je me suis rendu compte que tu avais posté un chap cet été et que je ne l avais pas vu!!!! et je crois meme que je n avais pas commenté l avant dernier. heu désolée Arlène.

Donc Rei retourne à son ancien appart et retrouve son carnet. C est étrange cette impression comme si toutes ces années qui s étaient écoulées où Frédérique avait vu le jour n étaient plus. On sent Rei présente plus que jamais et ce besoin de cloturer ce chap de sa vie. Frédérique ne pourra continuer sa vie si Rei persite au fond elle et pr cloturer celui ci il lui faut la revoir et là on sent Rei présente plus que jamais, dans sa précipitation à retrouver cette poupée dans sa façon de débarquer chez chez Nanako mais la présence de Frédérique l aide malgrè tout, car c est bien Frédérique qui a une ptte fille et cette meme petite fille lui permet de garder un lien avec la réalité et de se souvenir des raisons qui l ont poussé à fuir. C est aussi la force de Frédérique qui lui permet de dire à son frère de laisser le choix à Fukiko de l empécher de la voir ou non.

j avoue être impatiente de connaitre la suite des évènements, comment va se dérouler cette rencontre si elles se rencontrent? Vu que ce chap date de cet eté, que entre tps tu as déménagé, eu ton doctorat et tout et tout peut être que la suite viendra bientôt? Bin quoi! ( avec l accent bien chti mi) on peut toujours espérer en cette nouvelle année qui commence non?! lol.

Pourquoi pas ! Qui sait après tout ^^

Merci pour ton commentaire : c'est tout le dilemme du personnage, être Frédérique et faire avec Rei. Rei reprend souvent le dessus, mais Frédérique la contrôle (encore lol) tout en la laissant faire (pour mieux s'en débarrasser ? qui sait ?...). Et puis Rei sans bizarrerie ou excès ce n'est plus Rei, et j'aime la bizarrerie de rei

Sans spoiler la suite, oui, Rei et Fuki vont se rencontrer ... très prochainement... normalement au prochain chapitre. Reste à savoir quand je vais l'écrire. Mais je vais l'écrire. Quand même râter les "retrouvailles" Rei-Fuki, naaaan !

Bises et merci de me suivre.

Je note qu'il faut que j'envoie des mp quand les chapitres de cette fic sont postés... c'est vrai que comme j'écris trèèèès vite , on n'a pas tendance à aller voir.

Hum, Lénie... mais de rien pour le commentaire ! On est là pour ça après tout !

Bon alors, c'est entendu, hein, la prochaine fois mp ! (sinon tu vas voir de quel bois se chauffe Petrouchka la buveuse de vodka)

Citation :

Je suis passée par là, parce que je me disais que j'avais commencé cette fic il y a bientôt ... un an... et que je n'avais pas avancé depuis des mois, que m'y remettre serait une bonne idée, mais que je n'allais pas trouvé le temps au moins jusqu'à la mi-janvier. Enfin bref, des tourments de ficwriteuse en manque de temps. Pour changer...

Attends, là tu es en train de nous annoncer clairement qu'on peut se brosser jusqu'à la mi-janvier, c'est ça ?

Isaure est une insolente, moi je vous le dis ! A trop se syndiquer et se rebeller, les plumes vont finir par prendre le pouvoir.


:dffred: :dffred: :dffred:


Bon, allez va, du haut de mon immense magnanimité, je te pardonne (et aussi du haut de mon grand "j'ai pas le choix")

Alors nous attendons Lénie pour le prochain chapitre, qui promet d'être épique avec une Fuki-Sue-Helen en délire !

:mmlkjh: :mmlkjh:


Rahhh la laaa, quand je pense que je parle à une thésarde ! :mmlkjh: :mmlkjh: :mmlkjh: Je veux un autographe !!!



ceci étant dit, je comprends les tourments d'une ficwritteuse, je suis en train de passer par ces pénibles affres et comme toi j'ai plus de lecteurs presque (merci aux dernières fidèles qui ont mon éternelle gratitude !!)

Alors, je suis solidaire

Isaure est carrément en grève pour une durée indéterminée. En fait, je crois qu'elle s'est mise au service de quelqu'un d'autre. Le problème est que je n'ai pas réussi à identifier mon voleur de plume. A moins qu'elle n'ait été enlevée... Je devrais peut-être déclencher l'alerte enlèvement ? Ou porter plainte pour vol de plume ? J'imagine la tête des policiers...



Jusqu'à mi-janvier, ça va être la folie chez moi. D'une part, parce que depuis que j'ai mon doctorat, je suis encore plus prise qu'avant. C'est un téléscopage sans non lol. Et d'autre part, parce qu'actuellement, chez moi, c'est un grand squat (j'ai des amis qui sont arrivés le 19 décembre et qui normalement, j'ai dit "normalement", repartent le 13 janvier, c'est agréable, mais prenant, et je peux difficilement m'isoler pour aller écrire une fic, surtout que j'imagine leur tête s'ils me lisaient ).



Ouf ! Votre Grandeur (non je ne vais pas ajouter "Lumineuse" ) Magnanimissime me pardonne, c'est trop de bonté, votre Seigneurie !^^

Ma Fuki va-t-elle être à la mesure de tes attentes ? Mystère... J'espère.

Je te le confirme, tu parles bien avec une thésarde. Un autographe ? Mais qu'est-ce que tu ferais de ma signature, franchement ? Tu ne préfères pas un chapitre de fic. C'est bien plus intéressant

Tu parles de "La Lune et le Soleil", c'est cela ? C'est une fic que j'ai lu avec plaisir, mais que je n'arrive plus à lire, faute de temps. Mais tu ne m'as pas perdu comme lectrice, j'arriverai bien à lire la suite. Si, si

A bientôt !

Citation :

Isaure est carrément en grève pour une durée indéterminée. En fait, je crois qu'elle s'est mise au service de quelqu'un d'autre. Le problème est que je n'ai pas réussi à identifier mon voleur de plume. A moins qu'elle n'ait été enlevée..

Que nenni ! Je l'ai croisée au Latin Corner, la dernière fois, et elle avait pas l'air d'avoir été enlevée !!! Trop de fumisterie chez les plumes (tu te rends compte que la mienne pratique le "travail sélectif" ? Non mais je rêve, mademoiselle travaille que sur "les fics qu'elle aime", c'est à se demander qui c'est qui commande).

Citation :

D'une part, parce que depuis que j'ai mon doctorat, je suis encore plus prise qu'avant. C'est un téléscopage sans non lol. Et d'autre part, parce qu'actuellement, chez moi, c'est un grand squat (j'ai des amis qui sont arrivés le 19 décembre et qui normalement, j'ai dit "normalement", repartent le 13 janvier, c'est agréable, mais prenant, et je peux difficilement m'isoler pour aller écrire une fic, surtout que j'imagine leur tête s'ils me lisaient ).

Cri du coeur qui me parle beaucoup : Oui, ça n'en termine JAMAIS, on est toujours OVERBOOKES dans cette société !!!

On se défonce pour les études, ensuite on doit se défoncer pour sa carrière, pour ses enfants, et après vient la retraite où la plupart sont trop défoncés pour faire quoi que ce soit !

Quand est-ce que je me mettrai à la pâtisserie, au jardinage, à l'art floral japonais (ikebana), à l'écriture d'un livre sur le langage de fleurs, à toutes ces choses que je DOIS faire avant que ma vie s'achève ???

La seule solution est d'épouser un mari riche qui m'entretiendra pendant que je m'adonnerai à ces activités : avis aux millionnaires et milliardaires qui lisent cette annonce (contactez-moi au... non j'rigole !)

Ceci étant dit, ça m'interpelle sur la question des femmes d'hommes riches. On les dit en mal d'une activité : il paraît qu'elles s'ennuient. Je ne comprends pas pourquoi : il y a tellement de choses à faire.

Si je me mariais avec un homme riche demain, je ferais dans l'ordre :

1) un investissement locatif à mon nom pour être sûre d'avoir une rente (ben vi, les divorces, ça arrive)
2)Je m'inscrirais en fac de lettre, dans un club de lecture, en club de jardinage, en club de pâtisserie
3) Je ferais un voyage au tour du monde avant de commencer toutes ces activités


Bon là j'ai trop raconté ma vie...

Pour le reste, j'attends quand même la suite :mmlkjh:

Je dois filer . Je te réponds très bientôt : ton commentaire est trop drôle, j'ai envie d'en rajouter

Petrina a écrit:

Citation :

Isaure est carrément en grève pour une durée indéterminée. En fait, je crois qu'elle s'est mise au service de quelqu'un d'autre. Le problème est que je n'ai pas réussi à identifier mon voleur de plume. A moins qu'elle n'ait été enlevée..

Que nenni ! Je l'ai croisée au Latin Corner, la dernière fois, et elle avait pas l'air d'avoir été enlevée !!! Trop de fumisterie chez les plumes (tu te rends compte que la mienne pratique le "travail sélectif" ? Non mais je rêve, mademoiselle travaille que sur "les fics qu'elle aime", c'est à se demander qui c'est qui commande).

Citation :

D'une part, parce que depuis que j'ai mon doctorat, je suis encore plus prise qu'avant. C'est un téléscopage sans non lol. Et d'autre part, parce qu'actuellement, chez moi, c'est un grand squat (j'ai des amis qui sont arrivés le 19 décembre et qui normalement, j'ai dit "normalement", repartent le 13 janvier, c'est agréable, mais prenant, et je peux difficilement m'isoler pour aller écrire une fic, surtout que j'imagine leur tête s'ils me lisaient ).

Cri du coeur qui me parle beaucoup : Oui, ça n'en termine JAMAIS, on est toujours OVERBOOKES dans cette société !!!

On se défonce pour les études, ensuite on doit se défoncer pour sa carrière, pour ses enfants, et après vient la retraite où la plupart sont trop défoncés pour faire quoi que ce soit !

Quand est-ce que je me mettrai à la pâtisserie, au jardinage, à l'art floral japonais (ikebana), à l'écriture d'un livre sur le langage de fleurs, à toutes ces choses que je DOIS faire avant que ma vie s'achève ???

La seule solution est d'épouser un mari riche qui m'entretiendra pendant que je m'adonnerai à ces activités : avis aux millionnaires et milliardaires qui lisent cette annonce (contactez-moi au... non j'rigole !)

Ceci étant dit, ça m'interpelle sur la question des femmes d'hommes riches. On les dit en mal d'une activité : il paraît qu'elles s'ennuient. Je ne comprends pas pourquoi : il y a tellement de choses à faire.

Si je me mariais avec un homme riche demain, je ferais dans l'ordre :

1) un investissement locatif à mon nom pour être sûre d'avoir une rente (ben vi, les divorces, ça arrive)
2)Je m'inscrirais en fac de lettre, dans un club de lecture, en club de jardinage, en club de pâtisserie
3) Je ferais un voyage au tour du monde avant de commencer toutes ces activités


Bon là j'ai trop raconté ma vie...

Pour le reste, j'attends quand même la suite

Merci de m'avoir indiqué où retrouver ma plume. J'y suis allée, bien décidée à la récupérer. Comme elle fuyait à toutes jambes (si, si les plumes ont des jambes ), je l'ai attrapée au lasso (bah quoi, je ne vous avais jamais dit que j'avais toujours mon lasso sur moi ). J'ai donc pu écrire une petite suite à ma fic, avant que ma plume ne s'échappe encore. Je te jure que dès que je la rechoppe, je lui colle une puce pour pouvoir la suivre à distance !!!

Ah la dure condition de femme de miliardaires... T-E-R-R-I-B-L-E !!!!

J'ai adoré "on se défonce pour ses études, son boulot, ses enfants, et au final, on est trop défoncé pour faire quoi que ce soit" C'est drôle et bien vu, du moins pour certains !

Alors comme ça, tu as des projets de mariage vénal, miss ? Au passage, je salue ton sens pratique : tu mets en priorité un investissement locatif en vue d'un divorce. Pas folle la miss Petrouchka !

Sinon, ton programme est très intéressant. Surtout le voyage. Tu devrais m'inviter tiens quand tu auras choppé ton milliardaire. Si tu veux je te prête mon lasso !

trève de blabla : bonne lecture ! J'ai ENFIN écrit une suite à cette fic

Cette petite coquine d'Isaure... J'espère que tu lui as remonté les bretelles comme il se doit : je ne supporte pas les plumes rebelles !

D'ailleurs, elle a goûté au fameux cocktail scandaleux qui fait la célébrité du Latin Corner ? D'ailleurs vu que tu as été peut-être que tu....


Ah, pour mon projet de mariage vénal, il est très mûri. On ne peut pas espérer un mariage vénal sans un business plan bien huilé. Tu comprends, dans la vie, il faut faire les choses proprement.
D'ailleurs, je tiens à signaler à tous les proies potentielles qu'elles peuvent transmettre leur CV si elles correspondent au profil suivant :

-Entre 20 et 40 ans
-A partir de 800K€ par an
-Motivé par la perspective d'un partenariat à court ou moyen terme


Quand je choppe ma proie, je t'invite direct en vacances Lénie !

Sur ce, je vais lire la fic !

Arlène je te remercie pr ton mp prévenant d un nouveau chap! J ai eu l impression sur le coup d être une VIP mdr! Bon par contre pardonne moi mais je n ai pas commenté de suite après ma lecture c est a dire dès que j ai vu le message! enfin bref.



donc voilà ça y est Fédérique a passé le pas elle y est allée, tantôt porté par Rei tantôt par Frédérique, ce qui l entraine à pousser cette porte, à pénétrer dans cette pièce bien qu elle n y ait pas été invité. Et là on décourvre une Fukiko innexpressive, absente, flottant dans un autre univers ( et ça c est coooollll!!!! !nyark nyark nyark) petite ref à l ancienne blessure de Rei et tu mélanges le passé et le present et on a cette impression de flotter entre les deux univers comme les protagonistes de cette histoire je pense car le passé n est pas vraiment passé car Rei n est pas morte.

Rei comprend qu elle n obtiendra rien de Fukiko qu il est inutile de rester alors elle laisse sa poupée et son carnet comme une façon de dire qu elle n en a plus besoin à présent, mais finalement les yeux de Fukiko se pose dessus et comme un electrochoc lui procure une réaction. ET LA !ET LA! TU COUPES!!!!! tu mériterais que je sorte ma massue rien que pour toi!!!! J ai l espoir que cet electrochoc fasse se lever Fukiko pour qu elle rattrape sa soeur et la je sens que la rencontre serait bien plus rythmée:twisted:



Merci pour ce chap, j attends avec impatience la suite.

Pétrouchka : comment tu sais pour le cocktail ? Chuuuuuuuuuuuut

Oki ! Invitation acceptée par avance Essaie de savoir s'il n'a pas un ami de libre (je vais encore me faire une de ces réputations... hum... lol)



Amber : Ta massue ?! Rien que ça ? Et après comment voulez-vous que j'écrive ? Je vais avoir peur

Merci pour tes commentaires : ça va, j'ai réussi mon coup ! Enfin, du moins ce que j'avais en tête^^

Hé, hé, on est sadique ou on ne l'est pas, chère Amber : avec ses personnages et avec ses lecteurs. En fait, j'ai coupé à ce moment-là parce que j'ai voulu faire une scène qui mette mal à l'aise, qui se situe dans un univers plus ou moins mouvant et en même temps très figé. Tout ça pour faire une sorte de sas, de prélude à une autre rencontre entre Rei et Fuki. Il faut avancer lentement avec ces deux-là

Pour la suite, patience, elle viendra. Reste à savoir quand

Bon, avec beaucoup de retard, je commente ! Tu m'excuseras hein ? ^^

Citation :

Dans l’attente, d’une réaction de Fukiko, ils lui étaient insupportables. Rei avait entendu l’employé dire à Fukiko que la personne qu’elle attendait était arrivée. L’employé s’était éclipsé. Elle avait attendu devant la porte, tantôt espérant tantôt redoutant qu’elle s’ouvre. Si sa sœur l’attendait, elle ne pouvait que s’ouvrir. Cependant, elle demeurait close. La pièce derrière cette barrière semblait silencieuse, inhabitée. Rei avait donc décidé de rappeler sa présence en frappant à la porte. Seul le vide sembla l’entendre.

J'ai une visualisation très précise de ce qui se passe dans la tête de Frédi-Rei. Tout est flou autour d'elle, elle se déplace comme une automate, partagée entre crainte et excitation. Les bruits sont comme amortis par des vibrations tout autour de ses oreilles. Les lumières sont intensifiées....

Mince, ça ressemble à la description de symptômes liés à l'usage des drogues...

Citation :

La porte s’ouvrit sous la faible pression exercée par son dos.

Elle est pas douée Frédérique, ça me fait penser au jour je me suis enfermée dans ma salle de bain. Quelle VDM ce jour-là.

Citation :

« ‘’Au nom d’elle !’’. Et bien, en voilà une phrase ! On ne croirait jamais que tu as fait de l’écriture ton métier ! Quoi que… Ce n’est pas si mal trouvé. Je devrais le noter ».

Au nom d'elle.... C'est beau... mais INACCEPTABLE... mais beau.... Rei m'agacera toujours autant qu'elle m'émouvra. Son amour pour sa soeur m'angoisse et m'horripile.

Citation :

Enfin, elle se trouvait dans la même pièce que sa sœur dont elle ne voyait que le dos. Sa sœur qui ressemblait à une poupée de cire tant elle demeurait immobile.

Ils ont un problème avec les poupées dans la famille.... c'est vraiment amusant parce ce sont des poupées russes : Fukiko traite Rei comme une vulgaire poupée, qui elle-même se considère comme une poupée, tout en trouvant à sa soeur des airs de poupées (c'est Mattel qui va exulter !)

Citation :

lle était entrée. N’avait-elle pas entendu Rei frapper à la porte ?

J'ai bien peur qu'elle s'en foute. C'est triste.

Citation :

Puis, le regard de la jeune femme embrassa la tenue de sa soeur. Elle ressemblait en tout point à celles qu’elle portait lorsqu’elle fréquentait Seiran. Etait-il possible que …. ?

Elle a un gros complexe et refuse de passer à l'âge adulte ? Elle s'enferme dans une dynamique de passéisme, de nostalgie. Elle refuse d'avoir grandi et refuse que la terre ait tourné sans elle.
Ou alors elle est simplement trop shootée pour bouger, habitude qu'elle a prise à sa soeur....

Pour ce qui est de la main bandée (d'abord bien fait), ensuite de deux choses l'une :

- elle se flagelle pour retrouver à travers sa souffrance le reflet de sa soeur perdue qui lui manque terriblement.

- elle a trouvé son maître. ELle est devenue la Rei de quelqu'un et ce quelqu'un est sa Fukiko. Ce qui m'étonnerait parce qu'un lien aussi pervers ça ne s'invente pas.

Citation :

Frédérique gifla son imagination.

Joli concept !

Citation :

Décidément, elle en avait bien trop ! Elle ou Rei ?À cet instant, peu importait. Fukiko s’était sans doute blessée. Peut-être suivait-elle un traitement anti-douleur pour cette main qui la faisait souffrir ? Peut-être s’était-elle endormie sous l’effet des médicaments ? C’était là l’explication la plus rationnelle.

Personne n'y croit, et encore moins Rei !

Citation :

Frédérique se passa la langue sur les lèvres, comme elle le faisait à chaque fois qu’elle cherchait comment amorcer une conversation

Une conversation ou une drague ?!

Citation :

Dieu sait qu’elle avait usé abondamment de ce tic au début de sa carrière,

OH ! Mon Dieu ! La corrompue !

Citation :

« Vous êtes-vous blessée récemment ? » demanda Frédérique. Dès qu’elle eut prononcé ces paroles, elle se réprimanda intérieurement : « Mais quelle sotte !!! Enfin ! Voyons ! On ne demande pas ce genre de choses de but en blanc !! ».

J'avoue qu'elle est pas experte en tact !

Citation :

« Bonjour, Mya-sama. C’est un plaisir de vous revoir. Je n’étais pas venue au Japon depuis longtemps. C’était une erreur. Cela nous a privé du plaisir de nous voir».

De pire en pire, elle est à peu près aussi douée que Nicolas, en relationnel, elle !

Citation :

Rei eut envie de se jeter à ses pieds. Frédérique fit un effort pour ne pas obéir à l’impulsion de la jeune fille qu’elle avait été.

La première phrase de cette citation m'a donné le frisson. Tout en étant courte, voire sibylline, elle me fout la chair de poule. C'est puissant, un amour aussi avilissant.

Citation :

Frédérique jugea tout discours inutile.

Voilà enfin une pensée sage. Baffe dans la tronche et rentre t'occuper de ta fille !

Citation :

« Je ne l’ai pas oubliée. Je vous l’ai rapportée. Au revoir… À bientôt, j'espère ». Puis, elle sortit, le cœur en montagnes russes. Quelle idiote ! Mais quelle idiote de n’avoir rien préparé. Qu’elle avait été stupide de se laisser guider par l’impulsivité de Rei !!! La vie n’est pas une scène où l’on peut improviser !!!

J'ai noté le vouvoiement depuis le début, mais dans le carnet, c'est clairement une volonté de tirer un trait sur Fukiko. Pourquoi ai-je l'impression que c'est vain ?

Citation :

le regard de Fukiko venait de se poser sur la poupée et le carnet.

Ah, ben le chapitre 8 promet d'être mouvementé !


Reste plus qu'à l'écrire au plus vite, hein ?


Bises Arlène !

Petrina a écrit:

Bon, avec beaucoup de retard, je commente ! Tu m'excuseras hein ? ^^

Vi, dans ma grande bonté !

C'est l'hôpital qui se fout de la charité, là

Petrina a écrit:

Citation :

Dans l’attente, d’une réaction de Fukiko, ils lui étaient insupportables. Rei avait entendu l’employé dire à Fukiko que la personne qu’elle attendait était arrivée. L’employé s’était éclipsé. Elle avait attendu devant la porte, tantôt espérant tantôt redoutant qu’elle s’ouvre. Si sa sœur l’attendait, elle ne pouvait que s’ouvrir. Cependant, elle demeurait close. La pièce derrière cette barrière semblait silencieuse, inhabitée. Rei avait donc décidé de rappeler sa présence en frappant à la porte. Seul le vide sembla l’entendre.

J'ai une visualisation très précise de ce qui se passe dans la tête de Frédi-Rei. Tout est flou autour d'elle, elle se déplace comme une automate, partagée entre crainte et excitation. Les bruits sont comme amortis par des vibrations tout autour de ses oreilles. Les lumières sont intensifiées....

Mince, ça ressemble à la description de symptômes liés à l'usage des drogues...

Ou à l'adrénaline à haute dose

Petrina a écrit:

Citation :

La porte s’ouvrit sous la faible pression exercée par son dos.

Elle est pas douée Frédérique, ça me fait penser au jour je me suis enfermée dans ma salle de bain. Quelle VDM ce jour-là.

Tu as donc des points communs avec notre Frédi-Rei ? ^^

Petrina a écrit:

Citation :

« ‘’Au nom d’elle !’’. Et bien, en voilà une phrase ! On ne croirait jamais que tu as fait de l’écriture ton métier ! Quoi que… Ce n’est pas si mal trouvé. Je devrais le noter ».

Au nom d'elle.... C'est beau... mais INACCEPTABLE... mais beau.... Rei m'agacera toujours autant qu'elle m'émouvra. Son amour pour sa soeur m'angoisse et m'horripile.

C'est parfait : exactement ce que je voulais !

Petrina a écrit:

Citation :

Enfin, elle se trouvait dans la même pièce que sa sœur dont elle ne voyait que le dos. Sa sœur qui ressemblait à une poupée de cire tant elle demeurait immobile.

Ils ont un problème avec les poupées dans la famille.... c'est vraiment amusant parce ce sont des poupées russes : Fukiko traite Rei comme une vulgaire poupée, qui elle-même se considère comme une poupée, tout en trouvant à sa soeur des airs de poupées (c'est Mattel qui va exulter !)

Flûte ! Je me suis fait griller ! T'as deviné que cette fic était sponsorisée par Mattel

Et si en plus j'inventais que leur père était à la tête d'une multinationale fabriquant des jouets ? ça expliquerait peut-être leur problème avec les poupées ?

Petrina a écrit:

Citation :

lle était entrée. N’avait-elle pas entendu Rei frapper à la porte ?

J'ai bien peur qu'elle s'en foute. C'est triste.

Qui sait ?

[quoete="Petrina"]

Citation :

Puis, le regard de la jeune femme embrassa la tenue de sa soeur. Elle ressemblait en tout point à celles qu’elle portait lorsqu’elle fréquentait Seiran. Etait-il possible que …. ?

Elle a un gros complexe et refuse de passer à l'âge adulte ? Elle s'enferme dans une dynamique de passéisme, de nostalgie. Elle refuse d'avoir grandi et refuse que la terre ait tourné sans elle.
Ou alors elle est simplement trop shootée pour bouger, habitude qu'elle a prise à sa soeur....[/quote]

Et si c'était les deux ?

Petrina a écrit:

Pour ce qui est de la main bandée (d'abord bien fait), ensuite de deux choses l'une :

- elle se flagelle pour retrouver à travers sa souffrance le reflet de sa soeur perdue qui lui manque terriblement.

- elle a trouvé son maître. ELle est devenue la Rei de quelqu'un et ce quelqu'un est sa Fukiko. Ce qui m'étonnerait parce qu'un lien aussi pervers ça ne s'invente pas.

A découvrir dans la suite ^^

Petrina a écrit:

Citation :

Frédérique gifla son imagination.

Joli concept !

N'est-ce-pas ?!

Petrina a écrit:

Citation :

Décidément, elle en avait bien trop ! Elle ou Rei ?À cet instant, peu importait. Fukiko s’était sans doute blessée. Peut-être suivait-elle un traitement anti-douleur pour cette main qui la faisait souffrir ? Peut-être s’était-elle endormie sous l’effet des médicaments ? C’était là l’explication la plus rationnelle.

Personne n'y croit, et encore moins Rei !

Et moi qui me suis donné tant de mal pour qu'on y croit

Petrina a écrit:

Citation :

Frédérique se passa la langue sur les lèvres, comme elle le faisait à chaque fois qu’elle cherchait comment amorcer une conversation

Une conversation ou une drague ?!

Choisis ce qui te plaît le mieux

Petrina a écrit:

Citation :

Dieu sait qu’elle avait usé abondamment de ce tic au début de sa carrière,

OH ! Mon Dieu ! La corrompue !

Petrina a écrit:

Citation :

« Vous êtes-vous blessée récemment ? » demanda Frédérique. Dès qu’elle eut prononcé ces paroles, elle se réprimanda intérieurement : « Mais quelle sotte !!! Enfin ! Voyons ! On ne demande pas ce genre de choses de but en blanc !! ».

J'avoue qu'elle est pas experte en tact !

C'est certain ...

Petrina a écrit:

Citation :

« Bonjour, Mya-sama. C’est un plaisir de vous revoir. Je n’étais pas venue au Japon depuis longtemps. C’était une erreur. Cela nous a privé du plaisir de nous voir».

De pire en pire, elle est à peu près aussi douée que Nicolas, en relationnel, elle !

Un peu de respect, rho !!! Elle est quand même face à son bourreau, pour qui elle a toujours eu un syndrôme de Stockholm ... ^^ Je devrais peut-être introduire la GL dans la fic, pour aller aider Frédi-Rei : la catastrophe assurée

Petrina a écrit:

Citation :

Rei eut envie de se jeter à ses pieds. Frédérique fit un effort pour ne pas obéir à l’impulsion de la jeune fille qu’elle avait été.

La première phrase de cette citation m'a donné le frisson. Tout en étant courte, voire sibylline, elle me fout la chair de poule. C'est puissant, un amour aussi avilissant.

Tout le problème de Rei avec sa soeur...

Petrina a écrit:

Citation :

Frédérique jugea tout discours inutile.

Voilà enfin une pensée sage. Baffe dans la tronche et rentre t'occuper de ta fille !

Je pourrais toujours botter en touche et opter pour cette fin. Mais mon petit doigt me dit que ça ne vous plaîrait pas, si ?



[quoete="Petrina"]

Citation :

« Je ne l’ai pas oubliée. Je vous l’ai rapportée. Au revoir… À bientôt, j'espère ». Puis, elle sortit, le cœur en montagnes russes. Quelle idiote ! Mais quelle idiote de n’avoir rien préparé. Qu’elle avait été stupide de se laisser guider par l’impulsivité de Rei !!! La vie n’est pas une scène où l’on peut improviser !!!

J'ai noté le vouvoiement depuis le début, mais dans le carnet, c'est clairement une volonté de tirer un trait sur Fukiko. Pourquoi ai-je l'impression que c'est vain ?[/quote]

Va savoir

Petrina a écrit:

Citation :

le regard de Fukiko venait de se poser sur la poupée et le carnet.

Ah, ben le chapitre 8 promet d'être mouvementé !


Reste plus qu'à l'écrire au plus vite, hein ?


Bises Arlène !

Aussi vite que je peux

beaucoup d'avoir écrit la suite de cette fic.

Fukiko n'a donc pas supporté la disparition de Rei et est devenue une personne inerte, sa vie n'a plus de sens sans sa sœur. Un petit rien suffit pour la faire basculer dans la folie. Elle ne reconnait même pas Rei, elle vit dans un autre monde.

Rei ne pensait pas que sa sœur l'aimait autant, elle n'en laissait rien paraître. Toutefois elle se fait rejeter une fois de plus par sa sœur en se jetant dans ses bras. Fukiko rejette la poupée, le carnet et Rei.

Rei comprend la douleur de sa sœur car elle a vécu la même peine quelques années auparavant.

En mordant sa sœur, Rei espère la faire revenir dans le monde des vivants. Est ce de bonne augure pour Rei ?

Merci de ton commentaire détaillé

Et oui, comme quoi, la plus cinglée des deux, ce n'est pas Rei ! Qui l'eût cru ? Le pire c'est que je pense que Fukiko est vraiment plus "folle" que Rei dans TCF, même Si Rei semble plus instable et plus fragile.

Est-ce de bonne augure pour Rei ? Hum... on verra, selon mon humeur

Une petite question : je voulais créer une sorte de malaise dans cette scène, ais-je réussi ?

A la réflexion, c'est toute la fic qui a ce ton-là. On fait du TCF ou on n'en fait pas

Arlène a écrit:

Une petite question : je voulais créer une sorte de malaise dans cette scène, ais-je réussi ?

A la réflexion, c'est toute la fic qui a ce ton-là. On fait du TCF ou on n'en fait pas

oui tu as bien réussi à créer une sorte de malaise car Rei ne sait pas trop comment se comporter, Fukiko est totalement déstabilisante.

Tu écris merveilleusement bien du TCF et c'est tout à ton honneur car c'est beaucoup plus dur que d'écrire du LO.

Merci beaucoup.

J'ai moins l'habitude d'écrire sur TCF que sur LO et l'univers est différent. Donc parfois je me demande si j'ai bien réussi à faire passer ce que je voulais.

La suite quand je peux

Alors comme ça notre chère Fukiko n a pas supporté la mort de Rei:twisted: bien fait! ( ho vilaine que je suis de parler ainsi....) elle est plus tourmenté qu on ne pouvait le croire, quoi que cela correspond en effet à l histoire. On sait que Fukiki aimait réellement sa soeur et le fait qu elle en perde la raison s explique.

Mais Rei ( Fréderique) est de retour, Fukiko va t elle finir par croire ce qu elle voit? et je suppose que se retour sera vécu comme un éléctrochoque pour Fukiko... je me demande qu elle sera sa réaction. va t elle savourer se moment et prendre sa soeur ds ses bras ou risque t elle d exploser de colère après sa soeur pour lui avoir menti pdt toutes ces années. J avoue que j aurais aimé lire la suite mais il faut savoir être patient ..... les bonnes choses se dégustent en douceur.....en plus n ayant plus de tps pour moi non plus, je ne te mettrai pas la pression cette fois....

Shame on me ! Non seulement je mets un temps fou à écrire, mais maintenant j'ai du retard dans la réponse aux commentaires. Désolée...

Que va faire notre chère Fuki ? A vrai dire, j'hésite un peu... je ne te dis pas entre quoi et quoi... sinon ce ne serait pas marrant^^ On va dire que ce sera la surprise, y compris pour moi : sa réaction prendra forme sous mes doigts quand j'écrirai la suite, selon l'inspiration du moment, pour changer

Merci d'avoir la patience de suivre cette fic que je livre au compte-gouttes

Citation :

Shame on me ! Non seulement je mets un temps fou à écrire, mais maintenant j'ai du retard dans la réponse aux commentaires. Désolée...

Je ne peux que plussoyer

Allez, allez, l'heure du commentaire a sonné !


Chapitre 8 :

Citation :

Fukiko contempla longuement la poupée, penchant gracieusement la tête de côté. Le regard fixe mais doux, presqu’heureux. Le visage songeur, bien qu’il ait été difficile pour un observateur extérieur de savoir vers qui se tournaient les pensées de cette jeune femme immobile.

Oui, je vois le genre. On est dans la folie limite démentielle ; Fuki a craqué (bien fait ).
Cela illustre bien l'autre pendant du syndrome de Stockholm, je crois que cela s'appelle le syndrome de Lima.

Il n'empêche qu'à force de torturer quelqu'un, on finit par en être dépendant. Cela me fait penser au regard que tu portes en écrivant la fic. Il n'est nullement biaisé, je dirais que c'est un narrateur omniscient... qui s'en fout C'est assez courant, mais j'aime bien la manière dont tu le fais. Le ton dépassionné ne manque paradoxalement pas de sel.

Citation :

Elle avait beau intimer l’ordre à ses bras de bouger, ils demeuraient inertes. Désespérément figés. Seuls ses yeux s’exprimaient.

Hum... ça c'est moi, le matin....

Citation :

Plus elle contemplait la poupée, plus elle avait le sentiment que le jouet aussi immobile qu’elle lui délivrait un message

Il faut dire qu'avoir descendu un whisky aide, Sue Helen

Citation :

Elle se souvenait l’avoir eu en main, avait le sentiment d’avoir écrit dessus… puis plus rien. Plus rien depuis… elle ne savait même plus combien d’années.

La mort de Rei l'a marquée c'est sûr. Mais parfois, ma parano va jusqu'à me faire subodorer que ce n'est pas que ça. Qu'il y a eu encore un truc qui l'a perturbée, juste après. Je m'invente des vies ?

Citation :

Elle aimait Rei. A en mourir

Ou à en tuer. Parce qu'après tout, Rei a quasiment tué sa soeur, mais jamais elle n'est morte pour elle, concrètement. Et ça me fait penser aux gens qui aiment soi-disant "à la vie à la mort". Une fois, au collège, un garçon m'a dit qu'il était "prêt à mourir" pour moi... ça m'a tellement agacée, tant de légèreté avec un thème aussi grave que la mort, alors j'ai dit :"Vas-y"

Il m'a regardée bêtement. "Hein?"

"T'es prêt à mourir, non ? Alors vas-y. Tu parles, mais tu n'agis pas"

"T'es trop méchante!"

"C'est toi qui fais des promesses dans le vent".

Bref, cette parenthèse me sert de métaphore pour illustrer la différence entre Rei et Fukiko. Fukiko agit beaucoup, subit, tandis que Fukiko reste dans le théorique, même pour mourir, il faut qu'elle le fasse à moitié.

Citation :

Sans doute était-ce un domestique qui avait agi sur l’ordre du psychiatre ? Pour la confronter à … à quoi ? Etait-ce si important ? Non.

Dans son état végétatif, elle a quand même une certaine lucidité...

Citation :

Une seule chose importait : ne pas bouger, ne pas céder à l’appel de la poupée, oublier la présence du carnet. Ne surtout pas renouer avec la douleur que lui avait infligé la mort de sa sœur, cet éclair qui l’avait déchiré au point de lui donner le sentiment que ses os avaient été brisés.

Ce refus de la souffrance au profit de l'anesthésie émotionnelle m'étonne peu. C'est très Fukikesque, selon moi. Rei aurait probablement voulu subir de plein fouet, ce n'est pas le cas de Fuki.
D'où une distribution des rôles très logique: Fuki la sadique, Rei la masochiste

Citation :

La porte s’était à nouveau ouverte. Le fantôme de sa sœur était revenu. Il lui parlait à nouveau.

Donc, c'est pas la première fois. Elle est atteinte, notre Sue helen.

Citation :

Mais jamais elle n’avait songé qu’elle s’était montré cruelle envers sa sœur en lui faisant croire qu’elle était morte.

Pour une fois que Rei a le minimum d'égoïsme qui fait partie d'instinct de survie, elle ne va pas se mettre à culpabiliser.

Citation :

Que Fukiko ait pu l’aimer à ce point, jamais Rei ne l’aurait cru.

Et je n'oserais pas lui jeter la pierre....

Citation :

« Je suis bien de retour. Mais vous êtes vivante, tout comme moi » répondit Rei à l’interrogation muette de sa sœur.

Va-t-elle la croire, cette fois ? Mystère. Je pense que oui, le chapitre 9 nous le dira.

bises, Arlène !

Une réponse rapide (avant une plus longue) pour te dire que j'étais pliée en lisant ton commentaire. Si tu apprécies le ton dépassionné de ma fic, j'apprécie tout autant (non en fait, bien plus!) le ton de tes com' : un humour ironique qui fait mouche et qui ne laisse rien passer. J'adore !

Je ne m'excuse même plus de mon retard dans ma fic ou dans mes réponses aux commentaires : ça devient redondant à force. Donc j'assume. C'est une fic TCF, donc il y a forcément une part de sadisme là-dedans, qui passe par le fait de vous faire attendre et d'écrire quand je veux, na !

Citation :

Je ne m'excuse même plus de mon retard dans ma fic ou dans mes réponses
aux commentaires : ça devient redondant à force. Donc j'assume. C'est
une fic TCF, donc il y a forcément une part de sadisme là-dedans, qui
passe par le fait de vous faire attendre et d'écrire quand je veux, na !

cette réponse est beaucoup trop facile vivement que l'on te retrouve parmi nous, j'aime bien tes commentaires.

Citation :

Une réponse rapide (avant une plus longue) pour te dire que j'étais pliée en lisant ton commentaire. Si tu apprécies le ton dépassionné de ma fic, j'apprécie tout autant (non en fait, bien plus!) le ton de tes com' : un humour ironique qui fait mouche et qui ne laisse rien passer. J'adore !

Je ne m'excuse même plus de mon retard dans ma fic ou dans mes réponses aux commentaires : ça devient redondant à force. Donc j'assume. C'est une fic TCF, donc il y a forcément une part de sadisme là-dedans, qui passe par le fait de vous faire attendre et d'écrire quand je veux, na !

Je suppose qu'il n'y a rien à ajouter. Après tout, c'est vrai que c'est de bon ton, d'être une auteure sadique quand on écrit du TCF. Si j'étais pas si occupée avec mes autres fics en retard, j'écrirais du TCF rien que pour le plaisir de me venger. Mais bon, je dois d'abord finir Amours Malsaines, et c'est pas encore pour demain matin.

Mais patience, patience... Je mangerai froid !


Ceci étant dit, en attendant que ma vengeance redoutable n'éclate, tu peux toujours écrire un autre chapitre

Arlène, si tu as un peu de temps en ce moment, vas tu nous poster la suite ?

Merci, ça fait plaisir que cette fic vous plaise au point de réclamer la suite.

Actuellement, depuis quelques mois en fait, je suis malade et ne peux pas rester très longtemps à l'ordi. Je ne tenais pas à vous le dire pour ne pas vous inquiéter. Mais je préfère que vous sachiez plutôt que de penser que je déserte totalement.

Disons que j'ai la moitié du chapitre à venir en tête. Reste à pouvoir le mettre par écrit et à trouver l'autre moitié.

Je suis vraiment désolée... ça viendra, c'est tout ce que je peux dire.

Fukiko préfère croire à la folie plutôt qu'au retour de sa soeur. Elle en veut à Rei de l'avoir abandonné et fait une crise de jalousie en apprenant l'existence d'un enfant. Elle se sent trahie par Rei.

Elle reste froide et dure alors qu'elle n'a qu'une envie, se jeter dans les bras de sa soeur et la serrer contre elle.

Rei n'est plus la même, elle s'affirme, elle protège sa fille et refuse de plonger dans la mort avec Fuckiko, elle veut la faire revivre.

sera t-elle assez forte pour y parvenir ?

merci pour cette suite Arlène

Un moment de disponible et je retrouve cette fic avec bonheur...me voilà en arrêt à point nommé.

Rei cherche à sortir sa soeur de sa langueur de sa folie, et c est avec joie que je constate qu elle n est plus sa marionnette. Elle ose à présent mener la danse, répondre et surtout protège ce qui fait qu elle est elle aujourd hui , sa fille! si quelque chose doit empêcher rei de tomber c est bien sa fille qui grace à elle à trouver un sens à sa vie. il m est d avis qu elle est décidé d ouvrir les yeux à sa soeur.
très jolie chap, j ai bcp aimé l intensité qui se dégage de rei lorsqu elle répond à l attaque de sa soeur, on ressent là tout l amour d une mère.

merci Arlène

Merci à vous ! Et merci de votre indulgence : du fait de ma situation actuelle, je ne fais pas vraiment d'effort d'écriture. Mais les idées restent là et l'intrigue avance, lentement, mais elle avance

Oui, Rei a décidé d'ouvrir les yeux de sa soeur qui finalement est bien au chaud dans son monde de folie, et sa fille est sa planche de salut. C'est le fait d'être mère qui fait changer le personnage : elle ne peut plus se permettre de se laisser happer dans le délire de sa soeur, car elle n'engagerait pas qu'elle.

La suite .... heu... quand elle sera là bon, j'ai déjà en tête le début du prochain chapitre, c'est pas mal...

En tout cas, je suis ravie que cette suite vous plaise Mine de rien, il faut les faire naviguer dans un univers de "folie" les deux soeurs, pas toujours facile, même pour moi, enfin quoi que...

Ouuuh, la je viens de m'apercevoir que j'avais pas lu le chapitre 9 .


Mais c'est pas grave, hein, vu que le chapitre 10 est pas encore là.


Alors, commentons !

Chapitre 9

Citation :

Face à l’hésitation de Fukiko, Rei poursuivit : « Je suis bien revenue, mais pas pour vous entraîner vers la mort mais vers la vie. Elle est dehors, elle vous attend… ».
Rei mit un genou à terre, et demanda : « Me ferez-vous l’honneur de m’accorder cette danse, la danse de la vie ».

Deux choses :

1) Rei a toujours son attitude très masculine. Cette façon de demander une danse à sa soeur reflète bien son personnage. Je ne sais pas à quel point tu aimes TCF mais tu m'épates : tu as capté l'essence des personnages de manière extrêmement précise.

2) Rei est bete ==> Danse de la vie ? Mais laisse-la mourir, venge-toi ! L'amour, c'est la vengeance, venge-toi !

Citation :

Puisque c’était sous les traits de sa sœur bien-aimée, elle y cèderait, y plongerait tête la première, de bond cœur, pour son plus grand bonheur. Car elle y retrouverait Rei. Elle fit signe de la tête qu’elle acceptait l’invitation.

C'est beau, l'amour qui vous détruit jusqu'à vous rendre aliéné. Et ça lui va bien, à Fuki! Au moins, elle se départit de son orgueil.

Citation :

Rei l’avait appris au cours de son existence en France : la mort n’apporte rien, la vie si.

Elle est maline, elle.

Citation :

Cette dernière eut un sentiment de vertige. La tête lui tournait. Il fallait qu’elle s’arrête mais elle ne le voulait pas. Si elle ne continuait pas, Rei, la Rei de son imagination, la Rei de sa folie la quitterait à nouveau. Elle ne pouvait s’y résigner… L’étourdissement fut le plus fort. Elle chuta. Rei lui tendit la main, pour l’aider à se relever. Fukiko fondit sur cette main tendue : sa Rei n’était pas partie !

Les rôles sont complètement inversés. Et par là, on voit combien Rei est supérieure à Fukiko, humainement. Là Fuki n'offrait que mépris, Rei est pardon et tendresse.

Citation :

« Ainsi c’est pour elle, à cause d’elle que tu m’as abandonnée ?! Va-t-en ! Pars la retrouver ! Tu l’aimes plus que tu ne m’aimeras jamais ».

Possessive malgré tout, envers et contre tout. Elle e perd le sens des réalités et c'est ce qui la rend si Fukikesque (Fukikesque est un néologisme qui est également synonyme de détestable) : en dehors de sa petite personne, elle ignore tout.

Citation :

Clac !


Rei venait de gifler sa sœur.

AAAAAAAAAAAAAAAAAAALLLLLLLLLLLLLLLLLLLEEEEEEEEEEEEEEEELLLLLLLLLLUUUUUUUUUUUUIIIIIIIIIIIIIIIIIIAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHHHHH !!!!


Enfin, enfiiiiiin ! Enfin Fukiko se prend la baffe qu'elle mérite depuis des années.

Citation :

Rei lui banda le poignet. Puis rapidement, elle lui attrapa l’autre bras et la tira vers la porte. Surprise, Fukiko avançait en trébuchant, cherchant à protester, mais résistant à son envie tant la curiosité et le désir de se retrouver avec Rei étaient forts.

La bête est domptée. Ahhhh,ça fait du bien. Elle fera moins la maline.


Ah, ça fait du bien !


Vite, la suite !

Petrina a écrit:

Ouuuh, la je viens de m'apercevoir que j'avais pas lu le chapitre 9 .


Mais c'est pas grave, hein, vu que le chapitre 10 est pas encore là.

Non, on ne t'en voudra pas. Et surtout j'apprécie la façon subtile dont tu me rappelles qu'il serait bon que je pense à écrire le chapitre 10

Citation :

Citation :

Face à l’hésitation de Fukiko, Rei poursuivit : « Je suis bien revenue, mais pas pour vous entraîner vers la mort mais vers la vie. Elle est dehors, elle vous attend… ».
Rei mit un genou à terre, et demanda : « Me ferez-vous l’honneur de m’accorder cette danse, la danse de la vie ».

Deux choses :

1) Rei a toujours son attitude très masculine. Cette façon de demander une danse à sa soeur reflète bien son personnage. Je ne sais pas à quel point tu aimes TCF mais tu m'épates : tu as capté l'essence des personnages de manière extrêmement précise.

2) Rei est bete ==> Danse de la vie ? Mais laisse-la mourir, venge-toi ! L'amour, c'est la vengeance, venge-toi !

1) A quel point j'aime TCF ? Oh, je regarde l'animé au moins trois fois par jour Merci pour le compliment

Citation :

Citation :

Puisque c’était sous les traits de sa sœur bien-aimée, elle y cèderait, y plongerait tête la première, de bond cœur, pour son plus grand bonheur. Car elle y retrouverait Rei. Elle fit signe de la tête qu’elle acceptait l’invitation.

C'est beau, l'amour qui vous détruit jusqu'à vous rendre aliéné. Et ça lui va bien, à Fuki! Au moins, elle se départit de son orgueil.

Il faut bien qu'elle évolue un peu notre Fuki ;-)

Citation :

Citation :

Rei l’avait appris au cours de son existence en France : la mort n’apporte rien, la vie si.

Elle est maline, elle.

Après les perles du bac, on pourrait faire "les perles des fics". J'avoue que cette phrase pourrait figurer en bonne place:lol!:

[quote]

Citation :

Cette dernière eut un sentiment de vertige. La tête lui tournait. Il fallait qu’elle s’arrête mais elle ne le voulait pas. Si elle ne continuait pas, Rei, la Rei de son imagination, la Rei de sa folie la quitterait à nouveau. Elle ne pouvait s’y résigner… L’étourdissement fut le plus fort. Elle chuta. Rei lui tendit la main, pour l’aider à se relever. Fukiko fondit sur cette main tendue : sa Rei n’était pas partie

Citation :

Les rôles sont complètement inversés. Et par là, on voit combien Rei est supérieure à Fukiko, humainement. Là Fuki n'offrait que mépris, Rei est pardon et tendresse.

C'est comme ça que je perçois Rei en effet. Fukiko, c'est différent. Je me demande souvent ce qu'il peut y avoir sous son orgueil et son mépris.

Citation :

« Ainsi c’est pour elle, à cause d’elle que tu m’as abandonnée ?! Va-t-en ! Pars la retrouver ! Tu l’aimes plus que tu ne m’aimeras jamais ».

Citation :

Possessive malgré tout, envers et contre tout. Elle e perd le sens des réalités et c'est ce qui la rend si Fukikesque (Fukikesque est un néologisme qui est également synonyme de détestable) : en dehors de sa petite personne, elle ignore tout.

Oui, comme si on ne lui avait jamais appris à aimer.


[quote]

Citation :

Clac !


Rei venait de gifler sa sœur.

Citation :

AAAAAAAAAAAAAAAAALLLLLLLLLLLLLLLLLLLEEEEEEEEEEEEEEEELLLLLLLLLLUUUUUUUUUUUUIIIIIIIIIIIIIIIIIIAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHHHHH !!!!


Enfin, enfiiiiiin ! Enfin Fukiko se prend la baffe qu'elle mérite depuis des années.

Elle ne l'a pas volée !



[quote]

Citation :

Rei lui banda le poignet. Puis rapidement, elle lui attrapa l’autre bras et la tira vers la porte. Surprise, Fukiko avançait en trébuchant, cherchant à protester, mais résistant à son envie tant la curiosité et le désir de se retrouver avec Rei étaient forts.

Citation :

La bête est domptée. Ahhhh,ça fait du bien. Elle fera moins la maline.

Mais jusqu'à quand ? ...

Citation :

Ah, ça fait du bien !
Vite, la suite !

Merci

La suite arrive. Avec un peu de chance, je vais pouvoir l'écrire pendant la période des fêtes.

Citation :

La suite arrive. Avec un peu de chance, je vais pouvoir l'écrire pendant la période des fêtes.

Ne te réjouis pas trop vite Jarjayes... elle parlait des fêtes de Pâques

Petrina a écrit:

Ne te réjouis pas trop vite Jarjayes... elle parlait des fêtes de Pâques

Ou peut-être des fêtes de 2013

Arlène a écrit:

Petrina a écrit:

Ne te réjouis pas trop vite Jarjayes... elle parlait des fêtes de Pâques

Ou peut-être des fêtes de 2013

Pourquoi j'ai parlé ?!? C'est dingue, moi, j'ai le CHIC pour dire ce qu'il faut pas au moment où il ABSOLUMENT PAS. C'est comme cette manie d'avoir des fous rires tout à fait déplacés lors des drames (enterrements, etc). Les gens nous prennent pour des fous sadiques ou pour des petits cons arrogants alors que c'est nerveux !!! :698$$^2:

C'est pour ça qu'on t'aime, Pétri

Les fous rires aux enterrements, c'est assez connu comme phénomène. T'inquiète, les gens comprennent.

Je vais faire mon possible pour écrire un chapitre pendant les fêtes, mais, alors que je pensais pouvoir avoir un peu de répit, il vient de me tomber un truc que je n'avais pas prévu. C'est ça de mener plusieurs activités de front... Enfin, je ne vais pas me plaindre, c'est un bon truc, mais ça n'arrange pas pour ma fic.

Allez, je vais faire mon sapin