Merci amigas ...

Zalzal: il est vrai que ce sont ls vainqueurs qui écrivent l'Histoire (je vais y evenir et ce de manière autrement plus "polémique" plus tard ) et qu'une phrase de napoléon est très expressive en ce sens (je la citerai et la développerai aussi dans le prochain chapitre...

La maxime que j'ai écrite n'est pas une phrase de Napoléon au sens propre mais une orte de résumé du rôle du "Mémorial", rôle dony Napoléon était parfaitement conscient...


Et quand j'ai écrit que je ne voulais pas de débat idéologique, je parlais en fait pour un seul point précis: la Franc-Maçonnerie que j'évoque dans ce chapitre de façon explicite et que je sais si polémique ... Pour le reste en-revanche, je suis parfaitement ouvert ...

Par exemple, l'attitude dictatotriale de Napoléon et le fait que tu parles d'une façon générale des dictateurs: je suis assez d'accord avec toi mais Napoléon est précisément à part vu qu'il n'avait d'idéologie que la France et les acquis de la Révolution: un peu comme Bolivar, voire de Gaulle (si le gaullisme est de droite aujourd'hui, le général de Gaulle, lui, a toujours refusé d'être catalogué d'un côté ou d'un autre: il se disait "de France"...): c'est pourquoi il inspire beaucoup encore dans notre vie politique: de la droite "dûre" à l'extrème-gauche...

André fait une réflexion très amère à la veille du départ de Napoléon pour l'Elbe. Il a (comme Oscar et les autres...)la sensation de s'être battu pour rien. Les Bourbons retournent sur le trône de France en annulant ainsi les progrès fait avec la révolution et en ignorant les désirs du peuple.
Mais laFrance a beaucoup changé du 1789 et, malgré sa chute, Napoléon est toujours consideré un grand...

Comme toujours, un texte magnifique. J’avoue n’avoir lu que jusqu’au chapitre La patrie en danger. Il va donc falloir que je rattrape mon retard lorsque j’aurai le temps (et il en va de même pour les commentaires concernant ces derniers chapitres). Mais revisiter ainsi notre histoire est tellement captivant que cela ne devrait pas prendre beaucoup de temps. Joséphine rappelle Marie-Antoinette et ses tentatives pour tromper son ennui alors que son mari se démène sur les champs de bataille pour protéger son pays, et tous ces aristos qui souhaitent sa perte…

Sudena a écrit:

Pour répondre à ta question: le fait que la DDHC soit la base de toutes les démocraties, que la quête de la liberté et de l'égalité continue autant, que les religions soient contestées malgré leur violence et leur prosélytisme: tout cela fait que les conséquences de la Révolution sont loin d'être terminées...

Me disais bien que ça devait avoir un rapport avec ça… Mais bon, toute révolution a ses conséquences et si on part du principe qu’une révolution est terminée dès lors que ses conséquences le sont, alors rares sont les révolutions achevées. Enfin, je vois ça comme ça.

Sudena a écrit:

Si cela t'intéresse, j'ai laissé des exraits de la pièce de théâtre que j'ai écrite sur le 9 thermidor dans le topic "fics autres que L.O." où je reviens un peu, via un monologue, sur cette question de continuité de la Révolution

Ça peut effectivement m’intéresser, vais aller y faire un tour !

Un autre chapitre écrit ! Je vous rassure: j'ai fini d'évoquer la Franc-Maçonnerie : j'espère que vous apprécierez: cette périodé est difficile à traiter...

Merci Aurore !

Je constate que tu es prête à suivre l'Empereur dans sa folle tentative , et je t'en remercie du fond de la chose qui me sert de coeur...

Elbe

(Grâce à toi, je me suis acheté un livre traitant de Napoléon: Napoléon de Max Gallo).

Bonaparte reconstruit l'île d'Elbe comme il tente, peu à peu, de reconstruire sa vie.

Sudena a écrit:

Citation :

elle [Joséphine] ne s'inquiétait en fait que pour elle et n'avait aucune pensée pour Napoléon, qui avait pourtant continué après leur divorce à la fois à la voir et à lui payer toutes ses innombrables dettes!

Est-ce si surprenant ? Cela correspond au personnage, malheureusement.

Mais on n'hésite pas à se débarrasser de ce vestige d'un temps révolu aux yeux des Bourbons:

Citation :

la mort de Joséphine avait en-effet été un peu trop opportune pour Louis XVIII pour qu'il croie réellement à la thèse officielle du refroidissement

Et en France, cela ne va guère mieux:

Citation :

l'Ancien Régime était à l'ordre du jour: certains nobles libéraux essayaient de ralentir les élans de leurs amis et avaient convaincu le roi de rédiger une charte garantissant la préservation des acquis de la Révolution mais le comte d'Artois, la princesse Elisabeth fille de l'Autrichienne et beaucoup d'autres poussaient ce monarque obèse et impotent à la bafouer ouvertement, ce qu'il faisait sans vergogne!

Chacun tire la couverture de son bord comme on dit.

Citation :

la plupart avaient accueillis la Restauration avec résignation, soulagés de la fin des guerres. Mais que valait cette paix-là?

Tu ne crois pas si bien dire: le peuple subit encore la terreur et s'est vu imposer un gouvernement dont il ne veut pas. Alors, non, ça ne va pas mieux.

Napoléon n'est plus là, mais cela ne veut pas dire pour autant que sa popularité s'en est allée avec lui. Au contraire, je crois qu'avec toute cette tourmente qui régnait sur la France, sa popularité a pris des proportions de culte....d'où le fait que l'on cherche à s'en débarrasser:

Citation :

Talleyrand voulait le faire assassiner et les anglais, alarmés par sa polularité de plus en plus haute, envisageaient de le déporter sur l'île de Sainte-Hélène...

Mais Napoléon n'a pas dit son dernier mot

Exilé à l'Elbe, Napoléon transforme l'île en son petit empire...
Mais après les alarmantes nouvelles qu'arrivent de la France et de l'Europe, il dècide de s'échapper...

Merci de toujours suivre et commenter cette fic les amies !..


Zalzal: je te signale une chose concernant la biographie que tu t'es procurée: elle est une de mes préférées, écrite comme un roman et très "de l'intérieur" de Napoléon. Gallo est clairement gaulliste, en ce sens qu'il veut à tout prix exclure Napoléon de toute tendance politique (Tulard, considéré par beaucoup comme LE spécialiste du bonhomme, est beaucoup plus orienté à droite et donc très subjectif [je n'ai pas lu encore de biographie "de gauche", ne voulant pas partir avec un a-priori trop "positif" du personnage (désolé mais j'assume mon orientation politique :coneriequantun ...)]): je pense que tu te régaleras à la lecture...

Un nouveau chapitre !

Exaltant à écrire, j'espère avoir été à 0,0001% digne de l'événement raconté ...

Merci Aurore!

C'est vrai qu'en y réfléchissant cette scène ressemble à celle des Menus-Plaisirs, mais j'avoue que je n'y avais pas pensé sur le coup: la réalité dépasse souvent la fiction je pense (car la scène n'est absolument pas inventée)...

Ton commentaire flatteur et alerte m'a fait beaucoup de bien!..

La fuite de l'Elbe est un chef-d'oeuvre, Napoléon était vraiment un grand stratège...
Il rentre en France avec quelques amis et arrive à Paris avec une armée, tout ça sans tirer un coup de feu...c'est stupéfiant

Citation :

"Mon ami, mon frère, inutile de m'envoyer de nouveaux hommes: j'en ai suffisament. signé: Napoléon"

C'est vrai? Quelqu'un l'a réellement écrit sur les murs des Tuileries?
...C'est merveilleux

C'est un beau chapitre, Sudena BRAVO
CIAO

Le Vol de l'Aigle (oh quelle belle référence à Napoléon que ce titre !)

Sudena a écrit:

Citation :

Effectivement. Exsangue comme il l'était, il n'avait pas d'autre choix que de tenter le tout pour le tout...et de revenir ainsi pour lui-même aux principes de la Révolution: "la liberté ou la mort"...

C'était en effet un plan assez...risqué

Citation :

Pourtant au fond de moi je sens que si l'impossible se peut, c'est bien maintenant, avec cet homme que nous aimons et suivons partout depuis maintenant plus de dix ans...

Malgré la crainte face à l'inconnu, André réalise bien que cet homme a, dans le passé, réussi l'impossible, et ce, à plusieurs reprises. Il décide donc de faire confiance au destin et de suivre Napoléon encore une fois.

Citation :

Louis XVIII et son entourage étaient hautement persuadés qu'un simple appel (ou plutôt "ordre") au peuple suffirait à provoquer une levée en masse: ils étaient totalement inconscients de la réalité...

Un autre monarque qui aura sous-estimé le peuple. Louis XVIII était en effet bien inconscient de penser qu'il pourrait mater si facilement une population en liesse (n'a-t-il donc rien appris de cette révolution ? ).

Citation :

"Soldats de 5ème de ligne: s'il y a parmi vous quelqu'un qui veuille tuer son Empereur, me voilà...", le silence de quelques secondes interminables, le bruit de chute de deux soldats qui perdent connaissance, et soudain, alors que le soleil se lève le cri spontané qui sort de toutes les poitrines: "Vive l'Empereur!". Et nous voilà tous à nous jeter dans les bras les uns des autres! Et voilà les officiers qui rendent leur sabre à l'Empereur!

Quel beau moment tu nous as décrit ici ! On s'y croirai presque tellement tu as su rendre la fébrilité de l'instant.

Citation :

Ney s'est rendu voir l'Empereur dès qu'il est arrivé et il lui est tombé dans les bras au sens littéral du terme! Et ainsi, chaque fois que Louis XVIII nous envoyait des troupes pour nous détruire les soldats se joignaient à nous aussi spontanément qu'aux plus beaux jours de l'Empire!..

C'est quasiment rassurant de lire qu'en fin de compte, Napoléon ne comptait pas que des ennemis et que malgré la restauration de la monarchie, certains sont demeurés fidèles à l'empereur.

Citation :

Nous allons réaliser l'impossible! Partis de rien il y a moins d'un mois, pouvant à tout moment être coulés, capturés, tués, dénoncés: nous voilà maintenant à moins de deux jours de Paris, à la tête d'une armée spontanée de presque cent mille hommes!

Incroyable effectivement !

Mais encore plus incroyable cette reprise de la France sans qu'aucun coup de feu ne fut tiré, sans qu'aucune victime ne fut faite.

Citation :

Dans toute l'Histoire de tout pays de toute époque il n'y avait jamais eu ça! Un homme aux abois, menacé de partoût qui en moins d'un mois reconquiert un trône sans tirer un seul coup de feu, qui chasse un monarque reconnu par l'Europe entière sans user ni de propagande ni du moindre acte d'intimidation ou de violence, c'était à la fois impossible et inimaginable à tout esprit équilibré. Et pourtant nous l'avons fait!

Un mot: grandiose !

Tu as su rendre hommage à la grandeur des événements, Sudena. Un magnifique chapitre que voilà. Chapeau !

Et un nouveau chapitre!..

Napoléon remonte sur le trône et tout recommence...
Malheureusement on recommence aussi avec les trahisons...
Cependant, Oscar et André se préparent pour un'autre guerre...

Merci beaucoup pour vos commentaires (et pardon Zalzal pour avoir omis de te remercier pour le dernier: je me trouve en fait tellement "répétitif" que j'en ai honte...mais je vous réserve un petit "plus" uniquement pour vous trois quand cette fic sera terminée [pas pour tout de suite] ...) !

Tout recommencer...

Tout recommence en effet...ce qui inclut l'essaim de traîtres qui voltigera à nouveau aux côtés de l'Empereur.

Sudena a écrit:

Citation :

pourquoi l'Empereur a-t-il tant essayé de séduire les libéraux au lieu d'encourager la ferveur révolutionnaire (disons le mot: jacobine) et ainsi de porter le peuple sur nos ennemis? [...]Et à commencer par Fouché qui s'était rallié à notre cause dès qu'il avait senti le vent tourner mais qui était je pense devenu fou et ne pouvait conséquemment que trahir, encore et encore...

Je suis sûre que Napoléon n'a pas fait revenir ces gens par simple amitié. N'oublions pas que l'Empereur est un stratège. Un stratège maintenant revenu au pouvoir qui se doit de tirer les ficelles de la politique pour y rester et instaurer son idéal.

Citation :

Et puis un beau jour il a eu une surprise: Murat! Murat! qui avait perdu son trône de Naples et qui avait pitoyablement tenté de le reprendre; Murat! qui l'avait trahi comme seul Bernadotte l'avait fait; Murat! son beau-frère qui lui devait tout... Il demandait d'être réintégré dans l'armée comme simple capitaine de cavalerie.

Eh bien, il ne manque pas de toupet ce Murat ! Dieu soit loué ! Napoléon l'a envoyé promené !

Citation :

Alain a toujours plus ou moins semblé sans âge mais Oscar et André avaient soixante ans (ce qui n'était pas rien) et on leur en aurait à-peine donné quarante!

Je n'avais pas fait le calcul, mais oui: nos deux chéris sont bel et bien des sexagénaires ! Il faut décidément être passionnés pour continuer à mener cette vie que tu leur as imaginée.

Citation :

le 1er juin le Sénat a élu son président et l'Empereur a reçu un autre coup de poignard dans le dos: ces misérables avaient élu Lanjuinais! Celui qui dans la capitulation de Paris un an plus tôt avait joué le même rôle au niveau civil que Marmont au niveau militaire: un traitre notoire! Aussi l'Empereur était-il en droit de se demander si le plus grand danger venait de Belgique ou de Paris!...

Napoléon doit être tellement las de tous ces problèmes qui ressurgissent... Pauvre homme

Citation :

Crainte fondée... marmona Rosalie, la médecin lui lança un regard désolé et elle fronça de nouveau les sourcils: ces iris...elle les avait deja vus qualque-part, elle était prête à le jurer, mais où?!.

On peut t'aider, Rosalie, sur ce coup

Citation :

Car le sort de ce-dernier [Fouché] était déja scellé! Ses négociations avec nos ennemis n'étaient même plus secrètes: il conspirait contre l'Empereur quasiment au grand jour et celui-ci avait prévu de l'envoyer à la guillotine dès son retour

Le traître "repenti" aurait quand même pu être plus subtil. Je ne sais pourquoi, mais je le trouve bien idiot ce Fouché...

Et encore une fois, menaces de guerre à l'horizon (ce qui semble au contraire ravir Oscar, André et Alain ).

Toujours bien intéressant de te lire, Sudena !

Édition (je viens de lire ton message que tu viens de poster en même temps que le mien): Pas de problème, cher Sudena. Quand tu écris "merci les filles", je me sens incluse Bon, maintenant, je retourne écrire votre suite, monsieur

Un nouveau chapitre en ligne ...

Merci de ton com Aurore !

Je développerai plus précisément dans le prochain chapitre la stratégie de la campagne de 1815, ici je voulais faire peser le souvenir de la Révolution...et terminer par la mort d'Alain (que je développerai aussi dans le prochain chapitre)...

Ligny

Malgré les années, Napoléon n'a rien perdu de son génie et mène cette bataille avec brio. Cela m'étonne de la part de ses ennemis qu'ils n'anticipent pas davantage les stratégies utilisées par l'Empereur, surtout si ce dernier les a déjà utilisées à plusieurs reprises avec succès (la position centrale).

Sudena a écrit:

Citation :

il [Napoléon] se rendit compte tout de suite de l'énorme erreur qu'avaient fait Blücher et Wellington: en raison des énormes divergences militaires et politiques (même s'ils feignaient une parfaite entente) de l'Angleterre et de la Prusse, leurs armées avaient des lignes de ravitaillement différentes.

Énorme erreur, en effet

Citation :

Si vous l'aviez [Alain] vu en cette matinée fatidique du 16 juin 1815

L'emploi de l'adjectif fatidique et cette euphorie soudaine d'Alain ne m'annoncent rien qui vaille...

Citation :

"A tout à l'heure!" leur a-t-elle [Oscar] dit, puis elle a échangé un clind'oeuil avec André, ils ont tous les deux embrassé leur rose, et il est allé rejoindre ses compagnons...

J'aime bien cette symbolique de la rose que tu as ici imaginée, ce lien entre André et Oscar.

Une belle victoire symbolique pour nos amis, mais au prix du sacrifice de l'un d'entre eux...

Une autre victoire obtenue grâce au génie de Napoléon...
La bataille pour Oscar et André commence dans l'enthousiasme pour cette campagne qui évoque la victoire de Fleurus, à laquelle prit part Saint-Just, mais tout finit avec la douleur pour la perte d'Alain...

Merci pour vos coms (je n'ai pas beaucoup de temps...)!


Rendez-vous au prochain chapitre pour le développement des conséquences (et beau coup d'oeil Zalzal !), mais je vous donnerai un indice: Alain n'était pas seulement le meilleur ami d'André (cf: "Poudre au coeur")...

Un nouveau chapitre en ligne!

L'erreur du maréchal Ney

Quelle lettre terrible que celle écrite de la main d'André ! On y sent toute la peine qu'éprouve l'homme pour ce cher ami qu'il vient de perdre, mêlée à ce sentiment de culpabilité de n'avoir pas été présent au bon moment:

Sudena a écrit:

Citation :

Je l'ai abandonné! [...] j'ai enfin laissé Alain seul sur le champ de bataille, sans rien tenter pour l'aider ou le sauver: je suis le Charon de mes amis!

Mais ce qui est encore plus terrible à mes yeux, c'est de ne pas pouvoir pleurer ce deuil, accaparé comme l'était André par cette guerre.

Citation :

Je n'ai pas le temps de pleurer, Bernard

Ce post-scriptum s'avère bien la seule consolation à laquelle se raccroche André:

Citation :

P.S.: Une chose m'a néanmoins soulagé concernant Alain: il est mort comme il l'aurait souhaité et comme il le méritait. Il était un soldat, sur la champ de bataille: je me raccroche à ça pour tenir car je me dis que s'il avait succombé à son intoxication pendant la campagne de Russie j'aurais pu je pense perdre la raison...

Ney commet une erreur, mais le tout a été colmaté par l'Empereur.

Mais ton dernier mot m'indique que la suite ne sera pas aussi triomphante: Waterloo...

La mort d'Alain rappelle à André tous les amis qu'il a perdu sans y pouvoir rien faire, malheureusement il n'y a pas du temps pour pleurer...

Ney a fait une erreur énorme, dont les conséquences auraient pu être plus graves si l'Empereur n'avait envoyé Grouchy à contenir Blücher...ainsi il a évité le desastre, mais Waterloo approche

Un nouveau chapitre écrit ...

Bon texte

Merci de vos coms: ils me sont toujours aussi indispensables pour continuer...

Oscar et André sont encore sous le choc pour la mort d'Alain, mais ils réagissent , André grâce à l'empereur et Oscar grâce à sa combativité...
La bataille s'annonce plutôt équilibrée...comme d'habitude, la stratégie de Napoléon est simple mais efficace, et considére nombreuses variables...
Malgré la pluie et l'absence de ses meilleurs généraux, et grâce à l'erreur des Scot Greys, la victoire semble proche pour l'armée napoléonienne...