l'année 700 apres J.C,ce serait une des premières femmes à avoir régné en Chine officiellement,je veux dire qu'elle prenait le pays en mains pas derrière un homme mais seule,et ça à l'air violent car les luttes pour le pouvoir sont acharnées,mais cachées sous un masque de douceur et de calineries du genre je t'offre gracieusement une tasse de thé,mais le gâteau qui l'accompagne est chargé en poisons et autre gracieusetés ;ce serait tentant quelque fois de les utiliser aujourd'hui, non je plaisant je suis douce comme un agneau, enfin il paraît .

1000 mensonges de Boris Bergmann

Le héros, qui s'appelle Mytho, ne supporte plus le sale secret qui pèse sur sa conscience. Il veut repartir de zéro. Mais, dans le train qui le mène à LadylongSolo, la capitale de ceux qui cherchent une seconde chance, il n'arrête pas de mentir à tous ceux qu'il croise. Il s'invente différents passés, teste sur ses victimes l'impact de ses fables et se pique de perfectionner l'art de la tromperie.
Tout se complique lorsqu'il rencontre Sophie : doit-il avouer la vérité, revenir à la réalité ou élaborer un ultime mensonge, celui qui enterrera définitivement sa vérité ?

Un jeu de cache et une fuite en avant. L'auteur, qui n'a que dix-huit ans et dont c'est le second roman, évoque "une tragédie grecque pour un beau parleur."

Ce roman se lit facilement mais m'a laissée sur ma faim. J'ai trouvé qu'il avait un côté très "fabriqué", même si j'ai suivi avec plaisir les aventures du héros. Peut-être parce qu'il est difficile à un auteur aussi jeune de se mettre dans la peau d'un personnage mûr, et qu'il l'a du coup élaboré un peu "de l'extérieur" ?
Quant au style !
"Construit entre phrases grammaticalement correctes mais pas évoluées pour un sou (c'est là que l'on se souvient son âge et que l'on se demande si sa famille ne connait untel ou un autre dans le milieu de l'édition parisienne) et d'autres trop travaillées (c'est là qu'il joue au grand écrivain) pour être vraies, le récit en devient dépitant, à la limite du ridicule."
Sébastien Almira a malheureusement raison.

C'est l'un des avantages de lire en bibliothèque : au moins, je ne regrette pas de l'avoir acheté !

Vive les bibliothèques alors ! Mais même là, après ton commentaire, je crois que je zapperai le livre...

J'ai commencé "La peau de chagrin" de Balzac. J'aime beaucoup ses sarcasmes !! Même si avec ses commentaires à rallonge, j'ai un peu de mal à suivre le fil du récit qui ne cesse d'être interrompu ( faut pas que je m'y mette trop tard le soir pour rester concentrée !!)

"La peau de chagrin" de Balzac, je l'ai lu il y a qq années et c'est le seul de Balzac que j'ai pu lire sans m'endormir Ses livres sont toujours d'un lourd !! comme tu dis à rallonge mais là, j'ai apprécié. On aime ou on n'aime pas Balzac... Moi j penche plutôt du côté : . Si je dois en relire un ce serait celui-là. D'ailleurs ma belle-mère m'avait offert "la femme de 30 ans" pour mes... 30 ans ! Je ne l'ai pas encore lu Mais qui irait le lui dire, hein ??

Ah Balzac, tiens, on n'en avait pas encore parlé par ici (enfin je ne crois pas).
"La peau de chagrin", je l'a lue en troisième pour une fiche de lecture. Je suis totalement passé à côté des sarcasmes dont tu parles, Maria. En revanche, je me souviens de l'histoire et du style. Pour l'intrigue, j'avais plutôt aimé. Le style... comment dire... un peu .
"La femme de 30 ans'', lu également la même année. J'avais trouvé l'histoire assez déprimante en fait, tout en me disant que c'était très daté et que ça correspondait à l'imaginaire d'une époque.
Bref, vous l'aurez compris, je ne suis pas the fan number one de Balzac.
Un autre que j'ai dans le nez : Flaubert avec "Madame Bovary"... je crois que c'est la représentation d'Ema Bovary enfermée dans un petit univers étriqué qui essaie d'y échapper de façon assez pathétique qui me pose un problème. Je me souviens avoir pensé : son problème, c'est qu'elle est née à la mauvaise époque. Elle serait née à une époque où les femmes pouvaient se réaliser autrement que par le mariage, elle aurait été heureuse. J'ai lu aussi en troisième, et aussi pour une fiche de lecture. Vi, cette année-là, c'était la fête de la fiche de lecture et du commentaire de texte toutes les deux semaines pour les fiches de lecture et toutes les semaines pour le commentaire

Balzac, je suis aussi du côté et je le trouve aussi qu'Arlène.
Le seul livre que j'ai aimé de lui (peut-être parce que je l'ai lu au second degré et n'ai pas cessé d'en rire tout du long ), c'est Mémoires de deux jeunes mariées.

Quant à Flaubert, il peint remarquablement la société de son temps, étriquée comme tu le soulignes, Arlène. Je me suis toujours félicitée, en lisant ce genre d'ouvrages, d'être née dans la seconde moitié du XXème siècle. Ceci dit, Flaubert a le chic pour tourner les phrases de fin.

PS : Maria, cela fait plaisir de te revoir ! Je me suis dit que ton absence avait peut-être quelque chose à voir avec les examens : c'est la période ! Et tes nouveaux avatar et signature sont magnifiques.

Marie-Antoinette : femme réelle et femme mythique / Bibliothèque municipale de Versailles
Il s'agit du catalogue de l'exposition du même nom qui a eu lieu à la bibliothèque fin 2006 - début 2007. Les textes sont assez intéressants, un peu techniques parfois (comme celui sur les pastels de Joseph Ducreux) et les illustrations superbes. Elles comprennent beaucoup de photographies ou de peintures du petit Trianon et du Hameau de la Reine ainsi que les divers objets exposés.

J'y ai retrouvé avec plaisir ce que j'avais admiré lors de l'exposition, en particulier le portrait de l'archiduchesse à quatorze ans par Ducreux :



ainsi qu'un portrait officiel en grande robe à paniers et traîne de velours fleurdelisée par Vigée-Lebrun.



Il y avait aussi le premier ouvrage offert à Marie-Antoinette à son arrivée en France : une superbe reliure dorée sur tranche pour La partie de chasse de Henri IV de Charles Collé. Ne me demandez pas qui est cet illustre auteur : je l'ignore. En tout cas, le sujet devait être passionnant pour une jeune fille !

Beaucoup plus émouvant, se trouvait le dernier biller écrit par la reine à ses enfants quelques heures avant sa mort. On ne leur a jamais transmis mais il a été conservé.

Je n'avais pas vraiment fait attention à l'époque, car je ne connaissais pas encore Ikeda et La Rose de Versailles, que, dans les deux portraits, Marie-Antoinette tient une rose à la main.

Oui, c'est vrai, même en connaissant La Rose de Versailles, j'ai regardé les tableaux que tu nous proposes sans faire le lien avec la rose ...

Les tableaux sont très beaux. Merci les partager avec nous. J'ai une préférence pour le premier, je ne sais pas trop pourquoi, peut-être parce qu'il me semble plus lumineux ? Peut-être parce qu'elle semble regarder vers l'avenir alors que dans l'autre elle semble regarder vers le passé ?

Ah ça c'est certain, elle a dû littéralement adorer le premier ouvrage qu'on lui a offert. Dans le genre cadeau empoisonné

Tu te souviens du contenu du dernier billet qu'elle a adressé à ses enfants ?

Arlène a écrit:

Tu te souviens du contenu du dernier billet qu'elle a adressé à ses enfants ?

Pas par coeur, non, mais j'ai toujours le livre. Alors voici ce texte, daté du 16 octobre à 4h et demie du matin :

"Mon Dieu, ayez pitié de moi !
Mes yeux n'ont plus de larmes pour pleurer pour vous, mes pauvres enfants.
Adieu, adieu !"

Le voir manuscrit, me dire que c'est Marie-Antoinette elle-même qui a tracé ces quelques mots quelques heures avant son exécution, m'avait profondément émue.

Merci .
Oui, il n'y a pas que le texte qui est émouvant, mais l'objet et son contexte. Et aussi le fait de savoir qu'ils ne l'ont jamais lu :oiiloic:

C'est vrai que savoir que ce message a été lu par tout le monde sauf les destinataires est assez triste....

J'avais lu un témoignage de Madame Roayle qui expliquait ce qu'elle avait ressenti quand elle avait appris, bien après les événements, que sa mère était morte... cette dernière famille royale aura vraiment connu des sphères aussi antinomiques qu'enfer et paradis.

Dans le même ouvrage, il y avait un poème que Pierre de Nolhac a écrit sur Marie-Antoinette. Pierre de Nohlac fut le conservateur de Versailles de 1892 à 1919 et entreprit la restauration du château. Avec lui, on recommença à aimer ce domaine laissé à l'abandon depuis la Révolution.
Il a écrit deux ouvrages sur Marie-Antoinette dont il était tombé amoureux : Marie-Antoinette dauphine (1898) et La Reine Marie-Antoinette (1899). Avant cela, en 1894, dans Poèmes de France et d'Italie, il avait déjà composé autour d'elle.
Ce n'est pas du Baudelaire (loin de là ! ) mais le sujet nous touche tout de même.

Sur une histoire de Marie-Antoinette

Mon cœur n’a pas été troublé
De complaisance ni de haine :
Fille d’empereur, O Reine !
De toi, j’ai librement parlé.

J’ai dédaigné les choses vaines
Que les vivants disent de toi,
N’interrogeant pour avoir foi
Que des voix mortes et lointaines.

Des témoins mêmes du passé
N’en croyant aucun sur parole,
Je ne t’ai point servie, idole,
Je ne te maudis point, Circé.

Aux chemins que le temps efface
Comme en un jardin déserté,
D’une image de vérité
J’ai voulu découvrir la trace.

Douces roses de Trianon
Dont le parfum nous grise encore,
Fleurs que la pitié fait éclore,
D’autres vous cueillent en son nom ;

Celui qui dans l’histoire humaine
Cherche la suite et le destin,
Qui prend les cœurs à leur matin
Et devine où le soir les mène,

Celui-là rend grave sa voix
Et dénonce en la blonde Reine
L’Hélène fatale et sereine
Qui préside à la mort des rois.

Célébration de la poésie d'Henri Meschonnic

Les premiers mots du livre :
"Une réflexion sur ce qu'est un problème poétique, c'est ce qu'on va trouver ici, une réflexion sur ce qu'est un poème, sur ce que fait un poème, et sur la nécessité vieille comme le monde et toujours nouvelle de reconnaître la différence entre un poème et ce qui fait tout pour lui ressembler. Les rapports difficiles entre un poème et la poésie. Oui, curieusement. Entre un poème et les choses du sens, entre un poème et la philosophie. Cela, et pas autre chose. Une réflexion située. Comme toute réflexion."

Un ouvrage qui me laisse un peu perplexe. L'auteur décortique, analyse, propose des chemins intéressants. Mais je le trouve un peu entier dans ses affirmations et un peu trop centré sur "sa" lecture et "sa" compréhension de la poésie. Son approche est très critique, une critique généralisée de ce qu'on fait et dit de la poésie. Pour lui, un problème poétique n'est plus une affaire d'esthétique, seulement pour amateurs de poèmes, mais une affaire d'éthique et de politique.

Un ouvrage intéressant, un peu ardu, auquel je n'adhère pas vraiment.
Ceci dit, j'ai toujours du mal avec les livres qui tentent d'"expliquer", de "définir" ou de "classer" la poésie.

Personnellement, j'ai toujours eu du mal à définir la poésie... ça me rappelle un sujet de dissert' au lycée où j'avais eu un royal 9 sur ce sujet qui m'avait ''beaucoup inspiré'' : en fait, j'avais terminé sur une partie dans laquelle je développais l'idée que la poésie ne pouvait pas se définir de la même façon selon les personnes parce que la subjectivité rentrait en ligne de compte ect... HS parce que le sujet c'était "qu'est-ce-que la poésie ?"... le pire c'est que je crois que je ferais encore moins bien aujourd'hui
Donc dans cette optique, ce que propose cet auteur me semble intéressant.


Je viens de commencer "la ballade de l'impossible" d'Haruki Murakami. Quand j'ai fini, je vous dis ce que j'ai en pensé

Arlène a écrit:

J'avais terminé sur une partie dans laquelle je développais l'idée que la poésie ne pouvait pas se définir de la même façon selon les personnes parce que la subjectivité rentrait en ligne de compte ect... HS parce que le sujet c'était "qu'est-ce-que la poésie ?"...

Je ne vois pas en quoi c'est du hors sujet.
Ecrire que la définition de la poésie dépend de chacun me paraît tout à fait être un élément de réponse à "Qu'est-ce que la poésie ?" ! Mais je ne suis pas professeur de français.

Ben à moi aussi... il y a quelque chose qui m'a échappé. Je crois que c'était considéré comme hors-sujet parce que c'était une façon d'éluder le sujet en évitant de donner vraiment une véritable définition. Mais, moi non plus, je ne suis pas prof de français^^

Quatre fois mort de Daniel-Philippe de Sudres.

L'auteur est un chercheur en neuro-sciences cognitives, ce qui nourrit son roman.
Ce policier nous plonge dans un dédale d’énigmes successives. L’histoire débute par une partie de chasse au cours de laquelle une balle touche mortellement un enfant de 12 ans. Mais comment le jeune Wilfried peut-il mourir alors qu’il est décédé trois ans auparavant, jour pour jour, à l’occasion de son anniversaire ? Accident ou meurtre ?

Appelé à mener l’enquête dans la plus grande discrétion, le narrateur va progressivement s’immiscer dans le monde de l’aristocratie anglaise et ses nombreux secrets. Ce protagoniste est un neuroscientifique (quelle surprise !) et c’est d’ailleurs son activité qui va l’aider à résoudre l’énigme. Il utilise notamment son expérience pour mieux cerner la personnalité des différents protagonistes et décrypter le profil des coupables potentiels.

L'auteur fournit, aux détours des dialogues, un certain nombre d'explications scientifiques sur le fonctionnement des neurones et leur implication dans des états de la vie quotidienne, sur les plans émotionnel et comportemental.

Bien sûr, ce roman policier évoque "les possibilités inouïes qu’ouvrent les biotechnologies et les risques de leur utilisation à des fins de pouvoir". Il est considéré comme "un roman déroutant qui nous entraîne dans les nouveaux espaces de l’imaginaire scientifique et les questionnements sur notre propre identité."

En tout cas, je ne l'ai pas laché ! Il m'a permis de comprendre un peu mieux les enjeux et les dérives possibles de plusieurs techniques de pointe. Il bénéficie à la fois d'une construction très classique et d'un sujet très moderne dans un milieu très Agatha Christie.
Une bonne lecture de vacances si l'on aime les romans policiers !
Je ne dirais pas vraiment une lecture de détente, car il oblige à se poser quelques questions angoissantes.

classique: les contes d'Andersen, il était temps que je me décide

Journal d'un vampire tome 3

Maylïs, je crois que je vais conseiller le livre dont tu viens de parler à une amie qui aime beaucoup le genre policier. Il m'a l'air original et ça devrait lui plaire


En ce qui me concerne, j'ai fini "La ballade de l'impossible" d'Haruki Murakami. En fait, je l'ai dévoré (en un peu plus d'une journée, j'avais lu les 446p) et ça se lit très facilement.

Tout d'abord l'intrigue. Pendant un voyage en avion, le narrateur entend une chanson qui le replonge dans les souvenirs de ses premières amours. Au lycée, son meilleur ami s'est sucidé et un peu plus tard, le narrateur retrouve la petite amie de son ami. Ils se lient fortement et ça va plus loin que de l'amitié. Mais les choses ne sont pas simples, car elle disparaît. Il reste longtemps sans nouvelle. Pendant ce temps, il fait d'autres rencontres, mais ne l'oublie jamais. Un jour, il a de ses nouvelles et... je ne vais quand même pas tout vous raconter

Une fois que je vous ai présenté un peu l'intrigue, j'ai envie de vous dire que c'est une sorte d'hommage aux amours enfuies.
Et surtout, que le livre emporte dans un monde à la fois tendre, gracieux, élégant et parsemé de l'ombre de la mort. C'est beau, c'est touchant, tout en restant simple et ancré dans des détails concrets, et pourtant qu'est-ce-que ça fait voyager !
Je ne connaissais pas cet auteur et je suis ravi de cette découverte. Je crois que le prochain livre que je vais lire va encore être du Murakami : "Kafka sur la rivage".

Je ne lis JAMAIS 2 fois le même livre, car j'estime que je n'ai pas assez de ma vie pour tout lire (ben oui je suis une livrosaure ( au secours Nicole, peux-tu faire un tyranosaure ?? please))
mais qq livres m'ont poussé à les lire PLUSIEURS fois . :on pr2f2r2 est l4ulti;e secret de Bernqrd Zqrber

Arlène a écrit:

"La ballade de l'impossible" d'Haruki Murakami. En fait, je l'ai dévoré (en un peu plus d'une journée, j'avais lu les 446p) et ça se lit très facilement.
Et surtout, que le livre emporte dans un monde à la fois tendre, gracieux, élégant et parsemé de l'ombre de la mort. C'est beau, c'est touchant, tout en restant simple et ancré dans des détails concrets, et pourtant qu'est-ce-que ça fait voyager !
Je ne connaissais pas cet auteur et je suis ravi de cette découverte.

Je ne connais pas non plus Murakami mais tu en parles si joliment que je vais foncer à la lettre M à ma prochaine visite à ma bibliothèque !

Et encore un virus littéraire que je refile, un !

Je plaisante : tu me diras ce que tu en penses. D'après ce qu'on m'a dit "la ballade de l'impossible" n'est pas son meilleur livre... et ben moi je l'ai trouvé très bon. En fait, c'est difficile à expliquer, même si le récit est ancré sur de nombreux détails concrets, on a le sentiment de parcourir un rêve. Il y a comme quelque chose qui échappe mais c'est très agréable

vous allez vous marrer, mais tant pis j'assume: "Pourquoi la tartine tombe toujours du côté du beurre, ou la loi de Murphy expliquée à tous" (oui, c'est le titre!) de Richard robinson, une tentative d'explication rationnelle et scientifique de ce qui nous pousse à imaginer que les choses sont contres nous, que les objets nous en veulent, etc..
Pas impérissable, mais assez rigolo ( bien que traduit parfois à la diable), et qui a le mérite de pointer la science naive, les simplification abusives, les pensées magiques dont le cerveau fait preuve pour essayer de classsifier un monde complexe. Bref, pas mal pour l'été, de la vulgarisation qui ne se prend pas au sérieux

Il ne s'agit pas d'un livre que je lis (pas encore en tout cas) mais que j'ai repéré : La Princesse effacée d'Alexandre de Broca, un roman sur Madame Royale, la fille de Marie-Antoinette et de Louis XVI. Je ne sais pas ce qu'il vaut, d'autant que je ne connais pas l'auteur, mais je voulais vous le signaler.



Quatrième de couverture
Paris, 1795. Tandis que la France émerge de la Terreur, une jeune fille de seize ans demeure enfermée à la prison du Temple, oubliée de tous. Elle n'est autre que Marie-Thérèse de France, fille de Louis XVI et de Marie-Antoinette, morts sur l'échafaud.
Afin d'améliorer ses conditions de détention, les nouveaux dirigeants dépêchent auprès de la jeune prisonnière une femme aux origines modestes, Renée Chantereine. À chacune de ses visites, Chantereine découvre une jeune fille au bord de la folie. Avec patience et persévérance, elle aide la princesse à répondre aux questions qui l'obsèdent : pourquoi a-t-elle été emprisonnée sans jugement ? En quoi est-elle coupable du crime de ses parents ? Et surtout, parviendra-t-elle un jour à pardonner ?

La Princesse effacée est le premier roman consacré à Marie-Thérèse de France, unique rescapée de la famille royale. Il décrit l'intimité et la fragilité d'une jeune femme complexe, meurtrie par le destin et oubliée de l'Histoire.

Maylis, tu ferais bien d'essayer Murakami effectivement !
Même les gens qui n'ont pas aimé ne le regrettent pas, Murakami, c'est quelque chose...

Tu as bien fait de nous signaler La Princesse Effacée. On peut avoir envie de le lire à un moment ou à un autre Surtout que c'est original : on ne parle que très peu d'elle...

slt, pour le moment je revisionne les dvd de LO
c'est presque une tradition pour moi à l'approche du 14 juillet!
je suis un peu fébrle et mélancolique ces jours -ci
ou sinon j'aime les films historiques les documentaires, lesthrillers etbien s^r les films romantiques

En ce moment, je suis dans une période romans historiques. J'aime la manière dont beaucoup d'écrivains actuels équilibrent, d'une part, vérité et recherche historiques, d'autre part, envolées et péripéties romanesques, parfois déroutantes. Je sais, ces piles de bouquins qui sortent pour les vacances c’est exaspérant mais, reconnaissons-le, souvent bien divertissant.

La Duchesse amazone de Gérard Hubert-Richou



Ce livre raconte l’équipée, folle et authentique, de la Duchesse Marie-Caroline de Berry.
Après la révolution de 1830, Charles X avait abdiqué en faveur de son petit-fils Henri mais c’est Louis-Philippe (un Orléans, d’une famille régicide !) qui lui a soufflé le trône. La mère d’Henri, la fameuse duchesse, tente en 1832 de soulever Marseille, puis la Vendée, attachée aux Bourbons, afin de remettre son fils sur le trône. En vain.
Soixante mille soldats et policiers sont concentrés sur la région, à la recherche de la rebelle. Mais la Duchesse échappe longtemps à ses poursuivants, de manière souvent rocambolesque, Il faudra la trahison d’un proche pour qu’elle soit arrêtée.


Les Vikings de Novgorod de Marina Dédéyan



S’inscrivant dans le cadre de l’année de la Russie en France, ce livre revient sur les circonstances qui préludèrent à la naissance de la Russie. En 859, le chef viking Rourik embarque avec ses frères pour Novgorod. Apparemment, son nom n’est mentionné que dans un seul parchemin écrit par un moine plus de deux siècles après les événements et les avis des historiens divergent sur le rôle des Vikings dans la naissance de la Russie.
Cela n’empêche pas ce roman, plein de bruits et de fureur, de raconter ses origines : complots, batailles, amour et fondation de la dynastie qui régna jusqu’à l’avènement des Romanov au XVIème siècle.


1658, l’Eclipse du Roi-Soleil de Jean-Michel Riou



Apparemment il s’agit du second d’une série qui allie histoire et policier. Je n’ai pas lu le premier (1630, la Vengeance de Richelieu) et n’en ait pas été gênée pour autant.
Le héros, c’est Antoine Petitbois, espion de la couronne. Louis XIV, qui a à peine vingt ans, est sur le point de triompher des Espagnols à Dunkerque lorsqu'il est soudain terrassé par une fièvre mystérieuse. Les médecins (aussi savoureux que ceux de Molière) accusent la proximité des cadavres. Mais notre espion surprend quelques mots laissant entendre que le jeune roi a été empoisonné.
C’est la course contre la montre pour démasquer le coupable et lui arracher la formule de l’antidote qui sauvera le souverain.


Si vous aimez les romans historiques, suspense et détente garanties. Le bémol : leur prix ! En plus, ils viennent de sortir et ne sont pas encore disponibles en bibliothèque. J’ai la chance d’avoir une voisine qui est une dame très âgée (le bon versant vers la centaine comme elle le proclame), qui ne peut plus se déplacer qu’en fauteuil roulant et dont l’une des joies est la lecture. Dans son appartement, on slalome entre les piles de livres. Elle adore faire partager ses coups de cœur et je suis de ceux qui en profitent. A charge de revanche, bien sûr, mais il est bien rare qu’elle ne connaisse pas déjà les titres que je lui propose. Voici plus de dix ans qu’elle lit entre dix et quatorze heures par jour !

La huitieme couleur de terry Pratchett.. marrant, mais j'ai quand même un peu de mal a avance, comme je ne suis pas très calée à la base en Heroic fantasy, je suis sure que je passe à côté de la parodie et de son sel.
Mais j'avoue que le mage raté me fait bien marrer, et le coffre à pattes est une belle invention