Pour qu'elle me les passe je suis arrivée à la fin du cours et je me suis mise à genoux en lui disant
krapo: Je suis allergique aux cours! J'en suis au point où je suis prête à te payer pour te louer tes cours... je ne te les emprunterai qu'une heure à chaque fois, juste le temps de faire des photocopies...

Elle a explosé de rire et m'a dit qu'elle me les prêterai comme ça...

et pour les concours... je n'aime pas l'esprit concours... je ne sais définitevement pas être la meilleure. C'est comme ça! Y'en a qui savent exceller dans un domaine moi je ne sais que me contenter d'être moyenne dans pleins de domaine différent. Mais bon ne nous méprenons pas... ce n'est pas parce que je ne venait pas en cours que je n'ai pas réussi mes études (j'ai toujours fait partie du tiers gagnant... c'est à dire ceux qui avait leur année du premier coup... bon il est vrai que ma tchatche à l'oral et mon sérieux coup de main en technique m'a souvent aidé à grapiller les points nécessaires... mais bon ça c'est une autre histoire)

Moi non plus, j'ai pas l'esprit concours, mais alors pas du tout. La prépa, c'était le cauchemar. Je détestais mes camarades de classe, mes profs étaient des tyrans, et je n'avais aucune vie sociale. Pendant 7 mois.

Ensuite, j'ai dû arrêter à cause d'un souci de santé qui m'a valu un mois d'hosto. Du coup, impossible de sortir la tête de l'eau. J'étais dans les dix premiers, mais avec cinq semaines de retard, impossible de passer. Et le redoublement... ça n'existe pas en prépa...
Alors j'ai changé pour la fac d'Eco-commerce-marketing, mais pour intégrer une école de commerce... je vais quand même devoir passer par la case concours... c'est rageant

Petrina a écrit:

Moi non plus, j'ai pas l'esprit concours, mais alors pas du tout. La prépa, c'était le cauchemar. Je détestais mes camarades de classe, mes profs étaient des tyrans, et je n'avais aucune vie sociale. Pendant 7 mois.

Ensuite, j'ai dû arrêter à cause d'un souci de santé qui m'a valu un mois d'hosto. Du coup, impossible de sortir la tête de l'eau. J'étais dans les dix premiers, mais avec cinq semaines de retard, impossible de passer. Et le redoublement... ça n'existe pas en prépa...
Alors j'ai changé pour la fac d'Eco-commerce-marketing, mais pour intégrer une école de commerce... je vais quand même devoir passer par la case concours... c'est rageant

Ca non plus c'était pas une légende, les prépas c'est réellement le cauchemard?

Tout dépend du lycée. Le mien, et je ne le citerai pas =), était un réel cauchemar... sauf qu'on s'en réveillait jamais.

A la rentrée, la prof de maths :
"Vous n'êtes rien. Pour le moment vous n'êtes rien. Avoir 20 au bac, n'est rien. Et vous n'avez même pas tous eu 20. Pourtant, c'est d'une facilité qui laisse rêveur. Travaillez 25h sur 24 si vous souhaitez avoir peut-être éventuellement l'espoir de devenir quelque chose"
:

C'est quasi de la tyranie

C'en est : Les profs de prépa sortent tous de prépas....

Ils se vengent sur la génération d'après tout bêtement

Simpatique, ça donne envie d'en faire une^^

Le pire, c'est que quand j'ai arrêté, j'ai déprimé pendant des mois. J'avais tout donné au début... tout ça pour qu'un séjour à l'hosto ruine mon beau travail

Petrina a écrit:

C'en est : Les profs de prépa sortent tous de prépas....

Ils se vengent sur la génération d'après tout bêtement

Ils se vengent surtout de ne pas avoir mieux réussi... J'ai une théorie là-dessus : les profs les plus vaches sont ceux qui ont le plus souffert pendant leurs études.

Petrina a écrit:

Le pire, c'est que quand j'ai arrêté, j'ai déprimé pendant des mois. J'avais tout donné au début... tout ça pour qu'un séjour à l'hosto ruine mon beau travail

C'est vrai que c'est dommage. Et je te comprends parce que, comme tu le sais, au lycée, j'ai eu des problèmes de santé en terminale et ça a duré deux ans. Donc j'avais les notes pour aller en prépa mais pas la condition physique (du moins sur le moment, parce qu'après, j'avais bien récupéré et je n'ai plus aucun souci). J'ai eu du mal à l'avaler. Au final, je suis passé par la fac et je ne regrette pas. En fait, le travail reste le travail et il se retrouve où que l'on soit. Et ça m'a permis de me poser la question de ce que je voulais vraiment faire.

Petrina a écrit:

C'était vraiment le trou noir, pendant mon hospitalisation. Je révisais 16h par jour environ (je refusais les visites et touchais à peine mon assiette de repas, en plus je faisais des insomnies) tant j'avais peur de chuter. Quand j'ai compris que c'était mort, j'ai vraiment cru mourir. Vers Mai-juin, j'ai commencé à relativiser, à me retrouver vraiment. Au lycée, j'étais pas particulièrement attirée par les "grandes" études, et aujourd'hui que je suis en fac, je m'y retrouve très bien (y a que les maths bioniques qui me manquent lol).

Mais vraiment, la prépa, parfois, c'est mal fait. Rien que qu'aujourd'hui, pendant les journées portes ouvertes de ma fac, une prépa m'est littéralement tombée dans les bras en pleurant, parce qu'elle "pense à la mort constamment". Elle vient de mon ancien lycée de prépa, et subit des humiliations quotidiennes. Trois ont déjà sauté cet horrible pas qu'elle évoquait, cette année. En moyenne, dans ce lycée, toutes filières confondues (avec un bonus spécial pour les S et les prépa), il y a un 1,5 élève qui se donne la mort.

Tout ça pour dire que franchement, cette filière est à revoir. Je veux bien qu'on fasse bosser des gens comme des malades, mais humilier des mômes de 17-18 ans continuellement, c'est une forme suprême de bizutage. Enfin....

C'est horrible, mais j'ai quand même une question si c'est si atroce pk y'en a qui s'inscrivent?

J'ai plusieurs réponses à ça :
-Ce n'est pas horrible partout
-Certains métiers et écoles ne sont accessibles que par là...
-La pression des parents "Tu feras une prépa mon fils, pour ramasser plein de pognon et faire honneur à notre illustre lignée)
-Certains y trouvent leur compte
-L'envie d'apprendre, la passion...

Pour ma part, j'ai trouvé ça chiant, mais sans mon impondérable, j'aurais continué.

D'accord, j'ai tendance à faire d'un cas une généralité c'est pour ça.
Les entrées en prépa c'est sur dossier ou concours?

C'est sur dossier... Et l lycée de provenance est un déterminant critique.

En gros, minimum 15 partout, et un bon lycée + de bonnes appréciations, et tu vas en prépa

J'ai aucune chance d'y entrer , mais cela dit merci pour le renseignement

Ah en fait, je parlais pour ma filière en particulier... dans mon lycée.
Mais on peut tout à fait passer en prépa tout en étant hors des premiers. Il faut jouer avec les classements des prépas, et des lycées, et des options.

En plus, je crois qu'une prépa spéciale pour STG a vu le jour, donc je te conseille, si tu le veux, de toujours le mettre en voeux APB. On sait jamais =)

Petrinette pour le tuyeau, mais je t'avoue que dès que j'ai le bac je ne veux plus jamais entendre parler de gestion des comptes ou autres comptes en T

Ben alors évite... Tu veux faire quoi, en fait ? ^^

Très sincerment je suis partagée entre deux possibilités: Passer le concours de gendarme ou bien aller en école d'art, mais cela dit travailler dans la musique me déplairait pas mais bon c'est utopique comme voie.
Et toi que voudrais tu faire?

Je trouve en effet que la musique est un peu risquée. C'est plutôt le genre de projets que j'aurais mis pour après avoir validé des études assez bankable pour faire vivre

Moi j'ai deux possibilités aussi, mais qui passent par la même filière, l'école de commerce :
1) Faire du marketing un peu partout dans le monde
2) Faire des finances, passer l'expertise comptable et devenir commissaire aux comptes à mes heures perdues

Barbant, n'est-ce pas ?

Melle Miimiine a écrit:

c'est utopique comme voie.

Miimiine, qu'est ce que ce pessimisme?! A ton âge!!? Ne deviens pas désabusée dès maintenant, ne te bloque pas par ce sui te semble utopie: "Impossible? Je ne connais pas ce mot!" disait Napoléon: quelques semaines plus tard c'était Wagram! Vis ma grande! Vis et ne deviens pas ce que je suis en train de devenir et que je n'étais pas au lycée...

Tiens, c'est pour toi:




Eclate-toi ma grande! Tu en as le temps maintenant! Profite de ta jeunesse: ce n'est pas une maladie mais un atout merveilleux, crois-moi!..

Je suis d'accord avec Sudena mais j'aurais tendance à dire que, si tu te poses la question, tu n'as pas vraiment une vocation artistique, de celle qui balaie tout sur leur passage. J'ai plusieurs amis, célèbres ou beaucoup moins célèbres, dans divers domaines artistiques (arts plastiques, théâtre, musique...). Il n'a jamais été question pour eux de faire autre chose dans leur vie. Ils galèrent parfois, alignent les petits boulots mais ne vivent que pour les moments où ils créent ou montent sur scène.

Dans un genre différent, une femme d'une quarantaine d'années qui appartient à la même troupe que moi, raconte qu'elle a hésité, en terminale, entre le théâtre et la médecine. Le raisonnement qui a abouti à son choix définitif a été le suivant : je pourrais toujours faire du théâtre en amateur mais je ne pourrais jamais exercer la médecine en amateur. Elle est cardiologue et appartient à une troupe amateur depuis trente ans.

Quant à la prépa... Il se trouve qu'il y a pas mal d'ingénieurs et trois chercheurs qui sortent de grandes écoles dans ma famille. Leur opinion à tous est que, pour faire une prépa, il faut avoir suivi le cursus jusqu'en terminale avec une grande (voire très grande) facilité. Sinon, on se tue à la tâche ensuite et c'est le cauchemar. Mon père, par exemple, en garde un très mauvais souvenir. Il m'a dissuadée d'en faire une. Il a par contre encouragé l'une de mes soeurs, très brillante en maths.
L'une de mes nièces est à l'heure actuelle en prépa à Louis le Grand à Paris. Sa famille habite à Nantes. Elle est donc seule et nous la voyons régulièrement pour qu'elle ne se retrouve pas trop isolée. C'est une fille qui n'a jamais rien fait au lycée, qui tenait la tête de sa classe sans difficulté et qui n'avait pas seize ans quand elle a passé son bac (fort brillamment, bien entendu). Pour la première fois de sa vie, elle est obligée de travailler. Mais elle ne s'épuise pas non plus : deux-trois heures de travail en moyenne le soir et le dimanche, ce qui lui laisse du temps pour dormir et avoir des activités en parallèle. Elle est enthousiaste. Pour la première fois, elle ne s'ennuie pas en classe et a des camarades qui partagent ses passions.
Tout est donc relatif.

Ce qui m'avait un peu paniquée en terminale, c'est qu'on a l'impression de choisir pour la vie. Et, pour certaines professions, c'est une réalité, surtout avec le système cloisonné français. Mais il y a aussi une multitude de portes dont on ne se doute même pas, et beaucoup d'évolutions possibles dans la vie professionnelle, et la vie tout court.

Bon courage, Mlle Miimiine.

Petrina a écrit:

Je trouve en effet que la musique est un peu risquée. C'est plutôt le genre de projets que j'aurais mis pour après avoir validé des études assez bankable pour faire vivre

Moi j'ai deux possibilités aussi, mais qui passent par la même filière, l'école de commerce :
1) Faire du marketing un peu partout dans le monde
2) Faire des finances, passer l'expertise comptable et devenir commissaire aux comptes à mes heures perdues

Barbant, n'est-ce pas ?

Je ne suis pas d'accord pour ton premier choix, ça à l'air interessent le commerce, après ton second choix je suis totalement d'accord car j'en suis sure qu'il y aura beaucoup de grands livres, de journaux et de comptes en T
Mais cela dit si ça te plait, FONSE

Sudena a écrit:

Melle Miimiine a écrit:

c'est utopique comme voie.

Miimiine, qu'est ce que ce pessimisme?! A ton âge!!? Ne deviens pas désabusée dès maintenant, ne te bloque pas par ce sui te semble utopie: "Impossible? Je ne connais pas ce mot!" disait Napoléon: quelques semaines plus tard c'était Wagram! Vis ma grande! Vis et ne deviens pas ce que je suis en train de devenir et que je n'étais pas au lycée...

Tiens, c'est pour toi:




Eclate-toi ma grande! Tu en as le temps maintenant! Profite de ta jeunesse: ce n'est pas une maladie mais un atout merveilleux, crois-moi!..

Goldman, à ça c'est de la bonne musique
Mercii pour le conseil Sudena , je me suis basée sur le fait qu'en France, le Rock c'était style BB brune ou autres groupe d'ado déchainée, mais je pense que pour faire une carrière à la Freddie Mercury vaut mieux aller aux Etats Unis.
pour le conseil et pour la Jean Jacques Goldman

Maïlys a écrit:

Je suis d'accord avec Sudena mais j'aurais tendance à dire que, si tu te poses la question, tu n'as pas vraiment une vocation artistique, de celle qui balaie tout sur leur passage. J'ai plusieurs amis, célèbres ou beaucoup moins célèbres, dans divers domaines artistiques (arts plastiques, théâtre, musique...). Il n'a jamais été question pour eux de faire autre chose dans leur vie. Ils galèrent parfois, alignent les petits boulots mais ne vivent que pour les moments où ils créent ou montent sur scène.

Dans un genre différent, une femme d'une quarantaine d'années qui appartient à la même troupe que moi, raconte qu'elle a hésité, en terminale, entre le théâtre et la médecine. Le raisonnement qui a abouti à son choix définitif a été le suivant : je pourrais toujours faire du théâtre en amateur mais je ne pourrais jamais exercer la médecine en amateur. Elle est cardiologue et appartient à une troupe amateur depuis trente ans.

Quant à la prépa... Il se trouve qu'il y a pas mal d'ingénieurs et trois chercheurs qui sortent de grandes écoles dans ma famille. Leur opinion à tous est que, pour faire une prépa, il faut avoir suivi le cursus jusqu'en terminale avec une grande (voire très grande) facilité. Sinon, on se tue à la tâche ensuite et c'est le cauchemar. Mon père, par exemple, en garde un très mauvais souvenir. Il m'a dissuadée d'en faire une. Il a par contre encouragé l'une de mes soeurs, très brillante en maths.
L'une de mes nièces est à l'heure actuelle en prépa à Louis le Grand à Paris. Sa famille habite à Nantes. Elle est donc seule et nous la voyons régulièrement pour qu'elle ne se retrouve pas trop isolée. C'est une fille qui n'a jamais rien fait au lycée, qui tenait la tête de sa classe sans difficulté et qui n'avait pas seize ans quand elle a passé son bac (fort brillamment, bien entendu). Pour la première fois de sa vie, elle est obligée de travailler. Mais elle ne s'épuise pas non plus : deux-trois heures de travail en moyenne le soir et le dimanche, ce qui lui laisse du temps pour dormir et avoir des activités en parallèle. Elle est enthousiaste. Pour la première fois, elle ne s'ennuie pas en classe et a des camarades qui partagent ses passions.
Tout est donc relatif.

Ce qui m'avait un peu paniquée en terminale, c'est qu'on a l'impression de choisir pour la vie. Et, pour certaines professions, c'est une réalité, surtout avec le système cloisonné français. Mais il y a aussi une multitude de portes dont on ne se doute même pas, et beaucoup d'évolutions possibles dans la vie professionnelle, et la vie tout court.

Bon courage, Mlle Miimiine.

C'est sur que vu sous cet angle, je n'avais pas penser
Moi aussi j'aimerais avoir des superes notes sans riien faire en cours :698$$^2: , tant pis ça fait effet inverse
Après voila, bon je suis pour l'instant qu'en première, mais bon la terminale se rapproche à grand pas, donc je t'avoues que je partage exactement le même sentiment que toi vis à vis du choix définitif sur la vie proffessionnelle. C'est abominable, mais bon c'est quand même rassurant, que tout peut évoluer.
Maïlys

je te dirai mimine qu'a partir d'un certain niveau d'étude un trés large panel de poste t'es ouvert si tu es motivé.

pour ma part je sors d'une filière universitaire scientifique suivit un master en marketing... et pourtant mon dernier job en date était dans une entreprise d'ingénieurie social à un poste de chargé de mission (donc pas dégueux)...

On se cloisonne trop, mais c'est clair que le champ des possibles est trés trés large.

Par contre, j'aurai rêver faire une école d'art... mais je n'ai pas pris ce risque, j'ai choisi le raisonnable, des diplomes qui fot joli sur un cv.
Pour l'art, mes amis me trouvent bourré de talent, mais le problème est qu'il me manque la technique pour aboutir à des choses à peu près convenable à mon gout (du coup je manque de courage et je n'ai pas tenté le tout pour le tout... enfin pour le moment (mais j'avoue que ça me démange) )

krapagnou a écrit:

je te dirai mimine qu'a partir d'un certain niveau d'étude un trés large panel de poste t'es ouvert si tu es motivé.

pour ma part je sors d'une filière universitaire scientifique suivit un master en marketing... et pourtant mon dernier job en date était dans une entreprise d'ingénieurie social à un poste de chargé de mission (donc pas dégueux)...

On se cloisonne trop, mais c'est clair que le champ des possibles est trés trés large.

Par contre, j'aurai rêver faire une école d'art... mais je n'ai pas pris ce risque, j'ai choisi le raisonnable, des diplomes qui fot joli sur un cv.
Pour l'art, mes amis me trouvent bourré de talent, mais le problème est qu'il me manque la technique pour aboutir à des choses à peu près convenable à mon gout (du coup je manque de courage et je n'ai pas tenté le tout pour le tout... enfin pour le moment (mais j'avoue que ça me démange) )

En gros on peut tout quelque soit la fillière suivie et le bac obtenu?
Mais maintenant, vu que tu dessines biien, pourquoi tu ne te lanserais pas dans cette avanture?

je ne dessine pas assez bien... mais bon en ce moment j'ai des idées saugrenues qui me démangent alors que je jouerai un dernier quitte ou double avant de devenir sage...

krapagnou a écrit:

je ne dessine pas assez bien... mais bon en ce moment j'ai des idées saugrenues qui me démangent alors que je jouerai un dernier quitte ou double avant de devenir sage...

Pessimiste, franchement tu dessines bien, c'est des gens qui t'ont dit que tu ne savais pas dessiner?
Et pour tes idées saugrenues, LACHE TOI, et t'as tout le temps de devenir sage

Quelque part, Krapo, je te comprends. Je suis le genre de personnes qui ne peux PAS m'engager dans une voie sans un bagage technique de béton.
Mais maintenant, pourquoi ne pas faire une école d'art ? Tu peux bosser en parallèle, non ?

En tout cas, quelle que soit ta voie, donne-toi à fond et bon courage

Petrina, je sais que c'est totalement hors sujet, mais ton avatar, ce ne serait un pas un personnage de Final Fantasie?

Si, Miimiine, c'est Tifa Lockheart, de Final Fantasy 7 (le meilleur de la série, à mon sens, même si le 8, le 10 et SURTOUT le 12 sont super géniaux)

Je me disais bien, elle est supere jolie

Ouais =)

En plus, elle se bat comme un homme (c'est la seule du jeu à se battre à la force de ses poings, et à foutre des gnons à des boss super forts )